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Green Border, d’Agnieszka Holland
Un film glaçant, une détresse humaine « loin » des regards. Une zone de non-droit, un no man’s land entre Biélorussie et Pologne. Des réfugiés ballottés d’une frontière à l’autre, escroqués, dévalisés, parqués, traités comme du bétail, pris en otage par des pouvoirs sans scrupules qui exploitent la crise migratoire pour affirmer leurs discours d’extrême droite. Un retour aux pires moments de notre histoire. Un tel mépris de l’être l’humain nous surprend encore et les discours humanistes européens semblent bien loin de ce Green border. Bravo à la réalisatrice qui a su nous mettre face à notre sauvagerie dès qu’il s’agit de « défendre nos intérêts ». Mireille MOUTTE

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Kippa vs Keffieh

A l’origine deux peuples traumatisés, l’un par la Shoah et l’autre par la nakba. L’un sur la défensive du « jamais plus ça », l’autre sur la blessure de l’exode et de l’expropriation de ses territoires. Comment ces deux peuples aujourd’hui en replis identitaires, unis par la haine des exactions réciproquement commises, pourraient-ils espérer vivre en paix sur un même territoire ? Comment cette guerre permanente depuis 1948 peut-elle perdurer ? Avec comme toujours l’aide et les avantages profitables égoïstes d’ implications internationales des pays arabes, du Proche- orient, de l’Occident, avec comme partout la prédominance d’intérêts économiques, stratégiques, hégémoniques. Non pas dans « l’indifférence générale » mais dans l’incompétence générale. Les intérêts en jeu seraient-ils plus importants que la souffrance des peuples passée par pertes et profits ? N’y a-t-il pas meilleur ciment national qu’un ennemi commun ? La solution incontournable de deux états sur un même territoire n’est-elle pas chimérique ? Entretenue depuis l’origine pour que les tensions s’apaisent d’elles mêmes par l’oubli de l’évolution générationnelle ? On met le couvercle sur la marmite jusqu’aux débordements que l’on connaît avec en corollaire l’étonnement hypocrite des nations devant tant de violences Mireille Moutte !

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#news #nouvelle #monde #galimatias #cloaque #espoir #vide #vie #silence #primordial #humeur #humour #mywork #mytest
The sound of silence,
Et si pour une fois on parlait de rien ! Si on laissait le temps passé et même trépassé, en silence. Si on se servait de nos yeux, de nos oreilles, de tous nos sens, j’allais même dire, de notre cerveau, pour écouter le vent dans les hautes futaies, ou dans les voiles, ou sur la lande, ou dans la rue, ou dans la cour des HLM, même blême …..ça dépens de votre position géographique. Un bref moment, mais qui pourrait s’éterniser, de recueillement sur son moi profond. Sonder son âme, quelquefois grise, pour accéder à son inconscient forcément subliminal, et approcher ainsi, subrepticement, de l’incommensurable vide qui nous habite. Goûter, alors, sans modération au bien être extatique que procure « the sound of silence ». Et là, et là, alors là ! Par une fulgurante et éblouissante révélation, comprendre, enfin, comprendre …qu’il n’y a rien à comprendre. Le monde est un énorme galimatias, une bouillie, un cloaque informe, nauséabond, pestilentiel et sublime à la fois de pesanteur et de grâce  où l’essentiel est occupé par l’importance primordiale accordée à la VIE et à sa perpétuelle continuité, sans le minimal contrôle de qualité (pas pour longtemps). Les humains n’en sont qu’une infinitésimale composante (pas la plus réussi), à peine un point sur son I majuscule, une crotte de mouche sur la face radieuse (pour l’instant) du cosmos. Ne dit-on pas « Tant qu’il y a de la vie il y a de l’espoir ». Espérons ça nous occupera un moment (mais en silence). Mireille MOUTTE

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14 juillet.

Des codes, des anti-codes, des lois, des arrêtés, des règles, des équerres, des cases, des formes à géométries variables, des normes informes pour nous astreindre, nous contraindre « pour notre bien » à rentrer dans des moules douillets, sécurisés, branchés, isolés, uniformes, préfabriqués, alignés, sans aspérité. Plus besoin de réfléchir, il faut suivre les ordres, les injonctions, les instructions, les consignes, sous peine de bannissement, de quarantaine, d’opprobre général, d’exclusion, de déshonneur, de mort sociale, de mort tout court. Surveillés , ballotés , dirigés, estourbis, KO par abandon. Nous nous agitons comme des « pesoùn dans la peigue », nous braillons, nous protestons, nous nous essoufflons, pour finalement, lobotomisés se retrouver en deux temps trois mouvements, bien sagement confinés, piqués, rééduqués, anesthésiés, alignés en rang par deux…..en ordre de marche vers le supermarché, via le télé-travail. Les derniers « résistants » encerclés, catalogués, dénigrés, dépréciés, pressés, isolés, éborgnés et à l’occasion embastillés ne représentent plus aucun danger et peuvent même servir de repoussoir et à l’occasion de caution démocratique pour concrétiser la liberté d’expression….Attention tout de même au retour de bâton !
Dire qu’il n’y a pas si longtemps on pouvait boire, insouciante jeunesse, un café sur le cours Mirabeau sans se prendre un malencontreux pruneau sur la carafe……

(Non je ne suis pas dépressive !… juste un peu fatiguée ….un petit coup de mou !! Ça arrive non ? Ça aussi c’est plus possible, c’est hors norme !!!!)
Mireille MOUTTE