#ciné

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#news #cinéma #ciné #tragédie #émancipation #comédie-musicale #Audiard #narcotrafiquants #transgenre

Émilia Perez, réalisé par Jacques Audiard avec Zoé Saldana, Karla Sofia Gascón
Voilà un film surprenant de mélange de genre tragi-romaneque entre narcotrafiquants mexicains, transgenre, émancipation et comédie musicale. En fait une démonstration sur les multiples facettes qui peuvent coexister dans un être humain. Sur l’infinité des possibles. De l’homme brutal, sanguinaire à la sainte adulée avec une pointe d’humour noir pour clôturer un film pour le moins anticonformiste. A ne pas manquer !

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#news #cinéma #ciné #film #toile #spectacle #Japon #mystère #source #drame #nature #mywork #mytext

« Le mal n’existe pas » de Ryûsuke Hamaguchi
Une région reculée du Japon où la nature a gardé sa majesté. Un long très long plan sur la canopée d’une forêt de pins. Le silence en point d’orgue. Que du bonheur ! Au loin le bruit d’une cognée, un bûcheron qui coupe son bois. C’est magnifique avec une musique sublime, une photographie digne des grandes estampes japonaises. Mais un projet de « camping-glamour » vient rompre cette belle harmonie. L’inquiétude des résidents sur l’implantation d’une fosse septique qui pourrait polluer la source du village, sur les capacités d’hébergement, le danger sur l’équilibre écologique, sur la perturbation du passage des cerfs… Que du concret, très concret….. Un plan sur le Tokyo des investisseurs, des 4x4 et même du plastique, pour faire comprendre l’ « évolution » des choses. Puis soudain avec la disparition d’une enfant tout devient flou, fou, irréel. Un trou noir, un mystère éprouvant pour le spectateur lambda que je suis. J’en suis restée pantoise, égarée et même perdue. Reste la beauté des paysages, le silence et une musique en communion. Ce n’est pas rien. Je pense ne pas être tout à fait en phase avec la complexité de la pensée japonaise. Mireille MOUTTE

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#news #cinéma #ciné #toile #art #drame #Espagne #naissance #avortement #mort #fuite #solidarité #denuement

O CORNO, une histoire de femmes. Drame, réalisé par Jaione Camborda avec Janet Novás, Siobhan Fernandes, Carla Rivas
On est en Europe mais loin très loin du célèbre « 3 mariages et un enterrement » c’est plutôt 2 naissances et un avortement. Les années 1970 sous l’Espagne franquiste ce qui explique l’ambiance de mort en suspens et de souffrance en viatique qui règne du début à la fin du film.. Certains trouvent une note optimiste dans la dernière naissance, il faut vraiment avoir la confiance chevillée au corps pour se réjouir d’une naissance dans ces conditions de fuite, de dénuement et d’insécurité. La note optimiste, pour moi, est la solidarité des femmes entre elles contre l’adversité.. Janet Novás est magnifique en héroïne du quotidien ! Une piqûre de rappel efficace du désastre de l’extrême droite (fascisme) au pouvoir

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#news #cinéma #ciné #film #drame #réfugiés #sauvagerie #extrêmes-droites #intérêts #humain #détresse #mywork #mytest

Green Border, d’Agnieszka Holland
Un film glaçant, une détresse humaine « loin » des regards. Une zone de non-droit, un no man’s land entre Biélorussie et Pologne. Des réfugiés ballottés d’une frontière à l’autre, escroqués, dévalisés, parqués, traités comme du bétail, pris en otage par des pouvoirs sans scrupules qui exploitent la crise migratoire pour affirmer leurs discours d’extrême droite. Un retour aux pires moments de notre histoire. Un tel mépris de l’être l’humain nous surprend encore et les discours humanistes européens semblent bien loin de ce Green border. Bravo à la réalisatrice qui a su nous mettre face à notre sauvagerie dès qu’il s’agit de « défendre nos intérêts ». Mireille MOUTTE

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#news #cinéma #ciné #film #écran #documentaire #paysans #terre #agriculture #évolution #ferme #entreprise #terres #agricole #agriculture #vie #vaches #culture #mywork #mytex

La ferme des Bertrand de Gilles PERRET

Une ferme en Savoie des années 70 à nos jours. Si vous voulez comprendre l’évolution de l’agriculture dans une ferme d’une centaine de vaches laitières en moyenne montagne, je vous le conseille fortement. Entre Parcours de vie, travail de la terre, gestion d’une entreprise et transmission. Évolution des mentalités dans le travail, dans la vie familiale et sociale. Une démonstration magistrale de 50 ans de révolution dans le monde paysan : Du « travail forcé » du siècle dernier au règne de la mécanique et des robots du monde tel qui va. Passionnant.
Ce n’était pas loin s’en faut mieux avant, mais apparemment suivant les dernières manifestations ce n’est pas la panacée non plus aujourd’hui.

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#news #cinéma #ciné #écran #film #drame #horreur #ordinaire «#sordide #Shoah #nazi #mywork #mytex
L’horreur ordinaire
Je sors du film « La zone d’intérêt » avec la nausée non pas que le film ne remplisse pas son office, mais parce qu’il le remplît au-delà du supportable. Cette famille nazi si ordinaire, si médiocre à deux pas du mur d’ Auschwitz, génocide industrialisé, avec ses problèmes d’intendance, de vacances, de famille, de travail, de jardinage, de couple, nous ressemble tant, vertigineux. J’ai de suite pensé à notre position si confortable à nous aussi par rapport à l’Ukraine, chargée de défendre « jusqu’aux derniers » notre démocratie occidentale. A Gaza détruite pour supprimer des terroristes qui pourraient très bien venir troubler notre belle harmonie. Aux milliers de morts immigrés en Méditerranée, en mer du Nord, aux frontières…..Bien sûr cela se passe à quelques kilomètres de notre « home sweet home » Nous voyons tout ça par le prisme de l’écran de télévision, en spectateurs curieux et attentifs. Mais nous sommes tout autant concernés et impliqués au premier chef par ces massacres.
Dans le film un haut dignitaire nazi dit à un entrepreneur: « Ne vous faites pas du souci tous ne passeront pas par les fours, vous aurez vos ouvriers ». Tout est planifié, sordide, jusqu’au nettoyage du musée de la Shoah qui attend des milliers de touristes. C’est un film d’intérêt national à voir absolument, même par des collégiens.(prévoyez des sacs vomitifs).
Le réalisateur a dit de manière prémonitoire que : « le danger c’était de faire un film d’horreur » À vous de juger.

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#news #cinéma #ciné #film #dramatique #holocauste #Shoah #nazi #nausée #horreur #ordinaire #indifférence
La zone d’intérêt de Jonathan Glazer
Je sors du film avec la nausée non pas que le film ne remplisse pas son office, mais parce qu’il le remplît au-delà du supportable. Cette famille nazi si ordinaire, si médiocre à deux pas du mur d’ Auschwitz, génocide industrialisé, avec ses problèmes d’intendance, de vacances, de famille, de travail, de jardinage, de couple, nous ressemble tant, vertigineux.
J’ai de suite pensé à notre position si confortable à nous aussi par rapport à l’Ukraine, chargée de défendre « jusqu’aux derniers » notre démocratie occidentale. A Gaza détruite pour supprimer des terroristes qui pourraient très bien venir troubler notre belle harmonie. Aux milliers de morts d’immigrés en Méditerranée, en mer du Nord, aux frontières…..Bien sûr cela se passe à quelques kilomètres de notre « home sweet home » Nous voyons tout ça par le prisme de l’écran de télévision, en spectateurs curieux et attentifs. Mais nous sommes tout autantconcernés et impliqués au premier chef par ces massacres.
Dans le film un haut dignitaire nazi dit à un entrepreneur: « Ne vous faites pas du souci tous ne passeront pas par les fours, vous aurez vos ouvriers ». Tout est planifié, sordide, jusqu’au nettoyage du musée de la Shoah qui attend des milliers de touristes. C’est un film d’intérêt national à voir absolument, même par des collégiens.(prévoyez des sacs vomitifs).
Le réalisateur a dit de manière prémonitoire que : « le danger c’était de faire un film d’horreur » À vous de juger.

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#news #cinéma #ciné #film #culture #festival #télérama #drame #déprime #noir #dramatique #mytext
Deux films du festival Télérama vus ces derniers jours :
« The quiet girl » de Colm Bairéad et « Les feuilles mortes » de Aki Kaurismäki. Durs et Oppressants. Ambiance gris/ noir, du lourd, du très très lourd. Pour les feuilles mortes je suis sortie en pensant tout simplement au suicide. L’atmosphère des deux films est angoissante pour l’un, déprimante pour l’autre. Le climat post-soviétique de la Finlande est sans doute très bien rendu, mais relève à mes yeux de l’asile psychiatrique. Vie-travail-amitié englués, piégés dans une simple survie. J’ai cru au début être dans les années 50/60, mais les infos sur la guerre en Ukraine étaient bien contemporaines. L’Irlande n’est qu’un décor, à peine entrevu mais qui plombe largement l’atmosphère. On a froid pour cette petite fille délaissée et pourtant c’est l’été.. Dur, très dur. Aucun espoir à attendre, même le peu d’amour en filigrane est bancal. Si vous êtes sous Prozac à éviter… Mireille MOUTTE

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#news #cinéma #film #ciné #comédie #bucolique #tracteur #paysan #campagne #recherche #mwork #mytext

5 hectares un film d’Emilie Deleuze avec Lambert Wilson, Marina Hands, Laurent Poitrenaux

Comment un parisien chercheur en biologie est amené à chercher un tracteur au fin fond du limousin ou comment un bobo citadin part à la rencontre des aléas paysans. Un voyage initiatique fantaisiste et rafraîchissant d’intégration mécanique jusqu’à la traditionnelle cuite du bal populaire comme ultime consécration. Pas mal.

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#news #cinéma #ciné #film #drame #comédie #Ken-Loach #the-old-oak #amitié #générosité #solidarité

The old oak de Ken Loach, avec Dave Turner : Ebla Mari, Claire Rodgerson

Les films de Ken Loach devraient être remboursés par la sécu tant ils font du bien à l’âme, nous réconcilient à l’Homme, à son humanité généreuse, altruiste. La résistance à l’ignominie est son thème favori, ressassé comme un mantra. Tel son héros TJ, il en faut du courage pour se confronter à son propre destin, sa propre souffrance et malgré tout faire face à l’ignorance, la bêtise, la haine. C’est sûr, l’amitié, la fraternité, la solidarité vaincront l’obscurantisme et l’ignorance et grâce à Ken Loach et son vieux chêne j’y croît encore un peu.

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#news #cinéma #ciné #film #comédie #Yolande-Moreau #fantaisie #humour #poésie
La fiancée du poète de et avec Yolande Moreau
La fiancée du poète, du pirate, du cow-boy, du plombier etc… Une fiancée délicieuse, sensible, rêveuse, une héroïne de conte de fée. Un film onirique pour grands enfants qui croient encore à la liberté, celle de l’imagination galopante, de la fantaisie effrénée, de l’aventure au coin de la rue. Comédie poétique, fantasque, drôle et utopique. Des marginaux accueillis dans le château de la belle aux bois dormant, une parenthèse enchantée d’émotion et de rire. J’ai adoré ce film. Yolande nous enchante à chaque film.

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#news #cinéma #ciné #film #poésie #comédie #fiancée #Yolande-Moreau
La fiancée du poète de et avec Yolande Moreau,
La fiancée du poète, du pirate, du cow-boy, du plombier etc… Une fiancée délicieuse, sensible, rêveuse, une héroïne de conte de fée. Un film onirique pour grands enfants qui croient encore à la liberté, celle de l’imagination galopante, de la fantaisie effrénée, de l’aventure au coin de la rue. Comédie poétique, fantasque, drôle et utopique. Des marginaux accueillis dans le château de la belle aux bois dormant, une parenthèse enchantée d’émotion et de rire. J’ai adoré ce film. Yolande nous enchante à chaque film.

pascal_lamachere@diaspora-fr.org
  • Suite du 30 janvier : Stop, pause. Du moins sur l'histoire au bout du fil. Aparté. Le monde ne va pas s'arrêter sur une injonction. Dommage, car les nouvelles font sensation de gril, ramènent à l'impuissance, de la vanité, face aux préoccupations.

L’impuissance, je pense à une chanson de Daniel Guichard, L'Indien :
https://www.youtube.com/watch?v=aw-uNBwQMRM&list=PL9C4E9847954BBFF4&index=67
celle où l'on constate la répétition de l'histoire, la mort de Palestiniens,
le génocide qui continue dans les élevages et abattoirs,
l'environnement qui continue de se dégrader, tel si au purgatoire.

De la vanité, la mienne, d'une action individuelle dérisoire,
d'écrire de la sorte, de la poussière lancée sur des bulldozers,
alors que de la précarité, que contre des événements, il faudrait pouvoir,
même si qui sait les effets un jour ou l'autre, goutte après goutte, sur l'ère ?

Mais pour les préoccupations, les soucis, il y aurait urgence :
un iceberg géant s'est détaché, bientôt le tour du « glacier de l'apocalypse »,
les machines de guerre ne sont pas prêtes de s'arrêter, alimentées par une terrible essence,
l'horloge de la fin des temps a officiellement été avancée, en serons-nous phénix ? :

28 janvier : la fin du monde : https://www.youtube.com/watch?v=UZvzYOfxKLA

Demain, en France, il y a de nouveau une grève générale officielle,
et quand je lis les messages du directeur de l'institut d'urgence climatique : https://twitter.com/PCarterClimate
que le Capitalocène est sur sa lancée, que les médias de masse en font le jeu, selon des critiques,
je crains que les oppositions et in fine tous n'aient d'autre destin qu'une fin cruelle.

Ceci écrit, quelques réflexions en vrac :

  • Sur Facebook, quand vous partagez du contenu abordant le dérèglement climatique, la publication se retrouve associée à un « Découvrez dans quelle mesure la température moyenne change dans votre région », qui peut-être considéré comme une façon de sensibiliser les chauvins, mais cultive de l'individualisme, et une forme d'inconscience que le problème doit être pensé au niveau planétaire, et que la solution est collective, ne peut venir d'un seul pays, quand bien même il serait écologiquement exemplaire. Ce qui est déjà une bonne chose, mais les pays qui seraient les moins impactés dans l'immédiat n'en devraient pas faire pour autant aucun effort. Sans compter que les publications associées n'abordent pas forcément ce qui pourrait faire solution du point de vue holistique ;

  • Le 19 janvier a été partagé un lien vers une thèse qui évoque que cela fait plusieurs décennies que des gens savaient qu'il y avait péril, un dérèglement climatique lié à l'activité humaine, l'utilisation des énergies fossiles. Je le remets là : Traduction française de la transcription de l’épisode 35 du podcast « Revolution now ! » de Peter Joseph (après la vidéo) : https://www-revolutionnow-live.translate.goog/episodes/episode34-staycationing-9jlk7-kbr23-98fgl-fngdf-jn9pp-zsp5y-mzpbc?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp

A savoir que la traduction automatique de google ne traduit pas complètement certains passages, pour une traduction complète, traduire à partir de l’article d’origine : https://www.revolutionnow.live/episodes/episode34-staycationing-9jlk7-kbr23-98fgl-fngdf-jn9pp-zsp5y-mzpbc

de quoi se demander si ils pensaient ne pas être trop impactés dans leurs régions, ou pensaient pouvoir se mettre à l'abri dans une des régions qui seraient les moins impactées si ils seraient encore en vie quand les effets deviendraient de plus en plus délétères ;

  • J'ai lu certains articles de médias indépendants argumenter à propos contre la « réforme » des retraites, mais leurs revendications m'ont semblé de l'ordre d'un « progressisme mou », méconnaissant probablement les idées de Bernard Friot et du réseau salariat, le débat autour des notions de travail et d'emploi. Sans cette remise en question, on peut penser que cela revient à faire le jeu du statu quo. Sans vouloir donner des idées, un gouvernement sournois, « malin », stratégique, pourrait jouer dessus s'il souhaite mettre des bâtons dans les roues pour limiter le « progressisme » et empêcher la concrétisation d'idées révolutionnaires. Car sans cette remise en question et des revendications révolutionnaires, impression que plus qu'un 49.3, des réformes impopulaires provoquent des oppositions où les idées révolutionnaires sont mises de côté pour des revendications de « changement sans rien changer », ou trop peu par rapport à ce que certains considèrent les enjeux de notre époque.

J'ai divers docs à partager à ce propos. Bernard Friot avait fait une vidéo où il exprimait sa philosophie sur la notion de travail et d'emploi, une conférence « A quoi je dis oui », et il y a des articles de Frédéric Lordon : https://blog.mondediplo.net/-La-pompe-a-phynance-
Et cetera.

Si vous manquez de temps, ce n'est pas ce qui synthétise le mieux les idées, mais je vous suggère de lire : Les artistes sont aussi des travailleurs — discussion avec Convergence des Luths [1/2] : https://www.revue-ballast.fr/convergence-des-luths/

Une histoire politique de la musique classique — discussion avec Convergence des Luths [2/2] : https://www.revue-ballast.fr/une-histoire-politique-de-la-musique-classique-discussion-avec-convergence-des-luths-2-2/

  • Concernant le souci pour les animaux, il y a de la doc et des programmes pour faciliter l'adoption d'un régime végan avec des conseils nutritionnels, mais déjà partagé de ceux-ci si vous avez pris le temps de consulter des liens partagés, et puis il y a aussi le souci systémique : Jérôme Segal : « Qui sont les animaux ? », à propos du souci économique, écologique, politique et éthique, de la cause animale, la cause palestinienne, un article où est abordé la critique de la part de certains et l’intérêt du véganisme antispéciste anticapitaliste : https://www.revue-ballast.fr/jerome-segal-qui-sont-les-animaux/

Zoopolis — penser une société sans exploitation animale : https://www.revue-ballast.fr/zoopolis-penser-une-societe-sans-exploitation-animale/ ;

 

 

 
 
 
 

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« À plein temps » , Réalisateur  Eric Gravel avec Laure Calamy. Un film d’action s’il en est, à 130 à l’heure, digne d’un « James Bond » de banlieue. Pour résumé en quelques mots : Une vie de merde, dans un environnement de merde, un travail de merde, avec des gens cons, la totale. Heureusement les enfants sont là…….pour partager tout ça. Pas un instant pour se poser, souffler, réfléchir…..rêver (5 minutes en tout et pour tout) et la touche finale d’ »espoir » glaçante.…. un autre travail dans un grand groupe du secteur alimentaire me semble bien mal engagé au point de vue gestion du temps libre. Un seul bémol le scénario a inutilement intensifié ou exagéré, certaines situations, notamment celle du licenciement, un brin invraisemblable. Ce n’était pas utile pour ajouter à la déprime déjà bien installée. On sort de là épuisés, hébétés, lessivés, saoulés. Une envie de hurler, de tout casser, pour l’instant refoulée. Très bon film, au rythme haletant, révélateur de nos temps effrénés, hystérisés, d’une femme au bord de la crise de nerf ou comment perdre sa vie à la gagner. Depuis 1973, elle court, elle court toujours plus loin la banlieue ! Jusqu’à quand comme ça ! Excellente interprétation de Laure Calamy. Courez-y …..