#rencontre

econolibre@diasp.eu

C'est demain !!!
Le Ǧmarché avec fruits et légumes en 100% junes.
Toutes les quinzaines ;
(tomates, pommes de terre, oignons, carottes, raisins, betteraves, aubergines, radis, œufs, savons, fromage, vin, etc...)
(l'étalage dépend de la saison)

Un couple de producteur volailler (qui nous apporte entre 150 et 250 œufs par mois et volaille suivant saison)
et ce printemps un producteur céréalier/meunier qui nous apportera de la farine, de l'huile, du pain, des pâtes et des biscuits.

#monnaielibre #Ğ1 #gmarche #rencontre #Apero #Lauragais #June

angeliqueandthehord@joindiaspora.com

LÂCHÉE DANS CESSON

Quand je revins de colonie, Caki et Nani étaient chez leurs correspondants étrangers. Mon père travaillait mais nous étions quand même en vacances à Cesson. La maison étant à proximité de la gare, mon père pouvait aller au bureau à Paris et rentrer le soir à Cesson. Ça le faisait juste rentrer à la maison plus tard que quand nous étions à Courbevoie.
Donc, mes journées, je les passais à Cesson, avec ma mère. J'étais super contente d'être à Cesson, dans une grande maison, avec un grand jardin. En plus, ma mère était tellement gentille qu'elle avait même acheté de quoi s'occuper : plein de fleurs en pots et des graines pour pouvoir s'adonner à son plaisir de jardiner et… c'est tout. Rien pour moi. C'est ça, le problème, avec ma mère : elle avait beaucoup de gentillesse mais n'en faisait profiter qu'elle-même.
Suis-je mauvaise langue ? Elle estimait que je n'avais pas besoin qu'on m'achetât de nouvelles choses parce que j'avais déjà bien assez, pour m'occuper, avec les vieux jouets de mes frère et soeur. C'est vrai que j'avais un vieux portique, un vieux vélo, des vieilles petites voitures, des vieilles billes…
À quoi ça sert, les billes ? On peut rien faire avec. C'est nul.
J'avais juste un joli ballon, tout neuf, que j'avais vu au trucoprix et que ma mère avait bien voulu m'offrir pour mes sept ans. En un an, il n'avait pas pris une égratignure ; il était toujours tout beau, tout brillant. Et pour cause ! Personne n'avait jamais voulu y jouer avec moi, personne n'avait jamais voulu m'apprendre à y jouer.
Finalement, à Cesson, mon ballon à deux balles, c'était mon seul bien, mon seul jouet beau et attrayant, la seule chose avec laquelle j'avais envie de jouer et je ne pouvais pas parce qu'un ballon, c'est fait pour jouer à plusieurs.
Bref, j'allai voir ma mère et la trouvai accroupie au fond du jardin, creusant gaiement la terre.
« Maman je m'ennuie.
- Eh ben, va t'faire une copine. »

Hein ?! J'avais passé trois ans - maternelle, cours préparatoire et CE1 - à l'école, entourée d'enfants, sans jamais réussir à me faire une copine ; je venais de passer trois semaines en colonies de vacances sans jamais parvenir à me faire la moindre copine ; et là, dans un jardin où il n'y avait que ma mère et moi, comme elle me voyait sur le point de lui reprocher encore d'avoir pris une activité de vacances pour elle et pas pour moi, elle me sort une copine de son chapeau !
« Eh ben, va te faire une copine !
- Comment faut faire ?
- Prends ton vélo, va dans les Castors ! Et quand tu vois une fille dans son jardin, tu t'approches et tu lui dis : "j'peux jouer avec toi ?" »

Ma mère me livra ce mode d'emploi sans même me regarder, sans lever le nez de sa terre. Moi, qui étais debout derrière elle, je partis sur la pointe des pieds, enfourchai mon vélo et m'enfuis à toute vitesse. Quand mère poule est d'humeur à lâcher son poussin, il ne faut pas se le faire dire deux fois.
Arrivée à l'angle de la rue de Paris - là ! elle était là, la fille, dans son jardin - je la vis. Elle était brune, les cheveux courts. Elle avait l'air tranquillement occupée, elle avait l'air… de n'avoir pas besoin de moi.
Et voilà que ma timidité reprenait le dessus ! Comment cette fille pouvait-elle devenir ma copine si je passais mon chemin sans m'arrêter, sans lui parler ? Je m'efforçai de ralentir. Je voulus l'appeler, lui dire la phrase que ma mère m'avait apprise :
« J'peux jouer avec toi ? »
mais les mots restèrent coincés dans ma gorge. Ça ne sortait pas. Je n'osais pas. Je ne le sentais pas. Je n'avais pas tant peur d'être rejetée que te déranger.
Non, pas elle.
Et voilà, j'étais passée devant son jardin sans m'arrêter. J'avais raté et je m'en voulais. Je montai la rue de Paris en me reprochant mon échec mais je ne voulus pas revenir en arrière.
La prochaine ! La prochaine que j'vois dans son jardin, je lui demande. Elle, c'était trop tôt, j'étais pas prête.
Je tournai à gauche, dans la longue et sinueuse rue des jonquilles en me répétant toujours et encore :
« J'peux jouer avec toi ? J'peux jouer avec toi ? »
mais tous les jardins étaient déserts.
Ys sont tous partis s'cacher ou quoi ?
Enfin, passé un tournant, je vis une fille qui… n'était pas dans son jardin. Elle sautait à la corde sur le trottoir. Elle avait de longs cheveux châtain foncé tirant sur le roux, attachés en queue de cheval.
Étonnamment, mon vélo fonça droit sur elle sans que rien ne le retînt. Arrivée à sa hauteur, je serrai les freins et récitai la réplique de ma mère, apprise par cœur :
« J'peux jouer avec toi ?
- Oui. »

répondit-elle joyeusement.
Elle jeta sa corde à terre, ouvrit le portail derrière elle, pris un vélo posé non loin et vint se promener avec moi, ne serait-ce que le temps de faire les présentations. Plus tard, nous jouâmes mais Françoise, elle était comme ça : quand il y avait à discuter, elle aimait le faire en pédalant.


SEX AND DESTROY un nouveau son rock ?
2ème partie : LA PRINCESSE DANS LE DONJON
Chapitre 13 : L'épreuve de la séparation
section 2 sur 20


#mère #vacances #été #rencontre #Cesson

econolibre@framasphere.org

Viendez vous libérer !
et apprendre comment nous créons notre nouvelle économie !

Viendez vous libérer,
et découvrir comment nous nous libérons, par l'autonomie et l'indépendance.

aujourd'hui de 19h à 22h en auberge espagnole,
chacun apporte sa nourriture informative...

la visio Econolibre de 19h à 22h sur:
https://kmeet.infomaniak.com/econolibre (cliquez sur le lien, qui s’ouvre dans votre navigateur)

#monnaielibre #june #G1 #monnaie #visio #econolibre #rencontre

econolibre@framasphere.org

Viendez vous libérer !
et apprendre comment nous créons notre nouvelle économie !

C’est maintenant en auberge espagnole

même sur votre smartphone, les doigts de pieds en éventails dans le sable chaud ;-)

la visio Econolibre de 19h à 22h sur:
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#monnaielibre #june #G1 #monnaie #visio #econolibre #rencontre

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En finir avec les pesticides : les têtes de listes bretonnes interpellées par les collectifs de victimes

Cinq candidats à la région Bretagne disent vouloir sortir des pesticides entre 2026 et 2040. Mais le manque d’accès aux fonds européens, repris aux régions par l’État, et la main mise des lobbies risquent de compliquer les choses.

La sortie des pesticides n’est plus un tabou en Bretagne, première région agricole de France. Mais pour quand ? La question a été posée aux candidats aux #regionales2021, lors d'une rencontre organisée par le collectif de soutien aux victimes des pesticides de l'Ouest. Décryptage. https://www.bastamag.net/Sortie-des-pesticides-elections-regionales-tetes-de-liste-en-Bretagne-EELV-LFI-Loig-Chesnaie-Girard-Thierry-Burlot-Claire-Desmares-Poirrier

#Bretagne #ElectionsRegionales #Pesticides #PolitiqueAgricoleCommune #Agriculture #AgricultureBiologique #Santé #SantéEnvironnementale #Environnement #Climat #Alimentation #AgricultureIntensive #Lobbying #Lobbies #FNSEA #Politique #StopPesticides #MaladieProfessionnelle #Meeting #Rencontre #Debat

bookinalex@framasphere.org

Je fais passer l'info. "Vous êtes un acteur de la vie culturelle de notre territoire, c'est pourquoi nous nous permettons de vous contacter. Sensibles aux problématiques artistiques et culturelles, nous sommes quelques conseillers municipaux de Jujurieux et Neuville-sur-Ain à nous être lancés dans l'idée de faire vivre une dynamique culturelle commune sur notre territoire. Nous nous sommes dits que joindre nos forces en travaillant ensemble nous permettrait de bâtir un projet d'envergure ; c'est pourquoi nous avons décidé de tenter l'aventure d'un événement culturel d'une journée, le dimanche 25 août prochain sur nos deux communes. Nous avons l'ambition de proposer un événement familial, accessible au plus grand nombre et permettant la découverte d'un panel artistique très ouvert allant de la sculpture à la peinture, du graff au slam, en passant par le rap alternatif, le théâtre, la danse, la mozaïque, la musique populaire...
Nous avons déjà imaginé les grandes lignes de cette journée, cependant, celle-ci est bien loin d'être ficelée. Nous souhaiterions vivement que les artistes de notre territoire ou de territoires voisins puissent apporter leur pierre à l'édifice. C'est pourquoi nous vous convions le samedi 2 février 2019 à 10h00 à la Maison des sociétés à Neuville-sur-Ain (allée des Tilleuls, à côté des courts de tennis et à proximité du pont) afin de vous présenter l'esquisse du projet, que vous puissiez nous faire part de vos réactions et nous dire si vous souhaitez participer à l'événement.
Dans le cas où vous seriez intéressés mais ne pourriez être présents le 2 février, n'hésitez pas à nous faire une petite réponse par mail à perdrix.caroline@laposte.net. Nous pourrons ainsi vous envoyer le compte-rendu de cette rencontre ainsi que continuer à vous transmettre les informations concernant la mise en place de l'événement.
N'hésitez pas à me contacter également pour toute demande de renseignement complémentaire.
En espérant que notre proposition retiendra toute votre attention et que nous nous retrouverons nombreux le 2 février prochain !
Pour la Commission porteuse de l'événement,
Caroline Perdrix
Conseillère municipale à Neuville-sur-Ain"
#ain #rencontre #invitation #neuvillesurain