#tolkien

rhysy@diaspora.glasswings.com

The Cosmology of Middle Earth, part four

In this penultimate post, I look more the landscape of Middle Earth on rather larger scales which feel more symbolic and less literal. We start to see some of the theological issues Tolkien attempted to address and why it was more important the narrative preserve moral consistency at the expense of the physics. Simply put, Middle Earth does not operate on physical laws. In hard sci-fi physics is everything, over and above anything as mundane as "character development". In Middle Earth it's morality, likewise prioritised over realism. Beings and places may take on physical attributes but this is no more than a garment for a deeper, underlying substance. And I look at how Tolkien uses myth to explain why we're all so afraid of the dark.

In the final part I'll move to the cosmos proper and examine how Tolkien's morality pervades the whole of his imagined reality.

#Fantasy
#SciFi
#Tolkien

https://astrorhysy.blogspot.com/2022/10/the-cosmology-of-middle-earth-iv-world.html

rhysy@diaspora.glasswings.com

The Cosmology of Middle Earth, part three

Moving towards larger scales and more dramatic events in this one by looking at how the landscape in Middle Earth reflects the morality of its inhabitants. The land doesn't shape the people, the people shape the land. The Greenwood only falls into darkness because of Sauron, and Mirkwood returns back to its former status when he is defeated. Lothlorien is enriched by the elves, it isn't inhabited by them because it's already an especially nice place to live. And this is true not just for the landscape, but cities too, with Minas Morgul only becoming a haunted city when captured by the dark powers. Moreover, there are distinctly non-physical aspects to how this works : the trees in the Old Forest don't (at first) move, but something conspires to direct the hobbits in a particular direction; the Orcs don't need to carve ugly statues to defile Minas Ithil. Going back to earlier ages we have the spectacular destruction of Numenor and the raising of mountains. I look at how the ambiguities Tolkien leaves in the narrative demand that we fill in the blanks based on emotions, not intellectual speculations as to what physically occurred.

In the final two parts I'll look at cosmology proper : Arda as a whole and its position in the cosmos.

#Fantasy
#SciFi
#Tolkien

https://astrorhysy.blogspot.com/2022/10/the-cosmology-of-middle-earth-iii-land.html

rhysy@diaspora.glasswings.com

The Cosmology of Middle Earth, part two

People deriding fantasy as being escapist must be very fortunate in never having anything they need to escape from. Weird people. Weird, lucky people...

Anyway, in this second part I go up ever so incrementally in scale to look at some of the characters inhabiting Middle Earth : Luthien, dragons, monsters and hobbits. I begin to look at some of the deliberate ambiguities Tolkien introduces to introduce a sense of mythic power and touch on the larger forces at work, and how merely being monstrous is not enough, in Tolkien's world, to be considered truly evil. I also return to some further examples of how Tolkien's tales are not the black and white simple fairy stories they're often made out to be. There are cases when it's clear cut, deeper forces shaping the moral cosmos Tolkien presents, and these are crafted with fiendish attention to consistency - but often the case is far more complex and more real.

But these first two parts are rather small-scale affairs. The remaining sections will look at the grander themes more directly.

#SciFi
#Fantasy
#Tolkien

https://astrorhysy.blogspot.com/2022/10/the-cosmology-of-middle-earth-ii-men.html

legeneralmidi@diaspora.psyco.fr

Comment Tolkien a Ă©crit "Le Seigneur des anneaux"

#CamilleRenard

J.R.R. Tolkien, vĂ©nĂ©rable professeur mĂ©diĂ©viste Ă  Oxford, a mis 17 ans Ă  Ă©crire, la nuit sur son "temps volĂ©" et pour ses enfants, l'une des Ɠuvres les plus vendues et lues au monde aujourd'hui : "Le Seigneur des anneaux". Voici les secrets de sa fabrication, en images, analysĂ©s par Vincent FerrĂ©.
"Le Seigneur des anneaux est pour Tolkien une sorte de monstre, de rĂ©Ă©criture d’un mythe personnel dans lequel il a mis une grande partie de sa vie et de son cƓur." Comment J.R.R Tolkien s'y est-il pris pour crĂ©er "Le Seigneur des anneaux", qui inaugure tout un genre, la "fantasy" ? Alors qu'une grande exposition est consacrĂ©e Ă  l'univers de Tolkien Ă  la BibliothĂšque nationale de France, plongez-vous dans les secrets de fabrication de cette Ɠuvre unique en quatre grandes leçons, images exceptionnelles Ă  l'appui, et grĂące Ă  l'analyse Ă©clairĂ©e du professeur de littĂ©rature comparĂ©e Vincent FerrĂ©, spĂ©cialiste de Tolkien.
1- Ecrire pour ceux qu'on aime : ses enfants, ses amis
Quand le Seigneur des anneaux paraĂźt en 1954, J.R.R Tolkien a 62 ans. Il a mis 17 ans Ă  l’écrire, la nuit, sur ce qu’il appelle son “temps volĂ©â€. À l’origine, J.R.R Tolkien, honorable professeur de littĂ©rature mĂ©diĂ©vale Ă  Oxford n’écrit des histoires que pour ceux qu’il aime : ses enfants, ses amis.
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Vincent FerrĂ©, professeur de littĂ©rature comparĂ©e : "Tolkien invente des histoires pour ses enfants. Par exemple Roverandom pour consoler son fils qui a perdu un jouet. Il a une facilitĂ© extraordinaire Ă  inventer des dĂ©buts d’histoires en mobilisant son savoir et ses connaissances en matiĂšre de littĂ©rature mĂ©diĂ©vale. Lorsque le Seigneur des anneaux commence Ă  naĂźtre en 1937, son fils Christopher a 13 ans. C’est son auditeur privilĂ©giĂ©. Christopher a relu les Ă©preuves du Hobbit en cherchant les coquilles, en 1937, et c’est Ă  lui que le Seigneur des anneaux va ĂȘtre envoyĂ© par feuilleton, lorsqu’il commencera un apprentissage pour devenir pilote dans la Royal air force, Ă  19 ans.
Retrouvant au pub son groupe d’amis Ă©crivains, dont C.S. Lewis, l’auteur du “Monde de Narnia”, et poussĂ© par leurs encouragements, Tolkien leur lit rĂ©guliĂšrement des chapitres du Seigneur des anneaux. "Il Ă©crit Ă©galement en ayant en tĂȘte les lecteurs du Hobbit qui ont grandi et qui ont Ă©tĂ© trĂšs nombreux Ă  lui demander des prĂ©cisions sur le monde des Hobbits. On voit de nombreuses lettres oĂč il rĂ©pond aux lecteurs, par exemple sur la coutume des cadeaux chez les Hobbits.

2- Commencer par dessiner une carte
Le #Hobbit, Ă©ditĂ© presque par accident, a connu un immense succĂšs auprĂšs des enfants. Puisque ses fils ont grandi avec, Tolkien Ă©crit la suite pour les adultes avec Le Seigneur des anneaux. Le romancier veut parallĂšlement poursuivre une mĂȘme oeuvre commencĂ©e en 1916 Ă  son retour des tranchĂ©es, malade et traumatisĂ© par la guerre : Le #Silmarillion, une histoire en poĂ©sie et en prose des #elfes, des #nains, de la crĂ©ation du monde, inspirĂ©e des lĂ©gendes nordiques mĂ©diĂ©vales : "Tolkien a inventĂ© tout cet univers, et l’histoire de l’anneau ne se situe qu’en 3 018 - 3 019 du IIIe Ăąge."
Comme il ne sait pas trĂšs bien par oĂč commencer, et quoi dire aprĂšs le rĂ©cit du Hobbit, Tolkien dĂ©cide de commencer cette nouvelle histoire d’abord en dessinant une #carte.
"Il faut savoir que l’imaginaire visuel est fondamental chez #Tolkien. DĂšs sa jeunesse, il a Ă©tĂ© sensibilisĂ© au dessin, Ă  la calligraphie, Ă  la peinture, par sa mĂšre, Mabel, qui meurt quand il a 12 ans. Et petit Ă  petit, un imaginaire mental s’impose dans ses #aquarelles et ses dessins : un paysage de “fantasy” comme il dit. Cet univers va petit Ă  petit donner naissance Ă  la Terre du milieu, le dĂ©cor du Hobbit et du #SeigneurdesAnneaux . Cette Terre du milieu, c’est un peu comme si on la parcourait avec les personnages. Comme si Tolkien nous racontait en historien des aventures qui se dĂ©roulent dans un dĂ©cor qu’il crĂ©e au fur et Ă  mesure. Il explique qu’il a vu surgir des bois de L'Ithilien, un personnage, #Faramir, qui s’est imposĂ© dans le rĂ©cit alors qu’il n’était pas prĂ©vu. Tolkien va mĂȘme jusqu’à faire des croquis ou Ă  dessiner le dĂ©cor de telle scĂšne sur le manuscrit mĂȘme oĂč il est en train d’écrire un chapitre. Le plus souvent, il rĂ©Ă©crit plusieurs fois, et on voit que ses #manuscrits sont Ă©crits au crayon Ă  papier, Ă  l’encre noire, Ă  l’encre rouge, au crayon de couleur bleu, au crayon de couleur rouge. Il porte plusieurs strates, comme un palimpseste mĂ©diĂ©val. Il cherche la bonne expression, le bon ton, le bon rythme."_

3- Inventer des langues pour crédibiliser le merveilleux
Langues elfiques, langue des #Ent, noir parlĂ© du #Mordor
 des dizaines de langues sont parlĂ©es dans son monde inventĂ© : "Il faut savoir que la crĂ©ation des langues est Ă  l’origine du Seigneur des anneaux et d’une grande partie de la crĂ©ation littĂ©raire de Tolkien. Depuis son enfance, Tolkien invente des langues. D’abord pour communiquer, sans ĂȘtre compris des adultes. Puis pour lui-mĂȘme. Parce qu’il aime inventer des langues, comme d’autres aiment composer des morceaux de musique. TrĂšs vite, quand il Ă©crit le Seigneur des anneaux_, les langues imaginaires servent Ă  rendre singulier chaque peuple. Avec une graphie, un vocabulaire, une grammaire, une prononciation, qui Ă©voluent au fil du temps et en fonction des rĂ©gions oĂč sont parlĂ©es les langues. Il souhaite que les lecteurs entrent dans l’histoire. Et puisque ces lecteurs sont avant tout des adultes, il souhaite que les lecteurs suspendent leur incrĂ©dulitĂ©. Donc Tolkien a voulu nous aider Ă  entrer dans une histoire, dans lequel le merveilleux est prĂ©sent mais discret. Afin de nous aider Ă  mieux percevoir notre monde rĂ©el, par le prisme de cet univers merveilleux qu’il a inventĂ©. _
Tolkien explique que le Seigneur des anneaux lui a demandĂ© une Ă©nergie considĂ©rable. Et qu’il y a mis toute sa vie. Il explique qu’au moment de la publication c’est son cƓur qu’il expose au public. Et qu’il a peur de livrer son cƓur aux lecteurs. Et aprĂšs la parution, Tolkien va beaucoup Ă©changer avec des lecteurs pour leur expliquer que le cƓur du rĂ©cit, ce n’est pas tant l’anneau et la rĂ©flexion sur le pouvoir, que peut-ĂȘtre cette rĂ©flexion sur la mort et la mortalitĂ©, portĂ©e dans le rĂ©cit de maniĂšre implicite par le fait que les hĂ©ros sont des humains, “mortels”, “destinĂ©s au trĂ©pas” dit le poĂšme de l’anneau. Et vient aux hommes le temps d’agir, et de prendre en main le destin de la Terre du milieu, qui est notre Europe, il y a des milliers d’annĂ©es."

4- Ne pas craindre une longue #épopée avant de rencontrer le succÚs
Mais le succĂšs, le Seigneur des anneaux ne le connaĂźt que 10 ans aprĂšs sa parution, de l’autre cĂŽtĂ© de l’Atlantique, dans une version poche pirate diffusĂ©e aux États-Unis : "Et lĂ  sur les campus amĂ©ricains, le Seigneur des anneaux devient un livre de rĂ©fĂ©rence. Parce qu’il raconte, au-delĂ  de l’aventure de l’anneau, l’histoire de peuples qui dĂ©fendent leur libertĂ©, et qui luttent contre l’oppression et la guerre.
Donc Le Seigneur des anneaux va devenir le livre d’une gĂ©nĂ©ration, au prix d’une lecture trĂšs Ă  gauche, qui est une lecture tout Ă  fait possible et conforme au texte. Mais qui pourra surprendre l’auteur, qui lui-mĂȘme est anglais, vit Ă  Oxford, dans un milieu trĂšs diffĂ©rent de sa rĂ©ception. Ce qui est frappant, c’est que Tolkien, depuis sa publication dans les annĂ©es 1950, n’a cessĂ© d’ĂȘtre redĂ©couvert, dans toute son Ɠuvre. Et on voit que chaque gĂ©nĂ©ration y trouve une maniĂšre de rĂ©flĂ©chir Ă  des enjeux qui sont nouveaux."

#FranceCulture #France-Culture #podcast #baladodiffusion #littérature #fantastique

m-j-revenge@diaspora.psyco.fr

Fingolfin - Der mÀchtigste Elbenkönig Mittelerdes

https://www.youtube.com/watch?v=qYm7DcAFtb0
Einer meiner Lieblingscharaktere aus dem Buch: ↳ Das Silmarillion von ↳ J. R. R. Tolkien. <3
Toll gemachtes Video, nicht nur fĂŒr Fans. Mehr von den Machern dieses Videos zum Thema #Mittelerde auf deren YT-Seite: ↳ Mythen aus Westernis. Sehr interessant. 👍

#Tolkien #Silmarillion #Fingolfin #Noldor #Buch #Geschichte #YouTube #Video #Ardapedia #Wikipedia â˜źïž

m-j-revenge@diaspora.psyco.fr

"It's like in the great stories, Mr. Frodo. The ones that really mattered. Full of darkness and danger they were. And sometimes you didn't want to know the end
 because how could the end be happy? How could the world go back to the way it was when so much bad had happened? But in the end, it’s only a passing thing
 this shadow. Even darkness must pass." (Samwise Gamgee) ― J.R.R. Tolkien, The Two Towers

Lord of the Rings | Middle Earth Music & Ambience, 3 Hours

https://www.youtube.com/watch?v=CahOLfYxiq0

#JRRT #Tolkien #LOTR #LordOfTheRings #Hobbit #Music #Musik #Musique #Orchestra #YouTube #Playlist #Video #Photo #MyPhoto #Wikipedia

miguela@diaspora.psyco.fr

J.R.R. Tolkien

Le Silmarillion

Le Silmarillion est un des grands textes de la littĂ©rature mondiale, toutes Ă©poques et genres confondus : la puissance de son acte crĂ©atif ne trouve d’échos que dans des entreprises mythologiques (l’Iliade et l’OdyssĂ©e, les MĂ©tamorphoses, la matiĂšre de Bretagne, l’Edda, le Kalevala) qui ne sont pas l’apanage d’un seul crĂ©ateur. Car chez Tolkien, si l’écriture ne saurait ĂȘtre nĂ©gligĂ©e, c’est bien la force prolifĂ©rante de son inventivitĂ© qui impressionne et saisit : s’il importe peu de savoir si Tolkien crĂ©e ou non la fantasy, c’est parce qu’aucun des auteurs de fantasy qui l’ont prĂ©cĂ©dĂ© ou l’ont suivi n’ont jamais pu approcher sa capacitĂ© subcrĂ©ative – la subcrĂ©ation ou crĂ©ation secondaire Ă©tant pour Tolkien l’enjeu de la littĂ©rature. Ce que Tolkien donne Ă  la littĂ©rature et Ă  l’imaginaire humain ne s’apprĂ©hende pas dans les termes habituels que la littĂ©rature propose : il est peut-ĂȘtre le premier, par son ampleur, Ă  nous dire que la littĂ©rature peut dire son importance par sa capacitĂ© d’invention fictionnelle — d’oĂč la mĂ©prise et le mĂ©pris dont on a pu faire preuve Ă  son encontre, quand on n’a pas su le lire ni comprendre son intĂ©rĂȘt. Ce que Tolkien apporte, c’est une matiĂšre entiĂšrement neuve, entiĂšrement saisissable et prĂ©hensible : matiĂšre certes recomposĂ©e par des lectures (mythes, folklores et contes innervent son monde) mais qui nous apparaĂźt dans un surgissement auto-gĂ©nĂ©rateur qui se passe trĂšs vite de ses sources pour s’autoalimenter dans un geste toujours fertile, et qui n’a aucun Ă©gal Ă  ce jour.

#art, #illustration, #Tolkien, #livres, #Ted-Nasmith

mjcarman@pluspora.com

A recent article revisiting Éowyn's "I am no man" line from the 2003 film The Lord of the Rings: The Return of the King reminded me how much I absolutely hated that scene. (You needn't bother reading the article. It's a fluff piece.) If someone had never read the books — especially if that person was a young girl longing for strong female characters — I could understand how they might watch the scene and excitedly think, "Wow! Éowyn is a bad-ass!" And she is. She absolutely is, but the theatrical adaptation doesn't begin to do her justice.

It's practically a clichĂ© to say that the book is better than the movie but it's excruciatingly true here. The chapter the scene is taken from, The Battle of the Pelennor Fields, is masterfully written and contains some of my favorite passages in all of Tolkien's works. It's written from Merry's perspective. The Witch King, having struck down ThĂ©oden, finds Éowyn (disguised as Dernhelm) standing in opposition:

"Hinder me? Thou fool. No living man may hinder me!"

Then Merry heard of all sounds in that hour the strangest. It seemed that Dernhelm laughed, and the clear voice was like the ring of steel.

I've read that passage a hundred times and it makes my breath catch in my throat every damned time. The situation is bleak and dire but suddenly you know that something monumental is imminent.

"But no living man am I! You look upon a woman. Éowyn I am, Éomund's daughter. You stand between me and my lord and kin. Begone, if you be not deathless! For living or dark undead, I will smite you, if you touch him."

Seemingly alone, hopelessly outmatched, and utterly terrified by the Lord of the Ringwraiths — a fell creature who literally wields fear as a weapon — Éowyn is nevertheless unflinchingly defiant.

Also absent from the film is Merry's reaction:

Éowyn it was, and Dernhelm also. For into Merry's mind flashed the memory of the face that he saw at the riding from Dunharrow: the face of one that goes seeking death, having no hope. Pity filled his heart and a great wonder, and suddenly the slow-kindled courage of his race awoke. He clenched his hand. She should not die, so fair, so desperate! At least she should not die alone, unaided.

It's a deeply moving scene. Éowyn and Merry are the very embodiment of courage in the face of an overwhelming threat. These are strong characters, written and presented well. "I am no man!" would be a punchy one-liner in a mindless action flick. Here it's a wan, childish imitation of one of the most powerful and evocative scenes in the entirety of The Lord of the Rings.

#tolkien #LotR #adaptation #feminism