#chapelle

guillemette@diasp.org

Une exposition dans une chapelle, ça sort de l'ordinaire !

111 artistes exposent et vendent grùce à l'association les 111 des arts au profit de la recherche médicale sur les cancers de l'enfant.

Une sacrĂ©e organisation, une trĂšs grande variĂ©tĂ© de styles, dans un bĂątiment incroyable, faut y aller 😁

Ouvert de 10h Ă  20h encore jusqu'Ă  dimanche 20 novembre Ă  l'hĂŽtel dieu Ă  Toulouse.

#exposition #expo #peinture #sculpture #collage #photographie #artiste #art #chapelle #hoteldieu #toulouse #association #caritatif #aquarelle #pastel #techniquesmixtes #artist #exhibition

lizzischmidt@pod.geraspora.de

today a bit late with my Sundaygimp, but still in time ;-)

""Chapel on the outskirts""

the rules of the game are simple - choose a photo (preferably your own), edit with gimp and tag #sundaygimp on a Sunday ;-) 
 and follow the tag.

#sundaygimp

(and also #Sunday-photo-edit )

Note: if you do not use gimp, but still want to play along, just use the tag #Sunday-photo-edit and edit the images with your favorite image editor

#AB, #AB-SG, #AB-05-22, #08-05-22, #gimp, #Sundaygimp, #Kapelle, #Ortsrand, #chapel, #outskirts, #Chapelle, #Périphérie, #Baum, #Arbre, #tree, #arbre, #tree, #Kunst, #Art, #Bildbearbeitung, #Bildmanipulation, #manipulation-de-photos, #image-editing, #retouche-d-image, #photo, #Foto, #myphoto, #mywork (CC BY-NC-SA 4.0)

otopteryx@diaspora-fr.org

Des arbres qui marchent

Je recommande cette petite série de 8 épisodes dont voici le premier

https://youtu.be/ERHge4r3Vns

"Des Arbres qui marchent » est une sĂ©rie vidĂ©o en huit Ă©pisodes (d’environ 35 minutes chacun) qui propose un parcours de sens en huit Ă©tapes pour changer de regard, mobiliser des ressources intĂ©rieures et avancer dans un monde qui bascule.

Suite Ă  une demande du Mouvement pour un Monde Meilleur, le rĂ©alisateur Pierre-Paul Renders s’est lancĂ© dans une dĂ©marche personnelle basĂ©e sur ses prĂ©occupations citoyennes, ses lectures, ses intuitions et l’écoute des synchronicitĂ©s.

Entre mars 2019 et aoĂ»t 2020, il est allĂ© Ă  la rencontre d’une trentaine de personnes pour Ă©changer avec elles sur des questions de sens, avec l’envie et le besoin de changer de regard, de mode de pensĂ©e."

#deepecology #Ă©cologieprofonde #changement #reflexion #ouverture #effondrement #christianisme #interrogation #ecologie #TQR #Servigne #chapelle

legeneralmidi@diaspora.psyco.fr

LES JARDINS JOYEUX, UN PATRIMOINE NATUREL ET CULTUREL À DÉFENDRE EN PLEIN CƒUR DE ROUEN

Vue sur la cĂŽte Sainte-Catherine

C’est en se baladant rue Joyeuse, non loin du lycĂ©e Pierre Corneille, que l’on peut dĂ©couvrir un Ă©crin de nature presque inconnu des #rouennais et actuellement occupĂ© par le collectif « Les Jardins Joyeux ». Depuis le 13 juin 2021, ses membres y ont Ă©tabli une JAD (Jardins Ă  dĂ©fendre) pour la prĂ©servation de la biodiversitĂ© et contre la #bĂ©tonisation de 4000mÂČ d’espaces verts. En effet, un projet rĂ©sidentiel d’une centaine de logements y verra le jour prochainement, le permis de construire ayant Ă©tĂ© signĂ© sous le mandat d’Yvon Robert.

Cet ancien couvent, fondĂ© au 17Ăšme siĂšcle par l’ordre catholique des sƓurs Gravelines, fut ensuite occupĂ© par les frĂšres de l’ordre des Mathurins qui y bĂątirent leur propre #chapelle aprĂšs la RĂ©volution. Le site devint par la suite un #hospice pour prisonnier.e.s puis, au 19Ăšme siĂšcle, des logements pour « jeunes nĂ©cessiteux ». Il est aujourd’hui composĂ© de neuf bĂątiments comprenant un ancien internat, un ancien lieu d’habitation, une chapelle et quatre annexes au bĂątiment central.
l'ancien théùtre
Ouvert Ă  tous les curieux de 9h Ă  21h du mardi au dimanche, les Jardins Joyeux rĂ©vĂšlent de gĂ©nĂ©reux espaces, agrĂ©ables Ă  parcourir seul ou Ă  plusieurs. Comme point d’orgue de l’exploration, la magnifique chapelle et ses vitraux intacts, nettoyĂ©e de fond en comble par le #collectif, ne laissera personne indiffĂ©rent.

« Lorsque nous sommes arrivĂ©s, tout Ă©tait dans un Ă©tat avancĂ© d’insalubritĂ© » nous explique Julien, un des ocuppants. « Nous avons dĂ» tout remettre en ordre pour avoir quelque chose d’habitable et surtout de sĂ©curisĂ©. Certains endroits sont dangereux pour les visiteurs et nous le signalons avec des panneaux afin que tout le monde puisse profiter paisiblement du lieu. »
La salle de réception
En effet, diffĂ©rentes zones de vie dĂ©diĂ©es Ă  la sociabilitĂ© ajoutent un aspect trĂšs convivial et accessible aux nouveaux arrivant.e.s qui dĂ©cident de pĂ©nĂ©trer les lieux. Mention spĂ©ciale Ă  la salle commune oĂč sont frĂ©quemment organisĂ©s #concerts et dĂ©bats ainsi qu’à la bibliothĂšque rĂ©habilitĂ©e avec goĂ»t par le collectif. Un #potager est Ă©galement en cours d’extension et un ancien thĂ©Ăątre, dont les costumes ont Ă©tĂ© rĂ©cupĂ©rĂ©s et prĂ©servĂ©s, laisse imaginer de nombreux usages


En passant aux #JardinsJoyeux, on rencontre des gens de tous horizons. Certains ont dĂ©jĂ  installĂ© leur atelier ou leur chambre pour un temps, d’autres sont juste de passage pour une biĂšre. Nous croisons un couple et leurs deux enfants explorant l’immensitĂ© des couloirs, un DJ qui vient dans le but d’organiser un Ă©vĂšnement, un voisin, curieux de dĂ©couvrir les secrets de son propre quartier


« Le site est ouvert Ă  tout le monde, mĂȘme Ă  ceux/celles qui ne sont pas d’accord avec notre action. Au moins on peut parler, c’est dĂ©mocratique. On essaye aussi d’accueillir des #migrant.e.s en situation irrĂ©guliĂšre ou des jeunes qui sortent de foyers et qui n’ont nulle part oĂč aller. L’idĂ©e, c’est de profiter de cet immense espace tout en crĂ©ant une communautĂ© mixte oĂč tout le monde cohabite et se respecte. Nos concerts sont organisĂ©s de façon Ă  ce que le voisinage ne soit pas dĂ©rangĂ©, l’idĂ©e ce n’est pas de nous imposer mais de proposer autre chose », nous explique Julien.

En parcourant les interminables couloirs qui traversent les anciens dortoirs, on s’amuse Ă  observer la cour intĂ©rieure de diffĂ©rents points de vue depuis des chambres vides, dĂ©laissĂ©es ou personnalisĂ©es par leurs occupants. L’une d’entre elles, dĂ©diĂ©e aux mouvements des Black Panthers, retrace l’histoire du front rĂ©volutionnaire de libĂ©ration Afro-AmĂ©ricains par des citations et des textes Ă©crits directement sur le mur. Une autre sert d’atelier et de bureau Ă  un artiste « en rĂ©sidence ». De nombreux murs sont Ă©galement recouverts de graffitis, notamment par le trĂšs prolifique #Dhoa, et offrent aux piĂšces des espaces infinis de rĂ©appropriation et de crĂ©ativitĂ©. Un vĂ©ritable musĂ©e interactif Ă  ciel ouvert qui ne demande qu’à s’enrichir chaque jour un peu plus.

Des concerts sont Ă©galement organisĂ©s au rez-de-chaussĂ©e du bĂątiment principal, notamment lors des fameuses « Darasses du jeudi », qui avaient pendant le mois de juillet, en hommage aux « Terrasses » . Des artistes comme #SebastianErikKlein (pour ne citer que lui), que nous avions invitĂ© lors de notre Ă©vĂšnement Ă  La Friche, y ont d’ores et dĂ©jĂ  posĂ© leurs « platines ». Ce qui est certain, c’est que les Jardins Joyeux laissent la part belle aux artistes rouennais.e.s et Ă  la rĂ©flexion autour de l’appropriation des espaces urbains par la musique et la fĂȘte.

Si le projet de construction semble dĂ©jĂ  bien avancĂ© et le combat difficile Ă  gagner contre le promoteur, le collectif se dit heureux d’avoir dĂ©jĂ  pu ouvrir les jardins et ses bĂątiments aux gens du quartier qui, « ne se doutaient pas d’une telle richesse patrimoniale Ă  deux pas de chez eux ».

Cette forme de contestation pacifique qui semble devenir de plus en plus lĂ©gitime en France depuis une quinzaine d’annĂ©es (et crainte par les pouvoirs publics), notamment grĂące Ă  Notre-Dame-des-Landes, prend aujourd’hui des formes hybrides dont le but est d’ouvrir des brĂšches, des laboratoires d’expĂ©rimentation, de façon microlocale, Ă©phĂ©mĂšre et surtout au-delĂ  des instances politico-financiĂšres qui, malgrĂ© les apparences, ne consultent que trĂšs rarement les citoyens sur de tels projets.

Les membres du collectif ne sont pas dupes quant Ă  leur avenir, mais cela ne les empĂȘche pas de tenter quelque chose Ă  leur Ă©chelle et de faire des contre-propositions nourries par les visiteurs d’un jour ou de plusieurs semaines. Occuper un lieu n’est jamais une abstraction. C’est l’occasion d’y formuler des idĂ©aux, de rebĂątir des gestes de #solidaritĂ© et d’y inventer des alternatives, au-delĂ  des impĂ©ratifs formulĂ©s par le capitalisme dont la « rentabilitĂ© » est un prĂ©requis obligatoire pour ĂȘtre reconnu comme « crĂ©dible ».

La sociologue GeneviĂšve Pruvost, chargĂ©e de recherche au CNRS, voit dans la #ZAD et ses dĂ©clinaisons (une JAD pour les Jardins Joyeux) « une mise en abĂźme permanente de l’expĂ©rimentation et de l’émancipation, du social et du politique. Elle permet de ne pas oublier que les acteurs ordinaires, quand ils se rĂ©voltent, ont toujours une longueur d’avance non seulement sur les sociologues mais aussi sur les politiques. [
] Les opposants ne quitteront jamais spontanĂ©ment les lieux qu’ils occupent, mĂȘme si l’abandon du projet devait ĂȘtre entĂ©rinĂ©. En effet, ils ont un monde Ă  dĂ©fendre, une utopie rĂ©elle Ă  sauvegarder, pour reprendre le titre de l’ouvrage du sociologue Erik Olin Wright ».

Un espace pour le rĂȘve donc, tout en gardant la tĂȘte sur les Ă©paules ; une bonne posture pour imaginer la ville autrement. Il est vrai qu’en se promenant dans le parc, de nombreuses autres idĂ©es nous viennent en tĂȘte et nous laissent imaginer une transition vers des tiers-lieux, des locaux associatifs, des ateliers d’artistes, des potagers collaboratifs, des scĂšnes ouvertes aux artistes, des cantines solidaires ou des espaces verts amĂ©nagĂ©s
 Chacun y verra sa propre idĂ©alitĂ©. C’est tout le mĂ©rite d’une telle forme d’occupation : interpeller les diffĂ©rents acteurs locaux et faire coexister des discours contraires, dans un cadre qui reconnecte les espaces rĂ©els et imaginaires et permet Ă  ceux qui en sont systĂ©matiquement marginalisĂ©s, de redĂ©finir les champs de l’Art et du Politique Ă  leur façon, avec leurs propres moyens.

Lieu visité le 29 juillet. Texte rédigé par #JordanMore-Chevalier, relu et corrigé par #AuxaneLeroy

Vous pouvez soutenir l’action des Jardins Joyeux en signant la pĂ©tition sur change.org

#Rouen #squat #pétition

docnederlands@diaspora.psyco.fr

Cʅσʂ ԃҜʂ CαρυƈÎčÉłÊ‚, MÏƒÉłÊ‚ / BÒœÉŸÉ ÒœÉł

(Belgique, België, Belgium, Belgien, Belgio)

👉 porche / portaal / porch / Portalvorbau / portico [full size image]

  • Ancien couvent des Capucins
  • Voormalig Kapucijnenklooster
  • Former Capuchin Convent
  • Ehemaliges Kapuzinerkloster
  • Ex Convento dei Cappuccini

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👉 Clos des Capucins [grand fromat]

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Clos des Capucins / Chapelle Notre-Dame de Belle Dilection
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Clos des Capucins / Chapelle Notre-Dame de Belle Dilection
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MONS
COLLECTIONS : #mons_belgium_docnederlands #mywork_docnl
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