#compétition

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #écriture #sport #compétition #olympique #critique #mérite #réussite #cash #profit #performance #mywork #mitext

La victoire à tout prix,

Faire du sport un produit marketing au bénéfice du mythe « fédérateur » de la seule volonté, de l’effort et du mérite récompensés par la réussite individuelle, conforter ainsi l’ordre établi et notre aliénation, voilà un succès qui mérite la plus haute marche du podium néolibéral. Il n’y a que le résultat qui compte. La performance doit être la norme. Toujours plus haut, plus vite, plus loin, plus fort. La compétition sportive élevée au rang suprême de produit de consommation. Quand on table nationalement sur une cinquantaine de médailles, seuls les vainqueurs sont reconnus, mis à l’honneur :« La victoire appartient aux plus opiniâtres » VS. « L’important c’est de participer » L’échec, la frustration, la souffrance sont camouflés sous le tatamis. Alors que la simple participation aux JO est déjà un exploit. Combien d’années d’entraînement, d’acharnement, de déception, de blessures pour un podium, d’espoir déçu pour une médaille ? Le plaisir du sport est-il encore primordial ? Est-il négociable, monnayable, rentable ? Quand on sait l’argent en jeu à tous les niveaux des sports de compétition, des fédérations, des clubs, des sponsors, des industriels et autres le doute n’est pas permis. Le capitalisme a réussi l’exploit de transformer une activité physique ludique et gratuite en slogan idéologique et machine à cash et utiliser des sportifs comme porte drapeaux de leur conception mortifère de la société. Que le spectacle continue !!!

                                                       Mireille MOUTTE 
mimoutte@diaspora.psyco.fr
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#news #alimentaire #précarité #abandon #charité #agression #justice #revenu #travail #vie #social #faim #compétition #mywork #mytex

INSUPPORTABLE

France2 : Une épicerie sociale à Poitiers. La précarité quotidienne, la maladie, l’angoisse du lendemain, les repas quotidiens pour les enfants, les aléas de la vie, des salariés « ubérisés ». La descente peu à peu dans la misère et la dépendance sociale. Insupportable.
Comment peut-on abandonner toute une population au bon soin de la charité publique et de la bonne volonté individuelle ? : « Prise en charge », infantilisation, contrôle, autorité et bonne conscience, insupportable. Non pas que certaines personnes n’aient pas besoin de soutien, d’être accompagnés, mais la manière dont l’Etat s’en décharge est exécrable.
Avec d’un côté la wonder-woman punchie de la banque alimentaire et de l’autre les laissés pour compte d’un système établi en principe où il faut être compétitif, performant avec un moral d’acier tout au long de sa vie pour mériter de manger à sa faim. Insupportable !
Qu’une des plus riches nations d’Europe laisse ses citoyens dans le besoin, la nécessité et la misère, est une agression permanente insupportable, dont aucun tribunal ne peut être saisi et qui ne rentrera dans aucune statistique sur l’insécurité. Alors qu’avec un revenu universel le problème pourrait être en partie résolu. Mireille MOUTTE

bliter@diaspora-fr.org

Le #gouvernement va organiser un #tournoi de Farming Simulator pour attirer les #jeunes ... - #Lusty

Le #ministère de l’ #Agriculture organise, « dans quelques jours », une #compétition #virtuelle sur le #jeuvidéo Farming Simulator afin d’attirer les jeunes vers le monde #agricole et susciter des vocations. D’après les informations du Journal du Dimanche, cet événement cible les jeunes de 15 à 30 ans et les fans de #e-sport. Ce #jeu #vidéo propose à ses utilisateurs la gestion fictive d’une ferme. La sortie de sa nouvelle version est prévue pour le 22 novembre prochain.

https://www.youtube.com/watch?v=AAhBGMQyo70
#politique #macron

mimoutte@framasphere.org

#news #société #Hommes #échange #communauté #urgence #monde #dette #compétition #confrontation #mywork #mytext

Qu’est-ce qui est le plus grave, le plus urgent, le plus inquiétant, le plus, plus, plus …..Les pollutions atmosphériques et terrestres ? Les pillages et l’exploitation sans réserve des ressources naturelles, forêts, eau, terre, des matières premières, des Hommes ? Les milliers de morts des guerres impérialistes, colonialistes, hégémoniques et/ou suprémacistes ? La faim qui sévit toujours dans le monde malgré les richesses amassées ? Les déchets imputrescibles accumulés par nos sociétés productivistes ? Le capitalisme mondial qui tel moloch dévore la planète et ses habitants ? ….. le coronavirus ?…. La liste est malheureusement non exhaustive. J’ai le tournis devant un tel déferlement de destruction, de désastre et de saccage qu’il nous faudrait éradiquer pour le bien être des «futures générations» à qui nous laisserons, avec la «fameuse dette », une planète dévastée et invivable. Il faut en permanence résister aux chants des sirènes pour ne pas tomber de Charybde en Scylla. Éviter les pièges d’un « progrès »  à tout prix jumelé à l’exigence d’une croissance économique infinie qui nous enlisent. Arrêter la prépondérance de la finance sur la vie. Freiner notre addiction excessive à la technologie. Résister aux provocations incessantes du pouvoir pour nous distraire de l’essentiel. Notre société n’est plus basée sur les bienfaits d’une communauté d’intérêts, de solidarité, de partage, de protection des plus faibles, d’échanges de savoir-faire, de connaissances, d’informations pour le bien-être et l’épanouissement de tous. (Il faut croire à l’histoire ancienne), mais une mise en compétition et une concurrence acharnées de tous les individus de la naissance à la mort, avec en primauté l’intérêt personnel sur celui du groupe. Nous ne courrons pas à la catastrophe nous y sommes.

D’un côté les bataillons de « citoyens » lambdas, avec leur seule force de travail à disposition, que l’on peut exploiter à satiété, épuiser, sacrifier ad nauseam, de l’autre côté les donneurs d’ordre, les premiers de cordée, les financiers, les Grands Patrons, les vendeurs de canons, les capitaines d’industries, les capitalistes qui tuent, pillent et saccagent le bien commun pour leur profit immédiat et nous rendent complices de leurs atrocités par lâcheté, aliénation, persuasion et assimilation bon gré, mal gré de leurs valeurs essentielles : l’argent roi et la consommation à outrance, sans l’embarras des préoccupations environnementales. On peut appeler cette confrontation comme l’on veut. On peut déplorer cette sempiternelle opposition. On peut vouloir la nier où s’en accommoder, mais c’est un fait avéré de notre l’histoire, avec aujourd’hui en point de non-retour, notre survie sur la terre. Il nous restera comme dernière ressource, le recyclage des bouteilles en plastique et pour les plus fortunés, la migration sur Mars…..

Nature/Hommes, nous sommes irrémédiablement mêlés dans le tambour de la centrifugeuse et le bouton d’arrêt semble hors de portée. Nous assistons Impuissants bien que révoltés à la transformation de notre monde en une bouillie informe, un fatras dévitalisé, en décomposition, insalubre. Mireille MOUTTE
Psaume 139:17
«… Que tes pensées, ô Dieu, me semblent impénétrables! Que le nombre en est grand…. » la Sainte Bible

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #écriture #réflexion #société #capitalistes #Hommes #vie #mort #monde #interêts #communauté #compétition #mywork #mytext

Qu’est-ce qui est le plus grave, le plus urgent, le plus inquiétant, le plus, plus, plus …..Les pollutions atmosphériques et terrestres ? Les pillages et l’exploitation sans réserve des ressources naturelles, forêts, eau, terre, des matières premières, des Hommes ? Les milliers de morts des guerres impérialistes, colonialistes, hégémoniques et/ou suprémacistes ? La faim qui sévit toujours dans le monde malgré les richesses amassées ? Les déchets imputrescibles accumulés par nos sociétés productivistes ? Le capitalisme mondial qui tel moloch dévore la planète et ses habitants ? ….. le coronavirus ?…. La liste est malheureusement non exhaustive. J’ai le tournis devant un tel déferlement de destruction, de désastre et de saccage qu’il nous faudrait éradiquer pour le bien être des «futures générations» à qui nous laisserons, avec la «fameuse dette », une planète dévastée et invivable. Il faut en permanence résister aux chants des sirènes pour ne pas tomber de Charybde en Scylla. Éviter les pièges d’un « progrès »  à tout prix jumelé à l’exigence d’une croissance économique infinie qui nous enlisent. Arrêter la prépondérance de la finance sur la vie. Freiner notre addiction excessive à la technologie. Résister aux provocations incessantes du pouvoir pour nous distraire de l’essentiel. Notre société n’est plus basée sur les bienfaits d’une communauté d’intérêts, de solidarité, de partage, de protection des plus faibles, d’échanges de savoir-faire, de connaissances, d’informations pour le bien-être et l’épanouissement de tous. (Il faut croire à l’histoire ancienne), mais une mise en compétition et une concurrence acharnées de tous les individus de la naissance à la mort, avec en primauté l’intérêt personnel sur celui du groupe. Nous ne courrons pas à la catastrophe nous y sommes.

D’un côté les bataillons de « citoyens » lambdas, avec leur seule force de travail à disposition, que l’on peut exploiter à satiété, épuiser, sacrifier ad nauseam, de l’autre côté les donneurs d’ordre, les premiers de cordée, les financiers, les Grands Patrons, les vendeurs de canons, les capitaines d’industries, les capitalistes qui tuent, pillent et saccagent le bien commun pour leur profit immédiat et nous rendent complices de leurs atrocités par lâcheté, aliénation, persuasion et assimilation bon gré, mal gré de leurs valeurs essentielles : l’argent roi et la consommation à outrance, sans l’embarras des préoccupations environnementales. On peut appeler cette confrontation comme l’on veut. On peut déplorer cette sempiternelle opposition. On peut vouloir la nier où s’en accommoder, mais c’est un fait avéré de notre l’histoire, avec aujourd’hui en point de non-retour, notre survie sur la terre. Il nous restera comme dernière ressource, le recyclage des bouteilles en plastique et pour les plus fortunés, la migration sur Mars…..

Nature/Hommes, nous sommes irrémédiablement mêlés dans le tambour de la centrifugeuse et le bouton d’arrêt semble hors de portée. Nous assistons Impuissants bien que révoltés à la transformation de notre monde en une bouillie informe, un fatras dévitalisé, en décomposition, insalubre. Mireille MOUTTE
Psaume 139:17
«… Que tes pensées, ô Dieu, me semblent impénétrables! Que le nombre en est grand…. » la Sainte Bible

legeneralmidi@diaspora.psyco.fr

https://www.franceculture.fr/emissions/le-journal-de-la-philo/reussir-sans-effort-et-sans-talent

Réussir sans effort et sans #talent ?

Dans son nouvel ouvrage "Peut-on réussir sans effort ni aucun talent ? Les mirages du mérite", le philosophe Gilles #Vervisch déconstruit tous les préjugés de notre époque sur la réussite et le mérite qui ne reposeraient que sur l’ #effort et le talent...

« Tu n’es pas bon à rien, tu es mauvais à tout ! » Eh bien, cher Irénée Fabre, il a fallu attendre un peu, mais #GillesVervisch a la solution ! Ou plutôt la réflexion nécessaire qui permet de faire voler en éclat ce fameux mirage du #mérite, cette idée à laquelle Vervisch s’attaque dès son introduction : « si tu es pauvre, c’est de ta faute, c’est que tu ne t’es pas assez battu ».

Mirages du mérite
D’où vient d’ailleurs cette notion de mérite ? Celle qui a pu pousser Emmanuel Macron à dire lors de l’inauguration de la Station F : « Une gare, c’est un lieu où l’on croise des gens qui réussissent et des gens qui ne sont rien » ou encore celle qui a fait dire à Steve Jobs « Je suis convaincu que la moitié de ce qui sépare les #entrepreneurs qui réussissent de ceux qui échouent est la pure #persévérance ». D’où vient cette idée que c’est la seule #volonté, le seul effort qui permettent de réussir, étant entendu que ceux qui échouent ne se sont tout simplement pas donné tous les moyens pour réussir ?
Les exemples dans le panthéon des héros contemporains ne manquent pas. Ils s’appellent Ralph Lauren, Henry Ford, Walt Disney, JK Rowling ou encore Elon Musk, et j’en passe.
Ils sont partis de rien et ont connu une ascension fulgurante. Cette vision du monde correspond, pour Gilles Vervisch, au triomphe de l’« éthique du #capitalisme » qui, à la manière d’une #compétition sportive, discrimine la société entre les « gagnants » et les « perdants », estimant que les uns et les autres méritent la place qu’ils ont.
Bien sûr, la croyance au #mérite peut apparaître comme utile et juste, parce qu’elle donne aux individus l’espoir que tout est possible et qu’elle leur permet d’agir en faisant abstraction de leurs origines sociales, ethniques et religieuses. Mais cette croyance ne peut faire fi de la réalité qui est que tout le monde ne part pas avec les mêmes chances de réussite, loin de là !

Fantasme de réussite
Et d’ailleurs quelle est cette #réussite dont tout le monde parle sans arrêt ? Celle professée par les évangélistes du #développementpersonnel qui pensent qu’il ne faut rien laisser au hasard, se concentrer sur sa vie professionnelle et gérer tout le reste, les relations amoureuses, amicales et familiales sur un même mode d’efficacité et de rationalité ? On est bien loin des distinctions opérées en son temps par #Aristote qui distinguait au moins trois genres de vies selon les buts recherchés : la vie tournée vers la simple recherche du #plaisir, celle tournée vers la vie #politique souvent plus motivée par l’ambition du #pouvoir que par l’intérêt général et, enfin, la vie contemplative, le meilleur genre de vie selon Aristote, et de toutes les vies, la plus réussie, parce qu’elle ne dépend que de moi et non pas d’éléments qui me sont extérieurs.
Après tout, notre panthéon n’est-il pas aussi fait de ratés sublimes comme Van Gogh, Vermeer, Edgar Allan Poe, et là encore, j’en passe ?

Déconstruire les préjugés de l’époque
À grands renforts de philosophes, comme John Stuart #Mill, #Marx, #Kant, #Weber, de faits historiques, de personnages de fiction d’hier et d’aujourd’hui et de brèves de l’actualité, Gilles Vervisch déconstruit tous les préjugés de notre époque sur la réussite et le mérite qui ne reposeraient que sur l’effort et le talent. Il y a des choses qui dépendent nous et des choses qui ne dépendent pas de nous. Triste image de l’humanité que celle qui glorifie ceux qui se félicitent de ne rien devoir à personne !

#journaldelaphilo #AnastasiaColosimo
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