#gp

nowisthetime@pod.automat.click

Wot’s in the shots? Graphene oxide? Nanobots?
Rebecca Weisser
5 November 2022

What is in the #Pfizer #vaccines? Recently, #Dr David #Nixon, a #Brisbane #GP, decided to find out, putting droplets of #vaccine and the blood of vaccinated patients under a #dark-field #microscope.

That’s a more radical decision than it might sound. According to Sasha Latypova, a scientist with 25 years of experience in clinical trials for pharmaceutical companies, the contract between Pfizer and the US government prohibits independent researchers from studying the vaccines. They claim it would ‘divert’ these precious resources away from their intended use fulfilling an ‘urgent’ need.

Is that true in #Australia? Who knows? All the Commonwealth Department of #Health has said about its contract with Pfizer is that it is commercial-in-confidence.

The Therapeutic Goods Administration performs tests on all #Covid vaccines for composition and strength, purity and integrity, identity and endotoxins, but it provides scant details other than the batch numbers tested and whether they passed. (Spoiler alert: they did.)

In the US, the Centers for Disease Control specifically states that all #Covid-19 vaccines are free from ‘metals, such as iron, nickel, cobalt, lithium, and rare earth alloys’ and ‘manufactured products such as micro-electronics, electrodes, carbon nanotubes, and nanowire semiconductors’.

Notably, this list does not include #grapheneoxide which has been widely investigated for biomedical applications. Some researchers sing its praises, its ‘ultra-high drug-loading efficiency due to the wide surface area’, its exceptional ‘chemical and mechanical constancy, sublime conductivity and excellent biocompatibility’. But there’s a catch. ‘The toxic effect of graphene oxide on living cells and organs’ is ‘a limiting factor’ on its use in the medicine.

So is there graphene oxide in the Pfizer shots? What Nixon found, and filmed, is bizarre to say the least. Inside a droplet of vaccine are #strange #mechanical #structures. They seem motionless at first but when Nixon used time-lapse photography to condense 48 hours of footage into two minutes, it showed what appear to be mechanical arms assembling and disassembling glowing rectangular structures that look like #circuitry and #microchips. These are not ‘manufactured products’ in the CDC’s words because they construct and deconstruct themselves but the formation of the crystals seems to be stimulated by #electromagnetic #radiation and stops when the slide with the vaccine is shielded by a Faraday bag. Nixon’s findings are similar to those of teams in #NewZealand, #Germany, #Spain and #SouthKorea.

CONTINUE: https://www.spectator.com.au/2022/11/wots-in-the-shots/

heric@diaspora-fr.org

photo : @F1

Formule 1 : les bizarreries du premier GP de Miami font polémique

L’Autodrome international de Miami, tout juste sorti de terre, accueille son premier Grand Prix de Formule 1 ce week-end. Mais l'événement est décrié pour son impact écologique.

...//...

Le choix de Miami semble contradictoire. Après des années de tractations, et un premier projet de course en bord de mer, le circuit et tous ses équipements ont fini par sortir de terre sur les grandes zones de parking autour du Hard Rock Stadium. La construction du circuit n'a pas manqué de soulever de polémiques, entre plaintes des riverains par crainte du bruit assourdissant (ils ont finalement été débouté par la justice) et questionnements sur la viabilité du tracé en-dehors du grand barnum de la F1. Comme pour les circuits urbains, l'installation n'est pas là pour rester : tout est monté quelques semaines avant le week-end de course, puis démonté dans la foulée.

"La seule structure construite de manière permanente est le premier étage du bâtiment des stands et du paddock. Tout le reste est temporaire", expliquait Tyler Epp, chef des opérations de l'événement, à Forbes, lundi. Un effort de construction sera renouvelé tous les ans, pendant les dix années de contrat signées pour organiser le Grand Prix de Miami.

Parmi les équipements, l'asphalte fait aussi parler. En Floride, le bitume que les monoplaces avaleront sera différent de celui des autres circuits, constitué d'un mélange de limerock et de granit, pour composer avec la forte abrasivité naturelle des revêtements du sud de la Floride.

Plusieurs tonnes de granit - qui constitue 60% du revêtement de la piste - ont donc été importées de Géorgie, l'Etat voisin, et transportées par train, pour construire le circuit, comme l'a confirmé l'entreprise britannique Apex Circuit Design, en charge du chantier, à Motorsport. Une organisation lourde et contraignante, d'autant que le paramètre de l'abrasivité interroge encore les pilotes. "J'espère juste que l'asphalte sera au niveau", a ainsi confié Sergio Perez, le seul à avoir roulé sur la piste en avril pour une vidéo promotionnelle Red Bull.

De la critique à la moquerie, il n'y a qu'un pas dont les réseaux sociaux se donnent à coeur joie. Nombreux ont été ceux à s'amuser de la fausse "marina" installée au creux du virage 7. Alors que le circuit se situe à plusieurs kilomètres de l'océan, des yachts ont été transportés par camions pour être installés sur un plancher de bois et béton de quelques centaines de mètres carrés, en plein milieu du tracé. Celui-ci a ensuite été recouvert de panneaux simulant une large étendue d'eau.

L'installation, superficielle, qui détonne dans le paysage, doit permettre à la société MSC Croisières de mettre en avant ses offres, avec des tarifs jusqu'à 36 000 dollars le yacht pour quatre personnes, selon le Miami Herald.

https://www.francetvinfo.fr/sports/auto-moto/formule-1/formule-1-les-bizarreries-du-premier-gp-de-miami-font-polemique_5119927.html

#fr #f1 #usa #miami #gp #race #ecologie #empreinte #carbone