#maltraitance

paco146@diaspora.psyco.fr

Des vaches à l'agonie dans la Manche

Une situation d’extrême urgence !
#animaux #pétition #maltraitance #souffrance-animale #barbarie #élevage #spécisme
La Ferme des violettes compte entre 80 et 110 #bovins élevés pour la production laitière. Elle devrait plutôt s’appeler La Ferme de l’horreur.

Nous dévoilons aujourd’hui des images insoutenables :

des #vaches et des veaux malades, à l’agonie et laissés sans soin ;
des veaux attachés à des barrières ou à des piquets, d’autres enfermés dans des box individuels ;
des vaches entassées ;
des animaux n’ayant pas accès à l’eau, vivant dans leurs excréments et dans un environnement insalubre, sans endroit sec et propre pour se coucher.

Cette situation alarmante a été signalée par un lanceur d’alerte. Il nous a rapporté le cas de plusieurs animaux présentant des fractures et qui sont morts, après de vives souffrances, suite au manque de soins.

Face à ce cas d’extrême #urgence, demandez avec nous la fermeture immédiate de l’établissement !

anar65@diaspora-fr.org

#ONF #Managment #Management #Managers #Suicide #Burn-out #harcèlement #maltraitance # ...

ONF, la vie ou la mort d’un agent

Dans un mail alarmant adressé ce mardi à la direction générale de l’Office national des forêts (ONF), un agent lillois annonce son intention de mettre fin à ses jours pour dénoncer le harcèlement dont il est victime, comme nombre de ses collègues. Malgré plusieurs alertes antérieures à cet événement, aucune décision n’a été prise pour le moment pour écarter les managers responsables de cette maltraitance. Nos révélations. (...) lire la suite sur Blast-Info

paco146@diaspora.psyco.fr

Veaux maltraités

#Violences chez Denkavit, le n°2 du #veau en #France #Pétition

#maltraitance #souffranceanimale
https://www.l214.com/enquetes/2022/veaux-centre-recherche-denkavit/?utm_medium=email&utm_source=newsletter&utm_campaign=2022%2F04-veaux-denkavit

veaux : de la cage à l'assiette

Ces images montrent le traitement des veaux laitiers à l’engraissement dans l’élevage du centre de recherche et d’innovation de l’entreprise agroalimentaire Denkavit à Montreuil-Bellay en Maine-et-Loire (Pays de la Loire).

Certains veaux subissent des violences de la part d’employés de l’entreprise qui usent de la force pour les manipuler : lancé, coups de pied, de poing et de bâton, accompagnés d’injures.

L214 porte plainte pour mauvais traitement et sévices graves auprès du procureur de la République du tribunal judiciaire de Saumur.

Les 300 veaux enfermés dans ces 3 bâtiments proviennent d’élevages laitiers : en France, 55% des veaux laitiers sont destinés à la #boucherie. Ces jeunes animaux arrivent dans l’élevage à l’âge de 2 semaines environ. Ils sont enfermés dans ces cages individuelles dépourvues de litière, sans eau à disposition, nourris et abreuvés 2 fois par jour, jusqu’à leurs 8 semaines avant d’être placés en groupe, toujours dans ces mêmes bâtiments, jusqu’à leur abattage vers 6 mois.

Ces veaux sont principalement affectés par des pathologies digestives et respiratoires. Ils développent divers symptômes : fièvre, écoulement nasal, diarrhée, toux. Certains veaux souffrent aussi d’otite ou de méningite.

Pour combattre ces pathologies liées à la claustration et à leur fragilité, des antibiotiques leurs sont largement administrés : 7 antibiotiques ont été relevés sur place dont 3 appartenant à 2 familles classés par l’OMS en priorité majeure dans le cadre de la surveillance des résistances aux antibiotiques (antibiorésistance).

En France, 91% des veaux de boucherie sont élevés dans ce type d’élevage.

jeanmariechosson@pod.g3l.org

je viens de signer la pétition de la Maison des Lanceurs d’Alerte pour soutenir Amar Benmohamed, un lanceur d'alerte qui a dénoncé des actes de racisme et de maltraitance commis par des agents de police dans les cellules du dépôt du tribunal de Paris, et qui a été sanctionné.
Vous pouvez, vous aussi, signer et diffuser cette pétition sur https://mlalerte.org/soutien-amar
C'est important d'être nombreux à demander le retrait de l'avertissement et la fin du harcèlement envers ce lanceur d'alerte !
#alerte #lanceursdalertes #racisme #maltraitance #AmarBenmohamed #police

aiglemarin@diaspora-fr.org

#cocoV19: L'hypnose vaccinale de masse expliquée par le professeur #MattiasDesmet

par Lucia Gangale (son site)
mardi 25 janvier 2022
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/l-hypnose-vaccinale-de-masse-238913

Dans un podcast publié en ligne, dans des articles et des interviews (par exemple ici), le professeur Desmet explique comment se forme l’hypnose de masse. Lorsque cette période dystopique finira dans les livres d’histoire, nous nous demanderons comment tout cela a pu se produire, mais l’analyse de Desmet nous donne déjà aujourd’hui des indications précises sur ce qui se déroule aujourd’hui sous nos yeux. Comment, c’est-à-dire, il est possible que la vie humaine se soit réduite à être enchaînée et asservie par un QR Code, avec la liberté accordée par les gouvernants à l’échéance des différentes piqûres vaccinales. Comment il a été possible d’échanger sa liberté contre un spritz au bar et de diviser la société entre si-vax et no-vax. Comment notre vie s’est réduite à être scannée par une application, comme si c’était un aliment acheté au comptoir du supermarché. Comment a-t-il été possible de justifier cette dérive au nom d’une urgence permanente, avec un État chantage qui, tout en se protégeant de toute responsabilité pénale et civile, nous dit quoi faire de notre corps au nom de prétendues exigences collectives et de la protection de la santé. Comment il a été possible d’ériger la science en religion et le totem vaccinal en panacée de tous les maux de l’humanité. Comment, tout cela a été possible, entre autres, dans une nation comme la France, au mépris de sa splendide Constitution, de son passé des Lumières et de ses saints principes de Liberté, d’Égalité, de Fraternité.

Surtout, comme en seulement deux ans il a été possible d’effacer des décennies de luttes et de sang versé pour affirmer les libertés qui nous reviennent en tant qu’êtres humains.

Le chercheur belge s’interroge depuis longtemps sur l’hypnose collective qui s’opère, même face à des mesures gouvernementales gouvernementales démentes et contradictoires. Une hypnose qui conduit les individus à sacrifier volontairement leur liberté, même maintenant que la variante Omicron, très contagieuse mais non mortelle, semble marquer le tournant vers la fin de la pandémie de Covid 19.

Selon Desmet, il y a quatre conditions de base pour que la société soit vulnérable à l’hypnose de masse :

1) Le manque de liens sociaux, l’isolement et la peur qui en résulte ;

2) Ne pas concevoir un sens ou un but dans sa vie ;

3) L’anxiété fluctuante (il suffit de voir le nombre de médicaments contre l’anxiété et la dépression prescrits chaque année) ;

4) Niveaux élevés de frustration et d’agressivité.

Des mensonges et des contradictions alimentés par le courant dominant ont été crus vrais par les masses, sans cesse tendues par un récit inspiré de la peur du virus et de la haine envers les réticents au vaccin ou envers ceux qui se posent des questions contraires aux décisions gouvernementales. Ces derniers, considérés comme des parias dont il faut se moquer et qui sont exclus de la société, même s'ils sont médecins, scientifiques et des prix Nobel.

Desmet dit : « Les parents qui font piquer si avidement leurs enfants entrent dans la conscience de la foule qu’on appelle "formation de masse". Ce changement social se produit quand il y a ou il y a eu une période de peur fluctuante, et c’est un pas sur la route vers un état totalitaire. Le totalitarisme commence toujours par une formation de masse au sein de la population.

Ce n’est pas la même chose qu’une dictature. Dans une dictature, les gens obéissent par crainte fondamentale du dictateur au sommet, mais le totalitarisme est le contraire. Les gens sont hypnotisés pour obéir "au bien de la collectivité". (...) Ils ne sont plus rationnels ou critiques comme autrefois, ils ne suivent plus la logique ».

La raison pour laquelle tant de gens sont disposés à participer à ce délire collectif, « est que dans ce récit ils trouvent un nouveau lien social. La science, la logique et l’équité n’ont rien à voir avec tout cela ».

Desmet met en évidence la différence entre une dictature montante et le totalitarisme : « En règle générale, dans une dictature classique, le dictateur devient plus doux et moins agressif une fois que les voix dissidentes, son opposition, sont réduites au silence. Une fois qu’il a pris le pouvoir complet, il n’a plus besoin d’être agressif et peut recourir à d’autres moyens pour garder le contrôle. Dans un état totalitaire, c’est le contraire qui se produit. Cela est fondamental à comprendre, parce que dans une société totalitaire, une fois que l’opposition est réduite au silence, c’est alors que l’État commet ses atrocités les plus grandes et les plus cruelles ».

Ces deux dernières années, les idées dissidentes sur le Covid et les vaccins ont été ponctuellement réduites au silence. On se demande alors quand la science est devenue définitive et incontestable et lorsqu’elle est fermée à tout dialogue. Et pourquoi, après deux ans, la propagande martele-t-elle de plus en plus sur le vaccin unique pour tous, en arrivant à de véritables formes de persécution à l’égard de personnes saines, coupables seulement de refuser un traitement médical imposé ? Comment se fait-il qu’après ses années, on compte le plus grand nombre de contaminations parmi les détenteurs du pass sanitaire, puisque les non vaccinés ont été, de fait, empêchés même de vivre et de se déplacer librement ? Où est la logique de toutes ces mesures qui sont politiques et, bien sûr, non sanitaires ?

De fait, aujourd’hui, la politique s’est emparée de la vie biologique. Le fameux code de Nuremberg et le "consentement éclairé" naquirent précisément comme défense de l’individu face à certaines extensions dangereuses du pouvoir politique.

L’histoire nous enseigne que les masses ont toujours cru au dictateur de quart et que l’erreur a duré jusqu’à ce que les nations soient plongées dans l'abîme des guerres et de la spoliation des droits fondamentaux des peuples.

Aujourd’hui, à l’époque numérique, nous vivons une forme inédite de coup d’État déguisé en politique sanitaire, entre des décrets sortis en un court laps de temps et une inoculation perpétuelle érigée en nouvelle forme de foi salvifique. Le tout assailli par la hâte et l’arrogance du Léviathan sanitaire, toujours plus nerveux et toujours plus dévorant les vies de chacun, vaccinés ou non vaccinés, désormais plus “humains”. L’histoire nous apprend que même les sorts se cassent, peu importe le temps que ça prend. C’est une période de vigilance que d’attendre que le rideau tombe sur cette comédie de l’absurde, avec tous ses tristes personnages, et que la Vie qui, malgré toute la violence à laquelle elle se heurte cycliquement, gagne sur tout, alors que cette fausse bonne gouvernance finit par se dévorer elle-même.

★★★

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★★★

#UPLSP = Union des Peuples pour la Liberté et la Sauvegarde de la Planète

#cocoV19 #santé #covid19 #passVaccinal #T2KellOrigine #discriminations #France #maltraitance #enfants #protectionSociale #droitsDeLenfant #psychologie #manipulation #dépression #maladieMentale #Calimero #torture #psychiatrie #aide #victime #sauveur #persécuteur #bourreau #perversNarcissique
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aiglemarin@diaspora-fr.org

Le Triangle de Karpman : Un drame à trois

https://www.penserchanger.com/le-triangle-de-karpman-un-drame-a-trois/

Ce triangle dramatique, aussi appelé** Triangle de Karpman*, est un outil psychologique inventé par le psychologue du même nom dans les années soixante pour expliquer certains problèmes relationnels. Pour cela il a décrit 3 grands rôles (les 3 acteurs de notre petite pièce): **La Victime - Le Persécuteur - Le Sauveur*

Comme vous le voyez sur ce schéma, la Victime est en haut du triangle. Bien qu’elle soit “victime” et donc subit le rôle des deux autres personnages, c’est elle qui mène le jeu. En effet, sans elle le Sauveur et le Persécuteur n’ont aucune raison de se rencontrer. La victime est donc le maître du Jeu.

Explication du Jeu psychologique:
Il faut savoir que tout le monde à un moment ou à un autre de sa vie joue à ce Jeu psychologique, de manière inconsciente. Les rôles par contre, ne sont pas fixés et nous passons très facilement de la Victime au Persécuteur ou au Sauveur, au cours d’une même conversation. Cela dit, nous avons tous une petite préférence sur le rôle à adopter d’entrée de jeu, en fonction des situations.

Dans ce Jeu, aucun des trois acteurs n’a envie que la situation évolue positivement. Chacun est satisfait de son rôle et en retire un intérêt personnel. Cela fait que la Victime ne sortira pas volontairement de son rôle de victime, le Sauveur ne cherchera pas vraiment à aider la victime, et le Persécuteur ne cherchera pas non plus à enfoncer la victime. Ils font tous semblant, comme dans une pièce de théâtre.

Nous retrouvons aussi cette structure dans la plupart des contes dramatiques :
Par exemple : Blanche-Neige, la méchante belle-mère, et le prince charmant / Le chaperon rouge, le loup et le chasseur / Cendrillon, sa famille et le prince…

★★★

Le rôle de la Victime:
Nous pourrions déjà nous demander quel est le bénéfice pour la Victime du fait d’être persécutée, pourtant il y en a:
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La Victime attire l’attention sur elle et en particulier l’attention du Sauveur. Pour des personnes ayant des problèmes de manque affectif c’est donc la situation idéale pour recevoir de la compassion, de la protection et de l’attention. De plus, elle ne connaît pas ses propres besoins ni comment y subvenir, elle espère donc que quelqu’un d’autre s’en chargera (Le Sauveur).
La Victime peut se plaindre. Comme elle est la Victime, elle se sent dans son droit pour se plaindre, cela lui fait donc du bien d’extérioriser ses plaintes.
La Victime ne veut pas reconnaître ses responsabilités et n’a pas à faire l’effort de changer. Comme elle est la Victime, tout le mal est dû au Persécuteur et cela lui donne l’image d’une personne irréprochable.
Ses phrases favorites sont : “Je fais tout bien et il me fait sans cesse des reproches.” – “Je ne vois pas comment le satisfaire, il n’est jamais content de toute façon.” – “Je n’ai jamais de chance, pour vous c’est plus facile.” – “Tu ne viens jamais me voir, personne ne fait attention à moi”. Comme vous pouvez le remarquer, ce sont principalement des phrases négatives et généralisatrices.
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Tout cela fait que la Victime n’a pas vraiment envie que la situation change, elle se sent à l’aise dans son rôle. D’ailleurs si la situation s’arrangeait, elle n’aurait plus l’attention dont elle bénéficie, plus d’excuses pour justifier ses problèmes et ne pourrait plus cacher sa paresse d’assumer ses responsabilités / besoins.
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Une personne qui est prête à tenir le rôle de Victime cherche ainsi à attirer un Sauveur. Par conséquent, elle appelle quelqu’un d’autre à être son Persécuteur. Si personne ne veut jouer le rôle du Persécuteur, la Victime l’inventera (ce sera alors les corvées, les factures, etc.).

★★★

Le rôle du Sauveur:
L’intérêt du Sauveur est bien plus évident, puisque devenir Sauveur c’est tenir un rôle plutôt gratifiant. Il permet d’avoir une bonne image de Soi et aussi une bonne image auprès des autres. Mais ce n’est pas tout, car cela lui apporte de la satisfaction que quelqu’un lui fasse confiance. il se réjouit d’avoir quelqu’un dépendant de lui et donc d’avoir du contrôle sur lui.
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Et c’est là tout le problème : le Sauveur place la Victime en incapacité. Pour lui, la Victime ne pourrait pas s’en sortir sans sa présence.
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Le Sauveur est bien souvent une ancienne Victime d’un autre Jeu. Il ressent alors du mal-être en voyant la même situation se produire chez autrui, ce qui le pousse à agir même quand on ne lui a rien demandé. En réalité, il s’occupe des besoins des autres pour oublier ses propres besoins insatisfaits.
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Ses phrases favorites sont : “Je suis occupé mais je vais t’aider.” – “J’ai fait ça pour toi.” – “Laisse-moi m’en occuper.” – “Je vais régler ça”.
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Le Sauveur n’a donc pas plus d’intérêt à ce que la situation s’arrange. Tout comme la Victime, si le problème prend fin, il n’a plus de raison d’exister et la personne qui jouerait ce rôle perdrait ainsi tous ses avantages.
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Il est à différencier des “sauveteurs” : pompiers, secouristes… qui eux passent à l’action et corrigent la situation en ne faisant pas semblant d’essayer comme le fait le Sauveur.
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Enfin, pour que le Sauveur puisse perdurer, il a besoin d’une Victime mais aussi d’un Persécuteur pour justifier son existence.

★★★

Le rôle du Persécuteur (ou bourreau):
Le Persécuteur (ou aussi appelé Bourreau), tire son intérêt en libérant ses pulsions agressives sur quelqu’un d’autre : la Victime. Il le fait souvent pour obtenir quelque chose en retour, c’est-à-dire s’imposer sur la Victime de manière violente et à son propre bénéfice.
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C’est d’ailleurs souvent un Sauveur déçu qui – ne sachant plus comment s’y prendre – emploie la manière forte, ou bien encore une Victime qui a décidé de se protéger et se venger. Le Persécuteur n’a conscience que de ses propres besoins et nie ceux des autres.
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Il établit les règles, décide, dirige et corrige à la moindre erreur. Il ne pardonne pas le plus petit écart et n’hésite pas alors à tenir des propos dévalorisants, voire humiliants. À faire des critiques destructrices, à mettre son interlocuteur en position d’infériorité ou à faire culpabiliser.
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Cela dit, ce n’est qu’un rôle car en vérité il cache une personne pétrifiée de peur face aux relations, qui croit se défendre d’un ennemi imaginaire. Il a donc besoin d’une victime pour se sentir capable et fort.
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Ses phrases favorites sont : “Tu ne fais rien comme il faut !” – “Je te le dis tout le temps !” – “Tu n’arrêtes jamais de … !”

D’ailleurs et contrairement aux deux autres rôles, le Persécuteur n’est pas toujours une personne. Cela peut aussi être une maladie, un handicap, une addiction, etc.
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Le Persécuteur, tout comme les autres protagonistes, ne reste pas toujours un Persécuteur. Les rôles peuvent être redistribués lors des fameux “coups de théâtre“. Lorsque la situation devient intenable pour l’un des protagonistes, le pousse alors à changer de rôle et change par la même occasion celui des autres.
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Par exemple: Un Sauveur fatigué de ne pas voir la Victime le laisser agir, deviendra Persécuteur. Ou bien la Victime lassée de voir le Sauveur tout décider, choisira d’être Persécuteur. Le Persécuteur adapte ensuite son rôle en fonction de ce changement. Si le Sauveur devient Persécuteur, le Persécuteur deviendra Sauveur, ou si le Sauveur est rejeté par la Victime il deviendra Victime lui-même et la Victime, Persécuteur.

Se sortir du Triangle de Karpman

Les rôles joués dans un tel triangle sont destructeurs. Ils vous conduisent à vous enfermer dans une spirale infernale qui ne vous rendra jamais heureux, peu importe les quelques bénéfices dont vous croyez pouvoir tirer, d’autant plus que vous entretiendrez une fausse perception de la réalité.

Ainsi, si vous pensez jouer un rôle dans un triangle de Karpman, vous devriez vraiment songer à en sortir.

Pour commencer, vous devez déjà prendre conscience du rôle que vous jouez ainsi que celui des autres personnes autour de nous. Observez la relation que vous avez avec eux. Pensez à vos émotions et comportements dans la vie de tous les jours, car ce sont toujours les mêmes scénarios qui reviennent inlassablement dans ce Jeu psychologique.

Une solution simple pour se sortir de là c’est de ne pas assumer votre rôle. Pour que le Triangle de Karpman fonctionne il faut une Victime, un Persécuteur, et un Sauveur.

Vous avez tendance à vous plaindre ? Vous devez rester acteur de votre vie. Devenez responsable et ne vous posez plus en victime à attendre constamment des autres qu’ils vous prennent en charge, lorsque vous êtes en difficulté.
Vous avez tendance à sauver les autres ? Vous devez vous rappeler qu’aider n’est pas sauver. Demandez-vous lorsque vous avez envie d’intervenir si la personne que vous aidez vous a fait une demande, si l’effort est partagé ou si vous allez (encore) tout faire seul(e), et surtout si vous avez bien défini la limite de cette aide.
Vous avez tendance à être agressif ? Vous devez veiller à tempérer votre colère. C’est encore plus vrai lorsque vous êtes mécontent du travail des autres, ou du comportement de vos proches. Apprenez à communiquer sans être agressif ou être trop autoritaire.
Un autre moyen de s’en sortir est de jouer le « miroir ». Si votre interlocuteur joue la Victime, faites la Victime, s’il joue le Sauveur, faites le Sauveur et s’il joue le Persécuteur, faites le Persécuteur. C’est une bonne façon de bloquer le jeu car vous ne jouez pas le rôle complémentaire.

Par exemple si quelqu’un se plaint à vous de ses difficultés pour que vous le preniez en charge, parlez vous aussi de vos propres malheurs et difficultés en essayant de vous faire prendre en charge.

Cela lui enverra le message clair que vous n’êtes pas son rôle complémentaire et qu’il devra aller chercher ailleurs son partenaire de Jeu !

Rester bienveillant et factuel, informatif, interrogatif, neutre et professionnel peut aussi montrer que l’on ne se laissera pas prendre. Demandez de clarifier très précisément ce qui est attendu de part et d’autre dans la relation pourra également aider votre interlocuteur à se “re-saisir”, pour répondre aux questions et participer à une discussion plus productive.

Une dernière stratégie plus violente – si rien ne marche – est de foncer dans le Jeu en créant une escalade de puissance. Beaucoup d’adeptes du Triangle Dramatique veulent jouer, mais de façon socialement acceptable et pas trop forte. Ils risquent d’arrêter rapidement leurs tentatives s’ils s’aperçoivent que vous risquez d’aller beaucoup plus loin et beaucoup plus fort qu’ils ne le souhaiteraient.

Le public, même s’il ne rentre pas dans le Triangle, peut aussi aider à arrêter les frais d’un Jeu de manipulation. Quelquefois, sortir d’une salle privée pour mettre la relation en public fera en sorte que votre interlocuteur ne trouve plus d’attrait à son rôle. D’autres fois, s’éloigner du public et retrouver “l’intimité” d’une relation privée permettra aussi de sortir du cercle infernal du Triangle de Karpman.

Cependant, la meilleure solution à mon sens est déjà de ne pas se prendre dans ce Jeu, en veillant à vous sortir de votre rôle dès que vous le reconnaissez dans une relation quelconque.

La Trousse De Secours de Claude Steiner

Pour les Sauveurs en herbe, voici un outil d’analyse transactionnelle qui vous sera bien utile. À partir du moment où vous vous dites “je devrais faire quelque chose pour cette personne”, ou bien que vous faites plus de 50% d’un travail ; voici 4 questions importantes à vous poser :

Est-ce que j’ai une responsabilité dans cette affaire ?
Est-ce que cela relève de ma compétence ?
Ai-je envie d’aider cette personne ?
M’a-t-on clairement demandé d’aider ?
Si vous dites “oui” à ces 4 questions, alors vous pouvez vous permettre d’aider la personne. Si vous dites “non” à l’une de ces questions et particulièrement la dernière alors arrêtez-vous un moment pour réfléchir à votre action. Si vous dites “non” à deux de ces questions ou plus, vous êtes en train de jouer le Sauveur n’y allez pas.

Alors, quel rôle jouez-vous actuellement ? Que comptez-vous faire pour vous sortir de là :/ ? Dites-nous tout dans les commentaires !

Pour aller plus loin : Victime, bourreau ou sauveur : comment sortir du piège ?, de Christel Petitcollin.

#UPLSP = Union des Peuples pour la Liberté et la Sauvegarde de la Planète

#cocoV19 #TriangleDeKarpman #psychologie #santé #covid19 #passVaccinal #T2KellOrigine #discriminations #France #maltraitance #manipulation #dépression #maladieMentale #Calimero #torture #psychiatrie #aide #victime #sauveur #persécuteur #bourreau

legeneralmidi@diaspora.psyco.fr

Bonjour, #AmnestyInternational me pourrit mon dimanche alors y'a pas de raison que je garde ça pour moi

EN SYRIE, 27 000 ENFANTS PRISONNIERS ABANDONNÉS DANS L’ENFER DU CAMP D’AL-HOL 

Des dizaines de milliers d'enfants syriens, irakiens et ressortissants de près de 60 pays tiers sont piégés dans l’enfer du camp d' #Al-Hol, le plus grand des deux principaux camps du nord-est de la #Syrie, une zone contrôlée par l'administration autonome #kurde. Après avoir survécu à la #guerre en Syrie, ils sont abandonnés à la misère, l’insécurité et la violence.

Depuis 2019 et la fin du conflit en Syrie avec le groupe armé autoproclamé #ÉtatIslamique (EI), environ 60 000 personnes sont détenues dans le camp d’Al-Hol. Des personnes affiliées à des degrés divers à l’EI, mais aussi des milliers de personnes qui n’ont aucun lien avec le groupe armé et qui ont afflué simplement parce qu’elles fuyaient le conflit.

Notre recherche se base sur des entretiens avec dix travailleurs humanitaires, menés en septembre et octobre 2021.

Dans la population du camp, une majorité de femmes et d’enfants. Des enfants issus de familles originaires d’une soixantaine de pays, souvent nés en Syrie sous le régime du groupe armé se désignant sous le nom d’ #EI et qui n’en ont que des souvenirs d’effroi et de violence.

Leur vie a été brisée par les décisions de leurs familles. Après avoir survécu à la guerre, ils sont aujourd’hui détenus à Al-Hol dans des conditions humanitaires déplorables.

DES VIES EN DANGER
Depuis deux ans, les enfants détenus dans le camp d’Al-Hol sont privés d’un accès suffisant à la nourriture, à l’eau potable, aux soins de santé et à l’éducation. Selon un rapport récent de #SavetheChildren, seuls 40 % des enfants du camp d'Al-Hol, âgés de 3 à 17 ans, reçoivent une éducation scolaire.

Pire, ils sont quotidiennement exposés à la misère et à l’insécurité. Soixante-dix-neuf personnes ont été tuées dans le camp cette année, dont trois enfants tués par balle. Quatorze autres enfants sont décédés au cours d’accidents divers, dont des incendies.

Ces conditions insupportables ont des répercussions notables sur la santé mentale déjà fragile des enfants

Diana Semaan, notre chercheuse au Moyen-Orient

SÉPARÉS DE LEUR FAMILLE
Les enfants sont également soumis à une autre forme de violence : la séparation forcée avec leur mère et leurs proches.

Des garçons âgés de 12 ans à peine sont transférés seuls, principalement sur la base de la présomption générale d'une « #radicalisation » potentielle des garçons, dans des centres dits de « réadaptation ». Des centres de détention où pullulent des maladies telles que la #tuberculose et la #gale.

Le camp est divisé en deux sections : le camp principal, qui abrite les ressortissants syriens et irakiens, et l'annexe qui abrite toutes les femmes et tous les enfants ressortissants de pays tiers. L'annexe est séparée du camp principal par des postes de contrôle.

De plus, les enfants de l'annexe âgés de plus de 2 ans ne sont pas autorisés à être accompagnés à l'hôpital par un proche lorsqu'ils doivent être transférés dans un hôpital en dehors du camp, dans le cas de rendez-vous avec des spécialistes demandés par une organisation humanitaire, après un processus long et fastidieux. Au lieu de cela, ils sont escortés par les forces de sécurité armées jusqu'à l'hôpital, et les proches ne sont pas tenus informés de l'état de santé de leurs enfants ni de l'endroit où ils se trouvent.

PRIVÉS DE LIBERTÉ ET DE SOINS

Car le camp d’Al-Hol est placé sous haute surveillance. Personne ne peut sortir du camp sans une autorisation préalable, même pour acheter des articles essentiels, voire vitaux. Et ces autorisations, dispensées par les Asayish, les forces de police de l'administration autonome kurde qui gèrent le camp, sont rarement accordées.

Selon les termes de la Convention relative aux droits de l’enfant de l’ONU, aucun enfant ne devrait être privé de sa liberté arbitrairement, et la détention d’un enfant doit être une mesure de dernier ressort et être d’une durée aussi brève que possible. 

Même pour accéder aux soins de santé, les femmes et les enfants qui vivent dans l’annexe du camp doivent obtenir une autorisation des Asayish, franchir un poste de contrôle et faire l'objet d'une collecte de données, avant de rejoindre la zone où les @humanitaires dispensent les soins.

Cette procédure oblige les femmes à se dévoiler chaque fois qu'elles franchissent le poste de contrôle et à être prises en photo, ce qui les décourage à solliciter des soins médicaux, pour elles ou leurs enfants, et entraîne parfois de graves problèmes médicaux, notamment des infections durables et de graves affections de la vue et de la santé dentaire.

Enfin, en raison du manque d'accès aux moyens de subsistance pour les adultes dans le camp et de l'accès insuffisant à des espaces sécurisés et à l'éducation, le travail des enfants est en augmentation.

LES OBSTACLES AU RETOUR  
Même lorsqu'ils obtiennent la permission de quitter le camp, les Syriens rencontrent des obstacles pour rentrer chez eux. Certains ont peur de retourner dans des zones contrôlées par le gouvernement syrien. Les femmes hésitent à rentrer sans leurs proches masculins, qui sont détenus ou ont disparu. Tandis que d'autres familles sont confrontées au rejet de l’Administration autonome de laisser partir certains de leurs membres et se retrouvent séparées.

Par ailleurs, le manque de moyen des organisations humanitaires présentes dans le nord-est de la Syrie les empêchent d’offrir des services de protection aux enfants syriens. Lorsqu’ils quittent le camp, les enfants risquent d’être victimes de traite des enfants, mariés de force ou recrutés par les forces armées. L’administration autonome kurde doit impérativement mettre en place un mécanisme clair de retour pour les enfants syriens, leurs mères ou les personnes qui les prennent en charge.

LE RAPATRIEMENT : LA SEULE CHANCE DE SORTIR DE L’ENFER
La vie de dizaines de milliers d’enfants a été brisée. Ces enfants n'ont aucune perspective d'un avenir meilleur tant qu'ils resteront détenus dans le camp d'Al-Hol.

La majorité des États occidentaux ont été réticents à s'engager pleinement dans le rapatriement de ces enfants. Pourtant, leur rapatriement est le seul moyen de les soustraire à cet environnement hostile et de leur assurer un avenir meilleur. C’est le seul moyen de garantir le droit de ces enfants à la vie, à la survie et au développement.

Les gouvernements des pays dont ils sont originaires doivent cesser de nier (ou d'ignorer) leurs obligations relatives aux #droitshumains et organiser leur rapatriement en urgence.  

Ces gouvernement doivent également garantir le droit de l'enfant à une vie familiale et le #droitdelenfant à ne pas être séparé de ses parents ou de son tuteur contre son gré, à moins que cette séparation ne soit dans l'intérêt supérieur de l'enfant.

#enfance #réfugiés #maltraitance #droitsdelenfant #droitsdelafemme #prison

tina@diaspora.psyco.fr

Le parlement a définitivement adopté le texte contre la maltraitance animale.

L'info était parue dans les actualités récemment, mais ce n'était pas encore validé ; cette fois-c'est la bonne.

Bémol : les associations espéraient également des mesures en faveur des animaux d’élevage et des animaux sauvages visés par la chasse, mais ces deux sujets, particulièrement sensibles et couvés par les lobbys agricole et cynégétique, ont été écartés du texte.

#justice #animal #condition-animale #maltraitance #protection-animale