#prison

anonymiss@despora.de

#Pay to stay: #Florida inmates charged for #prison cells long after incarceration

Source: https://www.abcactionnews.com/news/local-news/i-team-investigates/pay-to-stay-florida-inmates-charged-for-prison-cells-long-after-incarceration

Not only can the state bill an inmate the $50 a day even after they are released, Florida can also impose a new bill on the next occupant of that bed, potentially allowing the state to double, triple, or quadruple charge for the same bed.

Capitalism at Its best...


#usa #jail #crime #fail #problem #news #money #finance #capitalism #politics

anonymiss@despora.de

#Biden says he’s considering #Australia’s request to drop #prosecution of #Wikileaks founder #Assange

source: https://apnews.com/article/biden-australia-assange-wikileaks-2cd31cf5a9983f3523a7c3de72b5078e

For years, Australia has called on the U.S. to drop its prosecution against Assange, an Australian citizen who has fought U.S. extradition efforts from #prison in the U.K. Asked about the request on Wednesday, as he hosted Japanese Prime Minister Fumio Kishida for an official visit, Biden said, “We’re considering it.”

Hopefully he won't think about it until he forgets it again or is no longer President. 😒

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#politics #crime #diplomacy #news #president #USA #justice

theaitetos@diaspora.psyco.fr

UK Court Issues Weird Assange Decision, Leaving Him in Limbo Again

This is hardly a big win.
The #UK just keeps trying to kick this can, while #Julian continues to #rot in #prison.

Reuters:

#WikiLeaks founder #JulianAssange’s #extradition to the #UnitedStates from #Britain was put on hold on Tuesday after London’s High Court said the United States must provide assurances he would not face the #death #penalty.

U.S. prosecutors are seeking to put #Assange, 52, on trial on 18 counts, all bar one under the #EspionageAct, over WikiLeaks’ release of confidential U.S. military records and diplomatic cables.

After Britain gave the go-ahead for his extradition last year, Assange’s lawyers in February launched a final attempt in the English courts to challenge that decision... continue reading

dunoir@diaspora-fr.org
#Repression #Prison #Solidarité avec les #Anarchiste et #Anti-autoritaire #Incarcérés

Liste de personnes anarchistes et antiautoritaires en prison

Ce livret est une compilation d’appels à écrire et soutenir des personnes anarchistes et antiautoritaires qui sont emprisonnées pour leurs idées et actions à travers le monde.
Rappel : il est impératif de prendre en compte les situations des personne à qui vous écrivez et ne pas compromettre qui que se soit dans votre correspondance. Il est important d’écrire dans la langue dominante du pays dans lequel la personne est incarcérée afin de contourner la censure des courriers autant que faire se peut. Renseignez-vous des centres d’intérêt et des conditions d’échange que souhaite la personne que vous allez contacter.

Lien PDF : https://iaata.info/IMG/pdf/liste_de_personnes_anarchistes_detenues_a_travers_le_monde_pour_nos_idees-2.pdf

P.-S.
nous utilisons une adresse e-mail éphémère pour cette publication et à usage unique.
nous renouvelons la publication car il est apparu qu’il y a eu une mauvaise manipulation de notre part déso

dunoir@diaspora-fr.org
#Livre, #Lecture, #Lire, #AntiRépression, #Inégalités, #Justice, #Repression, #Prison #Police #ACAB #Oppression #Domination

“Décarcérer. Cahez cette prison que je ne saurais voir” de Sylvain Lhuissier

«L’ #enfermement des corps est une #violence. Cette violence ne peut qu’engendrer de la fracture, là où il faudrait du lien et de la réparation. Nous ne pouvons que tendre vers un monde sans prison, en cherchant dans chaque situation, le chemin d’une moindre violence».

On vous conseille vivement de lire "Décarcérer. Cachez cette prison que je ne saurais voir" de Sylvain Lhuissier, aux éditions Rue de l’échiquier.

Résolument #anti-carcéral, l’ouvrage “Décarcérer” de Sylvain Lhuissier nous apporte des arguments concrets et documentés pour contrer et déconstruire les éléments de langage #réactionnaires et les fausses informations diffusées sur la prison en #fRance.

Reprenant point par point les arguments sécuritaires qui n’ont pour but que d’enfermer les classes populaires, les personnes étrangères, les toxicomanes et autres indésirables, l’auteur démontre statistiquement que la prison ne sert à rien. Ni en termes de réparation du préjudice pour les #victimes, ni pour la #prévention de la délinquance, ni en termes de #réinsertion et de lutte contre la récidive.

Car la vraie raison de l’existence de ces lieux d’emprisonnement indignes, qui deviennent des mouroirs, c’est qu’ils jouent un «formidable rôle d’exclusion et de ségrégation». Voilà le rôle effectif, beaucoup moins avouable mais réellement efficace, des prisons. Surveiller, punir et évincer de l’espace public certaines populations car «elle ne concerne qu’une classe sociale restreinte. On fraude et on triche dans tous les milieux, mais seule une partie d’entre nous est destinée à aller en prison». «C’est aussi pour ça que peu la connaissent» explique l’auteur, et que beaucoup la fantasment. Parfois à travers des médias ou des séries télé qui ne reflètent en rien la réalité carcérale mais alimentent, sous prétexte de faits divers macabres, l’argument principal des défenseurs ignorants de la prison : on ne peut pas laisser les criminels dehors !

La réalité c’est que seules 1,5% des personnes incarcérées sont des tueurs ou des violeurs. Les criminels ne représentent que 1,5% de la population carcérale. Voilà un chiffre qui démonte tous les discours mensongers sur le fait que la prison permet d’écarter les personnes réellement dangereuses de la société. Non, la majorité des prisonniers le sont, pour 26%, pour des faits de vol et de recel.

On savait déjà que seulement 0,6% des viols étaient condamnés. Les crimes policiers restent eux aussi impunis… Et si on entend encore trop souvent que la prison met en sécurité la reste de la population, on entend trop peu que la récidive concerne plus de la moitié des ex-taulards. Oui, 59% des personnes enfermées dans ces conditions inhumaines se feront arrêter à nouveau, en état de récidive.

«On ne peut pas construire notre politique pénale et carcérale sur 1,5% de faits divers, aussi atroces soient-ils».

L’auteur de “Décarcérer” déconstruit les idées reçues et revient sur le traitement inhumain des prisonnier-es, les conditions d’insalubrité, la surpopulation, l’isolement, la violence physique, morale et sociale qu’ils subissent. La rupture avec les proches, la perte d’emploi, de logement consécutive, les symptômes de stress post-traumatique qui s’installent parfois pour de longues années après la sortie.

Sylvain Lhuissier amène plus largement à se questionner sur notre société de contrôle, de surveillance et de domination, et appelle chacun-e à prendre ses responsabilités, en tant que magistrat-es, politiques ou médias. Car tous portent la responsabilité de participer et de diffuser l’idée que la prison est la seule possibilité.
Plus largement, nous portons toutes et tous la responsabilité de fermer les yeux sur ce qui se passe dans les lieux d’enfermement. Cela nous concerne, concerne la société dans laquelle nous voulons vivre : «Ne laissons plus passer les caricatures et les mensonges sur la prison. Osons nous demander ce qu’on attend de notre justice. Comment on voudrait qu’elle soit rendue». Car «légitimer la prison, c’est légitimer une forme de violence et de domination».

Comme le démontre Sylvain Lhuissier, les alternatives sont multiples, mais nécessitent une réelle volonté de mettre fin au système d’oppression et de domination que représente la société carcérale. Ainsi, il interroge la justice pénale au sens large en tant qu’institution centrale, au cœur de notre société, et nous invite à repenser celle-ci au regard de la justice sociale, de la défense de nos services publics, de l’accès aux soins, au logement, à l’éducation… plutôt que par la répression et l’enfermement inhumain.

On vous conseille vivement de lire “Décarcérer. Cachez cette prison que je ne saurais voir” de Sylvain Lhuissier, aux éditions Rue de l’échiquier.

dunoir@diaspora-fr.org

#ViolencesdÉtat #ViolencesPolicières #racisme #Police #Justice #Prison #Frontières

Samedi 16 mars 2024 : marche internationale contre les violences d’État

À l’appel du Réseau d’Entraide Vérité et Justice, plusieurs mobilisations auront lieu ce samedi 16 mars 2024.

Cette marche annuelle a été initiée en France en 2011 par les familles de personnes assassinées, blessées et mutilées, pour faire de la mi-mars un moment de convergence contre le racisme systémique, les violences et les crimes d’État : de la police, de la justice, de la prison et des frontières.

  • À Paris, 13h12, place de la République. (13h12 ? 13h je pense ? et d'habitude c'est plutôt 14h même, mais ???)
  • À Rennes, 13h, République.
  • À Toulouse, 14h François Verdier.
  • À Bordeaux, 14h place de la Bourse.
dunoir@diaspora-fr.org

#AffaireDu8mars #LibreFlo #Justice #Police #AntiTerrorisme #Prison #Acab

Affaire du 8 décembre : poursuivre la mobilisation

Cinq mois après l’infâme procès contre les sept "inculpé.es du 8 décembre 2020", trois mois après un verdict d’une grande sévérité dépassant les réquisitoires du Parquet National Antiterroriste (PNAT), le combat n’est toujours pas fini pour nos compagnon.es. Alors que presque toustes ont fait appel, notre soutien financier et politique leur reste indispensable.

Un verdict abject
Les quatre semaines de procès durant lesquelles les inculpé.es et leurs avocat.es ont travaillé à démonter une instruction entièrement à charge n’ont absolument rien changé. Rien ne semble avoir imprimé dans l’oreille d’une juge qui est allé jusqu’à refuser de faire citer les flics responsables de l’enquête pour s’expliquer de leurs méthodes. Les sept accusé.es sont donc reconnu.es coupables d’« association de malfaiteurs terroriste » et trois d’entre elleux de « refus de communiquer ses conventions de déchiffrement ».
Les peines vont de 2 à 5 ans de prison, dont une partie en sursis probatoire. Des périodes de prison ferme sont prononcées pour cinq inculpé·es. Compte tenu du temps qu’iels ont déjà passé incarcéré.es en préventive, il leur reste entre 8 et 12 mois de ferme à purger, aménageable sous forme de bracelet électronique, auxquels viendra donc s’ajouter une période de sursis probatoire.

L’inscription au Fichier des auteurs d’infractions terroristes (FIJAIT), qui leur promet 20 ans de surveillance, d’obligation de pointer et d’impossibilité de se déplacer comme bon leur semble, est actée pour 6 des 7 inculpé.es.
Est également prononcée l’interdiction de communiquer entre elleux pendant tout le temps de leur peine, invention sadique de la juge qui n’était pas demandée par le parquet. A cela s’ajoute encore un panel de mesures de contrôle médico-social (obligation de soins, de travailler, de résidence fixe...) faisant de leur vie une longue série de rendez-vous chez le psy, l’addicto, le SPIP, l’éducateur.ice... pour s’assurer de leur "réinsertion".

Nous n’entrerons pas plus ici dans les détails du jugement pour chacun.e. On les trouvera, avec les comptes-rendus d’audience, sur le blog des soutiens.

Les inculpé.es font appel
Après quelques jours de réflexion, les six inculpé.es condamné.es à du sursis probatoire et à l’inscription au FIJAIT ont décidé de faire appel de la décision de justice. Quand aura lieu cet appel ? Personne n’en sait rien. Douze mois, quinze mois, plus, moins, les paris sont ouverts. Cela n’empêche de toute façon pas nos camarades de commencer à purger leur peine, l’appel n’étant pas suspensif.

Pourquoi alors prendre le risque d’un alourdissement de celle-ci, alors que nous n’avons pas plus confiance dans la Cour d’appel que dans celle de première instance ? Parce qu’au delà du besoin personnel de ne pas se laisser traîner dans la boue et ruiner sa vie sans réagir, il y a un besoin collectif de ne pas laisser graver dans le marbre une telle jurisprudence. Celle-ci laisserait toujours plus de champ libre à l’État pour utiliser les moyens de l’antiterrorisme pour réprimer des pratiques révolutionnaires, de lutte, ou même simplement des paroles et des idées. Tous les recours seront donc utilisés jusqu’au bout, n’en déplaise au PNAT [1].

...Et dans tous les cas, la thune.
Oui mais voilà, tout cela coûte du fric. Malgré un paquet d’événements de soutien depuis 3 ans, ainsi qu’une cagnotte et tout un tas d’aides en nature (logement, bouffe, trajets...) - on ne remerciera jamais assez toutes celleux qui ont mis la main à la patte, et iels sont nombreuses ! - cette affaire a déjà coûté beaucoup d’argent aux inculpé.es et à leur soutien : en frais de justice, en déplacement, etc. Pour se donner une idée, chacun.e des inculpé.es a déjà déboursé plus de 10 000€ de frais d’avocat.es, frais qui ont été partiellement financés par la solidarité collective, mais pas totalement, loin de là. Et ce n’est pas fini.

C’est pourquoi on lance, la mort dans l’âme, une nouvelle cagnotte pour recueillir les sous des soutiens. Voici son adresse : https://www.helloasso.com/associations/comite-vertigo/formulaires/9.
Diffusons-la partout, remplissons-la quand on le peut. Encore et encore, organisons des événements de soutien, et informons sur l’affaire du 8 décembre !
En bref

On fait appel de la décision rendue par une justice de classe qu’on dégueule, on fait appel à un soutien financier avec cette nouvelle cagnotte même si ça nous fait sacrément chier de toujours demander de la thune, et on appelle à continuer d’être solidaire de toutes celles et ceux qui subissent la répression parce qu’iels ont décidé de pas se laisser bouffer par ce monde de merde !!!

P.-S.
Infos et suivi des mobilisations ici :
https://soutienauxinculpeesdu8decembre.noblogs.org/
https://soutien812.net/

Notes
[1] L’appel n’étant pas le seul recours. Le 13 mars, Florian alias Libre Flot sera devant le Conseil d’État pour contester la légalité de la surveillance hors de toute procédure dont il a fait l’objet avant février 2020.

kcemorg@diaspora-fr.org

« À trois dans 8,5 m2 » : les prisons malades de la surpopulation carcérale

À la maison d’arrêt de Villepinte, en Seine-Saint-Denis, on ne compte plus les matelas au sol. Président du tribunal, procureur, juge d’application des peines : les acteurs de la chaîne pénale sont débordés, alors que le département s’apprête à accueillir les jeux Olympiques.

#prison #société

socialisme_libertaire@diaspora-fr.org

#EmmaGoldman #histoire #prison #anarchisme #anarchie

🆕 ★ EMMA GOLDMAN : UN AN AU PÉNITENCIER DE BLACKWELL’S ISLAND...

" Nous sommes en 1893, Emma a alors 24 ans et vient de rencontrer son nouveau compagnon Edward Brady, natif d’Autriche où il vient de purger une peine de 10 années de prison pour publication d’écrits illégaux. Son ancien amant Alexandre « Sasha » Berkman est lui même incarcéré pour avoir tenté d’assassiner un patron d’industrie l’année précédente, Henry Clay Frick (cf. l’index des noms à la fin). Accusée « d’incitation à l’émeute » lors d’un discours prononcé à Union Square, Emma est arrêtée à Philadelphie puis extradée vers l’État de New York. La police lui propose, sans succès, de devenir indic pour éviter la prison. L’instruction se base sur les notes d’un agent de police, prétendument prises durant le meeting, alors que douze personnes présentes témoignèrent de l’impossibilité physique de prendre des notes à cause de la foule et qu’un expert déclara que l’écriture était bien trop régulière pour avoir été prise debout dans un endroit bondé. Un journaliste du World de New York témoigna en sa faveur mais ce fut sa perte. En effet, le lendemain du meeting, le World avait publié un article de ce même journaliste rendant compte du discours d’Emma à Union Square. Or, l’article avait été retouché et le propos du journaliste, complètement modifié, accusait Emma. Le journaliste n’osa pas témoigner contre son employeur en plein tribunal et son article fut suppléé à son témoignage. Contre l’avis de son avocat elle refusa de faire appel : la farce de son procès avait renforcé son opposition à l’État et elle ne voulait lui demander aucune faveur. Son avocat refusa alors d’être présent le jour du jugement. Le même World qui lui avait joué un si mauvais tour lui proposa de publier le discours qu’elle avait préparé pour s’adresser au jury ; elle y consenti, sous réserve d’avoir accès aux épreuves avant le tirage. Emma ne fut pas autorisée à adresser le discours qu’elle avait préparé au tribunal mais l’édition spéciale du World sortit comme prévu juste après le verdict de la cour. Elle fut condamnée à un an de détention au pénitencier de Blackwell’s Island (littéralement : l’île du puits noir)... "

▶ Lire la suite...

https://www.socialisme-libertaire.fr/2023/09/emma-goldman-un-an-au-penitencier-de-blackwell-s-island.html

kcemorg@diaspora-fr.org

A mort les fainéants !

Le gouvernement a plus d’égards pour les condamnés à la prison que pour les chômeurs au RSA. J’ai relevé et comparé quelques chiffres qui le prouvent.

RSA :
- Le RSA = 605,75€/mois
- L'obligation pour les bénéficiaires du RSA de consacrer 15 heures par semaine à une activité :
15h/semaines au smic devraient rapporter 632€/mois (déjà l’arnaque. Moins bien payé qu’un job officiel.)

Prison :
- Si vous vous retrouvez en prison, cela coûtera à l’état 105€/jour (le chômeur à la rue ne coûte rien)
- Si vous y travaillez : 45% du SMIC horaire brut pour les activités de production, 33%, 25% ou 20% pour le service général selon la classe dont relève le poste.
45% du Smic = 795,11 €

Conclusion, mieux vaut être condamné qu’au RSA. On sera logé, nourrit, et mieux payé...

#RSA #chomage #prison #chiffres

smokeinfog@diasp.org

#legalSlavery #ThereIsNoEthicalConsumptionUnderCapitalism

Prisoners in the US are part of a hidden workforce linked to hundreds of popular food brands

ANGOLA, La. (AP) — A hidden path to America’s dinner tables begins here, at an unlikely source – a former Southern slave plantation that is now the country’s largest maximum-security prison.

Unmarked trucks packed with prison-raised cattle roll out of the Louisiana State Penitentiary, where men are sentenced to hard labor and forced to work, for pennies an hour or sometimes nothing at all. After rumbling down a country road to an auction house, the cows are bought by a local rancher and then followed by The Associated Press another 600 miles to a Texas slaughterhouse that feeds into the supply chains of giants like McDonald’s, Walmart and Cargill.

Intricate, invisible webs, just like this one, link some of the world’s largest food companies and most popular brands to jobs performed by U.S. prisoners nationwide, according to a sweeping two-year AP investigation into prison labor that tied hundreds of millions of dollars’ worth of agricultural products to goods sold on the open market.

They are among America’s most vulnerable laborers. If they refuse to work, some can jeopardize their chances of parole or face punishment like being sent to solitary confinement. They also are often excluded from protections guaranteed to almost all other full-time workers, even when they are seriously injured or killed on the job.

. . .

#prison #slave #labor #UnitedStates #capitalism #labour #laborRights #AssociatedPress

girlofthesea@diasporasocial.net

#jews #nazi #prison #camps #artists #literature #books #reading #my book #myphoto

TEREZIN was a concentration camp 30 miles north of Prague in the Czech Republic during the World War II. It was originally a holiday resort reserved for Czech nobility. Terezín is contained within the walls of the famed fortress Theresienstadt, which was created by Emperor Joseph II of Austria in the late 18th century and named in honor of his mother, Empress Maria Theresa.

By 1940 Nazi Germany had assigned the Gestapo to turn Terezín into a Jewish ghetto and concentration camp. It held primarily Jews from Czechoslovakia, as well as tens of thousands of Jews deported chiefly from Germany and Austria, as well as hundreds from the Netherlands and Denmark. More than 150,000 Jews were sent there, including 15,000 children, and held there for months or years, before being sent by rail transports to their deaths at Treblinka and Auschwitz extermination camps in occupied Poland, as well as to smaller camps elsewhere. Less than 150 children survived.