#blocage

citoyen_candide@diaspora-fr.org

Mais dans quel monde vit-on ?

Une proposition de loi instaurant la vaccination obligatoire contre le SARS-CoV-2, est en examen au sénat.

Parmi les amendements, la possibilité de sanctionner d’une amende pouvant aller jusqu’à 1500 euros les parents qui refusent de soumettre leur(s) enfant(s) à la vaccination obligatoire à compter du 01 janvier 2022

Ce texte sera discuté en séance le 13 octobre.

Comment interpeller son sénateur ou sa sénatrice ?

connaître la personne élue pour votre circonscription

Ensuite pour les contacter, il faut passer par les groupes (socialiste, udi, les républicains, etc)
et cherche une personne pour avoir ses coordonnées.

#fr #politique #santé #covid19 #soft-dictature #flicage #dellation #apartheid #vaccination #vaccins #obligation-vaccinale #GJ #gilets-jaunes #constitution #démocratie #resistance #blocage #greve-generale #article35

oursnoir@diaspora.psyco.fr
cnt_stp_67@diaspora.psyco.fr

Contre le pass sanitaire

La CNT STP 67 appelle à participer aux manifestations contre le "passe sanitaire", imposé par le gouvernement à travers un chantage à la soi-disant "santé publique".

Ce "passe" est :
- un outil inefficace pour la santé publique, voir notre analyse plus bas ;
- un instrument de surveillance généralisée et de division de toute la population, qui est contraire aux libertés constitutionnelles et aux Droits Humains, et qui constitue le premier pas vers un système de flicage général et permanent inspiré du "crédit social" en vigueur p.ex. en Chine ;
- un écran de fumée orchestré par le gouvernement visant à masquer les luttes sociales cruciales qui sont en cours autour de nos conquis sociaux, notamment contre la destruction du droit à la retraite et du droit au chômage.

Ce "passe" est donc une arme policière anti-travailleurs/ses inventée par le patronat et mise en place par un État qui est tout à son service. Notre santé et nos vies ils s'en foutent, seul le fric, notre fric, les intéresse, et ils sont prêts à tout pour ça, y compris à détruire encore plus l'hôpital public, à imposer la répression policière brutale partout, et à surveiller et contrôler jusqu'au moindre détail de nos vies afin de nous asservir à tout jamais à leur profit.

Contre cela, une seule stratégie de combat a fait ses preuves : #grève, #blocage et #sabotage ! Toutes et tous dans la rue pour nos conquis sociaux et contre ce totalitarisme naissant !

Concernant la prétendue utilité du "passe sanitaire" pour la santé publique :

Si la bourgeoisie, à travers ses élu.e.s et ses média, entretient la confusion entre la lutte contre le passe sanitaire et les mouvances anti-vaccins, ce n'est pas notre cas : les vaccins ont un utilité publique, la #surveillance et le contrôle social et policier, non.
Les travailleuses et travailleurs ont identifié dès le début de la crise du #COVID de manière unanime et sans équivoque leurs besoins en santé :
- des masques disponibles et gratuits, malgré la désinformation du gouvernement au début de l'épidémie ;
- un dépistage systématique du virus, par des tests fiables et gratuits ;
- surtout, beaucoup plus de personnel hospitalier, et qui bénéficie d'une rémunération et de conditions de travail correctes ;
- et par conséquent, une augmentation importante du nombre de lits de réanimation.
- En somme : du fric pour l'hôpital public, et non pas pour les flics, l'armée et les patrons d'industrie !

La désorganisation créée par le gouvernement a d'abord été compensée assez largement par l'auto-discipline de chacune et chacun, à l'exception notable d'une bourgeoisie imbue de ses privilèges dans ses restaurants parisiens.

Non seulement les effets du confinement ont été contrés en rétablissant au plus vite le sacro-saint travail et ses bénéfices patronaux, au mépris des risques que les patrons et le gouvernement nous font courir, sans résoudre aucun des problèmes pointés par les seules personnes compétentes, à savoir celles qui travaillent dans les hôpitaux.
Mais en plus, nos demandes paraissent d'autant plus dérisoires lorsqu'on constate les budgets votés par l'État:
- + 1,7 milliard pour les armées¹
- + 1,4 milliard pour la police²
- 1 milliard pour les industries³
Ça en fait de l'"argent magique" pris dans les poches des travailleurs/ses et qui manque à la santé publique ! Les mutilé.e.s par la police, les yéménites bombardé.e.s par nos canons seront sûrement ravi.e.s de savoir que c'est pour la relance économique en France qu'on les mutile et tue...

Et pendant ce temps il y a quoi pour le personnel soignant ? Une hausse dérisoire et des applaudissements commandés. Du côté du nombre d'hôpitaux, la couverture était déjà catastrophique avant l'épidémie (p.ex. il n'existe aucun service de réanimation entre Colmar et Strasbourg, de sorte qu'un.e patient.e qui fait un infarctus dans la vallée de Liepvre est renvoyé.e à Colmar, perdant 10 à 15 minutes décisives), et elle a encore empiré depuis, car le gouvernement continue de fermer des lits d'hôpitaux en pleine épidémie, intentionnellement. Le vrai problème de la santé publique en France ne s'appelle pas "virus", "épidémie","masques", "tests", "taux d'incidence", 'taux de reproduction" ou "vaccins" : il s'appelle tout simplement "5000 lits de réanimation pour 67 millions d'habitant.e.s", un nombre ridiculement bas dû à des années de destruction systématique de l'hôpital public. Si les services hospitaliers arrivent encore à soigner en France, c'est bien malgré l'État, qui a décidé de matraquer, surveiller, contrôler, ficher et tuer encore plus.

D'autres solutions évidentes, mais qui n'arrangent pas les patrons ni l'État ont fait leurs preuves : l'arrêt du travail inutile a été décisif lors de la première vague. Aller travailler lors d'une épidémie, entre les collègues, les clients, les transports en commun, signifie prendre des risques de contagion significatifs sans aucune valeur autre que celle de continuer à produire pour faire vivre les patrons et l'État. Nous y sacrifions, sans nécessité, notre santé pour le seul bien de nos patrons. Arrêter de travailler est une solution d'auto-protection des travailleurs/ses qui révèle l'absurdité du capitalisme à nos dirigeant.e.s, et qui démontre leur rejet du doute, donc de la science. Ce qui incite bien sûr certain.e.s, notamment d'extrême-droite, à penser et agir comme cet État oppresseur.

Le #passesanitaire est la dernière chose à faire si on veut en finir avec l'épidémie. On peut l'assimiler aux tentatives de tous les gouvernements de vendre nos données de santé aux assurances, ou de la surveillance électronique depuis le fichier FAED sous Mitterrand, surveillances sans cesse étendues, quitte à payer des amendes tous les ans à l'Union Européenne pour non-respect des Droits Humains. Tiens, encore de l'argent magique dépensé aux frais de la population...

Pour combattre les épidémies produites par #capitalisme, combattons son système de #surveillance, et donc le passe sanitaire.

http://www.cnt-f.org/cnt67/2021/07/30/contre-le-passe-sanitaire/

[1] https://www.usinenouvelle.com/editorial/le-budget-2021-des-armees-en-cinq-chiffres-cles.N1011169
[2] https://www.publicsenat.fr/article/parlementaire/police-gendarmerie-le-senat-adopte-un-budget-gonfle-par-le-plan-de-relance
[3] https://www.bpifrance.fr/nos-actualites/plan-de-relance-pour-lindustrie
[5] https://www.europe1.fr/sante/covid-19-le-nombre-de-patients-en-services-de-rea-passe-sous-les-4500-4044968
bastamedia@framasphere.org
bastamedia@framasphere.org
technologz@joindiaspora.com

message tournant pour #blocage,
je fais passer :

On remet ça ce mercredi 18 mai, RDV à La Maison des Syndicats à Bassens, à 22 h, 2 rue Franklin
L'intersyndicale et l'interpro vont mener avec le Collectif de Lutte de la Rive Droite une action de blocage de l'économie toujours dans le mouvement contre la loi travail et la réforme de l'assurance chômage et appellent à la convergence des luttes !
Une soupe chaude sera normalement distribuée aux participants.
Emmenez des jeux, pétanque si l'endroit s'y prête..., une guitare pour un peu d'ambiance autour du feu... !
Solidairement,
Collectif de Lutte de la Rive Droite

#LoiTravail #ConvergenceDesLuttes #NuitDeboutBordeaux