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L’industrie française jusqu’au point de non-retour ? | Mediapart

#économie #industrie #souveraineté

Depuis un certain temps, les responsables politiques français ne parlent que de réindustrialisation. Avec des années de retard, ils ont fini par réaliser que l’industrie, finalement, était importante. Non seulement en elle-même, mais pour les effets d’entraînement qu’elle a sur l’ensemble de l’économie. S’il en était besoin, la crise du covid, les tensions géopolitiques, les guerres commerciales, la transition écologique sont venues rappeler combien il est essentiel de maîtriser nombre de productions, de chaînes de valeur, de canaux d’approvisionnement et de technologies.

Néanmoins, c’est dans une quasi-indifférence qu’ils assistent à la destruction industrielle actuellement à l’œuvre et qui prend une tournure catastrophique. Chaque jour ou presque, un nouveau plan social, une nouvelle fermeture de site sont annoncés. Va-t-on atteindre un palier irréversible, en deçà duquel toute perspective de reconstruire une industrie va devenir irréaliste ?
Des pneus déposés à l'entrée de l’usine Michelin de Cholet lors d’une grève des salariés, le 21 novembre 2024. © Photo Loïc Venances / AFP

« Il est difficile de parler d’un seuil de masse critique pour l’industrie, cadre Vincent Vicard, auteur de Faut-il réindustrialiser la France ? et économiste au Centre d’études prospectives et d'informations internationales (Cepii). Mais il est indéniable qu’il existe des logiques industrielles, des écosystèmes. Leur rôle est compliqué à évaluer. Ils peuvent varier selon les secteurs : la défense et l’aéronautique n’ont pas les mêmes ressorts que l’automobile. Leur disparition a des effets très longs et préjudiciables, notamment au niveau local. »
Une industrie réduite à peau de chagrin

Michelin, Valeo, Fonderie de Bretagne, ArcelorMittal à Reims et à Denain, tout le secteur automobile, qui connaît une crise sans précédent, se retrouve en première ligne. L’émergence du véhicule électrique, qui bouleverse les technologies, les savoir-faire acquis depuis plus d’un siècle, la concurrence sans frein chinoise, mais aussi des stratégies cupides inadaptées sont en train d’ébranler une filière qui est au cœur de l’économie européenne. Donnant un aperçu des dégâts provoqués par une transition écologique et industrielle mal pensée et mal conduite.

Mais les sinistres ne s’arrêtent pas là et vont bien au-delà des conflits sociaux emblématiques de Vencorex ou Exxon. Chimie, papier, métallurgie, matériaux de construction, équipements industriels et même pharmacie… pas un secteur industriel ne semble épargné. La CGT a recensé 286 plans sociaux depuis septembre 2023. Il faut remonter aux années sombres de la crise de 2009-2010 pour retrouver une saignée comparable.

Le drame est que ces nouvelles destructions viennent affaiblir un peu plus un tissu industriel déjà particulièrement fragilisé. À l’exception de la Grande-Bretagne, aucun autre pays européen que la France ne s’est converti avec autant de zèle aux « lois darwiniennes » du marché. Aucun n’a accepté une désindustrialisation aussi accélérée. Un mouvement souvent poussé par nos « champions nationaux » adeptes des délocalisations à outrance, et d’une industrie sans usines.

Entre 1974 et aujourd’hui, la part de l’industrie dans le PIB est tombée de 28,7 % à 10 % – un niveau comparable à celui de ces grands pays industriels que sont le Luxembourg ou Malte –, quand elle est encore de 23 % en Allemagne, de 18 % en Italie. Ces derniers ont pourtant des coûts salariaux comparables.

Un des exemples les plus marquants est à nouveau dans le secteur automobile. Depuis la fin des années 1990, nos deux constructeurs ont systématiquement opté pour la délocalisation dans des pays à bas coûts. Dès 2015, Renault et PSA produisaient moins de voitures sur le territoire français qu’au début des années 1960, entraînant déjà la fermeture ou la délocalisation de nombre de leurs sous-traitants.

« Pour acheter un véhicule produit en France, il va falloir acheter du Toyota », grince, amère, Sophie Binet. Le constructeur automobile japonais continue, lui, de produire en France et gagne de l’argent, ce qui tend à prouver qu’il n’y a pas de fatalité à la désindustrialisation. Encore faut-il en avoir l’ambition.
Effet domino

Ces abandons industriels se sont accompagnés d’une destruction considérable du capital humain, rarement prise en compte. Des savoir-faire, des compétences, accumulés parfois depuis des décennies, ont été liquidés dans l’indifférence générale. Entre 1974 et 2023, le nombre d’emplois dans l’industrie est tombé de 5,5 millions à 3,2 millions. « Les nouvelles technologies, la hausse de la productivité ont conduit à la suppression d’une partie des emplois industriels. Mais d’une partie seulement », explique Vincent Vicard.

Les politiques publiques mises en œuvre ces dernières années ont juste permis de stabiliser le nombre d’emplois industriels. Mais une nouvelle hémorragie se profile. Selon les estimations de la CGT, plus de 70 586 emplois sont directement menacés. Auxquels il faut ajouter la menace sur les emplois indirects, qui pourraient aller de 54 664 à 129 744 postes, selon ses hypothèses.

L’effet domino risque de jouer à plein. Au-delà de la fermeture d’un site, de la suppression d’emplois, tout le tissu économique environnant, des clients aux fournisseurs, en passant par les prestataires de services sont menacés. Car, même réduite, l’industrie reste l’un des principaux vecteurs de la création d’emploi à haute valeur ajoutée – recherche et innovation, cabinets d’ingénierie, informatique, gestion des données, cybersécurité, financement et même avocats d’affaires –, devenus indispensables à l’économie. Lorsqu’un site industriel disparaît, ils disparaissent aussi, si la dynamique territoriale n’est pas suffisante pour permettre leur maintien.

Trente ans ou quarante ans après, des territoires entiers dans le Nord, les Vosges, le Centre ou ailleurs portent encore les stigmates de la disparition de leurs usines textiles, minières, métallurgiques, de chaussures ou d’électroménager. Peu d’activités sont parvenues à prendre le relais.

Les gouvernements successifs n’ont guère tiré de leçons de ces expériences amères. Ne jurant que par la politique de l’offre, toutes leurs initiatives menées pour tenter d’attirer des investisseurs, de nouveaux sites industriels, reposent sur les mêmes ingrédients. L’attractivité se décline sous le seul angle d’une compétitivité par l’abaissement du coût du travail en négligeant tous les autres paramètres.

Plus de 26,8 milliards d’euros ont été dispensés par an depuis 2020 en allégements fiscaux et sociaux et en subventions, distribués sans contrepartie ni contrôle, selon la Cour des comptes. Pour un résultat des plus médiocres, de l’avis même de l’institution. « Les projets en France comportent moins de créations de site qu’en Allemagne et au Royaume-Uni », note-t-elle dans son dernier rapport sur la politique industrielle publiée fin novembre.
Absence de dynamique

Le constat n’est guère étonnant. Ces dernières années, une véritable bataille s’est engagée entre les pays, notamment en Europe, afin d’attirer de nouvelles industries, de rattraper les retards accumulés dans les nouvelles technologies (semi-conducteurs, intelligence artificielle, médicaments, gigafactories). Les grands groupes font monter les enchères autant qu’ils le peuvent, essayant de décrocher les conditions les plus favorables en termes de subventions, exemptions par rapport au fisc, au droit du travail, au droit de l’environnement et autres.

Dans ces bagarres, la France est le plus souvent perdante. Non pas parce qu’elle offre moins d’argent public, ou moins d’exemptions. Mais parce que l’attractivité se mesure bien au-delà du coût du travail. Elle englobe une série de facteurs que les politiques industrielles n’ont cessé de négliger. En termes de compétences, de savoir-faire, de dynamique industrielle, la France offre beaucoup moins que les pays voisins en concurrence.

Les grandes plateformes industrielles, offrant débouchés, filières, réservoir de main-d’œuvre formée, universités, centres de recherche, sont de moins en moins nombreuses. Les dépenses de recherche et développement, d’innovation ont été déléguées, au nom de la bonne gestion, au privé. En dépit de l’explosion du crédit d’impôt recherche (plus de 7 milliards d’euros en 2023), la recherche française ne cesse de reculer. Les écoles de commerce ont été privilégiées aux formations d’ingénieurs.

Et pour faire bonne mesure, les pouvoirs publics, au nom de la bonne gestion, ont supprimé nombre de services publics – tribunaux, perceptions, gares, puis hôpitaux, postes et maintenant écoles –, dégradant un peu plus l’attractivité des territoires les moins bien lotis, accélérant l’exode des emplois plus qualifiés vers les grands centres.

Si aucune politique d’envergure ne vient arrêter la destruction industrielle en cours et corriger les excès passés, cette désertification économique risque de s’accélérer, accentuant le sentiment d’abandon de nombreux habitants sur tout le territoire. Elle risque aussi de condamner l’économie française à une stagnation, n’étant plus capable de créer que des emplois de troisième zone, précarisés et mal payés.

https://www.mediapart.fr/journal/economie-et-social/161224/l-industrie-francaise-jusqu-au-point-de-non-retour

simona@pod.geraspora.de

#Habeck fordert von #VW das 20.000-Euro-E-Auto <- einfache Lösung, ist das nicht #Populismus?

Siehe: https://www.golem.de/news/bezahlbare-mobilitaet-habeck-fordert-von-vw-das-20-000-euro-e-auto-2412-191721.html

Zu Habecks Verteidigung muss ich sagen, dass er bereits vor Corona die Autoindustrie gewarnt hat, dass sie Marktanteile verlieren werden wenn sie kein kostengünstiges Auto anbieten werden. Aber egal wie kriminell VW bei Dieselmotoren ist, kann ich mir nicht vorstellen, dass die so strunzdoof sind und kein billigeres Auto anbieten würden wenn sie könnten. Gerade VW merkt doch, dass kaum noch jemand mehr VW-POLO kauft und statt dessen lieber bei Skoda (der Billigmarke von VW).

Was Habeck also eigentlich fordert ist ein billig Auto, dass trotzdem in Deutschland gefertigt wird, um die Arbeitsplätze zu erhalten!

Also mal wieder einfache populistische Forderungen auf komplexe bürokratische Probleme ...

Aber Habeck sollte nicht nur olivgrün sondern auch grün sein und das Ganze im Blick haben. Jeder ein E-Auto verträgt die #Umwelt auch nicht. Wir brauchen vielleicht als Übergangslösung billige E-Autos aber langfristig ein völlig neues umweltfreundliches Verkehrskonzept. Warum nicht VW pleite gehen lassen und die freiwerden Kapazitäten in den Ausbau des öffentlichen Nahverkehrs stecken sowie fahrradfreundliche Städte?

#Zukunft #Wirtschaft #Problem #Politik #Handel #Industrie #Arbeitsplätze #Kaufkraft #auto #Verkehr #Emissionen #Erde #Klima

simona@pod.geraspora.de

Ist BWL eine #Wissenschaft?

Da hat man den VW-Konzern jahrelang gewarnt, dass die Leute nicht ewig Diesel kaufen werden aber vergeblich. BWLer dachten sie könnten das mit Ignoranz aussitzen (der alte Trick, der schon bei Merkel nicht funktioniert hat).

Deswegen Vergleiche ich mal VW mit einer Gans:
Die Gans wird gefüttert und findet das toll. Sie macht sich um die Zukunft keine Sorgen. Es gibt jedem Tag Futter. Die Gans mag den Menschen, der sie füttert und jeden Tag wird das Gefühl noch verstärkt.

Doch dann ist Weihnachten 😱🔪 🍗

Für VW ist jetzt auch Weihnachten und deswegen ist VW eine dumme Gans und BWL eine Vernichtungswissenschaft!

#wirtschaft #zukunft #Problem #politik #Handel #Veränderung #auto #Industrie #Führung #Management

deutschlandfunk@squeet.me

Mercosur-Abkommen - Vorteile für Industrie, Konkurrenz für Bauern

EU-Mercosur-Abkommen - Vorteile für die deutsche Industrie, mehr Konkurrenz für Bauern

In Deutschland würden vom EU-Mercosur-Abkommen vor allem Autobauer und Autozulieferer, Chemie- und Pharmaunternehmen sowie der Maschinenbau profitieren.#Mercosur #INDUSTRIE #LANDWIRTSCHAFT
Mercosur-Abkommen - Vorteile für Industrie, Konkurrenz für Bauern

wazoox@diasp.eu

Yves Stébé sur LinkedIn

#industrie #souveraineté #économie

#INDUSTRIE : #STELLANTIS : LE JEU TRÈS PERSO D'UN PERVERS NARCISSIQUE. La stratégie de Tavares fut la même que celle de Breton, mon ancien patron chez Thomson : le jeu très perso d'un patron sans talent à l'égo surdimensionné. Puisque le PDG est payé en fonction du résultat du groupe, avant un départ programmé, Breton et Tavares ont décidé des actions faciles pour faire flamber la marge : ce sont des réductions de coûts à outrance et des partenariats avec des concurrents (Leapmotor, par exemple). Ces actions faciles sur le court terme ont des conséquences dramatiques sur le long terme. Le cours de l'action explose avant de chuter. Le PDG est glorifié avant d'être éjecté. Bien évidemment, les salariés souffrent : mais les pervers narcissiques adorent faire souffrir leurs proies ! Décryptage.

➡️ Les fermetures d'usines sont la partie émergée de l'iceberg.

👉 Avant, il y a eu le départ des meilleurs cadres dirigeants, qui ont apporté leurs talents à la concurrence : seuls les mauvais restent dans le marigot !!!

👉 Encore avant, il y a eu le décapage aveugle des budgets organisé par une équipe de cost-killers : on supprime aux salariés les moyens de travailler, donc les salariés ne travaillent plus !!!

👉 Au départ, il y a eu la décision suicidaire des actionnaires d'obtenir une rentabilité de 15 %, qui est la norme des fonds de pension américains, alors que dans l'industrie la rentabilité moyenne est de 10 %.

Conclusion. Les mêmes causes produisent les mêmes effets : Thomson n'existe plus, Stellantis aura disparu dans 10 ans. J'ai mouillé ma chemise dans l'industrie : c'était une erreur. En France, il faut être médecin ou avocat si on veut réussir sans subir les départs forcés. La réindustrialisation du pays ? Impossible. CQFD

deutschlandfunk@squeet.me

Ifo-Präsident Fuest: Was tun gegen drohende Deindustrialisierung

Ifo-Präsident Fuest - Was gegen eine drohende Deindustrialisierung getan werden muss

Die Krise der Industrie hat die Politik mitverursacht, sagt ifo-Präsident Clemens Fuest. Die müsse nun vor allem für neue Industrien gute Bedingungen schaffen.#ClemensFuest #ifoInstitut #INDUSTRIE #KONJUNKTUR #Deindustrialisierung
Ifo-Präsident Fuest: Was tun gegen drohende Deindustrialisierung

deutschlandfunk@squeet.me

Thyssenkrupp baut 40 Prozent der Arbeitsplätze in Deutschland ab

Stahlindustrie - Stahlsparte von Thyssenkrupp plant massiven Stellenabbau

Jahrelange Verluste in Milliardenhöhe führen bei Thyssenkrupp zu Abbau von Arbeitsplätzen. IG-Metall kündigt Widerstand gegen betriebsbedingte Kündigungen an.#WIRTSCHAFT #Stahlindustrie #INDUSTRIE #Schwerindustrie #ThyssenKrupp
Thyssenkrupp baut 40 Prozent der Arbeitsplätze in Deutschland ab

wazoox@diasp.eu

Cyrus Faranghi sur LinkedIn

#politique #énergie #environnement #industrie #climat #effondrement

Eh beh... l'écart de compétitivité industrielle entre la France et la Chine n'est pô prêt de se refermer. 😮 À ce train-là ce n'est pas de la sobriété c'est de l'effondrement. Soit l'industrie chinoise finira par balayer la nôtre, soit on augmente les tarifs sur les importations chinoises, la Chine applique des mesures de rétorsion et tout devient plus cher pour les entreprises et les ménages de France. Dans les deux cas ça se termine mal.

Ce qui suit n'engage que moi mais en ~2040-2050 la France paiera peut-être son électricité 3-4 fois plus chère qu'aujourd'hui. Pourquoi ?

1) Il est devenu quasiment interdit en France de faire du photovoltaique au sol classique qui pourrait partir à 50-60€/MWh (voire moins à l'avenir), même si l'on respecte scrupuleusement la séquence ERC, même sur des terrains pauvres en biodiversité, alors qu'on parle d'une "emprise" (et non d'une "destruction") de 50-100k ha à terme, à comparer à notre SAU de 28 millions d'hectares.

Pourquoi pas ne faire du PV que sur des terrains artificialisés ou des toitures ! 🙂 Mais ce sera 2-3 fois plus cher pour les ménages et les entreprises. Il faut juste le savoir (au risque de paraître provocateur : moi je m'en fous je suis payé pareil et de toute façon je cours pas après le pognon, sinon j'aurais fait carrément autre chose de ma vie).

Pendant ce temps en Chine les centrales PV produiront de l'électricité pour une bouchée de pain. Certes chez nous on n'a pas de déserts, mais on ne fait pas grand-chose pour surmonter notre désavantage géographique.

2) On ne veut plus d'éolien terrestre qui pourrait partir à 40-50€/MWh et on privilégie l'offshore (et encore, même ça on n'aime pas), plus cher. Certes le service rendu n'est pas tout à fait le même, le vent souffle davantage en mer.

3) Notre nouveau nucléaire sera beaucoup plus cher que notre ancien nucléaire, au moins 12 milliards € par réacteur EPR2. Pendant ce temps la Chine construit des réacteurs à 2 milliards par pièce.

4) Notre Etat, dont les finances sont déjà bien mal en point, va reporter les pertes de recettes fiscales sur le carburant vers des taxes plus élevées sur l'électricité. La tendance est déjà à l'œuvre.

5) A tout cela il va falloir rajouter les coûts de rénovation du réseau électrique et les coûts de flexibilité liés à la gestion de la variabilité de l'éolien et du solaire (mais sur ce point, c'est aussi le cas en Chine et partout ailleurs).

Pourquoi faire une telle fixette sur l'électricité alors que ça ne représente "que" 25% de l'énergie qu'on consomme en France ? Parce qu'avec la sortie des fossiles et l'électrification des transports et de l'industrie, ça deviendra tôt ou tard la principale forme d'énergie que nous consommerons, et qui déterminera une part importante de la compétitivité industrielle et de la sécurité énergétique.

Article de PV magazine dont est tirée cette photo :

La deuxième plus grande centrale solaire du monde est mise en service en Chine – pv magazine France

deutschlandfunk@squeet.me

Weltklimagipfel: Habeck setzt Impulse für Umbau der Industrie

Weltklimakonferenz - Habeck setzt Impulse für weltweiten Umbau der Industrie

Wirtschaftsminister Habeck hat auf dem Weltklimagipfel Unterstützung für die Dekarbonisierung schwerer Industrien wie Stahl und Zement angekündigt.#Weltklimagipfel #BAKU #Weltklimakonferenz #Transformation #KLIMA #Klimawandel #COP29 #1 #5-Grad-Ziel #Dekarbonisierung #INDUSTRIE
Weltklimagipfel: Habeck setzt Impulse für Umbau der Industrie

dudababel@diaspora-fr.org

Aidez moi dans la lutte contre Pure Salmon

Bonjour tout le monde, j'aurais besoin de votre aide car je suis actuellement en train de réaliser le site web du collectif Estuaire 2050, qui est engagé dans la lutte contre l'installation d'une usine terrestre à saumon au Verdon-sur-mer (Gironde, pointe sud de l'estuaire). Même si c'est pas tout à fait terminé, j'aurais aimer avoir vos avis et retours afin d'identifier les points qui peuvent être problématiques, peu clairs ou qui manquent.

Vous pouvez y accéder en cliquant ici.
Vous y trouverez par ailleurs une documentation très vaste pour vous renseignez sur le sujet (film de Blast sur la page d’accueil si vous découvrez le sujet, ainsi que toute la colonne de gauche du menu)

@erdu@diasp.org @marie-claudes@diaspora-fr.org @wazoox@diasp.eu #aide #lutte #saumon #usine #industrie #gironde #web

deutschlandfunk@squeet.me

DGB: Forderung nach mehr Lohn ist das richtige Signal

Wirtschaftskrise - DGB-Chefin: Forderung nach mehr Lohn ist das richtige Signal

Der DGB hält Forderung nach 7 Prozent mehr Lohn weiterhin für richtig. Man brauche Reallohnzuwächse, damit die Binnennachfrage nicht zusammenklappe.#DGB #YasminFahimi #IGMetall #Tarifverhandlungen #Löhne #Industrie
DGB: Forderung nach mehr Lohn ist das richtige Signal

memo@pod.mv2k.com

Gewässer in Europa: Es gibt viel zu tun

Nur 37 Prozent der europäischen #Flüsse, #Seen und #Küstengewässer werden derzeit als ökologisch intakt bewertet⁽¹⁾ – eine Zahl, die sich seit 2015 kaum verändert hat.

Deutschland liegt mit neun Prozent weit unter dem europäischen Mittel. Grund hierfür sind zu hohe Nähr- und #Schadstoffeinträge aus #Landwirtschaft, #Kläranlagen und #Industrie und massive Eingriffe durch Begradigungen, #Uferverbau und -befestigungen und die Vielzahl an #Querbauwerken (Wehre, Schleusen, Wasserkraftwerke) in den Gewässern. Dadurch fehlen vielen Tier- und #Pflanzenarten ihre natürlichen Lebensräume.

🔗 https://www.sonnenseite.com/de/umwelt/gewaesser-in-europa-es-gibt-viel-zu-tun/
(1) https://www.eea.europa.eu/de/highlights/verschmutzung-uebernutzung-und-klimawandel-bedrohen
#Umwelt #Natur

deutschlandfunk@squeet.me

Kommentar: FDP-Gegengipfel beschädigt Bundesregierung

Kommentar - Der FDP-Gegengipfel beschädigt die Bundesregierung

Die Ampel sucht Wege aus der Konjunkturkrise. Mit der FDP-Gegenveranstaltung zum Industriegipfel des Kanzlers ist ein neuer Tiefpunkt der Koalition erreicht.#Ampelkoalition #KONJUNKTUR #INDUSTRIE #MITTELSTAND #KANZLER #FDP
Kommentar: FDP-Gegengipfel beschädigt Bundesregierung

deutschlandfunk@squeet.me

Ampel in der Krise: Wirtschaftsgipfel der FDP und im Kanzleramt

Ampel in der Krise - Parallele Wirtschaftsgipfel - von der FDP und im Kanzleramt

Das Wirtschaftstreffen der FDP-Fraktion hat stattgefunden. Am Nachmittag gibt es im Kanzleramt einen Industriegipfel – ohne Finanz- und Wirtschaftsminister.#Ampel #Koalition #Krise #Wirtschaftstreffen #INDUSTRIE #Kanzleramt #FDP-Fraktion
Ampel in der Krise: Wirtschaftsgipfel der FDP und im Kanzleramt

simona@pod.geraspora.de

Wenn ich das richtig verstehe haben die Deutschen Autobauer ihre Gewinnmarge nach oben geschraubt, davon aber nichts in Elektroautos investiert und lieber den #Dieselskandal provoziert und jetzt wo die Autos so teuer sind, dass sie sich niemand mehr leisten kann wollen die vom Staat auch noch Hilfe 🤔

Können wir die Mafia nicht einfach pleite gehen lassen? Regelt doch der Markt oder Herr #Lindner?

Siehe: https://www.tagesschau.de/wirtschaft/verbraucher/kosten-autos-deutsche-hersteller-100.html

#auto #krise #politik #wirtschaft #Problem #profit #Kapitalismus #Frechheit #Industrie #Gewinn #umwelt #wtf #aua

biophil@diaspora-fr.org

BONUS EVENTUS FILES

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Une plate-forme américaine privée baptisée « Bonus Eventus*» a accumulé et partagé des informations personnelles sur des scientifiques et des militants critiques des OGM ou des produits phytosanitaires pour mieux les décrédibiliser, dévoilent «LighthouseReport», «Le Monde» et un collectif de médias internationaux (27 septembre 2024)

* La plate-forme Bonus Eventus est nommée ainsi d'après le dieu romain de l'agriculture dont le nom se traduit par «un bon résultat»

=> Lighthouse Reports

Les contribuables américains ont financé une campagne secrète pour minimiser les risques des pesticides et discréditer les écologistes en Afrique, en Europe et en Amérique du Nord.
Le paraquat est l'un des produits chimiques agricoles les plus toxiques jamais produits. Il est interdit dans l'Union européenne, où les conséquences de son utilisation se font encore sentir, mais dans certaines parties du monde, elle est toujours vendue. Cela est rendu possible, en partie, par une machine d'influence qui s'efforce de supprimer l'opposition à une industrie mondiale de 78 milliards de dollars.
La société américaine de relations publiques, v-Fluence, a construit des profils sur des centaines de scientifiques, de militants et d'écrivains, tout en assurant la coordination avec les responsables gouvernementaux, pour contrer la résistance mondiale aux pesticides. Ces profils sont publiés sur un réseau social privé, qui accorde une adhésion privilégiée à 1 000 personnes. La liste des membres du réseau est un "who’s-who" de l'industrie agrochimique et ses amis, avec des cadres de certaines des plus grandes entreprises de pesticides du monde aux côtés de responsables gouvernementaux de plusieurs pays.

L'enquête révèle que le gouvernement américain a financé v-Fluence dans le cadre de son programme de promotion des OGM en Afrique et en Asie. Entre environ 2013 et 2019, l'Agence américaine pour le développement international (USAID) acheminé plus de 400 000 dollars vers la v-Fluence pour des services, y compris un « suivi assuré » des critiques des « approches agricoles modernes » – et de construire Bonus Eventus.


Liens:

Lighthouse Report: https://www.lighthousereports.com/investigation/poison-pr/

Le Monde (articles réservés aux abonnés - une copie est la bienvenue ;)
- 1/3 https://www.lemonde.fr/planete/article/2024/09/27/revelations-sur-le-fichage-a-grande-echelle-de-personnalites-genantes-pour-l-industrie-agrochimique_6336026_3244.html
- 2/3 https://www.lemonde.fr/planete/article/2024/09/28/plongee-dans-la-boite-noire-de-la-propagande-mondiale-en-faveur-des-pesticides_6337448_3244.html
- 3/3 https://www.lemonde.fr/planete/article/2024/09/29/entre-influence-et-desinformation-comment-l-administration-trump-a-tente-de-torpiller-le-pacte-vert-europeen_6338307_3244.html

Reporters Sans Frontières: https://rsf.org/fr/fichage-et-d%C3%A9nigrement-des-journalistes-environnementaux-rsf-d%C3%A9nonce-les-pratiques-honteuses-de-l


#Pesticides #OGM #écologie #empoisonnement #agrochimie #industrie #fichage #propagande #désinformation #journalisme #investigation #complot #BonusEventus #Monsanto #Bayer #USAID #paraquat

frenchhope@diaspora-fr.org

Décarbonation de l'industrie : le match France-Allemagne [Alexandre Mirlicourtois] - YouTube ⬅️ URL principale utilisée pour la prévisualisation Diaspora* et avec plus de garantie de disponibilité.

URL Invidious FDN ⬅️ URL théoriquement plus propre : moins de pistage mais moins de garantie de disponibilité dans le temps.

#france #allemagne #énergie #décarbonation #empreintecarbone #écologie #alexandremilicourtois #industrie #gazàeffetdeserre #neutralitécarbone

‼️ Clause de non-responsabilité v1.0