#chair
#rocks #legends #rituals #coronation #chair #milesians
THE STONE OF DESTINY
Stone of Scone, also called Stone of Destiny, Scottish Gaelic Lia Fail, stone that for centuries was associated with the crowning of Scottish kings and then, in 1296, was taken to England and later placed under the Coronation Chair.
Legend. Various theories and legends exist about the stone’s history prior to its placement in Scone. One story concerns Fergus, son of Erc, the first King of the Scots (c. 498 – 501) in Scotland, whose transport of the Stone from Ireland to Argyll, where he was crowned on it, was recorded in a 15th-century chronicle. Some versions identify the stone brought by Fergus with the Lia Fáil (Irish for “stone of destiny”) used at Tara for inaugurating the High Kings of Ireland. Other traditions contend that the Lia Fáil remains at Tara. (Inis Fáil, “The Island of Destiny”, is one of the traditional names of Ireland.) Other legends place the origins of the Stone in Biblical times and identify it as the Stone of Jacob, taken by Jacob from Bethel while on the way to Haran (Genesis 28:10–22). This very same Stone of Jacob was then supposedly taken to ancient Ireland by the prophet Jeremiah.
Oh. How we love our legends and rituals.
Voici le dernière série photographique que j'ai présentée au Laboratoire XY cet été. En réalité il ne s'agit que de quatre images extraites d'un ensemble beaucoup plus vaste né d'une demande très simple. Une amie cherchait à avoir des photographies de la maison de sa grand mère, qui fut aussi un peu celle de son enfance. Une dernière capture, un carnet de souvenirs avant que la maison ne soit vendue suite au décès de son aïeule.
J'ai passé deux après-midis à me laisser imprégner, à trainer, à me concentrer, à rêvasser entre ses murs et son jardin. Beaucoup de pièces étaient déjà vidées du superflu et objets de la vie quotidienne, mais ça ne m'empêchait pas de chasser les lignes en petit archéologue de la lumière.
Réaliser les nouveaux tirages de ces quatre images fut un réel plaisir teinté de joie, qu'avec le recul j'ai l'impression d'avoir éprouvé comme l'hommage à une époque, comme la célébration d'une changement dans ma pratique photographique. Jusqu'à récemment, dans mes prises de vue, j'ai toujours eu un rapport assez collé à notre réalité. Je crois avoir longtemps pensé que le sérieux de l'acte photographique résidait dans la capture de ce qui nous entoure et se manifestait par une fidélité à l'apparence des choses, même en jouant un peu avec. Prisonnier mental d'une perception du monde ? Double peine que de limiter en plus ma pratique à l'aspect des choses ? Un peu oui, un peu non, car à creuser d'avantage c'est tout de même ce qui m'échappait que je tentais de capturer, ce qui m'arrachait au trop raisonnable. Comment suspendre des moments et en faire sortir des rêves ? Ma main est une créature incroyable et le caniveau un précipice immense.
Je ressens ces derniers temps le désir de changer d'approche, de jouer avec et contre les appareils, de les renvoyer à eux même afin de mieux écouter leur langage et tenter de le célébrer. Comme pour flotter en orbite autour du procédé photographique et désirer perdre peut être le contrôle. Si j'étais un cavalier, je ne montrais plus sur ma monture afin de la diriger, mais je marcherais à ses cotés pour découvrir son rapport au monde en lui posant parfois la main sur l'encolure.
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38 vues depuis une chaise.
Voici un autre de mes travaux exposé cet été au Laboratoire XY à Oust, Ariège.
Celui-ci était pour moi, comme pour le spectateur, une agréable façon d’avancer dans la création et la découverte du monde dans un style entièrement ludique !
Demandons-nous : “Mais que pourrait bien voir une chaise quand nos grosses fesses ne lui cachent pas la vue ?”
Au cours de mes promenades et errances journalières, je me concentrais à capturer des images en posant mon appareil sur des chaises (les chaises, comme les scènes de vie étaient là et existaient indépendamment de ma volonté, mes interventions étaient seulement dans mes réglages de prises de vue).
Rien de bien original il est vrai, mais l’activité s’est révélée au final très riche pour moi car je souhaitais présenter ce travail dans sa totalité, c’est à dire exposer au monde entier toute la bande du négatif sous la forme de la planche contact, sans aucune coupe ou sélection. Je me suis donc appliqué à réaliser 38 prises de vue dans le but de toutes les montrer. Est-il besoin de rappeler que la prise de vue en photographie traditionnelle ne peut pas être contrôlée ou validée avant le développement final du support photosensible utilisé ? Un très bon exercice si vous voulez mon avis.
Et puis je souhaitais ainsi partager un peu de ce qu’un photographe traditionnel en argentique peut encore vivre en offrant au spectateur la possibilité de faire ce geste si présent dans notre pratique : saisir une loupe et la promener avec son regard sur cette feuille de papier que l’on appelle planche contact, et découvrir, explorer, s’immerger dans son travail et cet univers d’images miniatures.
Enfin comme le thème de l’expo était la chaise, il était possible de s’assoir pour profiter au maximum de l’expérience.
La boucle est bouclée.
Cher public, je vous aime !
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Cet été, j'ai exposé plusieurs de mes travaux photographiques dans le cadre d'une exposition collective. Ceux-ci ont côtoyé les oeuvres de trois autres artistes avec pour thème imposé : la chaise.
Voici la première image d'une série de trois créé pour l'occasion.
Tous mes tirages photo ont été réalisés par mes soins, manuellement, dans la chambre noire associative du Laboratoire XY située dans le Couserans, en Ariège.
Pour les amateurs, ce tirage est réalisé sur papier perlé RC 21 x 29.7 cm et est à la vente (national : 80 /fpc; international : 100 /postage included)
ENGLISH :
This summer I did exhibit some of my photographic works at a collective exhibition alongside three other artists. We all had the same theme to follow : The chair.
Here is the first image of a serial of three done for the occasion.
I'm the author of all my prints which I do manualy at Laboratoire XY, a collective darkroom located in Ariège, Couserans.
For the lovers, this photographic print is done on RC pearl paper 21 x 29.7 cm and is for sale. (International : 100 /postage included).
#photographie #photography #argentique #analog #filmphotography #analogique #art #artvisuel #visualart #chaise #chair #chat #cat #abandon #oublié #forgotten #abandoné #noiretblanc #blackandwhite #chambrenoire #darkroom #artisanat #handcraft #bezzibatani #laboratoirexy #ariege #couserans #occitanie #êtreentredeux #mywork
A Chair
I have been trying to buy a #chair for more than a year. And it can't be done. I am met with #bullshit at every turn. I can't go out to a place and sit in chairs and pick the one I like the most. I can't enter criteria online and compare types and prices. Nothing. Everything is set up to force me into making a bad decision. Does anyone understand this? This #shit (info tools, internet, etc) were supposed to make it easier for us to make decisions. By now, we were supposed to enter our criteria, and then programs would run out and find what we want, and then a multiplicity of vendors were supposed to compete over us as customers. But what has happened? It's the exact opposite. At every point, with every inquiry, the info tools fight to deny us information. And then the vendors conspire against all of us as a class and huddle in solidarity with one another.
The #Internet is THE EXACT FUCKING OPPOSITE of what we were "promised."
What was supposed to happen was this:
A few years ago I was supposed to have gone to "Chair Warehouse" or some such place, and sat in a bunch of chairs that were all standardized in ways, but customizable. And I was supposed to draw up a list: I like: lumbar support type B, size 37. I like neck support type M, size 19. I like cushion level 7. I like spring tension level 4. I like side support style B. I am in weight class 250-300. And then I could say I want: black fabric. I want a silver frame. I want no speakers in the head rest. Etc...
And then, knowing what sizes, styles, and standards I like, I could go online and let the vendors fight over me. And they would all use the same cross-industry standards for how the seats are measured, and the features are tuned.
NONE OF THIS HAS HAPPENED. If anything I have far LESS choice now than I ever have had. And this just isn't in chairs. It's in everything. Pens. Paper. Computers. Socks. You name it. I am expected to just buy all this shit online and guess. I can't sit in the chair first. I can't test the pen. I can't try the floor model. NOTHING. Here's your choice of chairs. You get leather. Sorry. They're ALL LEATHER. You don't have a fucking choice. FUCK YOU. You can click on the "Fabric" button. And we will act like we gave you fabric. And you will be on the verge of clicking BUY, and then you look: It's LEATHER. You specifically clicked on fabric. They put the fucking button there for you to click on. KNOWING that they didn't have it. And then just changed it while you were doing...
I mean WHAT THE FUCK! This shit was supposed to make our lives better!
#Nilsmelzer #Melzer #unhumanrights #UN #Special #Rapporteur on #Torture; #Human #Rights #Chair, #Geneva #Academy; #Professor of #International #Law, #University of #Glasgow; #Vice-President #IIHL, #Sanremo #blocked by #twitter
https://twitter.com/NilsMelzer/status/1428055245066747915
Dear @twitter & @verified: Seriously?
— Nils Melzer (@NilsMelzer) August 18, 2021
I am an official international mandate holder of @UN_SPExperts appointed by @UN_HRC, with an official webpage @UNHumanRights & countless publications & public appearances.
How (on earth) does that «not meet your criteria for notability»? pic.twitter.com/sWGRzmGY1D
Hubert Caouissin a décrit méticuleusement et de manière hallucinée les meurtres, mais s'est emmêlé les pinceaux dans la chronologie.
La journée a été extrêmement éprouvante devant la cour d'assises de Loire-Atlantique. Ce lundi, #HubertCaouissin, principal suspect dans le quadruple #meurtre de la famille Troadec, a raconté la nuit du drame. "Je ne voulais tuer personne", a-t-il répété à plusieurs reprises.
Alors que le #procès est entré dans sa deuxième semaine, la présidente a longuement interrogé sur le fond l'accusé de 50 ans, s'intéressant à ses déplacements au pavillon d'Orvault en juin et novembre 2016, février 2017. Ces déplacements ont précédé les meurtres de son beau-frère et de sa belle-soeur, Pascal et Brigitte Troadec, 49 ans tous les deux, et de leurs enfants, Charlotte, 18 ans, et Sébastien, 21 ans, que Caouissin a tués à coups de pied de biche, la nuit des 16 et 17 février.
Sachant la #famille absente et convaincu de l'existence d'un "magot", le quinquagénaire a expliqué s'être rendu à leur domicile en juin, avec sa compagne Lydie Troadec, "pour voir si quelque chose bougeait" dans la maison.
Quand, le 11 février, en pleine nuit, l'accusé effectue un trajet de 600 km aller-retour pour "espionner", il sait, dit-il, que "la manne (doit) être à l'étranger depuis longtemps".
"Je suis excité"
Cinq jours plus tard, Hubert Caouissin revient à Orvault, vêtu d'une veste de jardinage, d'un bonnet et de gants. Il apporte avec lui un stétoscope, acheté pour les problèmes cardiaques de son fils, né de son union avec Lydie Troadec, afin, affirme-t-il, d"écouter aux portes".
"Je suis excité, je ne tiens pas en place, je vois de la lumière à l'étage, alors j'attends. J'ai plein de pensées, j'ai des tremblements, je prends la boucle de ma veste dans ma mâchoire pour l'empêcher de faire du bruit", se rappelle-t-il.
"Je voulais rentrer pour trouver quelque chose d'exploitable. Je voulais prendre un dessin de la clé (de la maison) et revenir plus tard pour inspecter les papiers, regarder leurs comptes, prendre des photos", soutient Caouissin.
Arrivé à Orvault à 1h, l'accusé dit avoir coupé le compteur électrique "à 3H00", empêchant le couple Troadec d'appeler à l'aide avec leur téléphone. Le couple, qui dort à l'étage, est réveillé par Caouissin qui, le visage dissimulé, s'est introduit par le garage. S'ensuit un "déchaînement" de violences, selon la présidente.
"Je voulais tuer personne"
Armé d'un pied de biche, trouvé, affirme-t-il, dans la maison, #HubertCaouissin décrit méticuleusement et de manière hallucinée les #meurtres, mais s'emmêle les pinceaux dans la chronologie. Selon son récit, il assène des coups sur le crâne de Pascal puis de Brigitte, qui venaient d'alerter leurs enfants, avant de frapper mortellement ces derniers.
À la demande de la cour, il mime depuis le box, l'un des coups portés sur le crâne de Pascal. "Je voulais tuer personne", répète l'accusé sans dévier de sa ligne de défense.
Caouissin transportera ensuite les corps dans sa ferme de #Pont-de-Buis ( #Finistère ) où il procède à leur éviscération, avant de les brûler. Aux alentours de cette grande propriété, les enquêteurs ont indiqué avoir retrouvé parmi les ronces "379 morceaux de #chair humaine", dispersés dans l'espoir "que les animaux sauvages les feraient disparaître".
"À aucun moment, vous ne pensiez que vous pourriez les tuer?", lui demande la présidente. "Non", répond #Caouissin. "Pourquoi ne vouliez vous pas laisser les corps dans la maison?", l'interroge-t-elle. "C'était une énorme erreur. Ce qui s'est passé à #Orvault ne peut pas exister", glisse l'accusé.
Distorsion de la réalité?
Selon Me Olivier Pacheu, avocat de la famille de Pascal Troadec, il est "hautement improbable" que les faits se soient déroulés tels que Caouissin les relate. "Je pense qu'il a tué tout d'abord l'un des enfants, Sébastien", affirme l'avocat, dubitatif sur la sincérité d'un accusé qui "peut raconter ce qu'il veut".
Les débats se poursuivront mardi avec l'audition des experts, qui donneront leur éclairage sur les faits décrits par l'accusé. On attend aussi prochainement l'interrogatoire de Lydie Troadec, 52 ans, l'ex-compagne du principal accusé et soeur de Brigitte #Troadec. Elle comparaît pour recel de #cadavres et modification des preuves du crime.
#chair #office
May 28, 2021
Lucky Day
Where was I before all of my ID went missing? Oh yes. I was looking for a comfortable office chair to sit in for long hours at my computer. My back was breaking. When I returned home earlier in the day, the Office Manger stopped me. He asked if I would like a free Office chair. They are remodeling and he knew of my back problems, and that I needed a good chair. Well. Once again, I was astounded by my exceptional good fortune today. He brought the wonderful chair up to my apartment, and it is indeed, very comfortable.