#viol

wazoox@diasp.eu

A__SAMEDI sur X : "LA MACRONIE COMPOSÉE UNIQUEMENT DE VOYOU ET/OU DE DÉTRAQUÉS SEXUELS ⚠️⚠️ Mathilde Viot, co-fondatrice de l’observatoire des violences sexuelles en politique. Petite vidéo que doivent détester tous les petits cancrelats de la secte du régime au pouvoir Diffuser sans modération https://t.co/VCgbCJ295j" / X

#politique #Macronie #viol

https://twitter.com/_samedi_/status/1769487830726893672

kcemorg@diaspora-fr.org

Étonnant, non ?

Accusations de viol contre Darmanin : la Cour de cassation valide le non-lieu en faveur du ministre

L’arrêt de la Cour de cassation rend définitif le non-lieu rendu en faveur du ministre de l'Intérieur, poursuivi par une femme qui l’accuse de l’avoir violée en 2009. Gérald Darmanin évoque pour sa part un rapport sexuel consenti.

#Darmanin #justice #viol

salinger3@diaspora-fr.org

La pathetique et sordide #auroreberge a encore frappé

Ministre déléguée chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations

La ministre de l'Égalité entre les femmes et les hommes, Aurore Bergé a annoncé, dimanche 11 février, que le gouvernement passe "au crible" les déclarations de toutes les associations féministes liées à l'attaque sanglante du Hamas en Israël le 7 octobre dernier. Elle a menacé de supprimer les subventions des associations "à la moindre ambiguïté".

"Je refuse que l'État soutienne financièrement des associations qui ne sauraient pas caractériser ce qui s'est passé", a ajouté la ministre, sur fond d'accusations d'un deux poids deux mesures visant une partie du mouvement féministe à qui il a été reproché de nier ou de minimiser les violences commises contre les Israéliennes par des hommes du Hamas.

Depuis l'attaque sanglante lancée par le Hamas contre Israël le 7 octobre et les représailles israéliennes, le collectif Nous toutes, et plus largement les associations et figures féministes en France s'étaient vus reprocher un "silence" sur les informations et témoignages faisant état de viols commis par des hommes du Hamas.

Qui ne dit mot, consent ?

Après la marche du 25 novembre contre les violences faites aux femmes, le collectif et d'autres associations s'étaient défendues en affirmant lutter pour "toutes les femmes" et avaient condamné "sans ambiguïté les crimes sexuels et sexistes, viols et féminicides commis par le Hamas, qui ont particulièrement visé les femmes, les personnes LGBTQIA+ et les enfants".

https://www.lemonde.fr/politique/article/2024/02/12/aurore-berge-menace-de-supprimer-les-subventions-aux-associations-feministes-qui-auraient-tenu-des-propos-ambigus-sur-l-attaque-du-7-octobre_6216137_823448.html

Il n’y a pas d’ambiguïté de la part des féministes, on croit toutes les victimes, on est les premières à dénoncer toutes les violences masculines faites aux femmes, d’où qu’elles viennent », a réagi Amy Bah, présidente de #NousToutes Lille, auprès de l’Agence-France Presse, lundi. Selon elle, les propos de Mme Bergé relèvent d’une « instrumentalisation des crimes du Hamas et de la riposte d’Israël à Gaza pour éviter de prendre ses responsabilités dans le manque de moyens dans la lutte contre les violences de genre ».

« C’est un backlash [retour de bâton contre les droits des femmes] avec l’idée aussi que les féministes coûteraient cher à la société », a-t-elle fait valoir, avant d’ajouter au sujet de #NousToutes : « Nous, on est autonomes financièrement, on ne reçoit pas d’argent public, mais ce n’est pas le cas de toutes les associations. » La militante « rappelle que les associations qui dépendent de subventions assurent des missions de service public. L’Etat se défausse sur elles, c’est donc scandaleux de les menacer aujourd’hui, d’autant que ça met en danger les victimes de violences ».

« Si Mme Bergé pense que la priorité aujourd’hui c’est de faire ça [supprimer les subventions à des associations féministes], je trouve ça pathétique », a déclaré Manuel Bompard, coordinateur national de La France insoumise, interrogé à ce sujet lundi sur Europe 1.

#israel #hamas #gaza #feministe #viol #feminisme #menace #lfi

entreleslignesentrelesmots@diaspora-fr.org

1 femme sur 20

1 femme sur 20 est victime de viol en Europe… Glaçant mais surtout révoltant, ce chiffre nous démontre avant tout l’urgence à agir dans nos 27 états. Au moment où plusieurs femmes témoignent des violences qu’elles ont subi, notamment dans le milieu du cinéma, au moment où elles prennent le courage de témoigner, d’affronter ces moments insupportables de leur vie, les États membres de l’Union Européenne faiblissent et envoient un signal déconnecté de la réalité ! Bien loin des 22 millions de femmes victimes de viol en Europe, ils refusent de légiférer sur une définition commune du viol en méprisant la notion fondamentale de consentement. L’Europe tourne le dos aux droits des femmes, à quelques mois d’une élection si cruciale.

https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2023/02/05/viol-et-justice-des-victimes-presumees-consentantes/#comment-60139

#féminisme #viol

entreleslignesentrelesmots@diaspora-fr.org

Le viol exclu de la directive européenne : « la diplomatie féministe de la France est mise à mal »

Le Parlement Européen a adopté une directive sur les violences faites aux femmes excluant une définition communautaire du viol. La France, qui a pesé dans cette décision d’exclusion, met à mal sa diplomatie féministe. L’argument de la protection de « la présomption d’innocence» ne tient pas. Éclairage avec la juriste Catherine Le Magueresse.

https://www.lesnouvellesnews.fr/le-viol-exclu-de-la-directive-europeenne-la-diplomatie-feministe-de-la-france-est-mise-a-mal/
https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2023/02/05/viol-et-justice-des-victimes-presumees-consentantes/#comment-60131

#féminisme #viol #europe

jeymya@diaspora-fr.org

#Violences #sexistes et #sexuelles #Entretien
#Loi européenne sur le #viol : « #Macron est sur la même ligne qu’Orbán, c’est une honte »

La France refuse de voter pour une directive qui instaure une définition du viol fondée sur l’absence de #consentement. L’eurodéputée suédoise Evin Incir, corapporteure du texte, appelle le président à ne plus bloquer « la loi la plus importante pour les femmes ».

https://www.mediapart.fr/journal/france/200124/loi-europeenne-sur-le-viol-macron-est-sur-la-meme-ligne-qu-orban-c-est-une-honte

wazoox@diasp.eu

🔥🆃🅰🆃🅰🔥🆂🆄🆉🅰🅽🅽🅴🔥 sur X : "🚨 Malaise sur #BFMTV Mathilde Viot révéle la longue liste des prédateurs sexuels de la Macronie 😱 Le présentateur, visiblement dépassé 😓, tente de contenir l'onde de choc mais c'est trop tard...😅 Bravo @ViotMathilde! 👏🙂 @ChristalRoche #LREM #RENAISSANCE #Horizons #Macronhttps://t.co/O0sMRsab5B" / X

#politique #viol #corruption #macronie #lacorde #guillotine2024

https://twitter.com/TataSuzanne0/status/1726147277637423499

wazoox@diasp.eu

Une sociologue dans le carré VIP des boîtes de nuit : « Une industrie dirigée par des hommes et pour des hommes, mais qui repose sur les filles »

#politique #exploitation #viol

Vous savez où prospère le machisme violeur le plus brutal? Chez les riches!

Une sociologue dans le carré VIP des boîtes de nuit : « Une industrie dirigée par des hommes et pour des hommes, mais qui repose sur les filles »

L’Américaine Ashley Mears a étudié la vie nocturne de l’élite globalisée. Elle dévoile les coulisses d’une économie du gaspillage, fondée sur l’exploitation du corps des jeunes femmes. Propos recueillis par Valentine Faure

Ashley Mears, professeure de sociologie à l’université de Boston, publie en France Very Important People. Argent, gloire et beauté : enquête au cœur de la jet-set (La Découverte, 400 pages, 25 euros). Ancienne mannequin, la sociologue a pu pénétrer le cercle fermé des établissements de nuit réservés à une clientèle fortunée et mondialisée. Auprès des mannequins et des « promoteurs », chargés de recruter des jeunes filles pour le compte des clubs de luxe, elle décrypte un système sidérant, aux allures archaïques.
Votre livre porte sur le monde de la nuit réservé à la jet-set internationale. De quand date l’émergence de ces clubs VIP ?

A la fin des années 1990, des villes comme New York se sont transformées pour répondre aux besoins d’une nouvelle classe de nomades richissimes. L’émergence des clubs VIP coïncide avec une époque d’expansion et de mondialisation de l’extrême richesse. Ils ont commencé à orchestrer la visibilité des clients les plus riches, à encourager la compétition. Au cours des années 2000, dans les clubs, le prix des bouteilles a grimpé en flèche, on a vu apparaître des bouteilles plaquées or, incrustées de diamants, ainsi que le « bottle service », cette façon de servir les bouteilles de champagne avec des gerbes lumineuses. Les clubs ont commencé à encourager la compétition entre flambeurs et l’étalage public des dépenses. Les métropoles globales traversent une véritable crise de l’abondance. Nous vivons une époque de concentration de la richesse aussi extrême que celle des années 1920.
Vous comparez d’ailleurs ces fêtes à celles de Gatsby, étudiées par l’économiste Thorstein Veblen, ou encore avec le potlatch, cette cérémonie amérindienne organisée autour du don…

Lorsque j’ai voulu donner un sens à cette forme de consommation, j’ai d’abord fait appel à des prédécesseurs évidents, comme l’économiste américain Thorstein Veblen, qui écrivait au tournant du XIXe et du XXe siècle. Il observait avec une sorte de dégoût les nouveaux riches de l’industrie américaine qui dépensaient sans compter dans des fêtes extravagantes. Veblen invente le terme de « consommation ostentatoire ». L’anthropologue Franz Boas a, quant à lui, étudié le potlatch dans les tribus du nord-ouest du Pacifique. Ce sont de grands festins cérémoniels organisés pour gaspiller, accompagnés de véritables compétitions de dons et de contre-dons. L’anthropologue Marcel Mauss a écrit également sur ce sujet : la logique de la dilapidation, qui consiste à montrer que l’on peut donner plus que quelqu’un d’autre, permet de déterminer sa place dans la hiérarchie sociale. C’est une façon de signaler que l’on est la personne la plus importante du groupe, parce qu’on peut gaspiller le plus et offrir le plus beau cadeau…

Ces scènes que je décris ont en effet quelque chose d’archaïque. Cela donne l’impression que c’est comme un fait anthropologique propre à l’humain que de s’engager dans ces comportements. On croit souvent – et c’est aussi ce que pensait Veblen – que la dépense ostentatoire est un phénomène spontané chez les riches, quasi naturel. Ce que montre mon enquête, au contraire, c’est que l’incitation à pratiquer ce genre de gabegie requiert un effort collectif considérable, et que les clubs haut de gamme sont passés maîtres dans l’art discret de les promouvoir. Il y a une énorme quantité de labeur en coulisses. C’est sur ce travail invisible que tout repose.
Les clients assument-ils ce gaspillage ostentatoire ?

Tout le monde sait qu’il ne faut pas dépenser comme ça. Les clients fortunés que j’ai rencontrés essaient de se présenter d’une manière honorable : ils savent que l’ostentation est de mauvais goût, qu’elle viole une sorte de norme largement partagée qui veut que l’on soit modéré, que l’on ne s’exhibe pas. Lors des entretiens, ils minimisent, ou replacent leur consommation dans le cadre de leur vie professionnelle : les hommes qui travaillent dans la finance, en particulier, disent y voir une occasion de nouer des liens entre eux et d’élargir leur réseau. Mais, dans le club lui-même, les gens se comportent de manière très irrationnelle. Ils secouent le champagne, s’en aspergent les uns les autres, s’offrent des bouteilles, dépensent des fortunes. Un club est un espace qui suspend la rationalité de chacun et qui est capable de construire dans l’instant ce sentiment qu’il est tout à fait amusant, et vraiment bon, d’être économiquement dominant et de se montrer.
Quelle est la fonction des promoteurs de soirées dans ce système ? Et pourquoi ce travail est-il caché ?

Les promoteurs sont ceux qui orchestrent le groupe et s’assurent que les filles viennent, qu’il n’y ait pas de problèmes, et que chacun vive l’expérience d’une manière amusante. Une grande partie de leur travail se fait le jour. C’est là qu’ils tissent des liens avec des mannequins et qu’ils s’intègrent à leur vie. La nuit, il s’agit de les faire venir au club, gratuitement, en s’assurant qu’elles trouvent l’expérience amusante. Il y a différents degrés de collaboration, du simple fait de passer prendre un verre à l’obligation de rester debout pendant des heures jusqu’à tard dans la nuit. Le plaisir consiste pour elles à boire, à manger, à danser et à flirter, et ce plaisir repose sur le fait de ne pas se faire payer, ce qui est une découverte très intéressante.

Au cours de mon enquête, j’ai proposé aux autres mannequins que l’on se mette d’accord : « Disons-leur que l’on participe en étant rétribuée 100 euros chacune plutôt que le promoteur soit payé 1 000 euros, et nous, rien. » Elles ont refusé : « Non, on sort pour s’amuser. Ce n’est pas du travail. Nous ne voulons pas nous sentir obligées de gagner de l’argent. » Or elles se sentent obligées envers le promoteur, qu’elles considèrent comme un ami. Mais ce sentiment d’obligation est fondé sur l’amitié davantage que sur le marché. Les filles doivent croire dans l’aspect ludique de la chose. Si elles sont payées, cela devient du travail sexuel, et les filles ne veulent absolument pas être considérées comme des travailleuses du sexe. De leur côté, les clients ne veulent pas se voir comme des clients sexuels – ils s’offrent l’illusion que les filles sont là pour eux. Et les promoteurs ne se considèrent pas comme des proxénètes. Le recours à un intermédiaire est un moyen fréquent de camoufler une transaction stigmatisée.
Ce qui est frappant, c’est le caractère « primitif » de l’échange : il s’agit de statut, de nourriture – vous écrivez que les repas sont « l’un des principaux outils de séduction des filles ». La taille même joue un rôle important, presque comme dans le monde animal…

Oui, le corps est central dans la boîte de nuit, parce qu’il communique instantanément l’idée de pouvoir. Le club orchestre une topographie des statuts sociaux incorporés : les videurs, en général noirs, de taille imposante, les « bottle girls », hypersexualisées, qui doivent suggérer qu’elles sont aussi disponibles à la vente que les bouteilles qu’elles servent. Et les mannequins, grandes, minces, qui doivent porter des talons hauts, pour paraître encore plus grandes, et sont placées dans les espaces les plus exposés. Elles portent dans leur corps un statut que tout le monde reconnaît immédiatement. Et elles doivent être nombreuses : les promoteurs appellent cela « la quantité de la qualité » – la qualité étant évidemment définie en termes très étroits – parce que ces corps en nombre communiquent sur l’étendue d’un capital social. En tant qu’individus, elles sont invisibles. Mais, en tant que collectif, elles jouent un rôle important : celui de faciliter les échanges entre les hommes venus parler affaires.
Le système que vous décrivez a assez peu à voir, finalement, avec la séduction, avec le désir, ou même avec le sexe…

Oui, c’est un point très important. Les gens pensent souvent que la vie nocturne est un marché aux bestiaux – des hommes riches qui veulent coucher avec de belles femmes. Mais, en fait, pas vraiment. Bien sûr, les gens flirtent, les gens s’embrassent, les gens rentrent ensemble. Mais ce n’est pas la fonction principale. La fonction principale est l’affichage du statut. Il s’agit plus de communiquer l’idée de sexualité que de faire en sorte que le sexe se produise. En fait, c’est un gaspillage de sexe : il y a trop de femmes pour un seul homme. On n’a pas besoin de dix-huit corps pour faire l’amour, seulement d’un. Mais le fait d’avoir tant de beaux corps, ou des corps qui sont perçus comme beaux, exprime le pouvoir.
Cette valeur du corps des femmes ne rapporte pourtant qu’aux hommes, en fin de compte…

On affirme souvent que la beauté fonctionne comme un capital capable de subvertir les hiérarchies de classes traditionnelles. Certes, la beauté est une forme de capital, mais les filles sont confrontées à une stigmatisation morale si elles essaient d’en tirer parti. Ce sont pourtant elles qui sont au centre de la création de valeur. Paradoxalement, cette industrie est dirigée par des hommes et pour des hommes, mais elle repose sur les filles. Et, pourtant, les filles ne sont pas payées. Elles génèrent beaucoup d’argent pour les promoteurs et, au-dessus d’eux, les propriétaires de club captent ces dépenses. Et, au-dessus encore, il y a tout ce réseau d’élites mondiales composé en majorité d’hommes blancs, qui font des affaires tout en vivant une expérience amusante en présence de ces filles. Les filles créent donc toute cette valeur pour toute cette économie sexuée, qui opère en faveur des hommes.

Valentine Faure

https://www.lemonde.fr/m-perso/article/2023/12/24/une-sociologue-dans-le-carre-vip-une-industrie-dirigee-par-des-hommes-et-pour-des-hommes-mais-qui-repose-sur-les-filles_6207545_4497916.html

wazoox@diasp.eu
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#Gouvernement, #Sexisme #Loi #Viol

La France refuse que la notion de consentement caractérise le viol au Parlement Européen

Depuis le 8 mars 2022, un projet de loi présenté par la Commission Européenne prévoit d’harmoniser les législations des pays européens concernant les violences faites aux femmes. Le texte fait plutôt consensus, sauf sur un point bien précis : l’adoption d’une définition commune du viol entre les états membres. L’article 5, qui fait particulièrement débat, entérinerait la notion de consentement dans la définition juridique du viol. Ainsi, tout acte sexuel non-consenti par la victime serait considéré comme un viol.

Qui, parmi les pays membres de la Commission, refuse de voir cette avancée judiciaire pour les droits des femmes ? Serait-ce un pays qui a au sein de son gouvernement un agresseur sexuel ? Serait-ce un pays où en moyenne 10 femmes sont victimes de viol et/ou de tentative de viol par heure ? COCORICO ! Et oui, c’est bien la #France ! Avec elle, la #Pologne, la #Hongrie ou encore la #République-Tchèque méprisent le combat mené par les féministes depuis des années. À titre de rappel, la Loi française définit le viol comme un acte de pénétration sexuelle commis sous la menace, la contrainte, la violence ou la surprise. Le consentement de la victime n’est absolument pas considéré comme central. Rappelons qu’en France toujours, 0,6% des plaintes pour viol aboutissent à une condamnation.

Que cherche donc à protéger ce gouvernement alors que Macron, à peine élu, racontait vouloir faire de la lutte contre les #violences faites aux #femmes un élément central de ses quinquennats ? Pas les victimes de violences en tout cas.

Retrouvons-nous le 25 novembre, journée de lutte contre les violences sexistes et sexuelles, afin de revendiquer le consentement libre et éclairé comme élément central du crime et mettre fin à toutes les violences patriarcales.

Sources : Le Monde, Les Grenades