#mineurs

paco146@diaspora.psyco.fr

Conseil d’État : une soirée de violences, une nuit d’errance

Il est 20h ce mardi 20 juin quand près de 450 jeunes isolés, accompagnés d’une centaine de bénévoles, s’installent sous tentes devant le Conseil d’État à Paris. Cette action avait pour but de visibiliser la détresse de ces jeunes qui survivaient depuis plus de deux mois dans une école désaffectée et d’ouvrir un dialogue avec l’État jusque-là inexistant. La réaction du ministère de l’Intérieur a été un déversement de violences par la préfecture de police. 66 jeunes et bénévoles ont été interpellés, six autres ont dû être hospitalisés. (..)
#réfugiés #sans-logis #répression #migrants #solidarité #mineurs #nasse #violencepolicières #racisme #xénophobie

bliter@diaspora-fr.org

On a fait se rencontrer un #prêtre et une ancienne #actrice de #films #pornographiques - #LeCrayon

Aujourd'hui, nous recevons dans notre format le RING, #LizaDelSierra, #réalisatrice, #productrice et ancienne #actrice #française de films p*rnographiques et frère #PaulAdrien , #prêtre #catholique, membre de l'Ordre des Prêcheurs (dominicains), qui produit des #vidéos sur #Youtube.

00:00 : Introduction
00:46 : Oui ou Non ?
01:40 : Comment es-tu devenue actrice #porno ?
03:40 : Pourquoi avoir choisi la vie #religieuse ?
04:32 : Votre vie amoureuse
06:52 : Mon travail m'a rendu meilleur
09:18 : La réaction des parents de Liza
12:30 : Les principes d'éducation de #FrèrePaulAdrien
13:17 : Parler avec #Dieu
14:11 : Émilie, parleras-tu de ton métier à tes enfants ?
16:40 : Que dirait un prêtre à une actrice p*rnographique ?
18:44 : Votre #définition de l' #amour
22:45 : Les #mineurs et la #consommation p*rnographique
32:11 : La mast*rbation est une maladie ?
38:54 : Conclusion

https://www.youtube.com/watch?v=faXefbCPq1s
#débat #société

fiel@diaspora-fr.org

image : 1675 LA REVOLTE DES BONNETS ROUGE : LA MISSION « CIVILISATRICE » DE LA FRANCE EN BRETAGNE !

Histoire populaire de l'impôt

#Arte

Parie 1
Du Moyen Âge aux révoltes populaires qui agitent aujourd’hui la France, l’Allemagne et le Royaume-Uni, une passionnante histoire comparée de l’impôt, reflet des transformations de l’État et de la relation des citoyens à ceux qui les gouvernent.

Après plusieurs siècles de #soulèvements populaires réguliers contre les #taxes royales, la #Révolution française consacre le principe de l’égalité devant l’impôt et transfère le pouvoir fiscal à une chambre élue. Au XIXe siècle, les nations européennes empruntent massivement pour financer la révolution industrielle. Mais comment rembourser la dette ? À côté des taxes sur la #propriété et sur la #consommation qui étouffent #ouvriers et #paysans, le #Royaume-Uni adopte l’impôt sur le revenu en 1848. L’Allemagne suit vingt ans plus tard, la France, en 1914. Ces dernières entérinent sa progressivité – que les plus fortunés s’empressent de contourner en transférant leurs #capitaux en #Suisse – au lendemain de la Grande Guerre, tandis que la "hache de Geddes" (du nom du ministre conservateur Eric Geddes) s’abat sur les dépenses publiques britanniques. Après l’horreur de la Seconde Guerre mondiale, l’État-providence s’impose : #France, #Allemagne et #Royaume-Uni se dotent de systèmes de #protection-sociale. La création du marché économique européen entraîne la généralisation progressive de la #TVA, initialement française. En 1982, sous #Mitterrand, l’instauration de l’impôt sur les grandes fortunes relance l’ #évasion-fiscale. Partout ailleurs, le tournant n#éolibéral se prépare…

Consentement et évitement
"Gilets jaunes", partisans du #Brexit, perdants de la réunification : avec pour point de départ ces colères qui traduisent, souvent sur fond de contestation de l’impôt, la #crise de nos #démocraties, ce documentaire de Xavier Villetard (André Malraux, l’épreuve du pouvoir), coécrit avec l’historien Gérard Noiriel, remonte le cours des #luttes qui ont opposé, depuis le Moyen Âge, les #peuples français, allemand et britannique à leurs #gouvernants en matière fiscale. Entre privilège des puissants et ambitions redistributives, entre consentement et évitement, ces deux chapitres mêlent archives et éclairages (d’anciens ministres, comme George Osborne, Éric Woerth ou Wolfgang Schäuble, de députés, d’inspecteurs des finances, d’économistes…) pour décrypter la tumultueuse histoire d’un outil qui est le miroir des métamorphoses de l’État et de la société.

Parie 2 : https://www.arte.tv/fr/videos/099709-002-A/histoire-populaire-des-impots-2-2/
Du Moyen Âge aux #révoltes #populaires qui agitent aujourd’hui la France, l’Allemagne et le Royaume-Uni, une passionnante #histoire comparée de l’ #impôt. Arrivée au pouvoir en 1979, Margaret #Thatcher applique les théories économiques de #Hayek : #privatisations, retour à l’ #État minimum", baisse des impôts sur les revenus les plus élevés et les entreprises.

Si les #mineurs en #grève échouent à la faire plier, c’est sur la " #poll-tax", une taxe d’habitation identique pour tous, que la Dame de fer finira par trébucher. Dans l’Allemagne réunifiée, les citoyens de l’Est, soumis à la fois à l’impôt et aux conséquences du démantèlement de leur système social, souffrent du passage à l’économie de marché. Dans une France
elle aussi submergée par la vague #néolibérale et le creusement des #inégalités, la #CSG (contribution sociale généralisée), vouée à financer la #Sécurité-sociale, entaille le principe de la progressivité. La construction européenne, avec la libre circulation des capitaux et la monnaie unique, met en concurrence les systèmes fiscaux nationaux. C’est le boom des niches – et de l’optimisation – fiscales. Victimes des #délocalisations, puis des #politiques d’ #austérité nées de la crise de 2008, de nombreux #Européens basculent dans la #précarité et, pour certains, dans le #populisme.

legeneralmidi@diaspora.psyco.fr

"Germinal" d'Émile Zola

Étienne Lantier, un syndicaliste, trouve un travail dans la mine de charbon du Voreux. Logé chez les Maheu, une famille de mineurs, il tombe amoureux de leur fille Catherine. Le travail est rude, mal payé, et les conditions de sécurité ne sont pas respectées : la grève commence.

Publié en 1885, #Germinal est le treizième roman de la série des #Rougon-Macquart, celui avec lequel #Zola se penche sur la condition ouvrière, et plus particulièrement sur le monde des mineurs. Histoire de la misère ouvrière et d’un soulèvement réprimé dans le sang, Germinal raconte l’éveil de la #classeouvrière, la prise de conscience de ses droits, et même si la révolte des #mineurs du #roman se termine mal, Zola laisse planer un espoir, celui d’une organisation future, encore souterraine mais prête à éclore, à « germer » et à renverser l’ordre #capitaliste établi. C’est avec ce roman que Zola exprime avec le plus de force « la lutte du #capital et du travail » qui sera, selon lui "la question la plus importante pour le XXème siècle".
Adapter ce roman aujourd’hui, c’est d’abord faire le constat malheureux de son actualité car les questions qu’il soulève sont encore prégnantes aujourd’hui (écart croissant entre riches et pauvres, détérioration des conditions de #travail, pouvoir d’achat, loi du marché qui prévaut toujours sur toutes les lois humaines, etc.). Il y a une résonance contemporaine de ce roman et c’est avec cet écho que le travail d’adaptation s’est inventé.
Resserré autour du personnage principal du roman, Étienne Lantier, le feuilleton suit le parcours de ce machineur sans emploi qui, arrivant aux #mines de Montsou au début du roman, y trouve un travail et se retrouve à la tête du mouvement de #grève des mineurs. Héros d’un jour sitôt haï et rejeté, Étienne repart, à la fin du roman, en « soldat raisonneur de la #révolution », prêt à rejoindre l’ #Internationale des travailleurs et à y jouer un rôle à Paris. Son expérience est celle de la responsabilité (politique, sociale, morale…) des « meneurs » et de l’avancement politique gagné sur le malheur des travailleurs. Parce qu’il n’est ni tout blanc, ni tout noir, le personnage d’Étienne Lantier permet de faire entendre la complexité des forces en germe et des combats à venir face à un capital au visage de plus en plus anonyme. »
#PaulineThimonnier
#franceculture #france-culture #émilezola #adaptationradiophonique #podcast #baladodiffusion

legeneralmidi@diaspora.psyco.fr

« La prostitution des mineures est un problème majeur de la société » #NatachaDevanda

Deux lois censées les protéger, des rapports en veux-tu en voilà et si peu d’évolution positive sur les trottoirs, dans la rue, sur Internet. Lundi 15 novembre, un plan intergouvernemental était censé s’emparer de la délicate question de la #prostitution des mineurs. Entre 7 000 et 10 000 jeunes, des filles en écrasante majorité, composent cette cohorte de chair fraîche. Elles sont exploitées par les #proxénètes, violées par des clients qui s’en dédouanent par un billet et sous couvert de consentement. Comment arrêter un phénomène qui, malgré la réglementation, explose, change de forme et se « professionnalise » ? Rencontre avec #StéphanieCaradec, directrice du mouvement #LeNid, une association qui, depuis 70 ans, lutte pour l’abolition de la prostitution.

Quel est votre sentiment par rapport aux décisions du plan intergouvernemental de lutte contre la prostitution des #mineurs ?
Tout d’abord, on salue l’existence d’un plan interministériel sur cette question. On se réjouit aussi qu’il soit financé à hauteur de 14 millions d’euros. C’est une bonne nouvelle que ministres et secrétaires d’État de la Justice, de l’Intérieur, de la Politique de la Ville, de la Jeunesse ou de la Solidarité et de la Santé, se retrouvent pour évoquer ce problème majeur de société : la prostitution des #mineures. La dimension interministérielle permet d’aborder toutes les facettes du problème. C’est primordial pour lutter contre.

De même, le développement de la prévention dans les établissements du secondaire et l’ambition de développer, grâce à la formation, une « culture commune » auprès de nombreux professionnels : action médico-sociale et éducative, services de santé, police et justice est une bonne chose. Le gouvernement promet aussi une prise en charge immédiate des victimes dès les premiers signes de détresse.

Comment avez-vous travaillé en amont lors des travaux préparatoires ? Et quelle était la position du Nid ?
Nous avons fait partie du groupe de travail préparatoire, présidé par Catherine Champrenault, procureure générale de Paris. Des discussions qui ont duré neuf mois. Si on salue l’intention, on s’interroge car il y a encore peu de détails sur la façon dont les actions seront menées et bien sûr, nous regrettons le grand absent des préconisations du plan : le « client ». Plus précisément, le plan indique que les « clients » et les proxénètes « nourrissent » le phénomène, mais aucune action concrète n’a été annoncée pour améliorer la répression des hommes qui achètent des actes sexuels à des enfants. L’État doit aller plus loin. Aujourd’hui, un nombre infime de « clients prostitueurs » sont interpellés et l’impunité reste la norme. La campagne de sensibilisation prévue au 1er semestre 2022 par le plan devra également s’adresser à eux.

Qu’est-ce qui fait que les lois sont-elles si peu ou si mal appliquées ?
Parce qu’il y a une chose qui s’appelle le sexisme et le patriarcat qui accepte toujours l’achat d’actes sexuels, surtout quand c’est majoritairement auprès de femmes. Acheter un rapport sexuel avec une adolescente est un délit. Les proxénètes comme les « clients prostitueurs » sont, en principe, sanctionnés. Mais dans les faits, c’est beaucoup plus compliqué. Les clients se dédouanent facilement avec un billet glissé à la jeune fille. Devant les policiers ou les magistrats, ils se servent tous de cette phrase magique : « Je pensais qu’elle était majeure ». À partir de là, il est très difficile de prouver que ces hommes mentent. Pourtant, il est impossible pour un homme de ne pas voir les conséquences de son acte en imposant une relation sexuelle à une jeune fille. Il est impossible de ne pas voir l’environnement qui règne dans une chambre où les filles enchaînent les passes. Une jeune fille de 14 ou 15 ans, il n’y a pas de doute possible sur sa minorité.

Qu’est-ce qui cloche alors et que faudrait-il faire ?
Le sujet est toujours sensible. On a l’impression à tort que la prostitution touche à la #sexualité et relève du domaine de l’intime. Beaucoup de travailleurs sociaux sont mal à l’aise avec ça. Mais ça évolue : depuis plusieurs années, on a de plus en plus de demandes de formations et de co-accompagnement par la Protection judiciaire de la jeunesse ou l’Aide sociale. Il y a aussi la façon dont la société dans son ensemble tolère cette situation. Le gros manque c’est de dire clairement les choses. Dire que le fait d’acheter le corps d’une adolescente, c’est de la #pédocriminalité. Il faut mettre le paquet contre ces hommes qui sont des criminels. Or, il n’y a rien sur les clients dans le plan interministériel. Il faudrait marteler des campagnes à destination des hommes qui achètent le corps des jeunes filles. Rappeler que c’est illégal et que ça a des conséquences sur le développement physique et psychologique des enfants. Ce silence sur les « clients », ça dit en creux que c’est aux gamines de porter toute la responsabilité. Ce n’est plus possible !

Votre association travaille sur la prostitution depuis des décennies. Comment voyez-vous son évolution, notamment pour les mineures ?
S’il est difficile de donner un nombre précis de jeunes filles mineures prostituées, une chose est sûre, Internet et les #réseauxsociaux sont un immense facilitateur pour le passage dans la prostitution. Des jeunes filles qui y exposent leur vulnérabilité, leurs disputes avec leurs parents par exemple, leur envie de fuguer… Tout ça, c’est du pain bénit pour les recruteurs. Les proxénètes sont à l’affût pour entrer en contact avec elles. Ils se font passer pour des #loverboy, des garçons gentils et compréhensifs, qui vivent eux aussi de grosses difficultés. Ce piège des proxénètes a toujours fonctionné mais avec Internet, la chasse est plus vaste. Dès que l’ado est amoureuse et/ou sous emprise, le loverboy va se transformer en homme insistant voire violent pour inciter ou forcer sa copine à franchir le pas et se prostituer.

Même facilité pour les clients. Avec Internet, les possibilités d’entrer en contact sont immenses. Même plus besoin de trouver une excuse pour sortir de chez soi et aller au bois de Boulogne. Ils peuvent faire leur marché à domicile, devant leur ordinateur. Ils ne prennent plus de risques. Les réseaux sociaux et les plateformes locatives comme #Airbnb sont des facilitateurs énormes qui ont fait exploser le proxénétisme des mineures. La police, la justice, les magistrats référents sur la prostitution des mineures le disent. De même, qu’on voit le développement de petits réseaux de proxénètes qui eux aussi peuvent être mineurs. Des jeunes qui végétaient dans le #trafic de drogue se lancent dans le #proxénétisme pour s’enrichir plus rapidement et à moindre risque. Les policiers parlent de micro-réseaux qui passent au travers des mailles de la loi, malgré l’engagement croissant de la justice et de la police sur le sujet.

Les médias insistent beaucoup sur l’argent facile, la vie futile des jeunes prostituées. Est-ce raccord avec la réalité à laquelle vous vous frottez ?
Au départ, la plupart disent : « J’assume ». C’est classique chez les mineures comme chez les adultes. Mais dès que le lien de confiance est créé avec des militants de l’association par exemple, elles nous disent : « Je voudrais faire autre chose ». Dire que la prostitution permet de gagner de l’argent facile, c’est vrai pour les proxénètes mais faux pour les prostituées. Au mieux, ça peut être de l’argent rapide mais certainement pas facile. Coucher avec un homme dont on n’a pas envie, faire dix, quinze passes ou plus par jour, n’est en fait rien d’autre que du #viol répété. Le fait qu’il soit tarifé ne change rien. Une fois lancées dans la prostitution, les jeunes femmes ont du mal à s’en sortir. L’emprise, similaire à celle qu’on observe dans les autres violences sexistes et sexuelles, les maintient en état de dépendance.

Pourtant des policiers et magistrats notent un « effet #Zahia », un attrait pour une vie fantasmée d’escort et une tendance à évoquer la prostitution comme un « métier » ?
Comment s’en étonner quand la société, les modèles commerciaux poussent à l’hyper- #sexualisation des corps des femmes et au virilisme des hommes. L’exploitation sexuelle filmée, le #porno amateur ou professionnel banalise des violences sexuelles auprès des plus jeunes. De même, quand certains médias utilisent la notion de « #travaildusexe », c’est aussi une forme de banalisation de cette violence qu’est le système prostitutionnel. Une des façons de lutter est, dans ce cas comme dans d’autres, d’employer les bons mots, de faire de la prévention auprès des jeunes et d’avoir les moyens humains et financiers pour empêcher les jeunes de tomber dans la prostitution et aider celles et ceux qui veulent en sortir. C’est-à-dire l’écrasante majorité. •

Le mouvement Le Nid est une association dite « abolitionniste » qui milite pour l’abolition de la prostitution tout en aidant celles et ceux qui se prostituent. Elle édite une revue trimestrielle Prostitution et société. Le mouvement du Nid mène des actions d’accompagnement des personnes prostituées mais aussi de la prévention auprès des jeunes dans les écoles, la sensibilisation des acteurs sociaux et du grand public.

#CharlieHebdo #féminisme #adolescence #traitedesêtreshumains

ldh_nice@diaspora-fr.org

#mineurs #mineurs isolés #mie #mna #enfants

### JOURNÉE INTERNATIONALE DES DROITS DE L'ENFANT A NICE

PROTÉGEONS LES MINEUR.ES ISOLÉ.ES

SAMEDI 20 NOVEMBRE 2021 DE 14:30 À 17:30
Place de la Libération, sur le parvis de l’ancienne Gare du Sud

Les mineur·es isolé·es étranger·es ont subi des violences dans leur pays d’origine, des parcours migratoires traumatisants et, pour beaucoup, des sévices dans les camps libyens. Ils et elles sont confronté·es, à leur arrivée en France, à un véritable parcours du combattant administratif et judiciaire.
Aucun·e mineur·e n’est en situation irrégulière sur le sol français et la loi oblige à héberger et accompagner les jeunes isolé·es. Et pourtant, ils et elles subissent, dans les Alpes-Maritimes, des entraves systématiques dans l’exercice de leurs droits : lors du passage de la frontière, pour la reconnaissance de leur minorité, leur placement en foyer, leur accès aux soins et à l’éducation ou leur obtention d’un titre de séjour à 18 ans. Certain·es sont mêmes arrêté·es par la police sur dénonciation de l’Aide Sociale à l’Enfance en cas de refus de prise en charge.
C’est la raison pour laquelle nous vous invitons, à l’occasion de la journée internationale des droits de l’enfant, à un échange solidaire et culturel autour de leur protection :
Journée internationale des droits de l’enfant : protégeons les mineur·es isolé·es !