#violencespolicières

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#ViolencesdÉtat #ViolencesPolicières #racisme #Police #Justice #Prison #Frontières

Samedi 16 mars 2024 : marche internationale contre les violences d’État

À l’appel du Réseau d’Entraide Vérité et Justice, plusieurs mobilisations auront lieu ce samedi 16 mars 2024.

Cette marche annuelle a été initiée en France en 2011 par les familles de personnes assassinées, blessées et mutilées, pour faire de la mi-mars un moment de convergence contre le racisme systémique, les violences et les crimes d’État : de la police, de la justice, de la prison et des frontières.

  • À Paris, 13h12, place de la République. (13h12 ? 13h je pense ? et d'habitude c'est plutôt 14h même, mais ???)
  • À Rennes, 13h, République.
  • À Toulouse, 14h François Verdier.
  • À Bordeaux, 14h place de la Bourse.
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#A69 #Toulouse #Castres #Zad #Corruption #Répression #ViolencesPolicières #Macron # OFF-Investigation #Écologie

Lutte contre l’autoroute A69 : Répression outrancière et renvoi d’ascenseur au sommet

Petits services entre obligés / Des ZAD résistent contre l’arc des extrêmes

La folie criminelle des élus locaux et entreprises qui veulent imposer l’A69 Toulouse-Castres rencontre les intérêts du tyran Macron et de son clan. D’après l’enquête de OFF Investigation, il semblerait que des renvois d’ascenseur au sommet expliqueraient en partie l’acharnement et le soutien de l’Etat, via sa flicaillerie déchaînée notamment, à ce projet routier incensé et destructeur. Des dirigeants du groupe Ardian, actionnaire important d’Atosca et gros acteur de la gestion du tronçon, ont aidé de manière décisive au financement des campagnes électorales de Macron...

Comme dans d’autres luttes précédemment, droite extrême, extrême centre, extrême droite et « socialistes » du PS sont unis pour la destruction du territoire et pour insulter, menacer et abaisser les opposants écologistes à leur lubbie autoroutière écocidaire.
Vroum vroum, des bagnoles, du fric pour le BTP, des cadeaux aux cadres et riches patrons du coin (Laboratoires Fabre en tête), c’est ce qui importe à cet affligeant arc anti-démocratique et anti-écologique des extrêmes qui se rejoignent avec entrain dans la détestation assumée de toute écologie conséquente.
Sans imagination, ils ressortent les mêmes insultes, amalgames et menaces qu’à Roybon, NDDL ou Sivens. Leurs partisans échauffés piaffent, ils attendent et souhaitent des morts, des mains arrachées et des yeux crevés avec impatience parmi les Zadistes et grimpeureuses. Les milices policières ultra-violentes à la solde du pouvoir sont prêtes à les satisfaire.
Autoroute A69 : l’affaire personnelle de Macron ?

Synopsis : En cinq mois d’immersion avec Thomas Brail, fondateur du GNSA, nous avons découvert que des actionnaires de projets contestés comme l’autoroute A69 ou une centrale photovoltaïque en Guyane avaient contribué au financement de la carrière politique de Emmanuel Macron (une enquête en 90 minutes signée Clarisse Feletin)(...)

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Images tirées d’un clip promotionnel de l’entreprise Condor.

#Armement #Police

#Amériques, #Capitalisme, #TechniquePolicière, #ViolencesPolicières

Police française : des grenades brésiliennes pour terroriser la population

La police française est, de loin, la plus lourdement armée d’Europe. Le nombre de mutilés et de tuer chaque année par la police en France est sans commune mesure avec celui des pays voisins.
Mais la France de Macron s’inspire désormais de la police la plus violente du monde.

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#ExtrêmeDroite, #Histoire, #Racisme, #ViolencesPolicières

Police et antisémitisme : une vieille histoire

«Elle est feuj», «c’est pour ne pas avoir chaud»… Mediapart a publié le 5 février 2024 des vidéos accablantes, montrant des policiers humilier une femme de 67 ans, juive orthodoxe, privée de sa perruque après avoir été arrêtée pour refus d’obtempérer à Créteil. Dans certaines traditions du judaïsme, les femmes cachent leurs cheveux avec une perruque. L’attitude violente et méprisante des policiers avec cette dame d’âge mur est l’équivalent d’un arrachage de voile. Gérald Darmanin n’a pas réagi à ces révélations.

Le Ministre de l’Intérieur avait pourtant osé déclarer le 17 octobre dernier : «La haine du juif et la haine flic se rejoignent», lors d’une visite à la communauté juive. Ces propos étaient à la fois faux, révisionnistes et antisémites. Car l’antisémitisme et la police française, c’est une vieille histoire.

La police telle qu’elle existe a littéralement été fondée par un gouvernement dictatorial et antisémite. Le 14 août 1941, la Police Nationale naissait sous le Régime de Vichy, par décret du Maréchal Pétain. Le 19 avril 1942, c’est le collaborationniste et antisémite forcené René Bousquet qui est nommé secrétaire général de la police.

Les 16 et 17 juillet 1942, des milliers de policiers français raflent plus de 13.000 juifs, hommes, femmes et enfants, pour les charger dans des trains en direction des camps de la mort, pour faire plaisir aux Nazis. Moins d’une centaine d’adultes en reviendront et aucun enfant. Sous l’Occupation, ils traquent et torturent aussi les résistants, les tziganes et autres indésirables.

À la Libération, les complicités génocidaires de la police française ne seront jamais sanctionnées, l’organigramme de la police ne sera pas modifié jusqu’à aujourd’hui, et de hauts responsables de la police ayant collaboré avec les nazis resteront même à la tête de l’institution. Notamment Maurice Papon, qui se rendra responsable de massacres d’Algérien-nes à Paris en 1961.

Encore aujourd’hui, la grande majorité des policiers votent pour des partis d’extrême droite, RN ou Reconquête, issus de courants antisémites et faisant pour certains l’apologie du pétainisme. L’antisémitisme est un racisme historiquement spécifique en Europe, mais il s’inscrit dans un continuum. Par exemple, la théorie complotiste du «grand remplacement» vise parfois les juifs et juives, qui sont considérées par certains courants fascistes comme les responsables occultes d’une immigration qui viserait à «remplacer» une prétendue «race blanche». En Mai 2023, Libération révélait l’existence d’un policier de la BRAV ouvertement néo-nazi et publiant régulièrement du contenu haineux et des apologies de crimes. Les antisémites sont comme des poissons dans l’eau dans la police.

En assimilant la communauté juive de France à la police, Darmanin met en danger les juif-ves. Les citoyen-nes juif-ves ne sont en rien assimilables aux violences policières et ne doivent pas être rendu-es responsables de la répression qui révolte de plus en plus d’habitant-es de ce pays. Cette phrase est antisémite dans la mesure où elle relativise ce qu’est l’antisémitisme. Une idéologie de haine qui a engendré des persécutions et des génocides. Rien à voir avec le fait de ne pas aimer l’uniforme ou d’affronter des policiers lourdement armés en manifestations. Rien à voir, non plus, avec le fait de condamner le gouvernement d’extrême droite israélien, qui commet actuellement un génocide.

Prenons l’exemple de Maurice Rajsfus. Ce militant était un rescapé de la Shoah, sa famille a été arrêtée et déportée par des policiers français lors de la rafle du Vel-d’Hiv. Il avait alors 14 ans, ses parents ne reviendront jamais. Toute sa vie, il expliquera son contentieux avec la police : «Les policiers français ont volé des années de vie à mes parents. Tous ont participé aux rafles quand ils étaient requis. Pratiquement pas un seul n’a démissionné. Si la police française ne s’était pas mise aux ordres, jamais il n’y aurait eu autant de dégâts. Il y a eu 250.000 déportés de France, dont 76.000 juifs, les autres étant, pour l’essentiel, des communistes et des gaullistes…»

Il ne pardonnera jamais à la police sa collaboration. Ni ses violences passées et présentes. Autodidacte, il devient historien des violences policières, qu’il recense à partir de 1968, et ce pendant près de cinquante ans, notamment au travers du bulletin «Que fait la police ?».

Jusqu’à son dernier souffle, Maurice Rajsfus a soutenu les familles de victimes des violences d’État et combattu le racisme sous toutes ses formes. Il était aussi un virulent adversaire du sionisme et du colonialisme en général. Décédé en 2020, il laisse derrière lui plusieurs décennies de travail d’archive et plusieurs livres.

Si ce grand homme était encore parmi nous, il serait estomaqué de la déclaration de Darmanin. Mais malheureusement pas surpris par l’interpellation violente et antisémite d’une femme par la police française.

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#Réfugies #Exilés, #Justice, #Police #ViolencesPolicières

Il avait enfoncé les yeux d’un jeune exilé : le policier condamné par la vidéosurveillance

Un policier a été condamné pour des violences commises sur un jeune libyen de 22 ans. Il lui avait enfoncé les pouces dans les yeux alors que la victime était plaquée sur un banc contre un mur. Une agression violente qui a provoqué «une poche hémorragique de 2 mm» dans l’œil gauche de la victime, selon un rapport médical consulté par StreetPress. Une légère condamnation qui cache mal l’impunité des nombreux autres faits de violences commises par des surveillants du Centre de Rétention Administrative – CRA – de Toulouse.

Fin 2022, alors qu’il était enfermé au CRA de Toulouse depuis 45 jours, Samir – le prénom d’emprunt utilisé par Streetpress – est victime de violences barbares et gratuites de la part de deux surveillants, alors qu’il se trouve assis à une table pendant le repas du soir.

Dès le 4 décembre 2022, son témoignage est relayé par le collectif anti CRA de Toulouse : «On était en train de manger à la cantine, le policier a insulté un jeune, il a insulté sa mère, on a dit au policier pourquoi tu l’insultes, il est jeune, tu insultes la daronne, ça se fait pas. Il a pris mon copain, il l’a monté à la salle d’attente, il l’a tapé devant moi, je suis témoin, il lui a mis des tartes, des coups, il lui a mis des coups dans les yeux, il a eu du sang dans les yeux après. Il a un certificat médical. Y’a les vidéos aussi. Il a demandé à porter plainte. Et le policier a porté plainte avant.

Ils ont emmené mon copain en garde à vue, ensuite, ils l’ont ramené à 1 heure du matin ici au centre et juste après, ils l’ont transféré au centre de Perpignan. Moi aussi il m’a frappé, il m’a insulté. J’ai pas porté plainte, je suis témoin pour mon copain pour sa plainte».

Face aux images de vidéosurveillance le policier, Baptiste, se défend devant les enquêteurs de tout geste «volontaire» mais reconnaît que «ses mains ont ripé et ses doigts [se sont] étalées sur son visage pour le faire taire». Une défense habituelle, comme on a encore entendu de la part du policier Marc Antoine Castelain qui a mutilé Théo à coup de matraque métallique dans l’anus et qui a également écopé d’une peine de sursis simple.

La victime a été poussée dans l’angle mort de la salle, juste en-dessous de la caméra. «La victime disparaît de l’image au moment précis où le poing serré du brigadier se dirige vers sa poitrine». Samir assure qu’il a été roué de coups «comme un sac de boxe, frappé quatre ou cinq fois au visage et au corps». Mais les images de vidéo de surveillance sont alors inutilisables. Coïncidence troublante avec l’affaire de Bobigny, où les policiers ont «par hasard» toujours l’habitude de prolonger les violences qu’ils assènent à l’abri des caméras.

Confronté aux vidéos accablantes, la version mensongère des policiers n’a pas tenu. Comme d’habitude, les policiers ont pourtant tenté de prendre les devant pour se protéger, en déposant plainte à l’encontre de Samir pour des faits de rébellion et de menace de crime contre une personnes dépositaire de l’autorité publique. À chaque nouveau cas avéré et filmé, on ne cesse de se demander : comment peut-on croire encore un mot de ce que raconte les représentants de l’autorité publique ?

À la vue des images, le tribunal de Toulouse n’a pu nier les premières violences subies par Samir. Le premier policier est donc reconnu coupable et condamné à une peine de quatre mois de sursis simple. Le second policier, en revanche, qui a su se positionner à l’abri des caméras pour continuer ses exactions violentes sur la jeune victime, a été relaxé… Aucune information n’a pu être trouvée sur la question d’une éventuelle sanction administrative ou suspension à l’encontre des deux policiers. Face au silence de la direction du CRA et du commissariat, on se doute que ces deux policiers continueront leur carrière paisiblement.

Ce type de condamnation est exceptionnel. Ces violences sont pourtant quotidiennes comme en témoignent les collectifs de soutien aux exilé-es et aux prisonnier-es. «Le centre de rétention de Toulouse – qui a enfermé 1.136 étrangers suspectés par l’administration d’être en situation irrégulière en 2022 – n’en est pas à sa première affaire de brutalité policière. La Défenseure des droits a reçu quatre saisines dénonçant des violences physiques contre des retenus depuis 2022. Les instructions sont toujours en cours».

Coïncidence troublante, l’une de ces plaintes vise le second policier impliqué dans les violences exercées sur le jeune Samir.

En effet, en mai 2023, un autre d’un prisonnier du CRA de Toulouse a dénoncé les violences cet agent, qui avait lui-même accusé sa victime de rébellion et outrage. Face aux soupçons évidents de violences commises par les agents de l’administration, la justice avait relaxé le jeune exilé algérien. Les vidéos de surveillance de cette scène étaient également accablantes : «on aurait dit qu’il était devenu un sac de pommes de terre, jeté au sol et tabassé» décrit l’avocate. Devant le juge, l’algérien assurait avoir «des bleus partout» sur son corps, frappé par plusieurs policiers et avoir même été utilisé comme un poids mort «pour ouvrir une porte».

Le parquet avait pourtant eu l’indécence de poursuivre la victime de ces violences policières. Une fois relaxé, celui-ci a déposé plainte contre les policiers qui l’avaient roué de coups. L’affaire est toujours en cours selon les informations de Streetpress.

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#Police #2poids2mesures #MaintienDelOrdre, #Sport, #ViolencesPolicières

Refus d’obtempérer à géométrie variable

lien de la #Vidéo :
https://contre-attaque.net/wp-content/uploads/2024/02/REFU.mp4

Samedi 3 février au soir, à Paris, des célébrations ont lieu dans la rue après la victoire de la Côte d’Ivoire lors de la Coupe d’Afrique des Nations. Un homme fête l’événement en brandissant un drapeau depuis sa voiture immobile, ne présentant pas de risque. Un policier surgit avec son arme à feu au milieu des fêtards, et braque l’automobiliste. Heureusement, la foule autour garde son sang froid. Et un policier calme même son jeune collègue prêt à tirer.

En septembre dernier, lors d’une manifestation sociale à Paris, un policier était sorti d’un véhicule pour braquer une foule de manifestants avec son arme à feu.

Quelques semaines plus tôt, le 27 juin, le jeune Nahel était abattu à bout portant dans une voiture à Nanterre, par des policiers qui n’étaient pas en danger.

À l’inverse, le 31 janvier dernier près d’Angers, sur un blocage d’agriculteurs, des gendarmes se trouvant devant un tracteur en mouvement s’étaient simplement écartés pour le laisser passer.

Quand les forces de l’ordre veulent faire preuve de proportionnalité et éviter d’aggraver la situation, elles savent parfaitement le faire. Braquer des automobilistes, des passants ou des manifestants avec une arme létale est un choix. Ce choix de potentiellement mettre à mort vise d’abord les personnes non-blanches, pauvres et opposants politiques. Et beaucoup moins les tracteurs de la FNSEA.

Ces dernières années, le nombre de tirs à balles réelles de la police française a explosé. La loi sur la «présomption de légitime défense» votée par le Parti Socialiste en 2017 a provoqué une augmentation immédiate de l’usage d’armes à feu et du nombre de morts pour «refus d’obtempérer». Il n’est désormais plus rare de voir des agents braquer leur arme sur des civils et parfois de faire feu.

Images : Rambaud filoche louis, CLPress

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#Justice, #Police #ViolencesPolicières #IGPN ...

8 ans après : un policier condamné à une peine symbolique pour des violences commises sur un manifestant

Le 23 janvier, un policier était jugé au tribunal de Nantes pour avoir ouvert le crâne d’un manifestant en mars 2016, lors d’une manifestation contre la “Loi Travail”.

Il a fallu quasiment 8 ans pour qu’un seul agent comparaisse, alors que des centaines de personnes avaient été blessées, parfois gravement, lors de ce mouvement social.

La victime dans cette affaire est un manifestant qui venait d’aider deux lycéennes touchées par les gaz et qui s’était retrouvé isolé. Alors qu’il avait les mains dans les poches, il avait été frappé de plusieurs coups de matraque, notamment à la tête, puis jeté à terre et enfin arrêté alors que sa tête était ensanglantée. Il avait ensuite été placé en garde à vue à sa sortie de l’hôpital.

Heureusement, une habitante avait filmé toute la scène, qui avait été diffusée sur les réseaux sociaux, ce qui avait permis que des poursuites soient engagées. Malgré cela, les syndicats policiers nantais avaient fait pression pour que l’enquête soit abandonnée, et avaient menacé l’IGPN.

Le procès du 23 janvier avait été douloureux : le policier avait totalement assumé sa violence, estimant que le port d’un mégaphone méritait un matraquage, et la procureure avait cuisiné la victime comme si c’était elle qui était coupable.

Le 1er février, la justice a finalement rendu son verdict : le policer est condamné, mais à une peine avec sursis qui ne sera même pas inscrite à son casier judiciaire.

➡️ La dessinatrice Ana Pich a interviewé Maître Huriet, l’avocat du blessé, qui livre son analyse. Il souligne qu’une trentaine d’autres plaintes avaient été déposées pour violences policière à l’époque, sans suites.

➡️ Pour retrouver le reportage dessiné du procès, c’est ici : https://contre-attaque.net/2024/01/23/a-nantes-un-proces-symptomatique-du-sentiment-dimpunite-dans-la-police/

➡️ Ou sur la page Instagram : @ana.pic

onyx@diaspora-fr.org

Affaire Théo : on vous raconte toute l'histoire

Alt: https://piped.smnz.de/watch?v=xKaeCEW2-PA

LA GRANDE HISTOIRE. C'est une affaire qui est devenue l'un des symboles des violences policières… Cette semaine dans La grande histoire, Hugo Baiardi raconte les dessous de l'affaire Théo, victime d'un coup de matraque qui l'a laissé handicapé à vie.

#injustice #racisme #matraque #jugement #AffaireThéo #violencespolicières #bavurepolicière

magdoz@diaspora.psyco.fr

La #police américaine est-elle #raciste ?
12min https://www.arte.tv/fr/videos/112597-014-A/la-police-americaine-est-elle-raciste/
#Reportage ARTE Info Plus - Disponible du 16/02/2023 au 15/02/2024

Les affaires de #ViolencesPolicières contre les #Afro-américains, ce n'est pas nouveau aux Etats-Unis. #TyreNichols, un homme de 29 ans, a été roué de coups par plusieurs #policiers de #Memphis le 7 janvier 2023. Il en est mort. Et une fois de plus, des milliers d' #Américains sont descendus dans la rue pour dénoncer ces actes racistes. Mais s'agit-il de #racisme ? La police américaine est-elle raciste ? On en parle.

À 6min50 #USA :

C'est une #Nation qui s'est fondée sur un #Génocide, tout d'abord, et puis dans son #histoire moderne aussi, sur l' #esclavage...
Charlotte #Recoquillon Spécialiste des Violences Policières aux #États-Unis - Institut Français de Géopolitique

C'est #ColineSerreau qui disait que « les USA sont construits sur 2 génocides, celui des #Africains et celui des #Amérindiens ». Je suis satisfait de voir que le propos est aussi validé par une experte de la question.
#Esclavagisme #GeorgeFloyd #GeorgeFloydAct #Violences #BlackLivesMatter

dudababel@diaspora-fr.org

#Blast : CONDITIONS INHUMAINES, VIOLENCES : LES TÉMOIGNAGES TERRIBLES D’EXILÉS À PARIS

J'ai jamais vu ça de ma vie. J'ai été en Italie, en Allemagne, au Pakistan, en Afghanistan, en Iran, mais de ma vie j'ai jamais vu ça.

A l’occasion de la parution du rapport du Collectif Accès au Droit - basé sur une enquête flash récente auprès de 103 personnes exilées à Paris et 448 témoignages recueillis depuis 2015 - Blast vous propose un Focus avec Camille Gardesse, chercheuse à l’Institut Convergence Migrations. Ce décryptage enrichi de rencontres avec divers acteur.ice.s du monde associatif ainsi qu'avec des exilés victimes de ce qui s’apparente à une véritable « chasse » institutionnalisée, révèle une réalité faite de violences et d'humiliations. Des témoignages difficiles à voir et à entendre dans un contexte de "tournant historique" marqué par l'adoption récente à l’Assemblée d'une loi sur l'immigration, adoubée par la droite extrême.

#acab #migrants #migrant #police #bravm #brav-m #calais #immigration #ViolencesPolicières

frenchhope@diaspora-fr.org

Brèves de presse sur X : "🔴🇨🇵INFO - Le Canard enchaîné révèle qu'environ 100 # policiers sont actuellement surveillés par la DGSI pour leurs liens avec l'ultradroite. Côté #gendarmes, plusieurs sont aujourd'hui placés sur écoute administrative." / X

#politique #police #violencespolicières #extrêmedroite #dgsi #gendarmerie