#violencespolicières

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#Nahel

#ViolencesPolicières #Police #Justice ( #Bourgeoise )

"Un policier peut ressortir de prison millionnaire 5 mois après avoir tué un adolescent"

Ce mercredi 15 novembre, le policier qui a tué le jeune Nahel en juin dernier a été remis en liberté après cinq mois passé en prison. Toujours mis en examen pour « homicide volontaire », il a été placé sous contrôle judiciaire, avec interdiction de porter une arme, de se rendre à Nanterre et de contacter les parties civiles.

Invitée sur BFM, Elsa Marcel (avocate au barreau de Paris) dénonce "un crachat au visage" de la famille, face à Mathieu Valet (porte-parole du syndicat de police SICP) et un plateau en défense du policier qui a tué Nahel.

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#Gilets-Jaune #GiletsJaunes #G-J #GJ #Anniverssaire #5Ans #Putain .... #MouvementSocial #Politique #Blocage #Grève #Occupation #Manifestation #Action-Direct #DesobeissanceCivile #Repression #États #Gouvernements #Police #Justice #violencesPolicières #violencesJudiciaires #Autoritarisme #Criminalisation #Mort #Blessés #Invalides #Polices #MediaDominants #ACAB #ChienDeGarde !!!

GILETS JAUNES : 5 ANS APRÈS ET "SANS REGRETS"

Le 17 novembre 2018 naissait un mouvement social et de contestation politique d'une ampleur rare en France : les Gilets Jaunes.
Des millions de personnes ont manifesté des semaines et des mois durant, dans un bras de fer inédit avec le pouvoir en place.
La violence policière s'est alors déchainée sur de très nombreuses personnes à travers le pays : des milliers de blessés, de mutilés, et même des tués en marge des rassemblements gigantesques.

Cinq ans plus tard, qu'en reste-t-il ?
Une démobilisation quasi générale, mais un sentiment d'injustice toujours fortement présent. La résignation a gagnée les foules tandis que des records sont régulièrement battus : nombre de pauvres, nombre de milliardaires, dividendes versés aux actionnaires, ... les chiffres français sont chaque année plus hauts.

En ce 17 novembre 2023, une poignée de personnes se sont donné rendez-vous en haut des Champs-Elysées, emmenée par Ritchy Thibault et accompagnée par l'ex-boxeur professionnel Christophe Dettinger, pour rendre hommage à leurs camarades vêtus de jaune fluo... mais sans le porter pour autant.

Une page est tournée ? Peut-être, "sans regrets" mais sans doute avec un peu d'amertume...

Un sujet de notre journaliste Sanli Cemil.

#LeMedia #Info #Media-Indépendant

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#Gilets-Jaunes

#Gouvernement, #Histoire, #LuttesSociales, #Revolte, #JusticeSociale #Ordre, #Violences, #ViolencesPolicières #Blocages #Flux #Democratie, #Moncul !

5 ans : joyeux anniversaire au mouvement des Gilets Jaunes !

Le #17Novembre2018, une onde fluorescente déferle sur le pays. Des milliers de #ronds-points et de routes bloquées, les grandes surfaces paralysées, des centres de pouvoir attaqués, préfecture et péages en flammes, les beaux quartiers parisiens pris d’assaut…

Une révolte inédite, incontrôlable et protéiforme pendant plusieurs mois, pour la justice sociale et, rapidement, pour la chute du Régime.

Le 17 novembre 2018 commençait la plus grande vague insurrectionnelle en France depuis Mai 68. Le soulèvement n’a été contenu que par des centaines de milliers de munitions policières, des milliers d’arrestations et de blessé-es.

Mais les braises couvent encore. Toutes les raisons qui ont provoqué le soulèvement des Gilets Jaunes sont encore là. Elles se sont même énormément aggravées : vie chère, mépris, misère, répression…

C’était il y a 5 ans et le pouvoir est chaque jour plus crapuleux, la situation sociale chaque jour plus invivable. Les puissants espèrent se maintenir en organisant une transition vers un régime proche du fascisme.
Rien ne dit qu’ils y parviendront. Les Gilets Jaunes ont montré qu’aucune forteresse n’était imprenable.

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#Belgique #Bruxelles #ViolencesPolicières #Justice

#Racismes #LutteDesClasses #5Decembre

Recueillement et Manifestation : Vérité Et Justice Pour Sabrina Et Wassim

Nous lançons un appel à vous mobiliser et à venir participer physiquement à la #manifestation qui aura lieu le 05/11/2023 au-dessus du tunnel Bailli à Bruxelles. C’est un événement crucial pour réclamer la justice pour Sabrina et Ouassim, qui ont tragiquement perdu la vie dans des circonstances inacceptables.

Ces jeunes âmes méritaient un avenir prometteur, mais ils nous ont été enlevés à cause d’un excès de zèle de la part de trois policiers. Ils ont été victimes d’une poursuite inutile, malgré le fait que les policiers avaient l’identité du propriétaire de la moto. C’est un acte injustifiable.

Notre présence en grand nombre à cette manifestation est essentielle pour faire pression sur les autorités et veiller à ce que justice soit rendue. Les actions de ces trois policiers ne peuvent rester impunies. Nous devons lutter pour un système judiciaire équitable.

Rejoignez-nous pour honorer la mémoire de Sabrina et Ouassim et pour exiger la justice qu’ils méritent.

Ensemble pour la justice,

Rendez-vous au croisement de l’avenue Louise et de la rue du Châtelain.

Pour un recueillement sur le lieu du drame suivit d’une manifestation jusqu’à la place Poelarts pour exiger Justice !
Voir en ligne : Vérité Et Justice Pour Sabrina Et Wassim

nadloriot@diaspora.psyco.fr

Quarante ans après, retour sur une Marche pour l’égalité inédite

Entre le 15 octobre et le 3 décembre 1983, une trentaine de marcheurs, bientôt rejoints par des dizaines d’autres, vont traverser la France de Marseille à Paris pour mobiliser contre le raciste et, déjà, contre les bavures policières.

La Marche pour l’égalité est née d’une bavure policière. En 1983, Toumi Djaidja, président de SOS Avenir Minguettes, jeune association du quartier lyonnais, se prend une balle dans le ventre. Il en réchappe. Une marche est alors été décidée sur son lit d’hôpital. S’appuyant sur les réseaux militants de banlieue, celle-ci part de Marseille, avec une trentaine de personnes, le 15 octobre 1983. En route, le nombre de marcheurs ne cesse de grossir. Et lorsque la marche arrive à Paris, le 3 décembre 1983, plus de 100 000 personnes sont là pour l’accueillir.

Les photographies d’Alain Bizos sont exposées jusqu’au 17 décembre au CPA à Valence dans le cadre de l’exposition «Battre le pavé des rues».

https://www.le-cpa.com/expositions-1/expos-du-moment/battre-le-pave-des-rues

https://www.liberation.fr/culture/photographie/en-images-quarante-ans-apres-retour-sur-une-marche-pour-legalite-inedite-20231014_UUMUTESF35DWNDIGTQQU6PG3OY/

#histoire #discrimination #violencespolicières #banlieue #france #expo #valence

nadloriot@diaspora.psyco.fr

Jamais en tout cas en quarante ans, depuis La Marche, il n’a été donné de réponses à la hauteur des enjeux. L’actualité le confirme : quatre mois après les émeutes de juin 2023 et leur répression, on attend toujours l’analyse et le plan d’action du gouvernement.

Il y a 40 ans, la « Marche des beurs » pour l’égalité et contre le racisme

Comme les Noirs américains marchant derrière Martin Luther King, des jeunes français issus de l'immigration ont décidé en 1983 de se mobiliser pour être traités à l'égal des autres citoyens.

En septembre 1985, le mot « beur » (arabe en verlan) entre dans le dictionnaire Le Robert : "Personne née en France de parents immigrés maghrébins". Cette inscription fait suite à la création en 1981 de Radio Beur, et surtout à la Marche pour l’égalité et contre le racisme, rapidement baptisée par les médias « Marche des beurs ».

Partis de Marseille le 13 octobre 1983, une trentaine de « marcheurs permanents » traversent la France en de nombreuses étapes, accompagnés localement de nombreux soutiens et suscitant d’importants rassemblements. Lors de l’arrivée à Paris le 3 décembre, les marcheurs sont accompagnés de 100 000 personnes, mobilisées par partis, organisations de gauche et associations de jeunes immigrés.

Leurs revendications sont nombreuses et diverses : instauration d’une carte de séjour de 10 ans, vote des étrangers, égalité devant la police et la justice, le droit au travail, le droit au logement, protestation contre les crimes racistes... Parmi eux, de nombreuses filles, très actives dans la structuration du mouvement, dans la revendication pour l’égalité, et qui forcent le respect des jeunes hommes qu’elles soutiennent contre les violences policières.

Le Président de la République François Mitterrand reçoit une délégation et se montre sensible à plusieurs revendications, qui connaîtront toutefois diverses fortunes. Côté droit de séjour, une loi de juillet 1984 opérera une grande simplification en instaurant la carte unique de résident valable 10 ans.

Multiples discriminations

Le soutien à la lutte contre les crimes racistes se traduira, lui, par la création, dans l’orbite du Parti socialiste, de l’association SOS Racisme, que beaucoup de leaders de la marche dénonceront toutefois comme une tentative de récupération de leur mouvement. Le droit de vote des étrangers aux élections locales, enfin, faisait partie des propositions du candidat François Mitterrand en 1981, mais les timides initiatives en ce sens n’aboutissent pas et il est repoussé sine die.

La Marche est une tentative d’action non-violente dans un contexte violent. Les jeunes enfants d’immigrés des « cités » se rebellent contre les violences et le harcèlement policiers.

Les premières révoltes urbaines d’envergure de jeunes des cités se déroulent dans la banlieue de Lyon entre 1979 et 1981, à Vaux-en-Velin, Villeurbanne, Vénissieux. En 1981, dans cette dernière ville, le quartier des Minguettes connaît un « été chaud », des rodéos de voitures volées, puis brûlées, suivis d’affrontements avec les CRS. Le contexte est particulièrement tendu. Depuis quelques années, le chômage sévit, touchant près de 40 % des jeunes de la cité, et particulièrement ceux d’origine maghrébine.

La cité a pris de plus en plus l’allure d’un ghetto. La population de Vénissieux est passée de 15 000 habitants au début des années 1950 à 75 000 en 1975. L’immense cité des Minguettes – près de 10 000 logements, à 60 % HLM –, sortie de terre entre 1965 et 1973, a vu sa population croître fortement, avec en particulier l’arrivée d’une population modeste souvent d’origine algérienne, avant de chuter : sa population passe de 36 000 habitants en 1975 à 25 300 en 1982.

Les classes moyennes – ouvriers qualifiés ou employés – partent pour tenter d’accéder à la propriété dans des zones pavillonnaires hors de la ZUP. L’immobilier se détériore, accentuant le sentiment des habitants d’être des laissés-pour-compte.

La petite délinquance croît ainsi que les tensions avec la police, dont les « bavures » se multiplient dans l’agglomération lyonnaise comme partout en France. En octobre 1982, Wahid Hachichi est tué à Lyon par un policier, laissé libre après son inculpation. Le 28 septembre, un habitant de Bron abat de deux balles dans le dos Ahmed Bouteldja et écope dans un premier temps de six mois de détention provisoire. Des verdicts bien cléments aux yeux des jeunes des banlieues.

De la bavure à la Marche

Aux Minguettes même, on ne déplore aucun mort, mais le climat reste très tendu. En mars 1983, à la suite de l’intervention de la police dans une tour suspectée d’être un lieu de recel d’objets volés, 200 jeunes affrontent les CRS venus en renfort. Des expulsions d’individus jugés dangereux sont prononcées, face auxquelles un nouveau mode d’action apparaît : des jeunes, accompagnés d’un prêtre et d’un pasteur, entament une grève de la faim.

Ils créent dans la foulée l’association SOS Avenir Minguettes dont le président, Toumi Djaïda va être gravement blessé en juin lors d’un énième affrontement par un policier maître-chien quand il tente de protéger un jeune tombé à terre. Touché au ventre, il se rétablit rapidement. Inspiré par le père Delorme et les exemples de Gandhi et de Martin Luther King, il convainc plusieurs de ses amis d’entreprendre une grande « marche pour l’égalité et contre le racisme », espérant dans son efficacité et pour donner une autre image des jeunes maghrébins.

Plusieurs facteurs contribuent alors à la réalisation et au succès de cette marche. D’abord des facteurs propres au vécu de ces jeunes. Leur lieu et conditions de vie communes, le racisme qu’ils ressentent tous de la part de la police et de la justice, les nombreuses associations de différentes natures qu’ils ont constituées, et particulièrement SOS Avenir Minguettes qui affiche dans son local : « la violence, c’est d’avoir 20 ans, pas de boulot et les flics sur le dos ».

Le contexte politique joue aussi son rôle. La gauche vient d’accéder au pouvoir et suscite des espoirs chez les parents immigrés, souvent ouvriers, et leurs enfants, concernant la fin des expulsions, la carte de séjour, la « double peine », le vote des étrangers aux élections locales. Le soutien qu’ils reçoivent sur place de militants de gauche et de chrétiens les encourage.

Pour les plus politisés, la soudaine montée du Front National lors d’élections locales à Dreux inquiète, d’autant plus que sa propagande est alors avant tout dirigée contre les immigrés maghrébins, désignés comme fauteurs de troubles et de chômage. Cette propagande exerce une pression jusqu’au gouvernement socialiste qui a accusé – en janvier 1983 – les ouvriers immigrés grévistes de l’usine automobile Talbot à Poissy menacés de licenciement d’être manipulés par des islamistes.

La Marche est ainsi une action politique forte, qui fait apparaître au grand jour, sur la scène médiatique et politique une nouvelle génération issue de l’immigration : une génération – le plus souvent de nationalité française – qui revendique une égalité citoyenne.

Nouvelle génération née en France

Alors que la génération précédente, immigrée – et souvent appelée – en France pour y travailler, gardait en tête l’espoir de revenir tôt ou tard au pays, ces jeunes, ayant toujours vécu en France, n’imaginent pas leur avenir ailleurs et souhaitent s’intégrer dans une France de fait multiculturelle.

C’est d’ailleurs cette revendication qui est mise en avant par la seconde marche... en mobylette, organisée en 1984 avant que SOS Racisme, impulsé par le Parti socialiste, en impulse une autre et mène d’autres actions.

Même si, aux Minguettes comme dans d’autres cités, l’impact de la Marche est faible, faute d’avoir réussi à structurer une organisation durable des jeunes des cités, elle n’est pas sans effet. Elle impulse la mise en place d’une politique de la ville, et la remise en cause des grands ensembles devenus, au fil des ans, des lieux d’exclusion sociale pour les enfants d’immigrés.

En 1983, il y avait peut-être de plus fortes raisons d’espérer qu’aujourd’hui, malgré le recul relatif du chômage. Les maux dont souffraient les cités et ses habitants ne se sont guère résorbés, et la réponse au mal-être des jeunes de ces cités reste avant tout la répression qui engendre régulièrement des spirales de violences.

Jamais en tout cas en quarante ans, depuis La Marche, il n’a été donné de réponses à la hauteur des enjeux. L’actualité le confirme : quatre mois après les émeutes de juin 2023 et leur répression, on attend toujours l’analyse et le plan d’action du gouvernement.

Gérard Vindt

https://www.alternatives-economiques.fr/y-a-40-ans-marche-beurs-legalite-contre-racisme/00108369

#histoire #discrimination #violencespolicières #banlieue #lyon #france

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#Hedi #Médias-indépendants, #Violences-Policières

Actes de barbarie contre Hedi : les vidéos enfin révélées

Le 1er juillet au soir, une bande de 4 #policiers de la #BAC croisent Hedi et un ami dans une rue de #Marseille. Ils lui tirent dessus : une balle en caoutchouc en pleine tête. Hedi s’effondre, gravement blessé. Les policiers le traînent au sol pour aller le #tabasser dans une ruelle et l’abandonnent là. Laissé pour mort.

Hedi est sauvé de justesse par un ami qui l’emmène à l’hôpital et par une prise en charge en urgence. Il sombre dans le coma, les médecins doivent lui retirer une partie du crane pour que son cerveau reste fonctionnel et qu’il ne décède pas la nuit même. Les médecins pensent qu’il ne se réveillera pas. Hedi est un miraculé, mais il garde des séquelles extrêmement graves et devra être réopéré.

La mise en examen des policiers tireurs a provoqué un mouvement inédit dans la profession : les tabasseurs ont été massivement soutenus, une cagnotte a été créée, des milliers de policiers se sont mis en arrêt maladie en solidarité… Jusqu’au sommet de la police et du ministère de l’Intérieur qui ont défendu le tireur.

Pourtant, les vidéos des faits ne sortaient pas, malgré la gravité de l’affaire. L’enquête avait pourtant recueilli plusieurs #vidéos dès le début de l’été : deux caméras de surveillance et celle d’une habitante. Pourquoi un tel vide dans l’affaire ? Pourquoi cacher ces preuves ? L’ #IGPN avait même exigé auprès d’une témoin auditionnée de ne pas diffuser la vidéo.

#Médiapart vient d’y remédier. Grace à une précieuse investigation, la journaliste Pascale Pascariello dévoile et analyse les images. Un document accablant pour la #police et qui en dit long sur l’état d’esprit des forces de #répression. Dans la police française, de tels actes de #barbarie en bande ne sont pas seulement couverts, ils sont encouragés.

#Médiasindépendants, #ViolencesPolicières

marie-claudes@diaspora-fr.org
marie-claudes@diaspora-fr.org

20 minutes
Pantin : Violences, faux PV… Jusqu’à un an de prison ferme pour cinq policiers de Seine-Saint-Denis
"Main fracturée à la matraque en guise de leçon, faux procès-verbaux, perquisition nocturne illégale… La liste est effrayante !"
Peines de prison et interdictions d’exercer comme fonctionnaire de police
https://www.20minutes.fr/paris/4053072-20230914-pantin-violences-faux-pv-jusqu-an-prison-ferme-cinq-policiers-seine-saint-denis
#violencespolicières

magdoz@diaspora.psyco.fr

#France Violences policières : ensauvagement politique - #DATAGUEULE 99
Publié Il y a 2 ans • 1,3K vues
https://peertube.datagueule.tv/w/vK53GcVMTnGMB8NPoz3c9B

À peine installé à Matignon, le nouveau Premier Ministre Jean Castex faisait de la sécurité de ses concitoyennes et concitoyens l'une ses grandes priorités. Gérald #Darmanin, Ministre de l'Intérieur, lui a vite emboîté le pas, évoquant notamment une "crise d'autorité" et un dangereux " #ensauvagement d'une certaine partie de la #société". En face, la question des #ViolencesPolicières, malgré de multiples #manifestations, reste toujours sans réponse claire. Il faut dire que cette bonne vieille #insécurité fait bien plus recette lorsqu'il s'agit de communication #politique. Mais regardons de plus près ce que produit la réponse sécuritaire qui l'accompagne depuis près de 20 ans. Et si l'étendard sécuritaire agité si énergiquement cachait une profonde incapacité à se saisir collectivement de questions avant tout sociales ?

magdoz@diaspora.psyco.fr

#Flori Michel-Ange @MichelFlori Jul 15
https://nitter.42l.fr/MichelFlori/status/1680129914270302209#m

Enfin un numéro ( pas gratuit ), celui de BFM qui relayera les coups de matraque du syndicat factieux.

#Humour #Satire #Parodie #Toulon #Toulon #ViolencesPolicières #BFM #BFMTV #BFMTélé

Dénouement passé :

Flori Michel-Ange @MichelFlori Jul 6
https://nitter.42l.fr/MichelFlori/status/1676958709019463682#m

Condamne la SASU BFM TV à payer à Michel-Ange FLORI la somme de 10.000 euros en application des dispositions de l’article 700 du Code de procédure civile,
Ordonne l’exécution provisoire du présent jugement.
Ce jour le 7 juillet 2023 par le Tribunal Judiciaire de Marseille Ch.Civ

Flori Michel-Ange @MichelFlori Jul 6
https://nitter.42l.fr/MichelFlori/status/1676957258759159808#m

Le Tribunal, statuant par mise à disposition au greffe, par jugementcontradictoire rendu en premier ressort,
Déboute la SASU BFM TV de l’intégralité de ses demandes,
Condamne la SASU BFM TV aux dépens qui seront recouvrés conformément aux
dispositions de l’article 699 du CPC.

magdoz@diaspora.psyco.fr

Affaire #Hedi : l’un des #policiers déjà inquiété dans une enquête sur le #tabassage d’une jeune fille
https://www.mediapart.fr/journal/france/310723/affaire-hedi-l-un-des-policiers-deja-inquiete-dans-une-enquete-sur-le-tabassage-d-une-jeune-fille

L’un des quatre policiers mis en examen à #Marseille pour des violences à l’encontre de Hedi est déjà apparu dans une information judiciaire relative au tabassage d’Angelina, en 2018. Cet agent, qui avait nié toute implication, n’a pas été poursuivi à l’issue d’investigations plombées par l’absence de vidéos exploitables et le mutisme de la hiérarchie. Mais l’enquête vient d’être rouverte.

#ViolencesPolicières #Politique #France

magdoz@diaspora.psyco.fr

#Bompard https://nitter.inpt.fr/mbompard/status/1684299574741987330#m

Et c’est pour défendre ceux qui ont fait ça que des policiers se mettent en arrêt maladie ? Et #Macron n’aura pas eu un mot pour lui !
Quelle honte.

Hedi, 22 ans, a été touché par un tir de LBD, roué de coups et laissé pour mort par la BAC de Marseille. Une partie de son crâne a dû être retiré pour le sauver. Il témoigne et raconte comment il envisage l’avenir.
https://nitter.inpt.fr/konbininews/status/1684250980739854336#m

Ah ouais, quand même...
#France #Politique #ViolencesPolicières #Honte #Policiers #ArrêtMaladie