#deux-sèvres
Le Convoi de l’Eau
#Eau #Terre #Vie #écologie #Soulèvement #Soulèvement-De-La-Terre
Appel à méga-tracto-vélo contre les méga-bassines - du 18 au 27 août - Pour le partage de l’eau et des terres
La #écheresse est bien là et ne prendra pas de #vacances cet été. Et pourtant le #gouvernement prétend plastifier #Sainte-Soline et peut-être même démarrer de nouveaux chantiers de bassines à l’automne dans les #Deux-Sèvres, en #Charente et en #Vendée
Et pourtant #Macron appelle à une « #pause » des mesures #écologiques et appuie les politiques agro-industrielles qui essorent les plaines. Il relance la construction des bassines des neiges, qui vident les nappes des montagnes, et augmente encore l’artificialisation des sols qui fait fuir l’eau hors des terres...
Alors que le mouvement contre les méga-bassines et pour la défense de l’eau ne cesse de monter en force, le gouvernement français a tenté de l’étouffer par une répression d’une brutalité sidérante le 25 mars dernier. Les 5000 grenades lancées en 2h sur 30 000 manifestant.es, pour défendre les intérêts de quelques uns des lobbys les plus climaticides du pays, resteront gravées dans la mémoire collective. Elles ont mis à nu ce que Macron a à nous offrir en matière d’écologie et suscité un élan de solidarité internationale.
Comment ont-ils pu croire nous empêcher ainsi de continuer à nous battre pour cet enjeu absolument vital qu’est l’eau et pour son juste partage ?
Pour donner suite au 25 mars, une série d’interventions locales s’élaborent pour maintenir la pression sur les décideurs, financeurs et sous-traitants des chantiers de bassines. Mais il nous fallait aussi un rendez-vous commun pour nous retrouver de nouveau en foule soudée, vibrante et….roulante. Nous appelons cette fois-ci à un grand voyage pour l’eau.
Comme lors de la marche du Larzac à l’été 1978 pour stopper l’extension du camp militaire, ou la tracto-vélo de l’hiver 2015 partie de la zad de Notre-Dame-des-Landes en plein état d’urgence pour aller arracher la fin du projet d’aéroport, nous partirons le 18 août des terres menacées par les bassines afin d’aller demander des comptes et poser des actes.
Nous irons demander des comptes à l’Agence de l’Eau Loire-Bretagne, instance qui décide du financement de ces bassines à 80 % avec de l’argent public. Nous irons jusqu’à son siège à Orléans signifier à ses administrateurs qu’il n’est pas question qu’un centime de plus serve au démarrage d’un nouveau chantier.
Nous irons poser des actes face aux coopératives et industries des engrais et pesticides qui forcent à la construction de ces infrastructures pour maintenir leurs profits. Nous irons jusqu’au ministère de l’agriculture qui les appuie à n’importe quel prix. Parce que tout cela doit cesser ! Parce que nous devons enfin aboutir à’un moratoire sur les méga-bassines dans l’ensemble du pays et passer à la mise en oeuvre de projets de territoires qui assurent le partage de l’eau et une agriculture qui protège les sols,les nappes et les cours d’eau.
Le convoi sera constitué d’habitant.es des bassins versants traversés et d’ailleurs, d’amoureux.ses de leurs terres et cours d’eau plus que jamais déterminé.es à les défendre, de paysan.nes œuvrant déjà au quotidien à une sortie du dogme productiviste, de cyclistes prêt.es à prendre le parti des bas-côtés, et de vacancier.es déters à « voyager utile » et à découvrir le pays en bande organisée.
Elle marquera ses revendications en chemin, avec des centaines ou milliers de vélos, avec des dizaines de tracteurs, en occupant les routes du pays. Ce convoi avancera et sera accueilli grâce au maillage constitué par l’ensemble des comités Bassines Non Merci, Soulèvements de la Terre, grâce aux sections syndicales de la Confédération paysanne et à d’autres organisations alliées.
Cette grande tracto-vélo pourra être rejointe chemin faisant par tout.es celles et ceux qui mènent des luttes sur la question de l’eau et estiment que le gouvernement, loin de nous protéger, défend des intérêts privés et pas ceux de la population. Nous appelons à la formation d’autres convois partis d’autres régions et à des confluences constantes pour que la rivière de vélos partie de Sainte-Soline devienne fleuve et force les barrages des politiques d’accaparement.
Départ le vendredi 18 août en fin d’après-midi de Sainte-Soline
Arrivée prévue à l’agence de l’eau à Orléans autour du 24 août - puis à Paris le 26 août pour un final surprise.
Lire la suite sur le site des Soulèvements de la Terre
Aller dernier post avant de me coucher !
#Ecologie, #Technopolice #police #État #autoritarisme #Démocrature #espionnage #Mégabassines #Repression #Criminalisation #Millitants-es #Écologie #Eau #environnement #agro-Industrie ...
Mégabassines : une balise GPS cachée sous le véhicule d’un opposant
Une caméra avait déjà été dissimulée devant sa maison. La préfecture assume.
C’est une figure de la lutte contre les mégabassines dans les #Deux-Sèvres. Présent dans les mobilisations contre ces immenses cuves artificielles plastifiées qui accaparent l’eau de la nappe phréatique, #Julien-Le-Guet est persécuté par les services de #renseignement.
Jeudi 19 janvier, son garagiste découvrait un petit boîtier, noir et pas plus gros qu’une boite d’allumette, soigneusement caché, aimanté sous l’essieu avant de son camion. Il s’avère qu’il s’agit d’une #balise-GPS, un #traceur, numéroté “2919” qui permet à la police de le géolocaliser en temps réel à chaque déplacement. Ce dispositif intrusif visait-il à surveiller les déplacements d’un multimilliardaire mafieux ou d’un trafiquant d’armes ? Non, juste d’un homme qui se bat, près de chez lui, pour défendre les ressources en eau.
Et ce n’est pas la première fois. Le 17 mars 2022, Julien Le Guet et son père découvrent devant la maison familiale, également dans les Deux-Sèvres, une #caméra de #surveillance et un relais radio utilisés dans le cadre de la #surveillance-militaire. L’appareil est grossièrement caché sous un buisson. Par chance, le chien d’un ami avait été intrigué par l’appareil, ce qui a permis de le découvrir. Des #gendarmes étaient venus récupérer leur caméra peu après sa découverte.
Quand #Darmanin parlait «d’ #écoterrorisme», il accompagnait des actes à ses paroles inquiétantes. Les défenseurs de l’environnement sont traqués, épiés, réprimés avec de grands moyens jusque dans le vie quotidienne. Interrogée par la presse, la préfecture des Deux-Sèvres assume d’ailleurs cet espionnage et le justifie par les «antécédents de violences du collectif Bassines Non Merci». «La loi ouvre la possibilité à certains services de police de mettre en place des dispositifs ciblés, notamment pour prévenir des violences collectives de nature à porter gravement atteinte à la paix publique.»
Ce harcèlement s’accompagne de vastes campagnes répressives. En à peine un an et demi plus d’une cinquantaine de militant-es contre ces projets ont été auditionné-es par les forces de l’ordre, une douzaine ont été inculpé-es avec des dossiers de centaines de pages, les services de renseignement travaillent à plein régime sur la contestation aux mégabassines, à base d’écoutes, de filatures et de perquisitions… Et le collectif les Soulèvements de la Terre est menacé de dissolution.
Tout aussi grave, les mobilisations contre le mégabassines font face à des déploiements répressifs proprement #totalitaires. La dernière grande manifestation à #Saint-Soline, en octobre 2022, avait été interdite par la préfecture. Sur place, des milliers de gendarmes ont été déployés, appuyés par pas moins de 6 hélicoptères, des drones et des milliers de grenades tirées. Du jamais vu en France. Coût d’un seul week-end de répression : plusieurs millions d’euros. L’État met les grands moyens pour soutenir les #agro-industriels et la destruction du vivant.
De leur côté, les opposant-es aux bassines ont subi plusieurs #agressions de la part de #milices #pro-bassines et de nombreuses personnes ont été blessées par les forces de l’ordre. Aucune suite n’a été donnée par la #justice. Plus largement, alors que des moyens colossaux sont mis en œuvre pour écraser la moindre #contestation #sociale ou #écologiste, l’ #extrême droite prospère dans une #impunité totale. Fin décembre, un raciste armé a tué trois kurdes au cœur de Paris. Il sortait tout juste de prison après avoir tenté de tuer à coup de sabre des exilés dans leurs tentes. Le ministère de l’Intérieur affirmait que ce terroriste d’extrême droite était «inconnu des services de police». De même pour les nombreux groupes #néo-nazis qui s’entraînent, s’arment, et parfois passent à l’acte sur tout le territoire français. Par contre, les services de Darmanin connaissent le moindre détail de l’emploi du temps d’un défenseur de l’eau !
Entre les protecteurs d’une planète vivable d’un côté et les riches et leurs alliés fascistes de l’autre, Macron a choisi son camp.
#Eau #Communs #écologie #Sainte-Soline #Mega-Bassines #Agro-Industrie
💧 Deux-Sèvres : sécheresse et restrictions d’eau sur les terres des méga-bassines
Absurdistan écologique : après avoir réprimé un mouvement de défense de l’eau, les autorités restreignent son usage
Il y a un monde qui se meurt ici et maintenant, sous nos yeux, conséquence dramatique de la course effrénée d’une petite caste de privilégiés pour maximiser leurs profits. Ils sont en guerre contre le vivant. Les images que nous avons vu ce week-end à Sainte-Soline, dans le département des #Deux-Sèvres, en sont un sinistre exemple.
L’État a concentré des moyens répressifs ahurissants pour protéger un trou destiné à concentrer des centaines de milliers de mètres cubes d’eau pompée directement dans les nappes phréatiques, pour 12 #agriculteurs-productivistes. Les gendarmes mobiles étaient prêts à tuer pour défendre cette plaie béante et hostile. Plus de 2000 grenades ont été tirées lors de la #manifestation du samedi.
Les méga-bassines sont construites pour soutenir une #agriculture d’un autre âge : intensive, polluante, gourmande en eau, destinée au bétail. Des cultures de céréales inadaptées à la région, notamment les plantations de maïs bourrées d’intrants et de pesticides. À l’heure de l’ #effondrement de la #biodiversité et après des épisodes de #sécheresses à répétition, ces cultures sont des non-sens écologiques.
Parlons sécheresse justement. Le manque d’eau et de précipitations ne sont pas le fruit d’un délire collectif partagé par quelques paysans “hurluberlus” et d’une minorité d’écologistes “radicaux”. Ces phénomènes sont bien réels. Les sécheresses se succèdent et sont de plus en plus intenses. Le niveau des eaux de surface et des nappes est extrêmement bas.
Avec le réchauffement climatique ces épisodes sont amenés à se répéter. Nous sommes au mois de novembre, les températures ont avoisiné les 30⁰C ce week-end par endroit et les pluies sont très faibles pour les mois de ce début d’automne 2022, alors que c’est normalement la saison où les réserves d’eau doivent se remplir. La situation hydrologique sur certains territoires est inquiétante.
Exemple saisissant ce 1er Novembre dans les Deux-Sèvres, sur la terre des méga-bassines : la préfecture annonce la prorogation des restrictions sur les usages de l’eau sur l’ensemble du département. Dans un article, Le courrier de l’ouest précise : “La situation hydrologique des nappes et des cours d’eau reste précaire et nettement en-dessous des conditions normales pour la saison. Il apparaît nécessaire de proroger certaines mesures de restrictions des usages de l’eau au-delà du mardi 1er novembre. Ces mesures de restrictions s’appliquent pour les usages publics ou privés et quelle que soit la ressource (eaux superficielles, eaux souterraines et adduction d’eau potable) à compter du mardi 1er novembre et sur l’ensemble du département des Deux-Sèvres. Compte tenu des conditions météorologiques actuelles et de l’évolution de la situation hydrologique dans le département, chacun est invité à adopter des comportements économes en eau pour tous les usages de l’eau.”
Vous l’avez donc compris : au lendemain de la mobilisation à Sainte-Soline, la préfète annonce de nouvelles restrictions en eau sur le territoire. Les nappes et les cours d’eau sont quasiment à sec en pleine saison automnale, à tel point que des arrêtés de restriction tombent en octobre, mais l’État veut autoriser les #agro-industriels à pomper la flotte des nappes pour remplir leurs méga-bassines.
Seulement, de l’eau, il n’y en a plus ou pas assez. Ces projets de méga-bassines sont sensées réduire un problème grave sur du très court terme, sans se soucier des conséquences. Ils sont absurdes et nuisibles pour les #paysans et le #vivant. Leur arrêt total doit devenir notre seule boussole.
et a Demain !
#communs
#Vie #Eaux #Repression #Préventive #agriculture #agro-industrie #gouvernement #Etat #démocrature #pré-fascisme #post-Démocratie ..... #écologie #environnement #climat
🔴 Tribune : 200 personnalités protestent contre les interdictions de manifester à Sainte-Soline
La préfecture des Deux-Sèvres crée les conditions d’un trouble majeur à l’ordre public !"
Alors que la crise écologique s’approfondit et que la bataille de l’eau est engagée, les autorités françaises prétendent interdire la mobilisation prévu à partir de ce soir dans les #Deux-Sèvres contre les #mégabassines. Soyons des milliers à nous rendre à #Sainte-Soline vendredi, samedi et dimanche. En attendant, une tribune contre l’attitude irresponsable du préfet :
“Voilà des années maintenant que les habitant.e.s du #Marais-Poitevin, des Deux-Sèvres, que les #riverain.e.s de la Charente et du #Clain tirent le signal d’alarme face à un long et systématique processus d’accaparement de la ressource en #eau par une poignée d’entrepreneurs de l’agro-industrie. Elles et ils se sont mobilisé-es sans relâche pour informer, mobiliser, les élu.e.s, les agricultrices et agriculteurs, les associations, les simples riverains et habitantes contre les protocoles d’accord autorisant la construction de dizaines de réserves d’eau géantes à ciel ouvert, dans des zones déjà partiellement ravagées par les pratiques agricoles industrielles, et fortement impactées par les effets du réchauffement.
Personne aujourd’hui ne peut faire mine de ne pas savoir de quoi il retourne. Un certain modèle agricole, hyper- #industrialisé, porté sans relâche par cette coalition d’intérêts privés qu’est la #FNSEA, appuyé par le lobby #agro-alimentaire et légitimé par l’État est en train de parachever son entreprise de #destruction au nom même de l’adaptation au changement climatique.
Là où toute personne un peu sensée devrait saluer le courage et l’opiniâtreté de ces habitant.e.s qui mènent pour nous, sur le terrain, ces batailles exemplaires, l’État prend activement la défense de l’agro-industrie en finançant et protégeant ces infrastructures. C’est ce débat public informé, qui n’a jamais pu avoir lieu, que les collectifs Bassines non Merci, appuyés par près de 150 collectifs et organisations, viennent chercher ces samedi et dimanche 29 et 30 octobre dans le bourg de Sainte Soline, dans le pays Mellois.
La réponse de la préfecture des Deux-Sèvres, qui a poussé au lancement rapide des travaux, n’a jamais varié. Interdiction d’approcher les sites lors de toutes les manifestations précédentes, pressions multiples contres les habitant.e.s mobilisées au sein des collectifs Bassines Non Merci, de la Confédération Paysanne ou des Soulèvements de la Terre, convocations et placements en garde-à-vue des militant.e.s les plus en vue, dispositifs policiers disproportionnés pour dissuader toute forme de mobilisation. Dès ce mardi matin 25 octobre, le lendemain du dépôt de la déclaration de manifestation par des organisations syndicales signataires, la préfète a dégainé pas moins de cinq arrêtés prétendant interdire tout rassemblement sur un périmètre couvrant 10 communes du pays Mellois et un autre portant les mêmes interdictions sur un large périmètre à proximité de la bassine de Mauzé sur le Mignon, contre laquelle de précédentes manifestations s’étaient tenues en septembre et novembre 2021, ainsi qu’en mars 2022. Un référé liberté va être déposé contre ces arrêtés par la CGT et Solidaires (qui portaient la déclaration de manifestation).
Alors que les machines travaillent jours et nuits depuis 3 semaines à arracher la terre végétale, à damer le sol, à creuser les tranchées de la future méga-bassine de 16 hectares de Sainte Soline, une nouvelle mobilisation massive s’organise depuis partout en France. Ce sont des milliers de personnes qui s’apprêtent à converger sur le site pour exercer leur droit fondamental de manifester et leur opposition à un tel projet, financé
à plus de 70 % par de l’argent public. Au moment où nous écrivons ces lignes, un campement vient d’être installé à proximité, sur un terrain privé à l’invitation de l’agriculteur propriétaire, par des habitant.e.s mobilisé.e.s sur le secteur pour préparer l’accueil des manifestant.e.s.
En s’obstinant de cette manière à essayer, en vain, d’étouffer une mobilisation légitime, la préfecture et les services de l’État produisent les conditions d’un trouble à l’ordre public majeur. En effet en privant les manifestant.e.s d’un point d’accès légal au site, en suspendant localement leur droit fondamental à protester à proximité d’un chantier public au service d’intérêts privés, la préfecture des Deux-Sèvres empêche aussi la mise en place d’infrastructures permettant un accueil décent des manifestant.e.s et des conditions du bon déroulement d’une manifestation qui se veut populaire, festive et déterminée.
Par cette tribune nous signifions notre entier soutien aux collectifs et organisations signataires de l’appel à mobilisation et ré-affirmons la primauté de la #liberté fondamentale de #manifester. La #lutte contre l’accaparement de la ressource en eau est une cause plus que jamais légitime. Au vu de la dégradation constante des conditions climatiques et des ressources en eau souterraines après plusieurs années de sécheresse inédites, elle est un mouvement vital auquel toutes et tous devraient pouvoir prendre part sans crainte d’en être empêchées par un État supposé garant de l’intérêt général.”
Signataires
Nadege Abomangoli – députée NUPES FI
Laurent Alexandre – député NUPES FI
Julie Alix, professeure de droit pénal à l’Université Paris Nanterre.
Gabriel Amard – député NUPES FI
Etienne Ambroselli, avocat au barreau de Paris
Ségolène Amiot – députée NUPES FI
Farida Amrani – députée NUPES FI
Rodrigon Arenas – député NUPES FI
Guillaume Arnaud, avocat au barreau de Bobigny
Rémi Astruc, Enseignant-chercheur à Cergy
Manon Aubry – députée européenne LFI et co-presidente du groupe de la Gauche au Parlement européen.
Hervé Auguin – co-délégué Solidaires 79
Clémentine Autain – députée NUPES FI
Evelyne Auzuret – Adjointe à la Maire de La Crèche
Léa Ballage – secrétaire nationale adjointe d’EELV
David Baranger – élu à la ville de La Crèche
Antonin Bastière – élu à la cfvu de la fac de Poitiers, syndicat étudiant ” l’alternative étudiante de Poitiers”
Vital Baude – Conseiller Régional EELV Nouvelle Aquitaine
Alexis Baudelin – Avocat au barreau de Paris
Oulematou Ba-Tal, adjointe à la ville de Tours
Alice Becker, avocate au barreau de Paris
Anne-Laure Bedu – Conseillere Régionale EELV Nouvelle AquitaineLisa Belluco – députée de la Vienne
Ugo Bernalicis – député NUPES FI
Christophe Bex – député NUPES FI
Carlos Martens Bilongo – député NUPES FI
Benoit Biteau – député européen
Jean-François Blanco – Conseiller Régional EELV Nouvelle Aquitaine
Manuel Bompard – député NUPES FI
Mattéo Bonaglia, avocat au barreau de Paris
Emilie Bonvarlet, avocate au barreau de Paris
Coline Bouillon, avocate au barreau de Créteil
Christophe Boulanger, conseiller métropolitain EELV Tours Métropole
Idir Boumertit – député NUPES FI
Katia Bourdin – Conseillere Régionale EELV Nouvelle Aquitaine
Louis Boyard – député NUPES FI
Sophie Bussière – Conseillere Régionale EELV Nouvelle Aquitaine
Chloé Chalot – avocate au barreau de Rouen
Isabelle Chauvin – conseillère municipale, Vitrolles (13) et syndicaliste
Damien Careme – député européen
Aymeric Caron – député NUPES FI
Sylvain Carrière – député NUPES FI
Leila Chaibi – députée du parlement européen
Cyrielle Châtelain – députée de l’Isère, présidente du groupe écologiste à l’Assemblée Nationale
Florian Chauche – député NUPES FI
Sophia Chikirou – députée NUPES FI
Hadrien Clouet – député NUPES FI
Maryse Combre – Conseillere Régionale EELV Nouvelle Aquitaine
Eric Coquerel – député NUPES FI
Alexis Corbière – député NUPES FI
David Cormand – député européen
Jean-François Coulomme – député NUPES FI
Françoise Coutant – Conseillere Régionale EELV Nouvelle Aquitaine
Jérémie Crépel – secrétaire nationale adjoint d’EELV
Catherine Couturier – députée NUPES FI
Didier Damestoy – Conseiller Régional EELV Nouvelle Aquitaine
Hendrik Davi – député NUPES FI
Chrystelle Dechâtre – co-déléguée Solidaires 79
Gwendoline Delbos-Corfield – députée européenne (EELV)
Karima Delli- députée européenne
Sébastien Delogu – député NUPES FI
Emmanuel Denis – maire de Tours
Amandine Dewaele- Conseillere Régionale EELV Nouvelle Aquitaine
Karfa Diallo – Conseiller Régional EELV Nouvelle Aquitaine
Thomas Dossus – Sénateur
Vincent Drezet – porte parole d’Attac
Alma Dufour – députée NUPES FI
Simon Duteil – co-délégué Solidaires National
Karen Erodi – députée NUPES FI
Martine Etienne – députée NUPES FI
Sophie Favriou – Adjointe à la Maire de La Crèche
Raphaëlle Feillant – Eco Avenir 79
Emmanuel Fernandes – député NUPES FI
Sylvie Ferrer – députée NUPES FI
Caroline Fiat – députée NUPES FI
Maryline Forgeneuf – Conseillere Régionale EELV Nouvelle Aquitaine
Elsa Fortage, élue municipale à Niort
Sebastien Fortin, conseiller délégué à la Maire de La Crèche
Charles Fournier – Deputé d’Indre-et-Loire NUPES-EELV
Pascal Fuzat – co-secrétaire départemental FSU 79
Perceval Gaillard – député NUPES FI
Nicolas Gamache – Conseiller Régional EELV Nouvelle Aquitaine
Raquel Garrido – députée NUPES FI
François Gibert – Elu municipal et communautaire Niort EELV
Nicolas Girod – Porte parole de la Confédération Paysanne Nationale
Christine Graval – Conseillere Régionale EELV Nouvelle Aquitaine
Florestan Groult – conseiller de la métropole de Lyon
Claude Gruffat – député européen
Cathy Garreau – conseillère déléguée à la Maire de La Crèche
Clémence Guétté – députée NUPES FI
Murielle Guilbert Co-déléguée Solidaires National
Sébastien Guillon – Adjoint à la Maire de La Crèche
Elodie Guillot-Bozier – élue à la ville de La Crèche
Romain Guillot – Président Eco Avenir
David Guiraud – député NUPES FI
Betsabée Haas – Conseillère régionale Centre- Val de Loire
Anis Harabi, avocat au barreau de Paris
Hélène Hardy – conseillère fédérale d’Europe Ecologie-Les Verts
Julien Hémon – UD CGT 86
Patrick Henriot – Magistrat honoraire
Catherine Hervieu, vice-présidente de Dijon Métropole, présidente de la FEVE
Mathilde Hignet – députée NUPES FI
Pierre Huriet, avocat au barreau de Nantes
Yannick Jadot – député européen et ex-candidat à l’élection présidentielle
Yann Jezequel – Elu municipal et communautaire Niort LFI
Raphaël Kempf, avocat au barreau de Paris
Rachel Keke – députée NUPES FI
Andy Kerbrat – député NUPES FI
Bastien Lachaud – député NUPES FI
Julie Laernoes – députée de Loire-Atlantique
Maxime Laisney – député NUPES FI
Sabine Lalande, conseillère régionale Pays-de-la-Loire – LFI Nupes
Arnaud Legall – député NUPES FI
Antoine Léaument – député NUPES FI
Elise Leboucher – députée NUPES FI
Charlotte Leduc – députée NUPES FI
Jérôme Legavre – député NUPES FI
Sarah Legrain – députée NUPES FI
Muriel Lepvraud – députée NUPES FI
Yannick Maillou – vice président de la communauté de communes du Haut Val de Sevre
Noel Mamère – écologiste
Zoé Maraval – MJC 86
Elisa Martin – députée NUPES FI
Pascale Martin – députée NUPES FI
William Martinet – député NUPES FI
Frédéric Mathieu – député NUPES FI
Lucile Mathieu – conseillère déléguée à la Maire de La Crèche
Damien Maudet – député NUPES FI
Marianne Maximi – députée NUPES FI
Marina Mesure, députée européenne LFI-NUPES
Manon Meunier – députée NUPES FI
Servane Meyniard – avocate au barreau de Paris
Laurence Motoman – Conseillere Régionale EELV Nouvelle Aquitaine
Léonore Moncond’huy – Maire de Poitiers
Jean-Philippe Nilor – député NUPES FI
Danièle Obono – députée NUPES FI
Younous Omarjee – député au parlement européen
Karine Olivier secrétaire générale CGT CD79 ou co secrétaire du PG79
Nathalie Oziol – députée NUPES FI
Jean-Louis Pagès – Conseiller Régional EELV Nouvelle Aquitaine
Lydie Palpacuer – co-secrétaire départemental FSU 79
Mathilde Panot – députée NUPES FI
Aïnoha Pascual – avocate au barreau de Paris
Francesca Pasquini – députée des Hauts-de-Seine
Marylène PATOU-MATHI – préhistorienne, Directrice de recherche au CNRS,rattachée au département Préhistoire du Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Karine Parrot – Professeure de droit à l’Université de Cergy-Pontoise
Anne-Sophie PELLETIER – Députée européenne – Délégation France insoumise
Guillaume Pellerin – Responsable R&D à l’IRCAM
Thierry Perreau – Conseiller Régional EELV Nouvelle Aquitaine
Eric Piolle – maire de Grenoble
François Piquemal – député NUPES FI
Robbin Plantet – Eco Avenir 86
Marie Pochon – Députée de la Drôme NUPES-EELV
Raymonde Poncet – sénatrice du Rhone
Thomas Portes – député NUPES FI
Christine Poupin – porte parole du NPA
Philippe Poutou pour le NPA
Loïc Prud’homme – député NUPES FI
Adrien Quatennens – député NUPES FI
Hanna Rajbenbach – Avocate au barreau de Paris
Jean-Hugues Ratenon – député NUPES FI
Jean Claude Raux – Député de loire-Atlantique
Sandra Regol – députée du Bas-Rhin
Michèle Rivasi – députée européenne
Sébastien Rome – député NUPES FI
Caroline Roose – députée européenne
Sandrine Rousseau – députée de Paris
Muriel Ruef, avocate au barreau de Paris
François Ruffin – député NUPES FI
Chloé Sagaspé – porte parole d’EELV
Aurélien Saintoul – député NUPES FI
Michel Sala – député NUPES FI
Eva Sas – députée de Paris
Mounir Satouri – député européen
Xavier Sauvignet, avocat au barreau de Paris
Claire Schweitzer – Conseillère régionale des Pays-de-la-Loire et conseillère municipale Angers
Annaelle Schaller – adjointe au maire de Tours, déléguée à la Démocratie permanente
Sabrina Sebaihi – députée des Hauts-de-Seine
Christopher Sébaoun (Conseiller à la Ville de Tours, délégué à la Loire et au Cher, à la préservation du patrimoine fluvial et des ressources aquifères)
Christine Seguineau – Conseillere Régionale EELV Nouvelle Aquitaine
Danielle Simonet – députée NUPES FI
Serge Slama, Professeur de droit à l’Université de Grenoble
Ersilia Soudais – députée NUPES FI
Bénédicte Taurine – députée NUPES FI
Andrée Taurinya – députée NUPES FI
Matthias Tavel – député NUPES FI
Benoît Teste – secrétaire général de la FSU
Nicolas Thierry – Conseiller Régional EELV Nouvelle Aquitaine et député de Gironde
Marine Tondelier – élue d’opposition au conseil municipal d’Hénin-Beaumont
Yohan Touret – élu à la ville de La Crèche
Marie Toussaint – Élue au parlement européen
Stephane Trifiletti – Conseiller Régional EELV Nouvelle Aquitaine
Aurélie Trouvé – députée NUPES FI
Camille Vannier – avocate au Barreau de Bobigny
Paul Vannier – député NUPES FI
Sophie Wahnich – historienne, directrice de recherche au CNRS
Léo Walter – député NUPES FI
Samuel Delalande – Avocat
« Enquête Pampr'œuf - Poules en cage : les œufs de la violence »
Nouvelle enquête de L214.
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