#autoritarisme

wazoox@diasp.eu

ATTENTION DANGER : projet de décret sur l'environnement

#politique #environnement #autoritarisme

Ce texte prévoit de réduire le champ de saisine de la commission national du débat public (CNDP) en excluant de celui-ci les équipements industriels. Les projets d’équipements industriels ne feront donc plus l’objet de débats publics. Ils pourront faire l’objet d’une concertation préalable (sous l’égide d'un garant nommé par la CNDP) à l’initiative du porteur de projet, à la demande de l'autorité publique autorisant le projet ou dans le cadre du droit d’initiative (article L. 121-17 du code de l’environnement).

https://www.consultations-publiques.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/projet_decret_projets_industriels_cndp_03122024.pdf

dunoir@diaspora-fr.org

#ExtrêmeDroite, #Gouvernement

Bruno Retailleau : un vendéen d’extrême droite à la tête de la police

Vous avez aimé le raciste Manuel Valls ? L’éborgneur de Gilets Jaunes Christophe Castaner ? Le mythomane accusé d’agressions sexuelles Gérald Darmanin ? Alors vous allez adorer Bruno Retailleau, le nouveau Ministre de l’Intérieur, qui devient chef orchestre de la répression.
Bruno #Retailleau expliquant en quoi il ferait un très bon ministre de l'Intérieur au service de l' #autoritarisme.

socialisme_libertaire@diaspora-fr.org

#écologie #énergie #technologie #électricité #environnement #climat #autoritarisme #capitalisme #anticapitalisme...

🆕 ÉNERGIE : LE VIRAGE AUTORITAIRE...

" Combien faudra-t-il payer pour avoir chaud cet hiver ? Nul ne le sait, mais tout le monde se prépare à avoir mal au portefeuille. A l’heure où le prix du gaz et de l’électricité, comme celui de toutes les matières premières, n’en finit pas de grimper, pendant que Total Energie distribue 2,6 milliards d’euros à ses actionnaires, des entreprises offrent des pull-overs à leurs salariés pour affronter les baisses de température dans les bureaux, et des universités ferment plus tôt, invitant leurs étudiants à télé-travailler afin d’économiser le chauffage des amphis. Après la crise du Covid, nous entrons donc dans l’ère de la crise énergétique. Et avec elle, voici une nouvelle occasion de consolider le tournant autoritaire déjà largement entamé, au prétexte de l’urgence et de l’impérative nécessité d’« agir ».

La crise énergétique et climatique comme prétexte à l’instauration d’outils de contrôle punitifs et culpabilisants.

Le matraquage médiatique est un grand classique de l’incitation douce. Météo de l’énergie, émissions de type « comment réduire son empreinte carbone » (comment, mais jamais pourquoi ni pour quoi), gamification (incitations via des moyens ludiques) insistance sur les « écogestes » ou nudges (suggestions indirectes) visent à nous faire devenir les micro-gestionnaires contraints de notre environnement. Après les citoyens vigilants en appui de la police, les citoyens propres au service de la sécurité sanitaire, voilà maintenant les citoyens sobres pour conserver la sécurité énergétique. En soi, être sobre, c’est très bien, sauf quand cela fait office de discours totalisant qui empêche toute réflexion sur les causes des catastrophes et donc toute possibilité d’en sortir.

Lorsque la suggestion ne suffit pas, on a recours à la culpabilisation [...] "

▶ Lire la suite...

https://www.socialisme-libertaire.fr/2024/08/energie-le-virage-autoritaire.html

dudababel@diaspora-fr.org

Dans la tête des SS

La chaîne SLICE Histoire remet en ligne un reportage de 2018 qui cherche à retracer l'histoire de la mentalité SS pour la comprendre. Sa première partie, "L'ivresse", s'occupe de la période de la garde rapprochée d'Hitler jusqu'à l'apogée des conquêtes de l'allemagne nazie, tandis que "Extermination" retrace la séquence de la Shoah jusqu'à la chute du régime.

Pour aller plus loin, je vous invite à entamer la lecture de "L'ordre SS, Ethique et idéologie" d'Edwige Thibaut (pseudonyme), préfacé par Léon Degrelle, ex-SS et grande figure du nazisme belge exilé en Espagne mort en 94. (à lire avec du recul donc, évidement)

Début de la préface :

A dire le vrai, lorsque je reçus l'énorme masse de feuillets qui forment ce livre sur l'Ordre SS, je fus plutôt stupéfait : huit cents pages de texte serré" ! Ma vie normale est très remplie. Or, lire cette sorte d’encyclopédie me prendrait des dizaines d'heures ! Pour me faire tout de même une petite idée de I'intérêt ou du non-intérêt de cette compilation insolite, je feuilletai d'abord les premiers paragraphes. Trois jours plus tard, j'arrivais a la dernière page.
J'avais trouvé la une somme extraordinaire de connaissances présentées au long d'une introduction de cent pages qui constituent un livre a elles seules ndlr : c'est surtout cette partie qu'il faut lire, appuyées ensuite, avec une science parfaite du sujet, par des centaines de citations, a la fois simples et percutantes, formant une anthologie énorme de textes, écrits alors sans chercher a étonner le lecteur sinon a l'informer et a le convaincre. C’était, politiquement, le panorama entier de la SS reconstituée par des témoins directs qui n'avaient même pas pense à faire oeuvre d'historiens mais qui avaient, selon l’échelonnement des années, exposé a vif la doctrine, les objectifs, les méthodes, la mystique du mouvement qui fut sans doute, avec le léninisme, le phénomène politique le plus important du 20s siècle.

#nazisme #hitler #fascisme #antifascisme #nazi #ss #psychologie #autoritaire #autoritarisme #histoire #guerre #2WW #shoah #racisme

frenchhope@diaspora-fr.org

Des chercheurs ont récemment soutenu que les personnes de gauche sont aussi autoritaires et intolérantes envers les individus qui ne partagent pas leurs valeurs que les personnes de droite. Cette « hypothèse de la symétrie idéologique » a depuis été réfutée notamment par Vivienne Badaan et John T. Jost.

Intolérance, violence : il n’y a pas d’équivalence entre extrême droite et extrême gauche ⬅️ URL principale utilisée pour la prévisualisation Diaspora* et avec plus de garantie de disponibilité.

Archivez vous même la page s'il n'existe pas encore d'archive et évitez ainsi les pisteurs, puis ulilisez µBlockOrigin pour supprimer d'éventuelles bannières qui subsisteraient sur la page sauvegardée.

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#politique #extrêmedroite #extrêmegauche #intolérance #violence #déshumanisation #étude #préjugés #racisme #autoritarisme #psychologiesociale #empathie #conservatisme #justicesociale #solidarité

‼️ Clause de non-responsabilité v1.0

magdoz@diaspora.psyco.fr

Transposition à Diaspora, réseau social PUBLIC :
-- … Eh les gens de gauche, le fascisme est à nos portes !
-- ... Faites ENTRER

Traduction : Parlons EN PUBLIC avec l' #extrême-droite sur #Diaspora, comme on parle avec un ... COPAIN !

Et quand il s’agit de tirer la fenêtre d’ #Overton vers la #gauche, que font ces gars qui se disent "à gauche" ?
→ Il faut débattre en public avec nos copains les fachos.

Continuez de tendre le micro à mister #facho et ses copains. Imbéciles de #souverainistes DES #droites.
Le résultat est là : une fenêtre d'Overton décalée à l'extrême-droite, GRÂCE À VOUS, et aux potes à Macron.

Vous faites le jeu de #Macron, il vous aime.

Parler avec quelqu'un qu'on connaît, en privé, c'est autre chose. On peut tenter, pour essayer... mais bon... il y a des #limites, si c'est juste une question de #vote ou d' #élection... mais si c'est déjà quelqu'un qui tient un discours de #puants ou pire, quel est l'objectif, vu qu'il ne changera pas ?

Source, à lire :
Il ne faut jamais débattre avec l’extrême-droite
https://medium.com/d%C3%A9penser-repenser/il-ne-faut-jamais-d%C3%A9battre-avec-lextr%C3%AAme-droite-f793840f65b5
5 raisons ne de pas débattre publiquement avec l’extrême droite

Source vidéo :
RACISME ET #FASCISATION EN FRANCE : COMPRENDRE, AGIR | UGO PALHETA, OMAR SLAOUTI, JULIEN THÉRY
https://video.lemediatv.fr/w/tuNpAT1wSd5P8t7BuxCPNk

La montée de l' #autoritarisme d' #Etat sous toutes ses formes en #France depuis le #quinquennat #Sarkozy, accélérée sous F. #Hollande puis encore sous E. Macron, ...

... est allée de pair avec un phénomène inédit de #diffusion généralisée des idées #racistes et de respectabilisation de leurs promoteurs d' #extrême-droite ou d' #extrême-centre dans les #médias.


Et/Ou Post sur Diaspora

#Politique #Overton #FenetreOverton #Droite #Droites #Fascisme #Racisme #RN #FN #Zemmour #Souverainiste #Souverainistes #Souverainisme #TicTacTicTacTicTac

dudababel@diaspora-fr.org

LA MANIFESTATION CONTRE L'A69 AURA BIEN LIEU

Communiqué de Extinction Rebellion Toulouse, les Soulèvements de la terre, La Voie Est Libre, la ZadA69


En dépit de l'annonce de Gérald Darmanin ce mardi 4 juin à l'Assemblée Nationale de l'interdiction de la manifestation des 7-8-9 juin, des milliers de manifestants vont affluer et se rassembler massivement pour lutter encore et toujours contre le projet d'autoroute, et réaffirmer que Damanin n'étouffera pas l'opposition à ce projet !

Par une telle interdiction, le gouvernement porte une atteinte absolument inacceptable à un mouvement de contestation massif et populaire. Alors que Michel Forst, rapporteur spécial des Nations Unies, a très largement dénoncé la violente répression sur les occupant·es des arbres cet hiver, le ministre de l'intérieur alimente ainsi un peu plus l'autoritarisme en marche et l'atteinte à nos libertés fondamentales. Il montre une nouvelle fois à quel point il est prêt à aggraver le ravage écologique pour assurer les profits de quelques lobbies privés, tel Pierre Fabre.

Depuis 5 mois, toutes nos manifestations sont interdites dans le Tarn, des centaines de gendarmes sont déployés nuit et jour pour museler et empêcher toute expression de contestation. Pourtant, malgré les interdictions, nos manifestations ont toujours pu se dérouler.

Alors que des dizaines de milliers de personnes sont attendues pour cette mobilisation, empêcher les opposants d'un mouvement aussi large de se rassembler est non seulement anti-démocratique, mais aussi parfaitement irresponsable. Il prend ainsi le risque d'engendrer une situation chaotique. Mais il faudra bien que les manifestant.e.s se retrouvent quelque part... Nous devons pour notre part nous assurer qu'ils puissent le faire dans de bonnes conditions.

Par ailleurs, dans son allocution, le Ministre de l'intérieur a menti éhontément en affirmant que "tous les recours" ont été rejetés, alors même qu'aucun recours sur le fond n'a été purgé et que le recours majeur, très largement alimenté et étayé, sera jugé avant la fin de l'année.
Il ment également en annonçant de nombreuses saisies "d'armes" : du matériel de bricolage et de loisirs saisies dans des voitures de personnes arrêtées au hasard, un mécanisme fatigué pour mettre en scène un récit anxiogène et justifier la répression.

Finalement, il ment en affirmant que des agriculteurs seraient menacés par les opposants à l'A69. La réalité est que les paysan·nes sont du côté des manifestants et localement opposé·es à cette route qui bétonnera leurs terres.

Le virage répressif, les centaines de procès et de peines qui nous visent, les mensonges répétés, les violences des forces de l'ordre... ne nous empêcheront pas de nous rassembler ! Nous manifesterons une fois encore notre opposition à ce projet par cette mobilisation festive, joyeuse, et déterminée. Ils ne nous prendront pas la joie, ils ne saboteront pas notre avenir !

Nous invitons tou•tes les opposant•es à l'A69 à ne pas renoncer à leur droit de manifester, à se préparer à se rassembler tout au long du week-end pour fêter la chute imminente de l'A69.

NO MACADAM !


#a69 #A69 #manifestation #action #XR #xr #LSDLT #lsdlt #darmanin #dissolution #autoritarisme #ecologie #écologie #tarn #Tarn #zad

dunoir@diaspora-fr.org

#Gouvernement, #Blocage #Internet #Répression, #Technopolice #Censure #ExtremeDoite #Autoritarisme #Fascisme

Blocage d’internet en cas de révolte : l’idée fait son chemin

La #Kanaky et les #banlieues comme laboratoires : chronique du fascisme qui vient
blocage d'internet en cas de #révolte : l’idée fait son chemin

Couper totalement internet pour priver la population d’un moyen de communication ? Une méthode réservée aux régimes dictatoriaux ou aux périodes de guerre ? En tout cas, c’est ce dont rêve le gouvernement français. Et ce qu’il est en train de se concrétiser.

Il y a quelques jours, la France a pris une mesure inédite dans une démocratie occidentale : couper totalement un réseau social, Tiktok, pour endiguer une révolte. La mesure est appliquée depuis le 14 mai en Nouvelle-Calédonie.

Mais le régime aimerait aller beaucoup plus loin. Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a déclaré lors d’une audition à l’Assemblée nationale qu’une «coupure de la 5G, de la 4G et de la 3G a été envisagée» en Nouvelle-Calédonie. «Il n’a pas été fait le choix, même si nous nous sommes posé la question, comme l’évoquait le rapport sénatorial sur les émeutes, de baisser de 5G à 2G pour l’intégralité des réseaux sociaux» a détaillé le Ministre. Plus d’internet, seulement de quoi passer des appels et envoyer des SMS.

En juillet 2023, juste après la grande révolte provoquée par l’assassinat de Nahel, Emmanuel Macron déclarait aux maires reçus à l’Élysée qu’il envisageait de «couper» les réseaux sociaux, en cas de nouveaux épisodes de violences urbaines. Il proposait : «on a pu le voir, quand les choses s’emballent pour un moment, se dire : on se met peut-être en situation de les réguler ou de les couper».

Cette annonce avait créé la polémique, et le service de communication de l’Élysée s’était empressé de rétropédaler, en prétendant qu’une telle mesure n’était pas à l’ordre du jour, tout en admettant que «le Président pensait davantage à une suspension ponctuelle et temporaire des réseaux sociaux».

En politique, on appelle ça un «ballon d’essai». Un dirigeant fait une annonce extrêmement violente pour voir le résultat. Et s’il n’y a pas trop de réactions, il sait qu’il pourra l’appliquer plus tard. Ces derniers mois, par exemple, des Ministres ont appelé à détruire le statut de fonctionnaire, à rétablir le service militaire, à permettre à Macron de se présenter pour un troisième mandat, et avant cela, d’envoyer l’armée contre les Gilets Jaunes. Ce sont des tests, une façon machiavélique de préparer l’opinion.

La coupure totale d’internet en cas de révolte est ainsi un “ballon d’essai”, elle fait tranquillement son chemin. En juillet 2023, selon le média «Là bas si j’y suis», Darmanin avait déjà demandé aux opérateurs de télécoms Orange, Bouygues, SFR et Free s’il leur était «techniquement possible» de couper la 4G et 5G sur certains quartiers en France.

Ces entreprises ont répondu que c’était «techniquement irréalisable vendredi soir», mais «faisable par la suite», émettant tout de même quelques réserves, notamment sur l’application de communication des forces de l’ordre qui serait elle aussi touchée par ces coupures localisées, et réclamant un cadre juridique pour de tels arrêts de réseaux qui empêcheraient aussi les appels d’urgence dans les quartiers concernés.

Juste après les émeutes de l’été dernier, les responsables de Meta, Snapchat, Twitter et TikTok étaient convoqués par le gouvernement français pour «prendre plusieurs dispositions». En clair réguler les réseaux sociaux voire les interdire temporairement, comme le font les dictatures en cas de soulèvements ces dernières années.

Du côté du PCF, Fabien Roussel avait réclamé «l’état d’urgence sur les réseaux sociaux plutôt que sur les populations» et proposait de «couper» les réseaux sociaux «quand c’est chaud dans le pays». Le ballon d’essai portait déjà ses fruits, puisque la «gauche responsable» approuvait ce projet de censure.

En août, le commissaire européen Thierry Breton, grand patron, ancien ministre et proche de Macron, annonçait que les réseaux sociaux seront forcés d’effacer immédiatement «les contenus qui appellent à la révolte», sous peine d’être tout simplement coupés sur le territoire. Il s’agissait d’une mesure baptisée le «Digital Services Act», qui est désormais en vigueur.

Après les Gilets Jaunes, Macron avait déjà convoqué Marc Zuckerberg et fait passer une loi sur les «contenus haineux en ligne». Dans un pays où quelques milliardaires d’extrême droite contrôlent quasiment tous les médias dominants et recrachent en permanence la propagande policière, le net est l’un des derniers contre-pouvoirs. Sans réseaux, la révolte serait en effet plus simple à mater : pas d’images de violences policières, pas d’appel à manifester, pas de médias indépendants. Uniquement CNews et BFM en guise de relais médiatiques. Le rêve mouillé des tyrans.

Petit à petit, le pouvoir prépare les esprits et l’appareil d’État a couper internet lors du prochain grand soulèvement, et utilise la Nouvelle-Calédonie et les banlieues comme laboratoire.

Rappelons le, une telle coupure serait littéralement une méthode de dictature ou d’état de guerre. Par exemple, Israël a coupé internet à Gaza au moment de lancer son offensive génocidaire. Depuis 2021, des États ont coupé ou restreint internet lors d’émeutes ou de manifestations : la junte militaire de Birmanie, la dictature Biélorusse, la République Islamique d’Iran, le Soudan, le Kazakhstan ou le Pakistan. Ou plus récemment le Sénégal dans le cadre d’une répression sanguinaire. La France de Macron aimerait donc rejoindre ce club des États remarquablement démocratiques. Les standards acceptables de nos dirigeants sont descendus au même niveau que des États fascistes ou des dictatures religieuses.
L’histoire retiendra que le candidat «centriste» et «modéré», intronisé par les médias et élu grâce au vote barrage, est en fait un autocrate ultra-violent qui a précipité la France vers la dictature.

magdoz@diaspora.psyco.fr

#Off-investigation - #MACRON, EN MARCHE VERS L'EXTRÊME DROITE ?
Vidéo #Peertube : https://video.off-investigation.fr/w/jhZpPuSgQ8saDAZVgq4gCZ
Article : https://www.off-investigation.fr/macron-en-marche-vers-lextreme-droite/

Demain, l'État de droit et la devise républicaine "Liberté, égalité, fraternité" ne seront ils plus qu'un lointain souvenir ? Durant quatre mois, Thierry Vincent et Daphné Deschamps ont interviewé d'anciens #macronistes déçus par la dérive autoritaire du président et des figures conservatrices et d' #extrême-droite qui estiment qu'Emmanuel Macron prépare un "boulevard" au #RassemblementNational pour #2027.

❤️❤️ Clause de défense du logiciel libre : Expert ou novice, le logiciel libre a besoin d'une chose : qu'on le fasse vivre ‼️ Donc n'hésite pas à donner la priorité à Peertube au lieu de Youtube, quand c'est possible, n'hésite pas à privilégier une info diffusée par un site avec peu ou pas de traqueur, plutôt qu'un site capitaliste putaclic, bref, mets en avant ce qui fait notre force ici sur Diaspora, le logiciel libre et décentralisé. Et ne t'inquiète pas, les GAFAM et autres twitter/X ne disparaîtront pas, laisse aux autres les mauvaises habitudes. Avec bienveillance pour nous tous, car trop de youtube et hop, le jour où ton message dérange, couic, censure : veille à préserver, pour notre bien, le logiciel libre, en le faisant vivre. ❤️❤️ Cela dit sans diffamation, harcèlement de messages répétés partout, bref, un message tout innocent 😜 ‼️ Mots clés : Recherche Peertube - Framalibre - Clients youtube - LibRedirect - Protéger sa navigation sous Firefox - Fediverse - Logiciel Libre : à diffuser autour de vous ! - Rien à cacher | Nothing To Hide -

#Politique #France #LePen #Fachos #Autoritarisme #Bourgeois #Bourgeoisie #Zemmour #Bardella

cgib@diaspora-fr.org

Apologie du terrorisme, criminalisation de la solidarité et délit d’opinion | AOC

Un article issu de la revue en ligne AOC – Analyse opinion critique.

Par Vanessa Codaccioni, historienne et politiste.

Après la candidate aux Européennes Rima Hassan, c’est au tour d’une autre personnalité LFI, la députée et présidente de groupe parlementaire Mathilde Panot d’être convoquée par la police dans le cadre d’une enquête pour « apologie du terrorisme ». Nouvelle illustration de l’usage de dispositifs antiterroristes contre l’activité militante, syndicale et politique dans une société désormais scrutée par un activisme de surveillance.

L’apologie de crime est inventée à la fin du XIXe pour réprimer les « menées anarchistes » dans le contexte d’une multiplication des attentats. Ce délit « l’apologie de crime » fait ainsi partie d’un ensemble de mesures prises pour « purger à jamais de la bande anarchiste le territoire de la république française » selon les mots du Président du conseil de l’époque Dupuy en 1884[1].

Comme la création du délit d’association de malfaiteurs que nous connaissons bien aujourd’hui puisqu’il constitue l’essentiel du contentieux terroriste, l’apologie de crime est partie intégrante des « lois scélérates » visant à faire tomber sous le coup de la loi tout discours anarchiste attentant à la « sûreté de l’État » mais qui en réalité a pour objectif de faire taire toute forme d’opposition à gauche. Dès son origine, l’apologie de crime cible donc les discours « gênants » le pouvoir.

C’est ainsi qu’il sera mobilisé à certains moment de l’histoire pour criminaliser l’action contestataire d’ennemis intérieurs surcriminalisés. Par exemple, pendant la guerre froide et la guerre d’Indochine, des militants communistes ont pu être inculpés « d’apologie du pillage », de l’incendie ou de meurtre, mais aussi d’apologie d’actes de désobéissance militaire lorsqu’ils soutenaient l’action de soldats refusant de partir combattre dans la colonie. Le même phénomène s’observe dans les années 1970 contre des militants maoïstes de la Gauche prolétarienne (souvent couplé avec la « provocation au crime »), à l’instar des dirigeants de La Cause du peuple, Jean-Pierre Le Dantec et Michel Le Bris, respectivement condamnés à Paris par la 17 chambre du Tribunal de grande instance le 28 mai 1970 à un an et huit mois d’emprisonnement pour provocation et apologie de crimes et délits. Là encore, ce sont les « ennemis publics n°1 » qui sont visés par cette infraction.

Néanmoins, le délit d’apologie du terrorisme n’est créé qu’en 2006 (le mot « terrorisme » ne rentre dans le code pénal qu’en 1986) dans le contexte d’un globalisation juridique et pénale du terrorisme par laquelle tout comportement susceptible de présenter un lien, même immatériel, avec le terrorisme se trouve incriminé. Le terrorisme devient progressivement un « phénomène criminel global » dont chaque étape est repréhensible et condamnée : l’intention, les actes préparatoires, l’acte lui-même mais aussi tout possible « prolongement », soutien ou forme de solidarité.

D’où la centralité accordée à l’apologie du terrorisme, qui est par ailleurs retirée en 2014 des délits de presse pour devenir un délit « ordinaire », ce qui permet de soumettre ces actes d’apologie aux règles de procédure de droit commun et à certaines règles prévues en matière de terrorisme comme la possibilité́ de procéder à des saisies et de recourir à la comparution immédiate, exclues en matière de presse, ou d’aggraver les peines si les faits sont commis par Internet.

Censée punir la propagande et faire obstacle à la stratégie médiatique des organisations terroristes qui jouent sur la glorification et l’héroïsation, la répression de l’apologie du terrorisme est sur-utilisée après les attentats de janvier 2015 à Paris, pour la plupart suite à l’expression publique d’une solidarité́ avec les frères Kouachi ou avec Amedy Coulibaly, auteurs des tueries de Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher qui ont fait dix-sept morts. Se déroulant devant le tribunal correctionnel, ces multiples procès du début de l’année 2015 reflètent cette nouvelle orientation pénale et judiciaire de l’antiterrorisme, et illustrent les procès pour terrorisme qui peuvent s’y dérouler, à savoir des procès pour des actes de faible gravité pénale, ou tout au moins, pour des faits de moins en moins reliés à des actes dits « terroristes » ou à l’exécution d’attentats[2].

L’apologie du terrorisme n’en donne pas moins lieu à des dérives certaines, comme la condamnation d’un homme de 18 ans à 3 mois de prison avec sursis pour avoir nommé sa wifi DAESH[3] ou la convocation par la police de collégiens, parfois de jeunes enfants dont l’un de 8 ans, pour des propos tenus en marge des minutes de silence au sein de l’institution scolaire[4]. Dans de nombreux cas, les affaires ont pour origine un signalement effectué par internet : 35000 signalements avaient été faits pour apologie du terrorisme sur la plateforme Pharos à la suite des attentats de janvier 2015, alors que seul 1500 de ce type avaient été enregistrés pour toute l’année précédente[5]. « Pour signaler des contenus ou des comportements illicites, ayez le réflexe Pharos ! » avait lancé le 7 janvier 2015 la police nationale sur Twitter.

Les nombreux cas d’apologie du terrorisme publicisés depuis le 7 octobre 2023 s’inscrivent ainsi dans la longue liste d’affaires de ce type, qui se multiplient en France dès la perpétration d’un attentat. Ils ont néanmoins une double spécificité. D’une part ils n’ont pas de lien avec des actes terroristes s’étant déroulés sur le territoire français, même si certaines affaires ont pu éclater dès le début des années 2000. Citons par exemple le cas d’un hebdomadaire basque dont le directeur de publication et le dessinateur avait été condamnés à 1500 euros d’amende pour une caricature félicitant le Hamas des attentats du World Trade Center[6]. Mais ces affaires d’apologie du terrorisme pour des propos, discours ou illustrations suite à un attentat commis à l’étranger étaient rares. Ce n’est plus le cas.

L’autre spécificité depuis le 7 octobre tient à la diversification et à l’extension des cibles de l’apologie du terrorisme : des syndicalistes, des intellectuels, des militants « en vue », des personnalités politiques, qu’elles soient investies dans une campagne électorale ou qu’il s’agisse de parlementaires de l’opposition (jusqu’à la Présidente d’un groupe à l’assemblée nationale), des étudiants (comme ceux de l’EHESS), viennent rejoindre les musulmans ou supposés tels d’ordinaire convoqués, jugés et condamnés pour ce délit.

Outre la multiplication des prises de position sur le conflit israélo-palestinien et des réactions aux horreurs et drames du 7 octobre et de la guerre à Gaza, cette situation doit être rapportée à deux phénomènes sociaux que nous avons largement décrits par ailleurs[7] : premièrement l’usage de dispositifs antiterroristes contre l’activité militante, syndicale et politique, qui s’observe depuis le début des années 2000 et qui ne se réduit pas à ce type de poursuites (surveillance « antiterroriste », fichage S, poursuites pour association de malfaiteurs, assignation à résidence de militants etc.) ; et deuxièmement la centralité des signalements dans la répression aujourd’hui.

En effet, depuis les attentats du 11 septembre 2001 nous sommes entrés dans des « sociétés de vigilance » où les autorités encouragent les citoyennes et les citoyens à signaler tout comportement anormal, suspect, faisant craindre un passage à l’acte terroriste ou un processus de radicalisation. Outre les modalités de saisine habituelles, les signalements internet contribuent ainsi à l’explosion des affaires, auxquels doivent être ajoutées ici les plaintes d’associations ou de politiques, tel ce député de l’opposition se vantant sur les réseaux sociaux de voir ses multiples signalements depuis le 7 octobre aboutir à des convocations par la police.

Ce qui inquiète aujourd’hui, c’est cet activisme de surveillance qui traque le moindre supposé dérapage à des fins de dépôt de plainte et pour réduire au silence des hommes et des femmes en lutte, surtout dans un contexte de multiplication des interdictions de manifester sa solidarité envers le peuple palestinien (interdiction de manifestations, interdiction de réunion, annulation de prises de parole publiques etc.).

Mais l’apologie du terrorisme et ses usages, politiques notamment, ont également de quoi inquiéter. L’apologie du terrorisme est, en droit, le fait de provoquer à des actes terroristes ou d’en faire publiquement l’apologie. Il s’agit donc d’une incitation au terrorisme, d’une glorification d’attentats violents et meurtriers et de leurs conséquences, d’une satisfaction exprimée à l’égard de la mort violente d’autrui dans le cadre d’une attaque terroriste. Or, de ce que l’on voit dans la presse ces dernières semaines, l’apologie du terroriste n’est plus seulement le soutien public à des actes terroristes – ce sont les « bravo » et les « bien fait » qui ont existé le 7 octobre – mais l’expression d’une solidarité envers un peuple opprimé, qui s’en trouve dès lors criminalisée. De la même manière et par une autre extension de son acception, toute critique envers une politique, un État, ici Israël, se voit sanctionnée d’une convocation par la police, d’un procès ou d’une condamnation. Ce faisant et dans ces cas, l’apologie du terrorisme se meut en dispositif de restriction de la liberté d’expression, de censure et d’autocensure par crainte des représailles, et se transforme en délit d’opinion pour criminaliser des luttes et l’opposition.

[1] Le Procès des Trente. Notes pour servir à l’histoire de ce temps, 1892-1894, Éditions Antisociales, 2009, p. 6.
[2] Julie Alix, Terrorisme et droit pénal. Études critiques des incriminations terroristes, Paris, Dalloz, 2010, p. 144 et suivantes.
[3] Le Parisien, 4 novembre 2016.
[4] Le Monde, 29 janvier 2015.
[5] Le Figaro, 10 février 2015.
[6] La Dépêche, 9 janvier 2002.
[7] Vanessa Codaccioni, Répression. L’État face aux contestations politiques, Textuel, 2019 ; La Société de vigilance. Auto-surveillance, délation et haine sécuritaires, Textuel, 2021.

#politique #société #répression #terrorisme #apologie-du-terrorisme #liberté #liberté-dexpression #censure #autoritarisme #LFI #Vanessa-Codaccioni #AOC

part_of_you@diaspora.psyco.fr

LE #CONTRÔLE

Beaucoup de gens ont sourcillé de voir la ville de #Québec interdire les feux de foyer sous prétexte d'une mauvaise qualité de l'air, et alors que la qualité de l'air en question n'est aucunement mauvaise. Cela n'a pas la moindre importance. Le but n'a jamais été d'améliorer la qualité de l'air. Le but a toujours été et sera toujours le même : un plus grand contrôle sur la vie des gens.
Cette dynamique est la même partout en Occident, présentement. De plus en plus, on gouverne par décrets, par exception, par urgence. Le gouvernement du Québec veut d'ailleurs encore augmenter ses pouvoir en cas d'urgence pour pouvoir gouverner de la même manière qu'il l'a fait durant la soi-disant « #pandémie », c'est-à-dire sans opposition, sans contrôle, sans limite. Et je ne parle même pas ici du règlement débile d'Outremont, qui veut mettre à l'amende ceux qui laissent le moteur de leur voiture fonctionner plus de dix secondes à l'arrêt...
Lorsque la fondation #Rockefeller a sorti son Operation #Lockstep, en 2010, celle-ci faisait état d'un scénario de pandémie forçant les gouvernements a devenir plus autoritaires. Par la suite, après la pandémie, les gouvernements devaient être en mesure de conserver leur #autoritarisme, leur permettant ensuite d'atteindre les autres objectifs politiques souhaités. Nous en sommes là aujourd'hui.
Beaucoup de gens disent : le gouvernement n'a pas à gérer nos foyers, nos fours à pizza, notre gaz propane, notre système immunitaire, nos voitures... En théorie, oui. Mais en pratique, nous sommes entrés en territoire #totalitaire, et s'il y a une chose que le #pouvoir totalitaire désire, c'est bel et bien le pouvoir... total. Que ce soit sous Staline en URSS, ou dans le Troisième Reich allemand, ce que chaque citoyen faisait, dans son intimité, relevait du domaine #politique. On pouvait perdre son appartement par une simple dénonciation d'un voisin jaloux. On pouvait se faire emprisonner pour avoir parlé contre le chef. Tout, absolument tout, était politique. Tout était une question de contrôle.
Il devient de plus en plus difficile de faire comprendre à la majorité ce qui se passe actuellement, alors même que cela crève les yeux. Celle-ci, hypnotisée, semble préférer regarder dans l'autre direction pendant que tous nos droits sont foulés, toutes nos libertés détruites, un morceau à la fois, sacrifiés sur l'autel d'un agenda maléfique dont le transhumanisme ne semble être que la partie la plus visible.
Ce n'est pas qu'un feu de foyer. C'est notre indépendance, notre capacité à faire des choix par nous-mêmes, notre #liberté d'hommes et de femmes, qu'on nous arrache et qu'on brûle. Et lorsque tout aura été consumé, que restera-t-il à léguer à nos enfants?
Les émissions du feu toxique du #totalitarisme sont bien plus dangereuses que celles, banales, de l'acte tout naturel de brûler du bois pour obtenir de la chaleur en hiver.

#WEF #NOM #Youngleaders #macron #macronie

cgib@diaspora-fr.org

Emmanuel Macron : de l’extrême-centre à l’extrême-droite | AOC

Par Dominique Bourg.

Qui aurait pu prévoir en 2017 où nous en serions sept ans plus tard, au cours du second quinquennat Macron ? Ce dernier s’était fait élire sur la prétention de remiser l’ordre politique antérieur – les vieux partis de droite et de gauche au nom du « en même temps » –, de refonder la démocratie, de redonner de l’allant à la société française, de l’ouvrir à une modernité réaffirmée avec un président jeune et intelligent, ami du philosophe Paul Ricoeur.
À l’arrivée c’est, au lieu du « ni droite ni gauche », un illibéralisme décomplexé et l’assomption des thèses de l’extrême-droite sur l’immigration. En fait de refondation des institutions et de la démocratie, nous avons assisté à un exercice du pouvoir solitaire et autoritaire, qui a vidé de son sens une expérience pourtant intéressante comme la Convention citoyenne sur le climat.

Revenons à la France d’Emmanuel Macron. Avec les Etats-Unis, c’est la seule des démocraties occidentales avec un régime présidentiel, et non primo-ministériel, et donc avec un chef de l’exécutif non responsable devant le Parlement. C’est pourquoi la France et les Etats-Unis (de Trump) sont les seules démocraties à connaître une dérive illibérale sans changement institutionnel préalable.

« Qui aurait pu prédire la crise climatique ? » se demandait Jupiter en janvier 2023. Effectivement pas OSS 117. Quand on ne tient pas compte des avis des conseils scientifiques que l’on a pourtant créés, quand on ne cherche même pas à s’informer convenablement, quand on préfère accorder du crédit en économiste sommaire à des promesses technologiques indéfiniment reportées, quand on pourchasse toute forme de conscience écologique à coups de mesures pénales, quand on gaze des scientifiques, etc., on ne peut effectivement qu’être surpris, incapable d’anticiper quoi que ce soit et d’assumer la fonction de protection de toute autorité publique digne de ce nom.

Le « en même temps » s’est vite transformé en « j’affiche une orientation, et j’agis en sens contraire ». Ceci a été spectaculaire dans le domaine de l’écologie où les actions n’ont en rien suivi les déclarations tonitruantes sur l’orientation écologique du second mandat par exemple. Il en est allé de même en matière d’innovation démocratique. Les propositions de la Convention citoyenne ont été détricotées par le gouvernement avant même le parlement, contrairement au « sans filtre » imprudemment affiché, de toute façon contradictoire avec la machinerie même de la décision publique.

#politique #néolibéralisme #écologie #Macron #Macronie #extrême-centre #extrême-droite #répression #autoritarisme #Dominique-Bourg #AOC

dunoir@diaspora-fr.org
#Gilets-Jaune #GiletsJaunes #G-J #GJ #Anniverssaire #5Ans #Putain .... #MouvementSocial #Politique #Blocage #Grève #Occupation #Manifestation #Action-Direct #DesobeissanceCivile #Repression #États #Gouvernements #Police #Justice #violencesPolicières #violencesJudiciaires #Autoritarisme #Criminalisation #Mort #Blessés #Invalides #Polices #MediaDominants #ACAB #ChienDeGarde !!!

GILETS JAUNES : 5 ANS APRÈS ET "SANS REGRETS"

Le 17 novembre 2018 naissait un mouvement social et de contestation politique d'une ampleur rare en France : les Gilets Jaunes.
Des millions de personnes ont manifesté des semaines et des mois durant, dans un bras de fer inédit avec le pouvoir en place.
La violence policière s'est alors déchainée sur de très nombreuses personnes à travers le pays : des milliers de blessés, de mutilés, et même des tués en marge des rassemblements gigantesques.

Cinq ans plus tard, qu'en reste-t-il ?
Une démobilisation quasi générale, mais un sentiment d'injustice toujours fortement présent. La résignation a gagnée les foules tandis que des records sont régulièrement battus : nombre de pauvres, nombre de milliardaires, dividendes versés aux actionnaires, ... les chiffres français sont chaque année plus hauts.

En ce 17 novembre 2023, une poignée de personnes se sont donné rendez-vous en haut des Champs-Elysées, emmenée par Ritchy Thibault et accompagnée par l'ex-boxeur professionnel Christophe Dettinger, pour rendre hommage à leurs camarades vêtus de jaune fluo... mais sans le porter pour autant.

Une page est tournée ? Peut-être, "sans regrets" mais sans doute avec un peu d'amertume...

Un sujet de notre journaliste Sanli Cemil.

#LeMedia #Info #Media-Indépendant