#néo-nazis

dunoir@diaspora-fr.org

#ExtrêmeDroite, #FN, #RN, #Histoire, #Racisme, #Antisémitisme, #Fascisme, #Collabos ...

Rassemblement National : du nazisme à la marche «contre l’antisémitisme» ?

Le Front National est créé le 5 octobre 1972, lors d’une réunion privée réunissant 70 personnes. Leur symbole ? Une flamme tricolore copiée sur le logo du MSI, un mouvement de nostalgiques de Mussolini en Italie.

À l’époque, le FN n’est qu’un obscur groupuscule composé de quelques dizaines de membres. Un parti confidentiel réunissant des #néo-nazis, d’anciens collaborationnistes, des SS, des colonialistes et des criminels de guerre.

Parmi les fondateurs, Pierre Bousquet, ancien de la division SS Charlemagne, fidèle parmi les fidèles à Hitler, qui a défendu Berlin jusqu’au bout. Roger Holeindre, de l’OAS, Organisation Armée Secrète, groupe terroriste qui voulait maintenir l’Algérie française, qui a tué près de 3000 personnes et tenté d’assassiner De Gaulle. Figurent aussi Alain Robert, du groupe fasciste Occident ou François Brigneau, ancien collaborateur zélé.

On trouve encore François Duprat, «Nationaliste révolutionnaire» ancien du groupe fasciste Ordre nouveau et négationniste forcené. Et bien sûr Jean-Marie Le Pen, ayant pratiqué la torture en Algérie et révisionniste notoire, mais est-il utile de le présenter ?

Ce micro-parti va s’imposer progressivement dans les années 1980, à mesure que les espoirs de changement portés par la gauche disparaissent, avant d’imposer toutes ses idées dans la classe politique. «L’insécurité» va devenir une obsession nationale et la police une nouvelle religion d’État.

Dans les années 1980, c’est François Mitterrand lui-même, président socialiste et ancien militant d’extrême droite, qui demande à la chaîne Antenne 2 de donner la parole à Jean-Marie Le Pen, que personne ne connaît. Son objectif est de «diviser» la droite, espérant ainsi gagner les élections.

En 1981, le Front National compte moins de 300 adhérents et recueille 0,18% des suffrages. En 1988, Jean-Marie Le Pen fait 14,38% des voix. En 2022, le parti arrive pour la troisième fois au second tour d’une élection présidentielle et dispose de dizaines de députés, et l’extrême droite monopolise les antennes de télévisions. Un milliardaire réactionnaire a même racheté un empire médiatique pour diffuser toujours plus largement les propos racistes, répressifs et réactionnaires dans l’opinion.

Jeudi 6 octobre 2022, l’Assemblée Nationale accueille le colloque d’anniversaire du Rassemblement National. Les députés d’extrême droite baptisent leur évènement « de l’espoir au pouvoir ».

Dimanche 12 novembre, ce parti fondé par des SS et des collaborationnistes ayant contribué au génocide des juifs et à l’avènement du nazisme défilera donc « contre l’antisémitisme à Paris », dans une « union sacrée » entre les macronistes et l’extrême droite. Qui peut croire à la sincérité d’une telle démarche, entre les « soutiens inconditionnels » du gouvernement israélien qui bombarde Gaza et les nostalgiques du pétainisme ?

Cette grande mascarade sera le stade final de la normalisation du fascisme en France et de la diabolisation des idées de gauche.

dunoir@diaspora-fr.org

#Suisse

#Antiracisme #antisémitisme #LuttesDécoloniales #MédiasDominants #Colonialisme #Fascisme #Néo-Nazis #ExtrèmeDroite #UDC #Palestine #Israel

Réponse à la CICAD

“Ma seule consolation est que les colonisations passent, que les nations ne sommeillent qu’un temps et que les peuples demeurent”
Aimé Césaire

Dimanche 5 novembre le 20 minutes publiait une courte interview de monsieur Johanne Gurfinkiel, secrétaire général de la Coordination intercommunautaire contre l’antisémitisme et la diffamation (CICAD), qui relevait l’augmentation d’actes antisémites depuis le 7 octobre dernier en Suisse romande. L’article décrit des commentaires et prises de position discriminantes voire menacantes envers les personnes juives sur les réseaux sociaux et plus généralement en ligne et des graffitis du même ton. Notre surprise a été totale en découvrant que Renversé était cité parmi ces exemples.

Au vu de la gravité de cette accusation, il nous a semblé nécessaire de nous positionner. Parce que nous savons que de nombreuses personnes vont découvrir notre site pour la première fois à travers l’article du 20 minutes mais aussi et surtout parce que nous pensons qu’à l’heure actuelle il est indispensable de défendre un antisionisme de gauche et résolument antifasciste.
Depuis sa création en 2015, Renversé sert de plateforme pour des groupes et initiatives antifascistes. Nous avons relayés des appels à des manifestations et événements contre l’extrème droite, des dénonciations de néo-nazis actifs en Suisse et de nombreux textes d’analyse dont nous espérons qu’ils ont participé à nourrir chez notre lectorat une conscience de l’urgence à combattre le fascisme partout où il se trouve. Nous sommes fières que le travail journalistique de nos contributrices et le notre ait mis en difficulté des néo-nazis ou autres fascistes organisés qui agissaient jusque là en toute impunité et nous sommes fières de servir de plateforme à des militant-es qui s’organisent quotidiennement contre la montée de l’extrême droite en Suisse et ailleurs.

Notamment parce que nous recevons et publions régulièrement des enquêtes sur des groupuscules néo-nazis et leurs liens avec l’UDC, qui s’impose toujours comme le “plus gros parti de Suisse”, nous sommes parfaitement conscientes que la lutte contre l’antisémitisme est une priorité actuelle en Suisse. L’extrême droite peut changer de cible au gré du climat politique mais quoi qu’elle en dise, nous savons bien que sa progression constitue un danger réel et imminent pour toutes les personnes juives.

Notre engagement contre l’apartheid israélien ne remet en aucun cas en question notre conviction que l’antisémitisme doit être combattu.
Au contraire, ce sont les leçons tirées des crimes coloniaux perpétrés par l’Occident à travers le monde entier mais aussi du massacre commis à l’encontre du peuple juif en Europe qui nous poussent à nous engager pour la Palestine. Prendre au sérieux le slogan “plus jamais ça” c’est lutter partout et toujours contre la spoilation des terres et contre l’exil forcé et l’anéantissement des peuples. Prendre au sérieux le slogan “plus jamais ça” c’est lutter contre l’occupation de la Palestine. Des militant-es juifs-ves le disaient déjà en 1920 et en 1948. Aujourd’hui des milliers d’entre eux s’organisent contre le génocide à Gaza depuis les État-Unis, la France, l’Allemagne ou Israël. Nous les rejoignons dans cette lutte pour la justice, au côté des millions de personnes qui sont descendues dans les rues des villes du monde entier ces dernières semaines. Et, bien sûr et avant tout, nous honorons la résistance des palestinien-nes, qui refusent toujours de disparaître, de se laisser tuer ou d’abandonner leur terre.
La lutte contre la colonisation est une nécessité historique, Renversé est du côté de celles et ceux qui le savent.

anar65@diaspora-fr.org

Aller dernier post avant de me coucher !

#Ecologie, #Technopolice #police #État #autoritarisme #Démocrature #espionnage #Mégabassines #Repression #Criminalisation #Millitants-es #Écologie #Eau #environnement #agro-Industrie ...

Mégabassines : une balise GPS cachée sous le véhicule d’un opposant

Une caméra avait déjà été dissimulée devant sa maison. La préfecture assume.

C’est une figure de la lutte contre les mégabassines dans les #Deux-Sèvres. Présent dans les mobilisations contre ces immenses cuves artificielles plastifiées qui accaparent l’eau de la nappe phréatique, #Julien-Le-Guet est persécuté par les services de #renseignement.

Jeudi 19 janvier, son garagiste découvrait un petit boîtier, noir et pas plus gros qu’une boite d’allumette, soigneusement caché, aimanté sous l’essieu avant de son camion. Il s’avère qu’il s’agit d’une #balise-GPS, un #traceur, numéroté “2919” qui permet à la police de le géolocaliser en temps réel à chaque déplacement. Ce dispositif intrusif visait-il à surveiller les déplacements d’un multimilliardaire mafieux ou d’un trafiquant d’armes ? Non, juste d’un homme qui se bat, près de chez lui, pour défendre les ressources en eau.

Et ce n’est pas la première fois. Le 17 mars 2022, Julien Le Guet et son père découvrent devant la maison familiale, également dans les Deux-Sèvres, une #caméra de #surveillance et un relais radio utilisés dans le cadre de la #surveillance-militaire. L’appareil est grossièrement caché sous un buisson. Par chance, le chien d’un ami avait été intrigué par l’appareil, ce qui a permis de le découvrir. Des #gendarmes étaient venus récupérer leur caméra peu après sa découverte.

Quand #Darmanin parlait «d’ #écoterrorisme», il accompagnait des actes à ses paroles inquiétantes. Les défenseurs de l’environnement sont traqués, épiés, réprimés avec de grands moyens jusque dans le vie quotidienne. Interrogée par la presse, la préfecture des Deux-Sèvres assume d’ailleurs cet espionnage et le justifie par les «antécédents de violences du collectif Bassines Non Merci». «La loi ouvre la possibilité à certains services de police de mettre en place des dispositifs ciblés, notamment pour prévenir des violences collectives de nature à porter gravement atteinte à la paix publique.»

Ce harcèlement s’accompagne de vastes campagnes répressives. En à peine un an et demi plus d’une cinquantaine de militant-es contre ces projets ont été auditionné-es par les forces de l’ordre, une douzaine ont été inculpé-es avec des dossiers de centaines de pages, les services de renseignement travaillent à plein régime sur la contestation aux mégabassines, à base d’écoutes, de filatures et de perquisitions… Et le collectif les Soulèvements de la Terre est menacé de dissolution.

Tout aussi grave, les mobilisations contre le mégabassines font face à des déploiements répressifs proprement #totalitaires. La dernière grande manifestation à #Saint-Soline, en octobre 2022, avait été interdite par la préfecture. Sur place, des milliers de gendarmes ont été déployés, appuyés par pas moins de 6 hélicoptères, des drones et des milliers de grenades tirées. Du jamais vu en France. Coût d’un seul week-end de répression : plusieurs millions d’euros. L’État met les grands moyens pour soutenir les #agro-industriels et la destruction du vivant.

De leur côté, les opposant-es aux bassines ont subi plusieurs #agressions de la part de #milices #pro-bassines et de nombreuses personnes ont été blessées par les forces de l’ordre. Aucune suite n’a été donnée par la #justice. Plus largement, alors que des moyens colossaux sont mis en œuvre pour écraser la moindre #contestation #sociale ou #écologiste, l’ #extrême droite prospère dans une #impunité totale. Fin décembre, un raciste armé a tué trois kurdes au cœur de Paris. Il sortait tout juste de prison après avoir tenté de tuer à coup de sabre des exilés dans leurs tentes. Le ministère de l’Intérieur affirmait que ce terroriste d’extrême droite était «inconnu des services de police». De même pour les nombreux groupes #néo-nazis qui s’entraînent, s’arment, et parfois passent à l’acte sur tout le territoire français. Par contre, les services de Darmanin connaissent le moindre détail de l’emploi du temps d’un défenseur de l’eau !

Entre les protecteurs d’une planète vivable d’un côté et les riches et leurs alliés fascistes de l’autre, Macron a choisi son camp.

#JulienLeGuet

fiel@diaspora-fr.org

#Suisse #1932 #Manifestation #Répression

1932-2022 : on n’oublie pas et on continue le combat !

Le 9 novembre 1932, l’armée suisse a tiré sur une manifestation #antifasciste à Genève faisant 13 morts et plus de 60 blessés. Face à une provocation #fasciste, le mouvement ouvrier genevois avait fait bloc dans la rue et affronté la #police et la #gendarmerie. Les autorités avaient fait appel à l’ #armée pour assurer l’ordre bourgeois à balles réelles contre une foule désarmée.

90 ans plus tard nous prenons la rue pour commémorer un des nombreux crimes de l’ #Etat suisse, et l’un des épisodes de répression les plus sanglants de Genève. Nous prenons la rue afin d’honorer la mémoire antifasciste et ouvrière de notre ville. Mais nous prenons la rue également pour appeler à continuer la #lutte, aujourd’hui, pour un avenir digne et une société solidaire.

Gegen krise, krieg und faschismus !

Les #crises, la #guerre et le #fascisme ne font plus partie du passé mais bien du présent. C’est aujourd’hui et maintenant qu’il faut organiser l’autodéfense populaire contre les attaques patronales et les politiques racistes, sécuritaires et militaristes.

A Genève, ces dernières années des groupes d’ #extrême-droite ont tenté de s’implanter sans succès face à un mouvement #antifasciste combatif. Que ça soit en 1932 ou en 2022, l’extrême droite n’a jamais été la bienvenue dans nos rues.

Seulement, il n’y a pas que le problème du « fascisme de rue » qu’il faut contrer. Le #racisme d’Etat, les politiques #antisociales et #néo-libérales ont un réel impact sur notre quotidien et nos vies et représentent un danger bien plus important que les bandes de #néo-nazis. Contre leur monde de contrôle, de domination et d’exploitation : l’organisation est la clef !

Les dernières lois islamophobes, racistes et sécuritaires ainsi que les attaques constantes contre les acquis sociaux et les droits des femmes sont autant de signaux pour illustrer la situation critique dans laquelle nous nous trouvons.

Tenir la rue, tenir la bien !

Face à cette menace nous devons construire un rapport de force pour ensemble tenir tête au capital, aux fascistes et à l’Etat. Comme la classe ouvrière genevoise des années 30, organisons-nous pour ne plus reculer face aux patrons, pour ne pas baisser les yeux face aux fascistes, en bref, défendre les intérêts des #classes-populaires.

Ce 12 novembre retrouvons-nous dans la rue pour commémorer les 90 ans du 9 novembre 1932 et pour lancer un signal fort : on n’oublie pas et un continue le combat !

Sans #mémoire il n’y aura pas d’ #avenir

Action Antifasciste Genève

fiel@diaspora-fr.org

Nantes Révoltée

Actualités en direct, infos sur les luttes environnementales et sociales à Nantes et dans le monde

LYON : DEUX PERSONNES POIGNARDÉES PAR UN NÉO-NAZI

Un colleur d’affiche blessé à la gorge par un leader #identitaire

Ces dernières semaines, l’ #extrême-droite multiplie les #agressions, #meurtres et projets d’ #attentats. Un nouvel exemple hier soir à #Lyon. Dans cette ville gangrenée par la présence #fasciste depuis des années, un chef des identitaires locaux a poignardé deux hommes, dont un à la gorge.

L’agresseur se nomme #Adrien-Lasalle, 25 ans. Avec sa bande, autour de minuit, il s’est rendu dans un quartier réputé «de gauche» et a attaqué deux jeunes hommes de 18 et 23 ans. Le #néonazi a sorti un couteau avant de les a poignarder en visant des parties vitales. Heureusement, l’homme touché au niveau du cou a réussi à faire une esquive, sinon il serait probablement mort. L’autre a une entaille profonde sur le bras. Les victimes seraient des militants politiques qui collaient pour le candidat de gauche Raphaël Arnault.

Le néonazi, ivre, a ensuite frappé les policiers venus l’arrêter et a terminé au poste. Le journal #LyonMag signale «une autre attaque au couteau au niveau de la place de la #Croix-Rousse, dans le 4e arrondissement», «sensiblement au même moment». Probablement plusieurs poignardages dans la même soirée à Lyon par une bande de fascistes armés.

Adrien Lasalle est bien connu à Lyon. Il gère la salle de boxe identitaire qui accueille des #néo-nazis de toute la région pour les entraîner au #combat. En toute #impunité. Il a également été vu sur les attaques de la la #librairie-militante la #Plume-Noire ( #anarchiste) il y a un an. Le lieu avait été saccagé en plein jour par l’extrême droite, qui avait même publié une vidéo des faits. Il a aussi pris part à des violences contre des personnes #LGBT.

Le 28 juin 2021, lors d’un match France – Suisse, Adrien Lasalle et sa bande avaient chargé des supporters en hurlant des slogans #racistes, provoquant un grand mouvement de foule. Avec une trentaine d’individus armés, ils avaient blessé de nombreuses personnes, dont certains à coups de couteau, déjà. Ici encore, les fascistes ont bénéficié d’une totale #impunité, la #préfecture avait même #dédramatisé les faits dans les médias le lendemain, malgré des vidéos accablantes.

Adrien Lassalle est également mis en cause pour #viol. Le 24 septembre 2021, une étudiante de «l’école» privée d’extrême droite créée par Marion Maréchal Le Pen, l’ISSEP, avait porté plainte contre Adrien Lassalle. La plaignante indiquait qu’il l’aurait agressée chez elle. La plaignante avait ensuite dénoncé le «harcèlement moral» de l’ISSEP pour la faire taire.

Les agressions fascistes de Lyon ne sont pas isolées. Il n’est même plus temps d’alerter sur le risque d’un drame irréparable, car ils sont déjà arrivés. Ces derniers mois, deux hommes ont été tués par des militants d’extrême droite en France. Le rugbyman Aramburu, abattu par balles par un néo-nazi, Loïk le Priol, en plein #Paris, après une altercation raciste juste avant l’élection présidentielle. Et un homme tué d’une balle dans la tête par un autre militant d’extrême droite le 14 mai, à Paris également.

À #Nantes, des néonazis ont aussi pu organiser des expéditions d’une extrême violence sous l’œil bienveillant des autorités. Le 31 juillet 2021, un certain Wilfired Van Liempd, à la tête d’une troupe d’extrême droite, avait chargé une #manifestation contre le Pass Sanitaire avec des plots métalliques, des matraques et autres armes. Le #commando avait blessé de nombreuses personnes, avant d’être repoussé par les manifestants. Tout a été filmé, mais les attaquants n’ont jamais été inquiétés. Pire, le leader du groupe a même obtenu une tribune dans la presse régionale !

L’État ne nous protégera pas de la violence fasciste : il en est l’allié objectif. Organisons l’autodéfense.

Sources :
https://www.liberation.fr/societe/police-justice/un-leader-identitaire-lyonnais-en-garde-a-vue-soupconne-dagression-au-couteau
https://fr.sports.yahoo.com/news/%C3%A9tudiante-accuse-l-%C3%A9cole-marion-141500216.html
https://www.rue89lyon.fr/2021/07/01/violences-rue-merciere-a-lyon-deux-figures-de-lextreme-droite-radicale-impliquees/

paco146@diaspora.psyco.fr

Ukraine les masques de la révolution | Documentaire complet 2016

#Ukraine #Maïdan #néo-nazis #politique #crimes-contre-lhumanité #Etasunis
Rélisateur Paul Moreira

** Ukraine, les masques de la révolution**

Avant et après sa diffusion sur Canal+ le 1er février 2016, le film a déclenché débats et polémiques. L’ambassade d’Ukraine a demandé sa déprogrammation31, sans l’obtenir32. Des journalistes critiquent le film pour l’importance exagérée apportée au rôle joué par l’extrême-droite ukrainienne et l’accuse d’omettre l’agression de la Russie avalisant ainsi les thèses russes, ce que Paul Moreira dément dans un droit de réponse. En revanche, d’autres spécialistes et journalistes considèrent que ces critiques ne sont pas justifiées et que le reportage met l’accent sur un aspect de la situation politique en Ukraine qui est méconnu en France35,36. La journaliste indépendante Anna Chesanovska auteur d’un billet du collectif Comité Ukraine accusant le film de détourner les interviews a été condamnée en appel pour diffamation37.

Le film a reçu la Mention Spéciale au Prix Europa 2016 de Berlin38 ainsi que le premier prix des moyen-métrages internationaux au 6e Festival du Cinéma Politique de Buenos Aires39.
source : Wiki

https://dev.viewtube.io/embed/VLXtWfTcLC4

mishal@diaspora.psyco.fr

des preuves que l’agresseur n'est pas le russe mais le nazi

S'exprimant avant une réunion du Conseil de sécurité, alors que l'opération militaire russe se poursuit en Ukraine, Vladimir #Poutine a accusé les groupes « #néo-nazis » ukrainiens d'utiliser la population civile comme un bouclier humain. Il a par ailleurs appelé les militaires ukrainiens à ne pas les laisser faire.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/96118-direct-debut-operation-militaire-russe

Le porte-parole du #Kremlin Dmitri #Peskov a affirmé dans un communiqué que l' #Ukraine avait «déclaré avoir changé d’avis sur l’idée de Minsk [comme lieu de potentielles négociations], voulant désormais aller à Varsovie». Et le porte-parole de poursuivre : «Ensuite ils ont carrément arrêté la communication et ont pris une pause et cette pause dure déjà depuis assez longtemps. Malheureusement pendant cette pause dans les grandes villes se passe ce dont parlait le président, les nationalistes effectuent le déploiement des systèmes de lance-roquette multiples dans les quartiers résidentiels, y compris à Kiev. Nous considérons cette situation comme extrêmement dangereuse et voulons en parler ouvertement.» L'Ukraine n'a pas commenté dans l'immédiat ces informations.

#politique #LDNR