#technopolice

dandauge@fedi.thechangebook.org

TECHNOPOLICE : LA FRANCE SUR LA ROUTE DE LA CHINE ?

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#TECHNOPOLICE : LA FRANCE SUR LA ROUTE DE LA CHINE ?

Une population sous le regard permanent des caméras, où l’intelligence artificielle donne les moyens de contrôler les moindres faits et gestes de tout le monde, le tout entre les mains d’une police surpuissante, avec des pertes de libertés publiques inédites ? Pour Félix Tréguer, chercheur associé au centre internet et société du CNRS, la question se pose : https://tube.thechangebook.org/w/jX1iRje958BbNtbqpZi4va

#surveillance #ia #IntelligenceArtificielle #peertube

marie-claudes@diaspora-fr.org

La Quadrature du Net
Parution du livre « Technopolice »
Dans ce livre, Félix Tréguer, membre de La Quadrature du Net et chercheur associé au Centre Internet & Société du CNRS, fait le récit personnel d’un engagement au sein du collectif Technopolice. Mêlant les anecdotes de terrain aux analyses issues des sciences humaines et sociales, il retrace les mécanismes qui président à la technologisation croissante du maintien de l’ordre et de la gestion urbaine.
https://mcinformactions.net/parution-du-livre-technopolice
#videosurveillance #surveillance #technopolice #laquadraturedunet

biophil@diaspora-fr.org

C'est à nous de façonner le futur.

La reconnaissance faciale peut être et sera utilisée par les gouvernements et les entreprises contre chacun et chacune d'entre nous - en fonction de ce que nous sommes et de ce à quoi nous ressemblons.

Reprenons le contrôle de nos espaces publics. Interdisons la surveillance biométrique de masse !

=> Reclaim Your Face

#surveillance #totalitarisme #reconnaissancefaciale #technopolice #droits #biométrie #biometrics

biophil@diaspora-fr.org

ATELIER CRYPTO 🕵️‍♀️

(Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le cryptage/chiffrement sans jamais oser le demander)

matrix

« Si l'intimité est mise hors la loi, seuls les hors-la-loi auront une intimité. » 🔐 👍

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Aujourd’hui, chacun.e d’entre nous le sait, nous sommes surveillés comme nous ne l’avons jamais été. La faute au capitalisme de surveillance, mais pas seulement…

Le récent déploiement d’un impressionnant arsenal de caméras avec reconnaissance faciale algorithmique dans l’espace public devrait en effet nous faire comprendre que l’intérêt de toute cette surveillance n’est pas uniquement publicitaire.

Tout ce que nous faisons sur le net laisse des traces, souvent archivées définitivement.
Du discours, des actions, des transactions, et des métadonnées, comme autant de « preuves », qui pourraient éventuellement être retenues contre les opposant.es/rebelles/suspect.es, en cas de glissement vers un régime totalitaire.

Il existe heureusement un certain nombre d’outils informatiques qui permettent de limiter les traces que nous laissons, ou de préserver un peu la confidentialité de nos échanges, ou les deux en anonymisant nos traces.

Toutefois, apprendre les techniques d’auto-défense numérique exige un effort certain.
A ce propos, pour rappel, vous trouverez ici un petit guide très bien fait et en français, au format .pdf ou .epub, qui aborde longuement toutes ces questions dans le détail, sans être exhaustif.

Bien entendu, pour tenter de mettre en pratique une stratégie d’auto-défense numérique, mieux vaut jeter les GAFAM et consorts aux oubliettes...

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Ici, sur Diaspora*, nous avons tendance à plaindre les malheureux utilisateur/trices de Google et Facebook

qui n’ont plus rien à cacher tellement leurs moindres faits et gestes ont déjà été croisés, analysés et archivés dans leur dossiers personnels, mais ce serait un peu vite oublier que sur notre réseau social bien aimé absolument rien n’est chiffré, pas même nos messages personnels.
Nous éviterons sans doute la censure algorithmique immédiate que de grands penseurs, comme Bill Gates, veulent généraliser, grâce à l’IA, sur les principaux réseaux sociaux, mais certainement pas la surveillance, une surveillance d’autant plus aisée que sur Diaspo* tout est transparent...
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Extrait de L’empire de la surveillance (Ignacio Ramonet, éditions Gallimard 2024)

L'empire de la surveillance

Face au rouleau compresseur de la surveillance, beaucoup de citoyens baissent les bras et se résignent à voir leur liberté d’expression menacée et leurs droits fondamentaux violés. Ils ont tort. Parce que la vraie question n’est pas celle de la surveillance. C’est celle de la liberté, comme l’explique Edward Snowden :
Lorsque les gens disent « je n’ai rien à cacher », ils disent en fait « je me moque de mes droits ».
Si vous cessez de défendre vos droits en disant « Je n’ai pas besoin de mes droits dans ce contexte », ce ne sont plus des droits. Vous les avez convertis en quelque chose dont vous jouissez comme d’un privilège révocable par le gouvernement. Et cela réduit l’étendue de la liberté au sein d’une société.

Comment se défendre ? En s’informant et en luttant contre la surveillance de masse bien entendu !
Mais surtout en optant, en premier lieu, pour l’autodéfense par le recours au cryptage, ou chiffrage, comme nous le conseille Snowden : « Le cryptage est une responsabilité civique, un devoir civique ».
Seul le cryptage permet d’envoyer et de recevoir des emails codés. Il empêche qu’un outil automatique de surveillance qui les intercepterait puisse les lire. Même si vous n’avez rien à cacher le chiffrement vous aidera à protéger votre vie privée et celle des personnes avec qui vous communiquez. Cela rendra la tâche plus difficile au espions du nouveau complexe sécuritaro-numérique.

S’opposer à la surveillance d’État est un combat politique. Et apprendre à se protéger est la première étape de ce combat. Ensuite il faut passer à la guerilla numérique : tromper les espions, les aveugler, dissimuler vos connexions à internet, chiffrer nos emails, protéger nos textos. Le but est d’affoler les algorithmes, créer des aires d’opacité, et échapper à l’inspection et à la fouille des mouchards numériques secrets...

OK. Euh… y a plus qu’à ...

😅

Comme en matière de cryptage je suis encore débutant, je propose à celles et ceux que la question intéresse, un atelier pratique « crypto » (expérimental) destiné à en apprendre (ou en consolider) les bases ensemble, et à répondre aux différentes questions qui se poseront, au fur et à mesure.
Nous pouvons faire tout cela dans les commentaires en dessous de ce post.
Si vous repartagez ce post, lisez cette page repartagée, et si vous voulez participer, merci de revenir sur la page initiale.

Je ne prétends donc pas avoir toutes les connaissances sur le sujet. Que celles et ceux qui sont plus avancé.es ne m’insultent pas si je commets des erreurs. Qu’iels nous aident plutôt à les corriger...

🧐

Dans cet Atelier Crypto, nous allons parler de messageries cryptées, et mieux encore: apprendre à crypter (chiffrer) nous-même nos messages avec GnuPG, qui est une des versions libres de PGP (racheté par Symantec) !

...ET tenter de REPONDRE aux QUESTIONS PRATIQUES !
Rassurez-vous ce n'est pas si difficile !!!

GnuPG (GPG) est installé d’office sur la plupart des distributions Gnu/Linux.

Prérequis pour pouvoir suivre cet atelier :
- avoir une version de Gnu/Linux opérationnelle est évidemment recommandée.
- avoir déjà tapé quelques commandes de base sur un terminal Gnu/Linux (la fameuse ligne de commande).
- avoir un peu de temps à y consacrer, dans la bonne humeur
- ne pas me faire chier, ni spammer ma page, sinon je vous bloque 😤

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###### "A moins d'un changement de cap, la civilisation mondiale sera devenue d'ici à quelques années une dystopie de surveillance postmoderne, à laquelle seuls les plus habiles auront une chance de se soustraire." (Julian Assange)


"La cryptographie est la forme la plus aboutie de l'action directe non violente." (Julian Assange)

#crypto #chiffrement #PGP #GnuPG #GPG #vie_privée #privacy #confidentialité #anonymat #liberté #libertédexpression #autodéfense #résistance #combat #droits #surveillance #diaspora #Snowden #Assange #Ramonet #atelier #matrix #matrice #technopolice #politique #GnuLinux #gafam #gates #totalitarisme #mondialisation #IA #AI

oursnoir@diaspora.psyco.fr
dunoir@diaspora-fr.org

#Gouvernement, #Blocage #Internet #Répression, #Technopolice #Censure #ExtremeDoite #Autoritarisme #Fascisme

Blocage d’internet en cas de révolte : l’idée fait son chemin

La #Kanaky et les #banlieues comme laboratoires : chronique du fascisme qui vient
blocage d'internet en cas de #révolte : l’idée fait son chemin

Couper totalement internet pour priver la population d’un moyen de communication ? Une méthode réservée aux régimes dictatoriaux ou aux périodes de guerre ? En tout cas, c’est ce dont rêve le gouvernement français. Et ce qu’il est en train de se concrétiser.

Il y a quelques jours, la France a pris une mesure inédite dans une démocratie occidentale : couper totalement un réseau social, Tiktok, pour endiguer une révolte. La mesure est appliquée depuis le 14 mai en Nouvelle-Calédonie.

Mais le régime aimerait aller beaucoup plus loin. Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a déclaré lors d’une audition à l’Assemblée nationale qu’une «coupure de la 5G, de la 4G et de la 3G a été envisagée» en Nouvelle-Calédonie. «Il n’a pas été fait le choix, même si nous nous sommes posé la question, comme l’évoquait le rapport sénatorial sur les émeutes, de baisser de 5G à 2G pour l’intégralité des réseaux sociaux» a détaillé le Ministre. Plus d’internet, seulement de quoi passer des appels et envoyer des SMS.

En juillet 2023, juste après la grande révolte provoquée par l’assassinat de Nahel, Emmanuel Macron déclarait aux maires reçus à l’Élysée qu’il envisageait de «couper» les réseaux sociaux, en cas de nouveaux épisodes de violences urbaines. Il proposait : «on a pu le voir, quand les choses s’emballent pour un moment, se dire : on se met peut-être en situation de les réguler ou de les couper».

Cette annonce avait créé la polémique, et le service de communication de l’Élysée s’était empressé de rétropédaler, en prétendant qu’une telle mesure n’était pas à l’ordre du jour, tout en admettant que «le Président pensait davantage à une suspension ponctuelle et temporaire des réseaux sociaux».

En politique, on appelle ça un «ballon d’essai». Un dirigeant fait une annonce extrêmement violente pour voir le résultat. Et s’il n’y a pas trop de réactions, il sait qu’il pourra l’appliquer plus tard. Ces derniers mois, par exemple, des Ministres ont appelé à détruire le statut de fonctionnaire, à rétablir le service militaire, à permettre à Macron de se présenter pour un troisième mandat, et avant cela, d’envoyer l’armée contre les Gilets Jaunes. Ce sont des tests, une façon machiavélique de préparer l’opinion.

La coupure totale d’internet en cas de révolte est ainsi un “ballon d’essai”, elle fait tranquillement son chemin. En juillet 2023, selon le média «Là bas si j’y suis», Darmanin avait déjà demandé aux opérateurs de télécoms Orange, Bouygues, SFR et Free s’il leur était «techniquement possible» de couper la 4G et 5G sur certains quartiers en France.

Ces entreprises ont répondu que c’était «techniquement irréalisable vendredi soir», mais «faisable par la suite», émettant tout de même quelques réserves, notamment sur l’application de communication des forces de l’ordre qui serait elle aussi touchée par ces coupures localisées, et réclamant un cadre juridique pour de tels arrêts de réseaux qui empêcheraient aussi les appels d’urgence dans les quartiers concernés.

Juste après les émeutes de l’été dernier, les responsables de Meta, Snapchat, Twitter et TikTok étaient convoqués par le gouvernement français pour «prendre plusieurs dispositions». En clair réguler les réseaux sociaux voire les interdire temporairement, comme le font les dictatures en cas de soulèvements ces dernières années.

Du côté du PCF, Fabien Roussel avait réclamé «l’état d’urgence sur les réseaux sociaux plutôt que sur les populations» et proposait de «couper» les réseaux sociaux «quand c’est chaud dans le pays». Le ballon d’essai portait déjà ses fruits, puisque la «gauche responsable» approuvait ce projet de censure.

En août, le commissaire européen Thierry Breton, grand patron, ancien ministre et proche de Macron, annonçait que les réseaux sociaux seront forcés d’effacer immédiatement «les contenus qui appellent à la révolte», sous peine d’être tout simplement coupés sur le territoire. Il s’agissait d’une mesure baptisée le «Digital Services Act», qui est désormais en vigueur.

Après les Gilets Jaunes, Macron avait déjà convoqué Marc Zuckerberg et fait passer une loi sur les «contenus haineux en ligne». Dans un pays où quelques milliardaires d’extrême droite contrôlent quasiment tous les médias dominants et recrachent en permanence la propagande policière, le net est l’un des derniers contre-pouvoirs. Sans réseaux, la révolte serait en effet plus simple à mater : pas d’images de violences policières, pas d’appel à manifester, pas de médias indépendants. Uniquement CNews et BFM en guise de relais médiatiques. Le rêve mouillé des tyrans.

Petit à petit, le pouvoir prépare les esprits et l’appareil d’État a couper internet lors du prochain grand soulèvement, et utilise la Nouvelle-Calédonie et les banlieues comme laboratoire.

Rappelons le, une telle coupure serait littéralement une méthode de dictature ou d’état de guerre. Par exemple, Israël a coupé internet à Gaza au moment de lancer son offensive génocidaire. Depuis 2021, des États ont coupé ou restreint internet lors d’émeutes ou de manifestations : la junte militaire de Birmanie, la dictature Biélorusse, la République Islamique d’Iran, le Soudan, le Kazakhstan ou le Pakistan. Ou plus récemment le Sénégal dans le cadre d’une répression sanguinaire. La France de Macron aimerait donc rejoindre ce club des États remarquablement démocratiques. Les standards acceptables de nos dirigeants sont descendus au même niveau que des États fascistes ou des dictatures religieuses.
L’histoire retiendra que le candidat «centriste» et «modéré», intronisé par les médias et élu grâce au vote barrage, est en fait un autocrate ultra-violent qui a précipité la France vers la dictature.

magdoz@diaspora.psyco.fr

Expérimentation de la VSA : les premières autorisations sont tombées
https://www.laquadrature.net/2024/04/17/experimentation-de-la-vsa-les-premieres-autorisations-sont-tombees/

❤️❤️ Clause de défense du logiciel libre : Expert ou novice, le logiciel libre a besoin d'une chose : qu'on le fasse vivre ‼️ Donc n'hésite pas à donner la priorité à Peertube au lieu de Youtube, quand c'est possible, n'hésite pas à privilégier une info diffusée par un site avec peu ou pas de traqueur, plutôt qu'un site capitaliste putaclic, bref, mets en avant ce qui fait notre force ici sur Diaspora, le logiciel libre et décentralisé. Et ne t'inquiète pas, les GAFAM et autres twitter/X ne disparaîtront pas, laisse aux autres les mauvaises habitudes. Avec bienveillance pour nous tous, car trop de youtube et hop, le jour où ton message dérange, couic, censure : veille à préserver, pour notre bien, le logiciel libre, en le faisant vivre. ❤️❤️ Cela dit sans diffamation, harcèlement de messages répétés partout, bref, un message tout innocent 😜 ‼️ Mots clés : Recherche Peertube - Framalibre - Clients youtube - LibRedirect - Protéger sa navigation sous Firefox - Fediverse - Logiciel Libre : à diffuser autour de vous ! - Rien à cacher | Nothing To Hide -

#France #Surveillance #Technopolice #VSA #LQDN #IA #ReconnaissanceFaciale

elsa_capunta@diasp.eu

Reconnaissance faciale : Gérald Darmanin veut enterrer « l’affaire Briefcam »

En novembre, à la suite des révélations de Disclose sur l’utilisation par la #police du logiciel israelien de reconnaissance faciale #Briefcam, Gérald #Darmanin annonçait le lancement d’une enquête indépendante dont les conclusions devaient être rendues « sous trois mois ». Alors que le ministère de l’intérieur refuse de communiquer sur le sujet, un rapport confidentiel démontre que la fonction reconnaissance faciale est « activée par défaut » depuis 2018.
https://disclose.ngo/fr/article/reconnaissance-faciale-gerald-darmanin-veut-enterrer-laffaire-briefcam

#TechnoPolice #Videosurveillance #surveillance #privacy #macronie #IA #flicage #Israel

dunoir@diaspora-fr.org

#Crest #police #TechnoPolice #Robot #Spot

Crest : la mairie va déployer un robot policier autonome Spot dans les rues de la ville

Crest à la pointe de l’innovation sécuritaire d’avenir - Copie pirate d’un article du prochain bulletin municipal

Dans le cadre du continuum de sécurité et de l’anticipation préventive des troubles à l’ordre public pouvant survenir lors des JO 2024, la mairie de Crest a décidé de déployer dans ses rues un robot policier autonome Spot de la célèbre société américaine Boston Dynamics.
Ce dispositif pilote est une première en #Auvergne-Rhône-Alpes !
Après la navette autonome Beti, Crest est à nouveau à la pointe du progrès et de l’innovation technologique. (...)

dunoir@diaspora-fr.org

#Brest

#Technopolice #Sureillance #AntiRépression, #BonneNouvelle,

Brest : la mairie installe des caméras équipées d’un logiciel israélien, elles sont repeintes en quelques jours

Brest était l’une des dernières grandes villes françaises sans caméras de surveillance. À la demande du préfet, la mairie PS a décidé de copier les autres métropoles, en installant à son tour ces dispositifs liberticides.

La caméra de Brest repeinte à 360°

Le maire de la ville bretonne a même mis les grands moyens, puisque son bataillon de 15 caméras est équipé d’un «logiciel de pointe» israélien, pour un coût total de 900.000 euros. Il s’agit de caméras sphériques qui captent les images à 360° et qui les traitent avec de puissants algorithmes qui permettent d’analyser un grand nombre de données : ce logiciel est nommé Briefcam.

En Auvergne, la ville de Moirans avait été la première à tester la vidéosurveillance automatisée. L’association La Quadrature du Net dénonçait à l’époque une surveillance illégale (...)

dunoir@diaspora-fr.org

#TechnoPolice #Polices et #Complices #Surveillance #Fichage #Flicage...

Chronique de la technopolice :

8 ans de vidéosurveillance biométrique illégale, drones partout, reconnaissance faciale généralisée, surveillance par algorithmes des allocataires de la CAF et la CNIL complice, fichages illégaux par les polices municipales...

Respirer et vivre au lieu d’étouffer sous la froide gestion numérique optimisée ?

Les brutalités policières structurelles sont maintenant bien connues, même si l’impunité règne et que les médias dominants ne les évoquent guère.
En revanche, la technopolice, le fichage généralisée, la surveillance logicielle automatisée...passent souvent sous les radars et se déroulent sans entraves.(...)

magdoz@diaspora.psyco.fr

Sous peu de temps, l' #IA nous connaîtra tous extrêmement bien, mieux que nous ne nous connaissons nous-mêmes..
C'était déjà vrai avec les #GAFAM, mais là, ça deviendra de l' #information détenue exclusivement par une machine qui évolue à une vitesse phénoménale...
Post précédent : Course à l’IA, vers le meilleur des mondes ? | ARTE
Donc continuons d'alimenter actuellement les #Google #Youtube et autres #Microsoft, car c'est notre « #liberté », et la suite est en toute logique une #dystopie puisque l'IA y puise les #données sur NOUS.
Qu'on aura donc aidé.
#Comique et magnifique. :)

Tenter de lutter (un peu) contre ce monde, c'est être .... #perfectionniste ?
Dirait-on de #Framasoft que l'organisation est .... perfectionniste ?
Exemple d'aide : https://framalibre.org/par-tag?tag=client%20youtube

"Tu n'as rien à cacher" ? : En 10 ans, de l'alerte de #Snowden, à la #Technopolice et la #VSA : #RienACacher ... Et la suite entre les mains de l'IA ?...
#LogicielLibre #Lutte #Connaissance #Bétail #Extrême-droite #ViePrivée #Privacy #NothingToHide