#lire

alainlasverne@diaspora-fr.org

Accident de blog

Ma plateforme à effectué une migration générale des milliers de blogs qu’elle hébergeait. Le mien était dans le lot. Je n’ai pas demandé cette migration, et j’en supporte les désagréments. Ainsi, l’'audience, la visibilité du nouveau blog a chuté dans les profondeurs. Sans doute, le signalement aux grands réseaux n’est pas (encore ?) à la hauteur et peut-être vous ne reconnaissez ce blog. Il ne ressemble en rien au précédent. C’est quasiment terra incognita pour moi, et des textes semblent avoir disparu.

Mais je continue à publier, à faire oeuvre créatrice. Je n’abandonne pas devant les orages marchands qui finissent par passer.

Ce nouveau blog porte directement mon nom, c’est donc très simple de le trouver. Vous tapez mon nom dans la barre du navigateur.

Mieux vous vous abonnez à la newsletter et/ou me mettez dans vos Favoris. Merci de votre présence, merci de votre soutien.

Je ne vous demande toujours AUCUN soutien financier, contrairement à beaucoup de sites et de chaînes. Mais votre soutien moral, votre présence me confortent dans mon activité créatrice.

[Petit bonus sur le nouveau blog : vous pouvez liker mes poèmes et autres textes…

#lire #ecrire #blogs #auteur #alainlasverne #migration #actu #creation #poesie #litterature #poesiecontemporaine

https://alainlasverne.eklablog.com/

fl@diaspora.psyco.fr

#fl-fleur24 #fl-juin24 #lire #lecture #question #diasporiste

Bonjour...
Je cherche un gros bouquin pour passer l'été.
Si possible un roman.
Genre : histoire, vraie ou pas, science fiction mais pas trop gore
Auteur.trice : afrodescendant par préférence, mais aussi américain, sud américain, ou autre
Possiblement téléchargeable en e-pub - e-book

voilà, merci pour les idées...

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#fl-fleur24 #fl-juil24 #lecture #lire #roman

Un petit roman - une histoire vraie qu'une femme de plus de 80 ans a vécu à Genève. Elle a dû quitter sa maison, la maison dans laquelle elle a vécu presque toute sa vie. Ainsi elle a dû tout quitter pour être recueillie à la frontière Suisse - France, chez sa fille et son compagnon. Abandonner de grands espaces pour une petit endroit, loin de tout ou il n'y a plus rien qui donne de la vie, de l'animation. Elle habite soudain en rase campagne, alors qu'elle a toujours vécu près de la ville et d'un arrêt de bus... Elle raconte ses souvenirs par rapport à cette maison, son ex-mari, ses livres (elle est connue pour divers romans toujours en lien avec sa vie). C'est une lecture un peu triste. Je n'ai pas spécialement apprécié mais j'ai retrouvé quelques propos qui faisaient échos à mes propres expériences de déménagements... quelque chose qui est impossible à se fondre, à s'installer, à se retrouver bien. Je ne me fais pas à mon nouveau lieu de vie, que je le veuille ou non, ce n'est pas chez moi. Finalement, c'est ce que nous raconte cette dame de plus de 80 ans, il y a des choses auxquels on ne se fait pas. C'est comme ça.
Roman : La Fortune
Autrice : Catherine Safonoff
Edition : ZOE

edition Zoe

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#fl-fleur24 #fl-mai24 #lire #lecture #roman #malecture - Je me lance le défi lecture et je vous raconte avec : #fl-laviemodedemploi

LA VIE MODE D’EMPLOI - Chapitre 1 - dans l’escalier XXII - page 115

Laissant Sherwwod haletant, Shaw écrivit au Conservateur du Musée. La réponse arriva sous forme d'une longue lettre accompagnée de coupures du Nieuwe Courant. Le vol avait eu lieu dans la nuit du 4 août 1891. [...] Le soir du 3 août il avait réussi à se laisser enfermer dans le Musée, dont il était sorti avec le précieux Vase, en fracturant simplement une fenêtre et en se laissant descendre le long d'une gouttière. [...] Il ne faisait aucun doute pour Sherwood que ce vase était le Très Saint Vase et que l'étudiant d'histoire Guido Mandetta et l'étudiant des Beaux-Arts Théo Van Schallaert ne faisaient qu'une seule et même personne. Ce chapitre raconte la quête du vrai Saint Vase... notez que James Sherwood est le grand-oncle de Bartlebooth le personnage principal du roman de Perec.

Le modèle de Sherwood
1. le modèle de Sherwwod (chimie)

La forêt de Sherwood à Nottingham

  1. texte de liste ici

Le nombre de Sherwood, est un nombre sans dimension, "Évolution historique de l’usage du mot « grandeur sans dimension"

  1. Image
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#fl-fleur24 #fl-mai24 #lire #lecture #roman #malecture - Je me lance le défi lecture et je vous raconte avec : #fl-laviemodedemploi

LA VIE MODE D’EMPLOI - Chapitre 1 - dans l’escalier XXV - page 149

Pendant presque 5 an, Appenzzell s'obstina à les poursuivre. A peine avait-il réussi à retrouver leurs traces qu'ils s'enfuyaient à nouveau, s'enfonçant dans des régions de plus en plus inhabitables pour reconstruire des villages de plus en plus précaires. Pendant longtemps Appenzzell s'interrogea sur la fonction de ces comportements migratoires. Les Kubus n'étaient pas nomades et ne pratiquaient pas de cultures sur brûlis, ils n'avaient aucune raison de se déplacer si souvent : ce n'était pas davantage pour des questions de chasse ou de cueillette. Vous pouvez écouter l'amitié qui lia Harry Mathiews à Georges Perec ici : Oulipo

Algorithme 1977, Harry Mathews -Appenzzell serait le Dr Botherby
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LA VIE MODE D’EMPLOI - Chapitre 3 - Troisième droite, 1 - page 31

Il n'y a personne au troisième droite. Le propriétaire est un certain Monsieur Foureau qui vivrait à Chavignolles, entre Caen et Falaise dans une manière de château et une ferme de trente-huit hectares. Il y a quelques années une dramatique intitulée La seizième lame de ce cube y fut tournée par la télévision : Rémi Rorschash assista au tournage mais n'y rencontra pas ce propriétaire.
Personne ne semble l'avoir jamais vu. Aucun nom n'est écrit sur la porte palière, ni sur la liste affichée sur la porte vitrée de la loge. Les volets sont toujours fermés.

Chavignol, ancienne commune française située dans le département du Cher, la région Centre-Val de Loire et la région naturelle du Sancerrois. Le village est rattaché à la commune de Sancerre depuis 1794. Il tient sa notoriété du crottin de Chavignol, fromage de chèvre qui porte son nom.

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Le crottin de Chavignol
crottin

MAIS C'EST PIRE QUE CA !

[...]Cette œuvre involontairement oulipienne est un livre complexe qui utilise plusieurs systèmes de contraintes superposés.
De la poésie, des mathématiques et du jeu: tout l'Oulipo est déjà là.
les «poètes scientifiques» que sont les membres de l'Oulipo se fixent pour ambition d’explorer les contraintes du langage. Avec un credo: ces contraintes favorisent la créativité.
oulipo

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#fl-fleur24 #fl-mai24 #lire #lecture #roman #malecture - Je me lance le défi lecture et je vous raconte avec : #fl-laviemodedemploi

LA VIE MODE D'EMPLOI - Chapitre 1 - dans l'escalier 1 - page 21

La femme tient dans sa main droite un volumineux trousseau de clés, celles, sans doute, de tous les appartements qu'elle a visités dans la journée; plusieurs sont pendues à des portes-clés fantaisie : - une bouteille miniature de Marie Brizard - un tee de golf - une guêpe - un domino double-six - un jeton en plastique octogonal dans lequel est enchâssée une fleur tubéreuse

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#Livre, #Lecture, #Lire, #AntiRépression, #Inégalités, #Justice, #Repression, #Prison #Police #ACAB #Oppression #Domination

“Décarcérer. Cahez cette prison que je ne saurais voir” de Sylvain Lhuissier

«L’ #enfermement des corps est une #violence. Cette violence ne peut qu’engendrer de la fracture, là où il faudrait du lien et de la réparation. Nous ne pouvons que tendre vers un monde sans prison, en cherchant dans chaque situation, le chemin d’une moindre violence».

On vous conseille vivement de lire "Décarcérer. Cachez cette prison que je ne saurais voir" de Sylvain Lhuissier, aux éditions Rue de l’échiquier.

Résolument #anti-carcéral, l’ouvrage “Décarcérer” de Sylvain Lhuissier nous apporte des arguments concrets et documentés pour contrer et déconstruire les éléments de langage #réactionnaires et les fausses informations diffusées sur la prison en #fRance.

Reprenant point par point les arguments sécuritaires qui n’ont pour but que d’enfermer les classes populaires, les personnes étrangères, les toxicomanes et autres indésirables, l’auteur démontre statistiquement que la prison ne sert à rien. Ni en termes de réparation du préjudice pour les #victimes, ni pour la #prévention de la délinquance, ni en termes de #réinsertion et de lutte contre la récidive.

Car la vraie raison de l’existence de ces lieux d’emprisonnement indignes, qui deviennent des mouroirs, c’est qu’ils jouent un «formidable rôle d’exclusion et de ségrégation». Voilà le rôle effectif, beaucoup moins avouable mais réellement efficace, des prisons. Surveiller, punir et évincer de l’espace public certaines populations car «elle ne concerne qu’une classe sociale restreinte. On fraude et on triche dans tous les milieux, mais seule une partie d’entre nous est destinée à aller en prison». «C’est aussi pour ça que peu la connaissent» explique l’auteur, et que beaucoup la fantasment. Parfois à travers des médias ou des séries télé qui ne reflètent en rien la réalité carcérale mais alimentent, sous prétexte de faits divers macabres, l’argument principal des défenseurs ignorants de la prison : on ne peut pas laisser les criminels dehors !

La réalité c’est que seules 1,5% des personnes incarcérées sont des tueurs ou des violeurs. Les criminels ne représentent que 1,5% de la population carcérale. Voilà un chiffre qui démonte tous les discours mensongers sur le fait que la prison permet d’écarter les personnes réellement dangereuses de la société. Non, la majorité des prisonniers le sont, pour 26%, pour des faits de vol et de recel.

On savait déjà que seulement 0,6% des viols étaient condamnés. Les crimes policiers restent eux aussi impunis… Et si on entend encore trop souvent que la prison met en sécurité la reste de la population, on entend trop peu que la récidive concerne plus de la moitié des ex-taulards. Oui, 59% des personnes enfermées dans ces conditions inhumaines se feront arrêter à nouveau, en état de récidive.

«On ne peut pas construire notre politique pénale et carcérale sur 1,5% de faits divers, aussi atroces soient-ils».

L’auteur de “Décarcérer” déconstruit les idées reçues et revient sur le traitement inhumain des prisonnier-es, les conditions d’insalubrité, la surpopulation, l’isolement, la violence physique, morale et sociale qu’ils subissent. La rupture avec les proches, la perte d’emploi, de logement consécutive, les symptômes de stress post-traumatique qui s’installent parfois pour de longues années après la sortie.

Sylvain Lhuissier amène plus largement à se questionner sur notre société de contrôle, de surveillance et de domination, et appelle chacun-e à prendre ses responsabilités, en tant que magistrat-es, politiques ou médias. Car tous portent la responsabilité de participer et de diffuser l’idée que la prison est la seule possibilité.
Plus largement, nous portons toutes et tous la responsabilité de fermer les yeux sur ce qui se passe dans les lieux d’enfermement. Cela nous concerne, concerne la société dans laquelle nous voulons vivre : «Ne laissons plus passer les caricatures et les mensonges sur la prison. Osons nous demander ce qu’on attend de notre justice. Comment on voudrait qu’elle soit rendue». Car «légitimer la prison, c’est légitimer une forme de violence et de domination».

Comme le démontre Sylvain Lhuissier, les alternatives sont multiples, mais nécessitent une réelle volonté de mettre fin au système d’oppression et de domination que représente la société carcérale. Ainsi, il interroge la justice pénale au sens large en tant qu’institution centrale, au cœur de notre société, et nous invite à repenser celle-ci au regard de la justice sociale, de la défense de nos services publics, de l’accès aux soins, au logement, à l’éducation… plutôt que par la répression et l’enfermement inhumain.

On vous conseille vivement de lire “Décarcérer. Cachez cette prison que je ne saurais voir” de Sylvain Lhuissier, aux éditions Rue de l’échiquier.

alainlasverne@diaspora-fr.org

Lettre ouverte d’experts à Biden et au Congrès : « Les États-Unis doivent œuvrer pour la paix dans le monde »

“Aux États-Unis, d’éminents et anciens experts de la sécurité nationale adressent une lettre ouverte au président Biden et aux membres du Congrès…Pourquoi les États-Unis ont-ils persisté à élargir l’OTAN malgré ces avertissements ? Les profits tirés des ventes d’armes ont joué un rôle majeur. Face à l’opposition à l’expansion de l’OTAN, un groupe de néoconservateurs et de hauts responsables de fabricants d’armes américains ont formé le Comité américain pour l’expansion de l’OTAN (U.S. Committee to Expand NATO). Entre 1996 et 1998, les plus grands fabricants d’armes ont dépensé 51 millions de dollars (94 millions de dollars actuels) en lobbying et des millions d’autres en contributions aux campagnes électorales. Grâce à ces largesses, l’expansion de l’OTAN est rapidement devenue une affaire pliée. Après quoi les fabricants d’armes américains ont vendu des milliards de dollars d’armes aux nouveaux membres de l’OTAN…”

#usa #biden #guerreenukraine #guerremondiale #paixenukraine #stopimperialisme #desordremondial #marchandsdarmes #actu #lire
https://www.investigaction.net/fr/lettre-ouverte-dexperts-a-biden-et-au-congres-les-etats-unis-doivent-oeuvrer-pour-la-paix-dans-le-monde/