#présidentielles

yoann@diaspora-fr.org

Bonjour,
Je suis #nouveau-ici ! :-) Concerné par #écologie la #planète les #présidentielles et le #futur , et faisant de la musique, avec une bande d'amis, on a décidé de faire un morceau : "M. le Président" ! :-) C'est un slam qui parle de tous ces sujets, de ce qu'il s'est passé avec la convention citoyenne... maintenant, la question, c'est que ce morceau puisse être vu... et là, je ne suis pas du tout expert !! :-) si vous avez des idées, des liens, réseaux pour diffuser, ce serait drôlement bien !!
le morceau en question, franchement, regardez, vous allez voir que ça tient plutôt la route... :

https://www.youtube.com/watch?v=GJDod6zyBQc

... mais je ne sais même pas inclure la vidéo directement dans ce message... c'est bébête... :-) peut-être avec votre aide ?

Bonne journée à toutes et à tous !

gornthorn@diaspora-fr.org

Les présidentielles approchent malgré les tristes événements 😒

Comme à chaque élection, il y a toujours le groupe du vote à tous prix, celui du vote "utile" et les abstentionnistes 👀

Le vote a-t-il encore une incidence sur le fonctionnement du gouvernement ? 🤔

#ÉlectionsPrésidentielles2022 #Élections #Présidentielles2022 #Présidentielles
#Arthaud #Roussel #Macron #Lassalle #LePen #Zemmour #Mélenchon #Hidalgo #Jadot #Pécresse #Poutou #DupontAignan

guillaume_f@diaspora.psyco.fr

À l’Assemblée, un assistant parlementaire fantôme nommé Fabien Roussel

De 2009 à 2014, le dirigeant communiste a été rémunéré pour un temps plein par un député du Nord. Or le collaborateur ne travaillait pas à la permanence et des anciens collègues ne savent pas dire ce qu’il faisait. Malgré plusieurs relances, Fabien Roussel ne nous a fourni aucune preuve de son travail : ni document, ni mail, ni SMS…

Pascale Pascariello et Antton Rouget

20 février 2022 à 18h01

C’est l’un des secrets les mieux gardés du Parti communiste français (PCF) : qu’a donc fait Fabien Roussel pour le député qui l’employait, à plein temps et sur fonds publics, de 2009 à 2014 ? Mediapart a cherché à le savoir, et le résultat n’est guère convaincant pour le candidat communiste à la présidentielle, qui promet dans son programme de garantir la vertu des élus.

Malgré de nombreuses sollicitations (voir notre Boîte noire), le chef de file du PCF, qui a pris les rênes du parti en 2018, n’a pas été en mesure de produire le moindre élément matériel permettant de retracer ses activités d’assistant parlementaire pendant cinq ans. Même chose pour l’ancien député du Nord Jean-Jacques Candelier, qui l’a salarié de mai 2009 à juin 2014.

Pire : plusieurs documents et témoignages recueillis par Mediapart accréditent l’idée que Fabien Roussel a été rémunéré pendant toutes ces années sur des fonds de l’Assemblée alors qu’il travaillait en réalité pour son parti.

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Fabien Roussel lors d’une réunion publique contre la reforme des retraites à Saint-Denis, le 11 decembre 2019. © Photo Sébastien Calvet / Mediapart

Issu d’une famille communiste, Fabien Roussel a commencé à militer en 1985, à l’âge de 16 ans, avant de gravir les échelons du PCF. En juin 2010, il prend la tête de la puissante fédération du Nord, qui compte alors 7 600 adhérent·es et plusieurs permanents, succédant au député Alain Bocquet, son mentor en politique.

À l’époque, Fabien Roussel, qui n’a pas de mandat national, fixe les priorités de sa fédération : il faut « reconquérir le monde du travail » et renforcer la « formation et le renouvellement » des militant·es. Il mobilise ses troupes contre la réforme des retraites du gouvernement Fillon, multiplie les interventions dans la presse et s’implante à Saint-Amand-les-Eaux (dans la 20e circonscription du Nord), ville dirigée par Alain Bocquet depuis 1995.

Le dirigeant communiste tire à cette période ses revenus d’un emploi à temps plein, dont il ne parle pas dans les archives de presse locale consultées par Mediapart, auprès de Jean-Jacques Candelier, député communiste de la 16e circonscription du Nord.

Fabien Roussel explique aussi qu’il exerçait parallèlement ses responsabilités au PCF « à titre militant et bénévole ».

Réputé proche du « pôle de renaissance communiste de France », une tendance minoritaire du PCF, Candelier est une figure respectée du bassin minier, mais reste peu impliqué dans les instances dirigeantes du parti. Fabien Roussel bénéficie auprès de lui d’un salaire mensuel de 3 000 euros net par mois, soit près d’un tiers de l’enveloppe dévolue au député pour rémunérer son équipe.

Questionné sur ses missions exactes dans l’équipe parlementaire, le candidat communiste a expliqué à Mediapart qu’il remplissait un « rôle très politique » auprès de Jean-Jacques Candelier.

« J’irriguais ses travaux, ses discours, ses questions au gouvernement de mon travail avec les acteurs sociaux et politiques du département et de sa circonscription. Je me déplaçais sur les lieux de lutte, rencontrais les militants politiques, syndicaux, associatifs et les salariés afin de nourrir l’action et l’ancrage de terrain de mon député », a-t-il indiqué.

Fabien Roussel explique aussi qu’il exerçait parallèlement ses responsabilités au PCF « à titre militant et bénévole », en dehors de ses horaires de travail pour le député donc (voir l’intégralité de sa réponse en annexes), alors que les archives de la presse regorgent d’articles sur son activité en tant que secrétaire fédéral.

En 2013, un an après l’élection de François Hollande, Fabien Roussel multiplie, par exemple, les apparitions médiatiques en lançant avec le PCF une campagne pour alerter sur la situation de l’emploi dans le Valenciennois. Il fonde un collectif, L’Appel du Valenciennois, adossé à un site internet spécialement créé pour l’occasion, et recueille à partir du mois de juin près de 3 000 signatures de soutien. Quatre mois plus tard, c’est la consécration : une représentation de dix élus communistes est invitée à l’Élysée, le 22 octobre 2013.

Le député qui le salarie, Jean-Jacques Candelier, n’est pas de la délégation reçue par le président de la République. Et pour cause : le territoire pour lequel s’active tant Fabien Roussel recouvre, certes, le canton de Saint-Amand-les-Eaux, où il réside et se présentera aux élections municipales un an plus tard, mais pas la circonscription de son député.

C’était un peu la course, on se téléphonait souvent.

Jean-Jacques Candelier au sujet de son ancien collaborateur Fabien Roussel

Malgré plusieurs relances depuis le jeudi 10 février, l’ancien collaborateur ne nous a pas fourni le moindre document (une note, un mail ou un SMS, par exemple) attestant de ses cinq années de travail aux côtés de Jean-Jacques Candelier. Également sollicité, ce dernier ne nous a pas, lui non plus, montré d’élément concret.

Au téléphone, l’ancien député, aujourd’hui âgé de 76 ans, a toutefois assuré que Fabien Roussel « travaillait sur les dossiers importants de l’Assemblée nationale ». Sur quel sujet exactement ? Les réponses demeurent générales : « Il a fait son boulot », « C’était un conseiller politique », « Il m’a bien aidé dans ma tâche ».

Jean-Jacques Candelier peine aussi à définir les lieux où il retrouvait son assistant pour travailler. Tour à tour, il cite la mairie de Bruille-lez-Marchiennes, commune qu’il dirige depuis 1977, ou la permanence à Somain, mais « le soir ». Plus loin dans l’entretien, l’ancien député, qui soutient Fabien Roussel pour la présidentielle, indique : « C’était un peu la course, on se téléphonait souvent. » Jean-Jacques Candelier ajoute qu’il pouvait aussi voir Fabien Roussel à Paris, tout en précisant dans la même phrase que son collaborateur « venait à Paris en tant que responsable du parti »…

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Fabien Roussel, secrétaire fédéral du PCF dans le Nord, en août 2011. © Capture d’écran France 3

Parlementaire particulièrement travailleur, Jean-Jacques Candelier a toujours eu « l’habitude de beaucoup écrire », ainsi qu’il le reconnaît au cours de l’interview. « J’écris beaucoup, je note », insiste-t-il dans un premier temps, ce que nous ont confirmé plusieurs de ses proches. Peut-il donc nous transmettre des écrits issus de ses réunions de travail avec Fabien Roussel ? « Non, je ne note pas tout, se dédit-il, avant de mettre un terme à notre échange. On va arrêter là. »

L’ancien député n’a pas toujours été aussi catégorique sur le fait que Fabien Roussel avait bien travaillé pour lui au Parlement. Un an après avoir quitté l’Assemblée nationale en 2017, il a même reconnu, au cours d’une discussion dont il reste une trace, que la situation de Fabien Roussel « n’était pas trop nette ».

Au cours de cette conversation, Jean-Jacques Candelier ajoutait que le fait de faire passer des salaires de permanents du parti sur des enveloppes dédiées aux collaborateurs parlementaires aurait alors été monnaie courante. « Ça s’est toujours fait, dans tous les partis, indiquait-il. C’était des habitudes. »

Il précisait aussi qu’il avait « bien fait d’arrêter » son contrat avec Fabien Roussel en 2014, alors que les affaires des assistants parlementaires du Front national et du MoDem ont surgi ensuite.

Dans ces deux affaires, toujours en cours d’instruction, les juges soupçonnent les partis d’extrême droite et du centre d’avoir rémunéré plusieurs assistants européens alors qu’ils travaillaient essentiellement pour leur parti, ce qui s’apparenterait à des détournements de fonds publics.

Questionné par Mediapart sur ces déclarations, Jean-Jacques Candelier n’a pas répondu.

Des collègues de travail qui ne savent pas dire ce qu’il faisait précisément

Plusieurs anciens assistants du député n’ont pas été en mesure de nous dire quelles étaient les fonctions de Fabien Roussel, qui n’assistait pas aux réunions d’équipe hebdomadaires, le lundi, à la permanence de Somain.

Un ancien collaborateur explique ainsi, dans des termes vagues, que Fabien Roussel travaillait sur des « dossiers d’envergure nationale ». Membre de la commission de la défense nationale, Jean-Jacques Candelier, qui ne disposait pas d’équipe à Paris, était un député à l’activité prolifique, étant connu de tous ses collègues pour battre des records de questions écrites déposées (plusieurs centaines) chaque année.

Fabien Roussel en rédigeait-il pour son député ? « Non, c’était plutôt nous, ça », répond l’ancien collaborateur pré-cité, avant d’écourter la discussion.

Même gêne chez cette autre collaboratrice de Jean-Jacques Candelier, membre de son équipe parlementaire en même temps que Fabien Roussel. Tout en se disant « fière aujourd’hui de le voir à la télévision et d’avoir travaillé avec lui », l’ancienne salariée se montre hésitante quand on lui demande quelles étaient les tâches précises de son collègue. Elle « ne se souvient plus » et botte finalement en touche : « Il était assistant. »

Interrogée sur la possibilité que Fabien Roussel ait rédigé des questions écrites, elle se montre catégorique, avec une formule troublante : « Non, c’étaient les assistants en général. »

« Fabien Roussel a toujours été un permanent du parti », tranche pour sa part Éric Renaud, ancien salarié du PCF dans le Nord jusqu’en 2015, en guerre ouverte avec le candidat communiste depuis plusieurs années.

Le témoignage d’une autre personne ayant travaillé pour Jean-Jacques Candelier en même temps que l’embauche de Fabien Roussel va dans le même sens. « On ne le voyait pas, on ne travaillait pas avec lui », indique formellement cette personne, en précisant le rôle de chaque membre de l’équipe.

En février 2010, neuf mois après son embauche par l’Assemblée, le nom de Fabien Roussel n’apparaît pas dans la présentation de l’équipe du député sur son site internet, à la différence des autres collaborateurs alors sous contrat, comme le montre une archive consultée par Mediapart (voir ci-dessous). La page a ensuite été supprimée, la composition de l’équipe de Jean-Jacques Candelier n’étant plus détaillée sur son site internet.

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Présentation de l’équipe de Jean-Jacques Candelier sur son site internet en février 2010. © Document Mediapart

L’identité du candidat à la présidentielle n’apparaît pas non plus dans un fichier, édité en septembre 2012, au début de la XIVe législature, par le secrétariat général du groupe GDR (Gauche démocrate et républicaine) et dont Mediapart a aussi pu prendre connaissance. Ce document référence les contacts des députés communistes qui siègent à l’Assemblée.

Dans la case correspondant à Jean-Jacques Candelier sont recensés trois noms, ceux des collaborateurs qui travaillent à la permanence de Somain, accompagnés de leurs coordonnées téléphoniques. Pas de trace, en revanche, de Fabien Roussel.

Sollicitée par Mediapart, la secrétaire générale du groupe parlementaire, à qui nous avons envoyé des extraits du document, n’a pas pu « attester que ce document vient du groupe ».

Jamais nous n’avons évoqué de dossier que Fabien Roussel aurait suivi dans les cinq années précédentes.

Un collaborateur embauché en 2015

Après les élections municipales de 2014, Jean-Jacques Candelier perd la présidence de la communauté de communes Cœur d’Ostrevent, qu’il présidait depuis plus de 30 ans et où était salarié un de ses fidèles conseillers politiques.

Le député souhaite réorganiser son équipe parlementaire, dans un contexte où les noms des collaborateurs sont désormais publiés dans des déclarations d’intérêts, ainsi que le prévoient les lois sur la transparence votées en 2013 après l’affaire Cahuzac.

Fabien Roussel apparaît publiquement dans la liste des collaborateurs officiels de Jean-Jacques Candelier sur sa déclaration approuvée le 25 janvier 2014, que Mediapart a pu consulter. Cinq mois plus tard, il quitte ses fonctions.

« Nous avons alors l’un et l’autre convenu que notre collaboration nous avait apporté à chacun tout ce que nous en attendions et qu’il était temps d’écrire un nouveau chapitre », explique Fabien Roussel pour justifier son départ. « Il voulait se consacrer à ses tâches politiques à 100 % », déclare, de son côté, Jean-Jacques Candelier.

À lire aussi Fabien Roussel, à l'ecole de boucherie a Paris (12e), le 19 janvier. Fabien Roussel : le Rouge qui fâche

28 janvier 2022

L’année suivante, un nouveau collaborateur rejoint l’équipe du député. « Quand je suis arrivé, j’ai pris connaissance de tous les anciens dossiers du cabinet, les dossiers locaux comme les questions écrites, le nom de Fabien Roussel n’est jamais apparu », témoigne-t-il auprès de Mediapart.

« Tous les lundis, on se réunissait pour faire le point, préparer les textes à l’Assemblée, évoquer ce qu’il se passait au niveau des mouvements sociaux, éplucher les dossiers locaux. Jamais nous n’avons évoqué de dossier que Fabien Roussel aurait suivi dans les cinq années précédentes, or ce sont des dossiers au long cours », appuie cet ancien collaborateur, par ailleurs soucieux de rappeler l’importance de l’activité de Jean-Jacques Candelier à l’Assemblée. « Avec lui, ça ne chômait pas. Il avait personnellement à cœur de montrer à la population du Douaisis qu’il travaillait énormément, qu’il défendait les intérêts des travailleurs », tient à rappeler son ancien salarié.

Le collaborateur raconte aussi que le député ne travaille pas avec ses équipes à distance, ce qui va à l’encontre des explications fournies par Fabien Roussel. Un souvenir surgit alors : « Quand je suis entré au cabinet à Somain [en 2015], j’habitais en banlieue lilloise [à une cinquantaine de kilomètres]. J’ai demandé si je pouvais faire ne serait-ce qu’une journée de télétravail par semaine. Cela a été obtenu à l’arrachée. »

« Il ne veut pas avoir ses collaborateurs loin de lui, par crainte que le travail ne soit pas fait », ajoute l’ancien assistant, « il ne parlait d’ailleurs pas de télétravail, mais de ‘télé-télé’ avec un sourire en coin. »

Pascale Pascariello et Antton Rouget

source : https://www.mediapart.fr/journal/france/200222/l-assemblee-un-assistant-parlementaire-fantome-nomme-fabien-roussel

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pacomm@diaspora.psyco.fr

Le cauchemar d'Emmanuel Macron : la démocratie !

https://invidious.fdn.fr/watch?v=J9tSY0Gkw94

Mathilde #Panot

Ne lui en déplaise, dans l’#isoloir, même la voix de l’homme le plus riche de France, Bernard Arnault, équivaut à celle de « Jojo le gilet jaune », d’un non-vacciné, d’un chômeur ou d‘un rien.
Et si les 13 millions de non ou mal-inscrits le veulent, ils peuvent faire couler la start-up nation !
⏰ Vous pouvez vous inscrire sur les listes #électorales jusqu'au 4 mars. Vous vérifier si vous êtes bien inscrit, cliquez ici : https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/services-en-ligne-et-formulaires/ISE

#élections #présidentielles #2022 #vote #listes-électorales

salinger3@diaspora-fr.org

En route !

Pierre-Emmanuel Barré

Vous tenez entre les mains mon projet pour les prochaines élections présidentielles.

Pour savoir si vous y adhérez, mettez de la colle forte sur la couverture puis tenez-le appuyé sur votre front pendant une minute. Si mon projet ne tombe pas quand vous retirez votre main, c’est que vous y adhérez *.

Merci de votre soutien et désolé pour la cicatrice.
* Coller un livre avec de la colle forte sur le front est dangereux. Rappel EUH202 – « Cyanoacrylate. Danger. Colle à la peau et aux yeux en quelques secondes. À conserver hors de portée des enfants. » Conseils de prudence : ne le faites pas. Identité du fournisseur : Marabout.

https://livre.fnac.com/a16351705/Pierre-Emmanuel-Barre-En-route

https://marabout.landing-hachette.fr/enroute/

https://www.youtube.com/watch?v=yrB3Z4PhgmI

#barré #PierreEmmanuelBarré #humour #politique #barre #france #présidentielle #présidentielles #élection #élections

bliter@diaspora-fr.org

Le #débat du jour avec François #Asselineau (1/2) : du #Brexit au #Frexit - #JusteMilieu

Cette semaine, nous avons la chance et l'honneur de recevoir #FrançoisAsselineau, #candidat aux #élections #présidentielles de 2022 et président de l' #UPR.
Au programme de cette première partie, nous débattrons avec François Asselineau du #Brexit et la possibilité d'un #futur #Frexit par chez nous.

https://www.youtube.com/watch?v=Fa1l3Zhp1jA
#politique #UE #Europe

refondation2022@diaspora-fr.org

//RENCONTRE// Ce jeudi, Alexandre Langlois rencontre les étudiants de Science Po Strasbourg en tant que premier candidat de leur cycle de débat sur les #présidentielles. Pour celles et ceux qui seraient à proximité, n'hésitez pas à vous inscrire pour cet événement physique (qui sera également retransmis en live) ici : https://www.helloasso.com/…/conference-election-presidentie… #LibertéetResponsabilité #AlexandreLanglois2022

https://diaspora-fr.org/camo/a6a8611e202be98687fac9ba365d45f0ad92776d/68747470733a2f2f70786c2e726f666c636f707465722e66722f73746f726167652f6d2f5f76322f3331383137363334393933343139343638382f3261363963363665632d3462393464352f6b615a6c4f333737344d46412f67557a6e735568306f5457516770755652386d764f684b71595a79516d306f7764734c49794a33362e6a7067

#présidentielles #sciences-po #Strasbourg #politique #France #présidentielles

refondation2022@diaspora-fr.org
jean_fer@framasphere.org

#Macron rime avec #récession ?

Attachez vos ceintures, et surtout ajoutez y des trous.

https://twitter.com/caissesdegreve/status/1442080421534183425?s=09

#présidentielles #élections #2022 #retraites #chomage #budget #crise #économie

refondation2022@diaspora-fr.org

//DEBATTRE VRAIMENT// Parce qu'il n'y a pas de démocratie sans débat d'idées constructif, et tout comme Alexandre Langlois qui vient de signer ce manifeste, #Refondation2022 salue l'engagement du journal La Croix pour un débat sain et respectueux lors de cette campagne #présidentielle2022 #AlexandreLanglois2022. https://www.la-croix.com/…/Debattre-vraiment-10-engagements… ✒️

  1. Lutter contre les fausses informations. S’abstenir de relayer celles dont on ignore la source.

  2. Ne pas attaquer la vie privée, préserver l’intimité, y compris celle des personnes publiques.

  3. Ne pas injurier, diffamer, humilier, dénigrer, harceler.

  4. Refuser de transformer les réseaux sociaux en tribunaux populaires. Ne pas céder à la dénonciation et à l’indignation systématiques, qui ne peuvent tenir lieu de pensée argumentée.

  5. Veiller à ne pas déformer des propos et à ne pas les sortir de leur contexte.

  6. Ne pas utiliser l’anonymat ou le pseudo pour contourner les règles de civilité ou biaiser le débat.

  7. Ne pas enfermer les interlocuteurs dans des identités figées, d’origine, de genre, d’âge, de religion, de classe sociale.

  8. Écouter le point de vue de l’autre jusqu’au bout, sans dramatiser les désaccords.

  9. Accepter la complexité, dire les nuances, pour ne pas s’en tenir à des oppositions frontales.

  10. Entendre la parole des plus faibles et, plus largement, celle qui s’exprime moins dans les médias ou sur les réseaux sociaux.

#politique #France #présidentielles #2022

refondation2022@diaspora-fr.org

//PRESSE// Aujourd'hui dans Valeurs actuelles notre candidat Alexandre Langlois évoque les motivations de sa campagne, son engagement à protéger et servir, hier dans la police, aujourd'hui en politique. #Refondation2022 #AlexandreLanglois2022 #présidentielles

La société civile à l’assaut de l’Élysée : Antoine Martinez et Alexandre Langlois, l’appel du devoir

À neuf mois de l’élection présidentielle, les partis traditionnels peinent à susciter l’enthousiasme de leurs électeurs. Alors que l’abattement semble s’emparer de la campagne, des figures de la société civile s’engagent dans la bataille, sur le front culturel ou politique. Comme Antoine Martinez et Alexandre Langlois.

« Les circonstances font surgir les hommes », disait Adolphe Thiers. Une maxime que les opportunistes de la société civile ne connaissent hélas que trop bien. Abattement face à “l’inévitable” second tour Macron-Le Pen, opposition parlementaire à l’état de mort cérébrale, abstention massive… Voilà un moment que les Français n’avaient pas fait preuve d’une si profonde lassitude à l’endroit de la “chose publique”. Surtout à quelques mois d’une élection présidentielle. Le ciel sans nuages de 2022 pourrait bien vite s’assombrir, car à l’horizon s’amassent les cumulus de la société civile, venus en découdre avec le “nouveau monde” déjà ridé d’Emmanuel Macron. Ils sont de gauche, de droite, Gilets jaunes ou syndicalistes.

Certains sont éditorialistes, écrivains ou animateurs de télévision. D’autres encore sont routiers, cheminots, voire chanteurs. Par-delà leurs différences, un point commun les rassemble : tous veulent profiter du prochain rendez-vous électoral pour renverser l’ordre établi.

Le duo du jour : Antoine Martinez et Alexandre Langlois. Leur honneur, ils l’ont mis au service de la France. L’un est militaire. L’autre est policier. Depuis le premier jour de leur engagement, jamais leur patriotisme et leur sens du devoir ne les ont quittés. Premiers de cordée des corps régaliens de l’État, Antoine Martinez et Alexandre Langlois présentent d’éminents états de service. Tous deux liés par leurs missions dans le renseignement, ils ont payé le prix de leurs opinions. « La tribune des généraux » d’Antoine Martinez, appel au sursaut d’honneur de la classe politique, a provoqué l’ire du gouvernement. La dénonciation des « barbouzeries » d’ Alexandre Benalla et des violences policières dans les manifestations de Gilets jaunes ont entraîné la mise à pied d’Alexandre Langlois par sa propre hiérarchie. Le délitement institutionnel et les crises sociales que traversent la France, les ont poussés à s’engager dans la course à l’élection présidentielle de 2022. Pour eux, point d’orgueil personnel à vouloir occuper la fonction suprême. Le sous-brigadier Langlois et le général Martinez aspirent à ce que la France retrouve sa grandeur. […]

Alexandre Langlois, le flic « Gilet-jaune » au service du peuple

Les poursuites judiciaires à l’encontre d’Alexandre Benalla, c’est lui. La dénonciation des violences policières dans les cortèges de Gilets jaunes, c’est lui. Alexandre Langlois est la bête noire du ministère de l’Intérieur. À 38 ans, le secrétaire générale du syndicat de police Vigi monte au front et n’a pas peur de distribuer les coups. Son adversaire : les gros bonnets de la Place Beauvau. En ne cautionnant pas ces dérives, en refusant l’omerta de sa hiérarchie et en la dénonçant, Alexandre Langlois défend la Police et l’intégrité de ses collègues.

« La liberté s’accompagne de responsabilités. Aujourd’hui, le monde politique semble favoriser l’un au détriment de l’autre. L’affaire Benalla est l’illustration de tous les excès de nos hommes politiques. Ils ne sont plus responsables de rien. Ils sont libres de faire ce qu’ils veulent. Ils ne réfléchissent plus aux conséquences de leurs actes. Aujourd’hui, nos politiques ont modifié les règles du jeu. Leur autorité se borne uniquement à contraindre le quotidien des Français. Je ne puis accepter de servir plus longtemps un État qui confond son autorité avec le respect des institutions », clame Alexandre Langlois.

Contre son gré, Alexandre Langlois va subir la portée de son engagement. Le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner sera se rappeler à son bon souvenir. En 2019, il est mis à pied par sa hiérarchie. Une décision incompréhensible à ses yeux. « J’aspirais à pouvoir changer les choses de l’intérieur. Lorsque je me suis engagé dans les rangs de la police, c’était pour aider mes concitoyens. Lorsque j’ai intégré le syndicat Vigi, c’était également pour porter la voix de mes collègues et tenter de procéder à des améliorations au sein de notre institution », raconte le policier.

Malgré tous ses efforts, les idéaux d’Alexandre Langlois se heurtent violemment à la réalité institutionnelle : « Notre administration joue contre son propre camp. Tout est fait pour incriminer les policiers. Et pour les Français, c’est la même chose. Il y a un système qui aujourd’hui ne permet plus l’expression du débat public. La politique est devenue une guerre pour des intérêts personnels au détriment de l’intérêt national. Que ce soit la hiérarchie policière ou les élites politiques, ils ne défendent plus la démocratie. Pire, ils la mettent en péril.

» Les dérives impunies de son institution et le mutisme de ses supérieurs face à ces abus sont les éléments déclencheurs de sa candidature à l’élection présidentielle. « C’est en accédant à cette magistrature suprême que je pourrai faire changer les choses. Le corps régalien de l’État mérite plus de considération. Les Français, eux, veulent un président qui les défendent et qui les rassemblent », explique-t-il à propos de son engagement pour la campagne électorale de 2022.

Redonner du crédit à la parole politique, tel est l’engagement pris par le candidat Alexandre Langlois. « La politique c’est servir les Français, en se mettant à la disposition de la Nation. Je considère que la politique, c’est la cohérence des actes avec la sincérité de la parole. La finalité de cet engagement, c’est défendre la souveraineté du peuple », analyse-t-il avec recul.

Originaire d’un milieu modeste, il est se passionne très tôt pour le droit et la philosophie. Un fantasme d’adolescent lui fera entrevoir une carrière de juge. « Je voulais faire un métier qui apaise les maux de la société. Cette voix me semblait la plus noble pour trancher les différends entre les individus. » Mais rapidement, les rêves candides d’Alexandre Langlois sont rattrapés par la réalité de ce métier et ses travers. « Dans les procès, c’est celui qui a le plus gros carnet qui gagne. Voilà comment m’a été présenté ce métier par un de mes professeurs de droit », relate Alexandre Langlois. Dépité, il renonce à devenir juge. Sa voie est toute tracée. Pour faire changer les choses, il deviendra policier.

« Cette vie de policier, je l’ai tant aimée. Ce métier concours au quotidien à la sécurité des Français. Les policiers sont les relais de l’État sur le terrain. Ils représentent un lien direct avec la population pour ce dernier. » Alexandre Langlois ne tarit pas d’éloges sur sa profession. À 23 ans, il intègre les rangs de la Police nationale avec des idéaux plein la tête. Son premier poste : stagiaire à la Police aux frontières. À l’aéroport de Roissy, il participe aux missions de lutte contre l’immigration clandestine et aux contrôles des passeports des voyageurs. Le sous-brigadier Langlois poursuit sa carrière dans les Renseignements généraux (ex-RG). Sa nouvelle affectation est le renseignement territorial des Yvelines. Il est notamment en charge du suivi des mouvements sociaux et des groupes de casseurs. « Dans la police, le renseignement est à la base de toute action. On anticipe le suivi des auteurs de futurs actes délictuels. Cette spécialité contribue au quotidien à la mission de sécurité publique », précise le policier.

Ses états de service sont irréprochables. Son engagement demeure inchangé. Mais, dans le fond, Alexandre Langlois ne peut rester insensible au délitement qui ronge l’institution policière. Les maux s’accumulent et gangrènent le quotidien des forces de l’ordre. Suicide de ses collègues, pressions et menaces de la hiérarchie, équipements hors d’usage, locaux vétustes, mutations arbitraires, violences de ses collègues en manifestations … La longue litanie de ces calamités l’ulcère. Alexandre Langlois se syndique. Son action pour entamer la mue de son institution, il la fera sous les couleurs de la CGT-Police puis de Vigi. « Cette bureaucratie étouffe le propre fonctionnement de la police. Ce système a cautionné les violences lors des manifestations de Gilets jaunes. Pire, elle a participé à cette aggravation de la violence dans les manifestations. Elle est muette face à ces débordements », s’indigne Alexandre Langlois, qui ajoute, « elle prend des décisions disproportionnées quand un de ses agents recourt dans le cadre légal d’une intervention à un usage mesuré de la force. Elle déploie des effectifs à outrance, sans avoir une vision concrète sur le terrain. Aujourd’hui, la police ne protège plus les policiers. »

Face à cette hiérarchie sourde aux souffrances des forces de l’ordre et cette instrumentation perverse des élites politiques, la politique s’est naturellement imposée à lui. La scène présidentielle sera son nouvel espace d’expression pour changer les choses. La démocratie et la justice sont deux valeurs qui lui sont chères. Les dernières législations, comme le projet de loi de sécurité globale et le passe sanitaire, n’ont fait que renforcer sa détermination pour la bataille pour l’Élysée. Pour Alexandre Langlois, « tout a été fait en France pour ne plus aller voter. L’expression du peuple français n’est plus écoutée. La démocratie n’est plus écoutée. Les responsables politiques n’agissent plus dans l’intérêt général. La France est une nation éprise de la liberté. Il ne faut pas laisser mourir notre pays. »

Par Maxime Coupeau
Publié le 23 septembre 2021 à 16h00