#freeassange

wazoox@diasp.eu

Tema l'info👀 sur X : "‼️📢 3 journalistes français interpellent leur gouvernement au sujet de Julian Assange, privé de liberté depuis presque 14 ans : Pourquoi la France refuse de dénoncer la persécution du journaliste le + primé du XXIe siècle ? @Rives_follows @Cemil @Meriem_Laribi #FreeAssangeNOW https://t.co/MErhScYpJI" / X

#politique #Assange #FreeAssange #FreeAssangeNOW #journalisme

https://twitter.com/Tema_Linfo/status/1760708909134725414

petitpain@diaspora.psyco.fr

la suite des leaks de Chelsea Manning : les Afghan War Diaries, 92.000 documents de l’armée américaine sur les opérations des troupes américaines et de l’OTAN pendant la guerre en Afghanistan. Il garde en réserve 15.000 documents compromettants en guise d’« assurance vie »
les Afghans War Diaries montrent comment, à mesure que la guerre progresse, les États-Unis se livrent de plus en plus à des violations des droits humains et de ... crimes de guerre :
« exécutions extra-judiciaires » par frappes de drones, y compris sur des enfants et des citoyens américains ; enlèvement de personnes, incarcérations sans procès dans des endroits comme Guantanamo ; « techniques d’interrogation renforcées », autrement dit… de torture.

Julian observe que la recrudescence de telles pratiques exige que les États-Unis renforcent le contrôle de la couverture médiatique et exercent une surveillance la plus large possible, afin de prévenir toute dissidence et de surveiller les journalistes.

Le sang sur les mains de Julian Assange était avant tout un storytelling américain destiné à détruire sa réputation de journaliste… (2010)

https://vimeo.com/330225798
https://pour.press/julian-assange-a-t-il-du-sang-sur-les-mains-afghan-war-diaries-juillet-2010-julian-assange/
https://pour.press/julian-assange-une-vie/
#freeassange #WikiLeaks #histoire #Presse #clip-militant #music

petitpain@diaspora.psyco.fr

Pour Julian, la démocratie et l’accès à l’information sont indissociables :

Vous êtes ce que vous savez, et aucun État n’a le droit de vous “réduire” en vous privant d’informations. De nombreux États modernes oublient qu’ils ont été fondés sur les principes des Lumières, que le savoir est un garant de la liberté et de la démocratie. (…) veiller à ce que le pouvoir ne contrôle jamais absolument les informations n’est rien d’autre que de veiller à la démocratie. C’était autrefois le premier principe du journalisme dans tous les pays où la presse est libre.
https://pour.press/cablegate-la-revanche-des-etats-unis-julian-assange/
https://pour.press/julian-assange-une-vie/
#freeassange #WikiLeaks #histoire

petitpain@diaspora.psyco.fr

les services secrets américains émettent un document classifié secret (2008) :
l’U.S. Intelligence Report on Wikileaks, qui fuitera et sera publié le 18 mars 2010 par… WikiLeaks.
L’organisation s’y trouve qualifiée de « menace pour la sécurité informationnelle de l’armée américaine ». “
Le rapport explicite la stratégie du contre-espionnage américain pour tenter de « détruire le centre de gravité de WikiLeaks et dissuader ceux qui voudraient s’y intéresser ». Il préconise notamment :

  • l’envoi de fausses leaks à WikiLeaks, dans l’espoir qu’elle tombe dans le piège et les publie. Ensuite, le lancement d’une campagne médiatique pour ruiner la réputation et la crédibilité de Wikileaks ;
  • l’identification, la divulgation, le licenciement, les poursuites pénales, les actions en justice, contre les membres de WikiLeaks et les lanceurs d’alertes.

Entre-temps, les leaks affluent de partout dans le monde vers WikiLeaks. L’équipe ne s’offre aucun répit. Le rythme des publications s’accélère. Voici un petit aperçu des publications en 2008-2009.

  • Le 24 mars 2008, publication des « bibles secrètes de la Scientologie» qui révèle entre autres choses, les pratiques ultra agressives de l’église à l’encontre de ses ennemis.
  • Septembre 2008, publication des mails de Sarah Palin qui utilise sa messagerie privée pour ses affaires politiques officieuses, afin d’éviter de devoir conserver une copie pour le public américain – ce qui serait le cas avec sa messagerie professionnelle.
  • À la fin de 2008, divulgation de la liste des membres du British National Party, une organisation néo-fasciste qui défend l’hégémonie de la « race blanche ».
  • En décembre 2008, publication d’un rapport privé de la South African Competition Commission qui dévoile les attitudes des cartels bancaires en Afrique du Sud.
  • En février 2009, divulgation de 6.700 rapports du Congrès américain qui révèlent aux citoyens américains le comportement de leurs élus en coulisses.
  • Novembre 2009 : publication des mails secrets de l’historien sympathisant nazi, David Irving.
  • septembre 2009, la publication du Rapport Minton. Pour faire des économies, Trafigura a finalement déversé ces résidus chimiques en Côte d’Ivoire, à Abidjan, la plus grande ville d’Afrique de l’Ouest. on dénombre 108.000 victimes, certaines décédées, d’autres intoxiquées et gravement malades. https://pour.press/wikileaks-1st-intelligence-agency-of-the-people-julian-assange/ https://pour.press/julian-assange-une-vie/ #Trafigura #freeassange #WikiLeaks #histoire #Presse
petitpain@diaspora.psyco.fr

2009-Le besoin de mieux sécuriser WikiLeaks se fait pressant.
La meilleure solution serait un cadre légal solide qui protège le journalisme, la liberté de presse et les lanceurs d’alerte..

Lors d’une conférence en Malaisie sur l’histoire du journalisme, qui aux yeux de Julian doit être appréhendée comme une histoire des leaks, Julian #Assange se laisse aller à imaginer un « WikiLeaks button » qui figurerait sur les sites internet de toutes les organisations du monde. Il suffirait de cliquer dessus pour dénoncer de manière anonyme un phénomène de corruption, et envoyer des documents dont la divulgation servirait le bien commun.

Ce paradis serait à l’information et la liberté de la presse ce qu’un paradis fiscal est aux évasions fiscales et à la fraude
Ses réflexions sur les paradis fiscaux et la lecture de Cryptonomicon, le roman culte #cypherpunk de Neal Stephenson, inspirent à Julian l’idée d’un « paradis de l’information ». À ses yeux, ce paradis serait à l’information et la liberté de la presse ce qu’un paradis fiscal est aux évasions fiscales et à la fraude… Sauf qu’à l’opacité des paradis fiscaux, Julian Assange oppose la transparence du paradis de l’information.

En décembre 2009, Julian Assange est invité à donner une conférence en #Islande « On digital Freedom ». Une fois sur place, il comprend que les conditions sont réunies pour créer le paradis de l’information : le pays dispose d’une longue tradition de liberté d’expression. Sa population est la plus connectée du monde occidental.
Par ailleurs, le pays est équidistant entre l’Europe et les États-Unis. Il dispose de l’électricité la moins chère d’Europe… et il y fait froid, ce qui est excellent pour la climatisation des serveurs. Enfin, c’est une petite île perdue dans le nord de l’Atlantique, juste l’inverse des îles du Pacifique transformées en paradis fiscaux, ce qui ravit le sens de l’humour de Julian.

Il propose de faire du pays un centre international pour la publication de journalisme d’investigation, en adoptant le meilleur arsenal législatif au monde de protection des sources et de la liberté d’expression :
"Nous pourrions adopter les lois de protection des sources de la Suède, par exemple, le premier amendement des États-Unis, les lois belges de protection des journalistes, et assembler tout cela pour constituer la législation islandaise."
#freeassange #WikiLeaks #histoire #Presse #IMMI
https://pour.press/faire-de-lislande-la-suisse-du-bit-un-paradis-de-linformation-2009-julian-assange/
https://pour.press/julian-assange-une-vie/

berternste2@diasp.nl

De mogelijke uitlevering van Julian Assange aan de VS, vormt ook een bedreiging voor de journalistiek

De Volkskrant

De meer dan honderd jaar oude wet waarmee de omstreden klokkenluider Julian Assange aan de Verenigde Staten kan worden uitgeleverd, kan volgens critici een gevaarlijk precedent scheppen. ‘Dit zal haast zeker de doodsteek zijn voor onderzoeksjournalistiek gebaseerd op geheime informatie.’ (...)

(Tekst loopt door onder de foto.)

Foto van Julian Assange achter ruit
Julian Assange komt op 11 april 2019 aan in de rechtbank in Londen. Beeld Getty Images.

Vanaf 2006 begint WikiLeaks via een eigen website met het publiceren van vertrouwelijke documenten die regeringen – vooral de Amerikaanse – in verlegenheid brengen. Journalistiek relevante onthullingen, bijvoorbeeld over Amerikaanse voorschriften om sommige gedetineerden in Guantánamo Bay doktersbezoek te onthouden. Of interne stukken die laten zien dat velen er destijds onterecht en zonder aanklacht worden vastgehouden. Een Arabische journalist die toen al acht jaar gevangen zat, zodat de Amerikanen meer over de nieuwsorganisatie waar hij werkt, Al-Jazeera, te weten kunnen komen.

Later volgen vele honderdduizenden interne documenten over de oorlogen in Afghanistan en Irak, die aantonen dat de strijd veel minder voorspoedig verloopt dan de internationale coalitie publiekelijk verkondigt. Met bovendien veel meer onschuldige burgerslachtoffers. (...) Getuigenissen over oorlogsmisdaden. In Irak waren er Amerikaanse militairen die vanuit helikopters lachend burgers – waaronder twee journalisten van Reuters – doodschoten. Er was sprake van martelingen en executies van gevangenen. Het private Amerikaanse bedrijf Blackwater schoot op willekeurige burgers en bijna zevenhonderd Irakese personen werden vermoord omdat ze te dichtbij checkpoints kwamen – onder wie zwangere vrouwen.

Daarna verschenen honderdduizenden diplomatieke stukken die onder meer aantonen dat Shell diep geïnfiltreerd was in de Nigeriaanse politiek. Eerder werd al bekend dat het Nederlandse bedrijf Trafigura de giftige lading van een schip in de Ivoriaanse hoofdstad Abidjan dumpte, met gigantische gezondheidsschade bij de meeste arme bevolkingsgroepen tot gevolg.

Het waren, kortom, journalistiek relevante onthullingen – veelal gebracht in samenwerking met internationale media als The New York Times, The Guardian en Der Spiegel. (...)

Voor de uiteindelijke aanklacht grijpen de Verenigde Staten terug op de meer dan honderd jaar oude Espionage Act. Opgesteld tijdens de Eerste Wereldoorlog om ondermijning tegen het Amerikaanse leger te voorkomen, maar nog nooit eerder gebruikt om een mediaorganisatie te vervolgen. Aangeklaagden hebben minder rechten: ze kunnen zich er niet op beroepen dat publicatie in het maatschappelijk belang was. (...)

De Verenigde Staten noemen het contact tussen de Australiër en de bron – Chelsea Manning – die hem de stukken gaf, ‘samenzwering’ tegen de staat. ‘Met die redenering kan iedereen in de wereld die informatie publiceert die de VS geheim achten, vervolgd worden voor spionage’, legde Joel Simon, toenmalig directeur van persvrijheidsorganisatie CPJ uit. ‘Lekken is geen spionage’, schreef NRC eerder in een commentaar. (...)

‘Als de aanklager slaagt’, verklaarde James Goodale, die de The New York Times bijstond bij de publicatie van de geheime Pentagon Pagers over de verschrikkingen van de Vietnam Oorlog, ‘zal dat haast zeker de doodsteek zijn voor onderzoeksjournalistiek gebaseerd op geheime informatie.’ (...)

Dat internationale media desondanks relatief stil zijn over zijn mogelijke uitlevering en de consequenties, valt ook Alan Rusbridger, oud-hoofdredacteur van de Britse krant The Guardian op. Hij kende, net als velen, een ingewikkelde samenwerking met de koppige en eigenzinnige Assange. Ze waren, kortgezegd, bepaald geen vrienden. Toch is hij tot op de dag van vandaag één van zijn felste verdedigers. Zijn zaak is een ‘wake-up call’ voor media wereldwijd. ‘Je vindt Assange misschien niet leuk’, waarschuwt hij journalisten, ‘maar jij kunt de volgende zijn.’

Hele artikel

> Zie ook: Don’t Extradite Assange

Tags: #nederlands #pers #persvrijheid #media #nieuws #journalist #journalistiek #censuur #assange #julian_assange #wiki_leaks #FreeAssange #JournalistsSpeakUpForAssange

anonymiss@despora.de

I would like to point out that the “Collateral Murder” video would not have been published without #Wikileaks.

Source: https://www.theguardian.com/world/2013/feb/28/manning-washington-post-new-york-times

Journalists were already so frightened before the Assange case that they didn’t risk publishing the war crime.

To illustrate the inhumanity of the system, the following anecdote should be mentioned: The secret service stole Assange’s shaving kit from the Equadorian embassy so that he would look bearded when he was arrested. They did this to downgrade his credibility in public by making him look so scruffy.

The rule of #law is not guaranteed in the #West if those in #power agree to break it.


#politics #justice #freedom #democracy #system #fail #government #War #Crime #HumanRights #journalism #press #military #CIA #torture #FreeAssange #intelligence #surveillance #AbuseOfPower