#écriture

lizzischmidt@pod.geraspora.de

"home of the autumn thoughts"

the rules of the game are simple - choose a photo (preferably your own), edit with gimp and tag #sundaygimp on a Sunday ;-) … and follow the tag.

#sundaygimp

(and also #Sunday-photo-edit )

Note: if you do not use gimp, but still want to play along, just use the tag #Sunday-photo-edit and edit the images with your favorite image editor

#AB, #AB-SG, #AB-29-10-23, #10-23, #gimp, #gmic, #Sundaygimp, #Kunst, #Art, #Bildbearbeitung, #Bildmanipulation, #manipulation-de-photos, #image-editing, #retouche-d-image, #Herbst, #Gedanken, #schreiben, #heimat, #farben, #Füller #automne, #pensées, #écriture, #pays, #couleurs, #plume #autumn, #thoughts, #writing, #home, #colors, #fountain-pen #mywork (CC BY-NC-SA 4.0)

nicoalto@diaspora-fr.org

Bonjour à tous,

Je traverse une période difficile et incertaine (les aléas de la vie). Je ne demande pas la charité, j'ai une activité professionnelle qui me plaît mais qui tourne actuellement au ralenti, tout coup de pouce sera le bienvenu !

Musiciens et profs de #musique : achetez mes #partitions, jouez-les, programmez-les, faites-les travailler à vos élèves : https://nicolashussein.fr/catalogue/

Prestations de copie, #arrangement etc. de partitions : https://nicolashussein.fr/prestations/

#cours de #violon #alto #solfège #écriture : https://nicolashussein.fr/cours/

À tous, musiciens ou non, vous pouvez également me soutenir :
- en regardant mes #vidéos YouTube et en les partageant autour de vous : https://www.youtube.com/@NicolasHusseinMusique
- en soutenant mon activité financièrement sur Ko-fi : https://ko-fi.com/nicolashussein

Activités annexes :
- #cours de #maths : https://www.leboncoin.fr/cours_particuliers/2400401848.htm
- tuteur de #français (conversation, correction d'écrits) : https://www.leboncoin.fr/cours_particuliers/2400400049.htm

Merci infiniment pour vos partages :-)

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #nouvelle #écriture #Bretagne #météo #plage #fest Noz #balade #vin #chanson #mytext #mywork #humeur #rigolade #passe-temps #tempête
Des vacances idéales,
Ni prise d’otages, ni conflits armés, ni mafiosos, ni parabellums, ni éco-terroristes à l’horizon……, juste des nouvelles pas très nouvelles, juste un temps d’automne en plein été, juste un spleen de vacancier en chaussettes de ski, juste une introspection sur les vacances qui étaient mieux avant. Donc, après un copieux petit déjeuner (c’est toujours ça de pris), une bonne douche chaude (avant l’autre froide). Vient la question existentielle : Qu’est-ce qu’on fait ? Le ciel interrogé sous tous ses angles, un briefing s’impose….La plage il ne faut pas y compter, un ciel bas, un vent violent et une bruine insidieuse n’incitent pas trop au strip-tease. Il y a toujours bien sûr en pays breton des enclos paroissiaux, des chapelles à visiter et des crêpes à déguster. La première proposition n’emporte pas la majorité, même relative et pour les crêpes il y a over-dose…..alors …alors…Un petit cocooning près des braises avec un bon thriller remporte un franc succès, un cinoche aussi, mais celui du coin à été transformé en chantier, parking, supermarché. Certains déjà prévoyant la Bérézina se sont réservés un coin de canapé. La télé ? Avec un choix dithyrambique comme le gendarme de St Tropez, Columbo ou Camping Paradis….Nous touchons le fond. Des jeux de société peut-être ? Un Monopoly ? Un mille bornes ? Un jeu de l’oie, même la sempiternelle belote est boudée. Alors, alors…Il ne reste plus qu’à enfiler ses bottes de sept lieues à la recherche d’escargots. Et puis soudain une idée géniale fuse enfin de nos cerveaux « surchauffés » : tricoter la plus longue écharpe du monde pour devancer voire même dépasser les exploits des futurs jeux olympiques. Les galéjades fusent, la rigolade s’installe, la bonne humeur bat son plein. A l’unanimité nous nous retrouvons au Bartabas du coin pour déguster un bon petit sauvignon sorti de derrière les fagots, chanter, partager, s’aimer et oublier un moment tout le reste.
Mireille MOUTTE

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #invitation #écriture #jeux #roman #personnages #imagination #illustration #tableau #histoire #mytext #mywork

Fantaisie sur « La plage de Heyst » par Félicien Rops 1886,

La femme de la plage,

C’est sûr pour la plage du Nord. Rien à reprocher non plus à la description du tableau (je vous y renvoie), mais pour le reste j’ai une toute autre idée sur l’histoire de la dame…. « Que fait-elle là cette femme ? Sur cette plage, ainsi habillée….? On aimerait la connaître, savoir son histoire ».

Mélanie est ravie, ses cousins de Bruxelles sont venus la voir, ça faisait bien 4 / 5 ans qu’elle ne les avait pas vus. Ils l’ont surprise ce matin. Après de joyeuses retrouvailles et un copieux repas, Ils ont insisté pour qu’elle vienne avec eux sur la plage comme autrefois. Elle a regimbé prétextant du travail en retard. Mais finalement elle s’est laisser convaincre. Il faut dire que le repas à été bien arrosé et qu’elle n’a pas trop l’habitude de ces fantaisies là.

Ses cousins ont toujours été gentils et prévenants avec elle. C’est sa seule famille. Elle reçoit quelquefois de leurs nouvelles, une carte postale de Paris, de Berlin ou de plus loin. Ils ont une bonne situation dans le commerce des céréales et se proposent toujours à l’aider. Mais Mélanie aime bien son travail, sa vie au grand air avec les bêtes, la nature et surtout son indépendance. Deux vaches, trois cochons, quelques brebis, le poulailler et le jardin potager suffisent amplement à l’occuper du matin au soir. Elle ne pourrait de toute façon pas travailler plus de terre. Trouver d’honnêtes travailleurs pour l’aider n’est pas si facile, surtout pour une femme seule. Elle les a laissé sur la plage en tenue de bain, barbotant à moitié nus. Quelle époque ! Jamais de son temps on aurait toléré une telle désinvolture. Mais ils sont jeunes, joyeux, modernes, ils profitent de la vie, ils ont bien raison. Elle a décidé de longer la plage, d’aller jusqu’à la jetée, de profiter de cette belle journée pour promener, une distraction rare à la ferme. Bien sûr elle se rend compte de sa tenue insolite de paysanne sur cette plage. Personne ne peut la reconnaître, Ce n’est pas demain la veille qu’elle pourra recommencer l’expérience. Il faut qu’elle prépare la chambre et un bon repas pour ce soir. Peut être un civet de lapin, elle en a un qui est prêt. Elle comptait le vendre samedi au marché mais elle préfère en profiter avec ses invités, c’est fête. Il reste du vin de midi, une tomme de ses vaches, ils vont se régaler et en plus ils ne sont pas trop difficiles à satisfaire. Ici tout leur plaît, ils retrouvent leur enfance, les vacances avec mes parents. Ils passaient toujours une quinzaine de jours avec nous. Puis je remontais avec eux sur Bruxelles où j’étais placée comme bonne à tout faire chez les bourgeois. Quelquefois on se retrouvait pour mes jours de repos, les fêtes. J’étais un peu leur grande sœur. C’était finalement une belle époque, même si le travail n’était pas toujours facile.
Je ne suis pas vraiment jolie et pourtant, j’en ai eu moi aussi des amourettes à la grande ville, mais je ne suis jamais tombée vraiment amoureuse, sauf une fois, mais il était marié. Je suis restée vieille fille aux grands dam de mes parents qui auraient bien voulu avoir des petits enfants. Je n’ai pas trop de regrets, un ou deux gars du coin aurait bien voulu me marier, mais c’étaient surtout une travailleuse à moindre coût et les terres qu’ils lorgnaient. J’ai refusé… Ça ne s’est pas fait. Le temps est passé, c’est comme ça. Le plus dur c’est les longues soirées d’hiver avec personne à qui se confier. Et puis un ou deux bambins qui courent dans les jambes ça m’aurait bien plu aussi, c’est trop tard. J’ai quarante ans tout n’est peut être pas fini ?… Un jour…. pourquoi pas ? Rencontrer quelqu’un, un compagnon, un amoureux qui sait …. Mais voilà que tu rêves ma pauvre fille ! …..tout ce charivari ne te réussit pas. Allons, allons il est temps de retourner à tes moutons. Mireille MOUTTE

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #histoire #personnages #écriture #tableau #jeux #imagination #proposition #expérience #mywork #mytexte

Salut les ami(e)s,
J’ai trouvé un nouveau jeu d’écriture en m’inspirant du roman « Les petits personnages » de Marie Sizun où elle invente en deux trois pages les sentiments, les regrets, les espoirs des petits personnages secondaires d’un tableau (genre Vuillard, Utrillo, Monet, Brueghel…). On pourrait ainsi donner pléiade d’histoires originales aux mêmes personnages suivant l’inspiration de chacun(e). Je vous soumets ma première illustration sur ce thème,..à vos plumes si vous le voulez bien….

Fantaisie sur « La plage de Heyst » par Félicien Rops 1886,

La femme de la plage,

C’est sûr pour la plage du Nord. Rien à reprocher non plus à la description du tableau (je vous y renvoie), mais pour le reste j’ai une toute autre idée sur l’histoire de la dame…. « Que fait-elle là cette femme ? Sur cette plage, ainsi habillée….? On aimerait la connaître, savoir son histoire ».

Mélanie est ravie, ses neveux de Bruxelles sont venus la voir, ça faisait bien 4 / 5 ans qu’elle ne les avait pas vus. Ils l’ont surprise ce matin. Après de joyeuses retrouvailles et un copieux repas, Ils ont insisté pour qu’elle vienne avec eux sur la plage comme autrefois. Elle a regimbé prétextant du travail en retard. Mais finalement elle s’est laisser convaincre. Il faut dire que le repas à été bien arrosé et qu’elle n’a pas trop l’habitude de ces fantaisies là.

Ses neveux ont toujours été gentils et prévenants avec elle. C’est sa seule famille. Elle reçoit quelquefois de leurs nouvelles, une carte postale de Paris, de Berlin ou de plus loin. Ils ont une bonne situation dans le commerce des céréales et se proposent toujours à l’aider. Mais Mélanie aime bien son travail, sa vie au grand air avec les bêtes, la nature et surtout son indépendance. Deux vaches, trois cochons, quelques brebis, le poulailler et le jardin potager suffisent amplement à l’occuper du matin au soir. Elle ne pourrait de toute façon pas travailler plus de terre pour un troupeau plus important. Trouver d’honnêtes travailleurs pour l’aider n’est pas si simple, surtout pour une femme seule. Elle a laissé ses neveux sur la plage en tenue de bain, barbotant à moitié nus. Quelle époque ! Jamais de son temps on aurait toléré une telle désinvolture. Mais ils sont jeunes, joyeux, modernes, ils profitent de la vie, ils ont bien raison. Elle a décidé de longer la plage, d’aller jusqu’à la jetée, de profiter de cette belle journée pour promener, une distraction inhabituelle à la ferme. Bien sûr elle se rend compte de sa tenue insolite de paysanne sur cette plage. Personne ne peut la reconnaître, alors qu’importe le quand-dira-t’on. Ce n’est pas demain la veille qu’elle pourra recommencer l’expérience. Il faut qu’elle prépare la chambre et un bon repas pour ce soir. Peut être un civet de lapin, elle en a un qui est prêt. Elle comptait le vendre samedi au marché mais elle préfère en profiter avec ses invités, c’est fête. Il reste du vin de midi, une tome de ses vaches, ils vont se régaler et en plus ils ne sont pas trop difficiles à satisfaire. Ici tout leur plaît, ils retrouvent leur enfance, les vacances avec mes parents. Ils passaient toujours une quinzaine de jours avec nous. Puis je remontais avec eux sur Bruxelles où j’étais placée comme bonne à tout faire chez les bourgeois. Quelquefois on se retrouvait pour mes jours de repos, les fêtes. J’étais un peu leur grande sœur. C’était finalement une belle époque, même si le travail n’était pas toujours facile.
Je ne suis pas vraiment jolie, mais pas trop moche non plus, j’en ai eu moi aussi des amourettes à la grande ville, mais je ne suis jamais tombée vraiment amoureuse, sauf une fois, mais il était marié. Je suis restée vieille fille aux grands dam de mes parents qui auraient bien voulu avoir des petits enfants. Je n’ai pas trop de regrets, un ou deux gars du coin aurait bien voulu me marier, mais c’étaient surtout une travailleuse à moindre coût et les terres qu’ils lorgnaient. J’ai refusé… Ça ne s’est pas fait. Le temps est passé, c’est comme ça. Le plus dur c’est les longues soirées d’hiver avec personne à qui se confier. Et puis un ou deux bambins qui courent dans les jambes ça m’aurait bien plu aussi, c’est trop tard. J’ai quarante ans tout n’est peut être pas fini ?… Un jour…. pourquoi pas rencontrer quelqu’un, un compagnon, un amoureux qui sait …. Mais voilà que tu rêves ma pauvre fille ! …..tout ce charivari ne te réussit pas. Allons, allons il est temps de retourner à tes moutons. Mireille MOUTTE

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#poésie #écriture #instant #atmosphère #impression #photo-amateur #photographie #photo #foto #mywork #mytexte #myphoto

Un équilibre instable
Un moment sans importance
Une vague de brume
Une courte-pointe sur les pieds
Je flotte…

Un passage entre-deux
Un souffle d’abandon
Une ombre en catimini
Une sibiche aux coins des lèvres
Je flotte…

Un je ne sais quoi
Un brin d’inconnu
Une lumière indécise
Une flûte de blanc qui pétille
Je flotte…

Un présent qui s’éternise
Un prochain incertain
Une soledad que acompanā
Et tout ce qui s’en suit……
Je flotte…
Mireille MOUTTE

thierry3b2@diaspora-fr.org

RESIDENCE D'ARTISTES DU COLLECTIVE SAXIFRAGE
Fin juin résidence d'artistes du" collectivesaxifrage.com" en préparation de tournage du film "cauchemar d'oiseaux", titre pour l'instant.
Comme les commente une amie artiste plasticienne, leur ambiance ensemble c'est comme une vie rêvée:)
Au programme : beaucoup de fabrication de masques,répétition de scènes, essais de chorégraphies, scénographies, intendance des repas, travail scénario/découpage, etc...et une belle fiesta pour clôturer le travail
L'art est un moteur souterrain de l'humanité, en tous cas c'est mon avis...
#film #residence #cinema #movie #workshop #pelicula #taller #écriture #chant #musique #laviequoi

legeneralmidi@diaspora.psyco.fr

Perec retrouvé : le délicat puzzle de la vie et de l’oeuvre

Georges Perec est mort le 3 mars 1982. Quarante ans après sa disparition et six ans après son entrée dans la bibliothèque de #laPléiade, l'écrivain occupe une place majeure dans le paysage littéraire français. Qu'ont encore à nous apprendre sa vie, son œuvre ?
Avec
#ClaudeBurgelin universitaire, spécialiste de Georges Perec
#DenisCosnard Journaliste et auteur

Le manque et le faux

“Toute l’existence de Perec a été construite à partir du manque et du faux”, explique le spécialiste et biographe de George #Perec, Claude Burgelin. “C’est à partir du manque et du faux qu’il dit la vérité. C’est un paradoxe étonnant, mais fondateur de l'œuvre de Perec. “Un homme qui dort témoigne de son arrivée à l'âge adulte dans un état de souffrance très grande, c’est une expérience du renoncement qui dit très bien dans quel marasme ont pu se trouver ces jeunes gens issus de la Shoah et qui avaient perdu toute racine”, précise Claude #Burgelin. “Perec écrit sur du vide, complète Denis #Cosnard, avec des bribes de souvenirs qu’il réussit à faire remonter à la surface. Pourtant, derrière cette expérience qui est la sienne, c’est l'expérience de millions de personnes qui ont été déracinées.”

“La tragédie fondatrice de son œuvre est la #Shoah. Son écriture est une écriture du manque”, ajoute le journaliste. Claude Burgelin rappelle que “La Disparition est évidemment une parabole sur la disparition des juifs : on arrache une lettre qui fonde 83 % de notre langage à la manière dont on a voulu arracher une des civilisations fondatrices de notre civilisation”. Le spécialiste de #GeorgePerec complète : “la langue de l’enfance de Perec était le #yiddish. Après 1943, le yiddish disparaît de sa vie et reste le fantasme ou le fantôme d’une langue disparue dans son œuvre”.

Écrire pour dissimuler ou révéler ?

“La tragédie de Perec est qu’il n’a pas pu exprimer sa douleur.”, explique Claude Burgelin. “Entre 1943 et 1945, personne ne pouvait lui dire ce qu’il s’était passé pour sa mère parce que personne ne le savait. Il a fait face à la disparition dans ce qu’elle a de plus terrible. Sa mère n’a laissé aucune trace, aucun signe. En ce sens, l’écriture est-elle une puissance dissimulatrice ou révélatrice ? “Les deux bien sûr, répond Claude Burgelin. Elle cache et elle révèle. Mais Perec revient toujours au sens fondamental que représente l’écriture : tracer des signes. Écrire, c’est d’abord ce geste immémorial de l'homme des cavernes : laisser des traces, des signes. Ce que n’a pas pu faire sa mère”.
“Perec était quelqu’un d’affectueux et rieur, révèle Claude Burgelin. Ses complicités s'établissaient sur la base d’une question simple : veux-tu jouer avec moi ?” Car écrire était aussi un jeu. “Lui qui écrivait sur du vide, Perec adorait pourtant un certain nombre de livres, et s’appuyait volontiers sur l’ #écriture des autres”, ajoute Denis Cosnard. “Lui qui manquait tellement d'avoir une famille s’était trouvé une famille d’écrivains, de papiers”.

#JeanLeymarie #LesMatins #oulipo #littérature #podcast #baladodiffusion

pascal_lamachere@diaspora-fr.org

Suite du 20 février : Je reçus assez rapidement des réponses. Certaines assez déplaisantes, des « trolls provocations », des pleines de clichés d'idiots mal informés sur la richesse de l'alimentation végétale, du véganisme et sur l'intérêt santé d'un régime végétalien, et de propos de lobbies carnistes couplés à un certain nombre de moqueries.

Du style : « Oui à la verdure dans les jardins, non aux herbes, même hachées, dans mon assiette. »

« Encore un qui veut se la jouer Fsociety. Un conseil, prenez un raccourci : réveillez-vous ! »

« C'est bon, les filles et les gars, profitez comme moi de la fin du monde sur un transat. »

« Jésus, tu t'es trompé d'époque, va te faire voir et multiplier les pains chez les Grecs. »

« Les produits végans ne sont pas vos amis pour la vie. »

En réponse, je me contentai de les inviter à lire des articles, celui de Jérôme Segal « Qui sont les animaux ? » qui répond à des critiques, et d'autres :

Et de consulter les fiches nutritionnelles d'associations dédiées à la cause animale :

Et s'inscrire à un programme d'aide à la transition s'ils devaient manquer de motivation pour s'informer par eux-mêmes :

Et d’écouter le podcast Comme un poisson dans l’eau : https://www.youtube.com/@poissonpodcast/videos

Et de lire le livre Le mal du sucre pour limiter leur consommation de sucre en même temps.

Curieusement pour moi, le plus dur à convaincre, à inviter à remettre en question leurs préjugés et idéaux politiques, fut les adeptes de l'idéologie libertarienne se revendiquant du courant anarcho-capitalisme, semblant assez nombreux, peut-être bien majoritaires dans cette dimension d'internet que je découvrais. Non pas dur à convaincre par défaut d'arguments ou parce qu’adhéré à une thèse climato-sceptique complotiste où toute information contraire à leur point de vue serait douteuse. Juste que par principe ils n'étaient pas prêts à lutter contre le capitalisme, et encore moins passer du temps à compulser des documents qui chercheraient à leur expliquer par a + b leurs torts.

Malgré tout, je leur suggérai de voir ou lire les transcriptions de la conférence « Une société viable » (A Viable Society) et du podcast « Révolution maintenant ! », pour quand ils auraient le temps et l'envie : https://www.revolutionnow.live/

De notable, de constructif, des réponses reçues, quelques-uns suggérèrent des docs ou / et des façons d'organiser le collectif, en s'intéressant à ceux déjà un peu dans cette idée, cet objectif. Et puis il y a celles et ceux qui proposèrent leur aide, leur participation, dont des qui se considéraient sans « compétences précises ». Je leurs répondis :

« Si je puis dire, pas de soucis,
certaines tâches peuvent s'apprendre sur le tas,
et vous pourrez participer d'une manière ou d'une autre, au choix,
ne serait-ce qu'offrir votre temps de cerveau disponible, vos opinions, vos avis,
éventuellement enquêter pour vérifier ce qui relèverait de la véracité,
en s'intéressant aux publications, les lire, les regarder, commenter, partager,
participer à la stratégie et popularisation du mouvement sur le réseau commun.
En bref, du moment que vous êtes de bonne volonté,
comprenez l'importance des idéaux, du souci commun,
êtes prêt(e) à une Révolutionère société,
à une quête de mue,
vous êtes bienvenu(e) !»

Pendant ce temps, pendant que je me la jouais apprenti révolutionnaire, de ce que j'ai retenu de ce que Œil d'aigle me racontera, celle-ci avait ouvert les « yeux de sa conscience » sur le parvis d'un théâtre.

Pour lire ce qui a été écrit avant et suivre l'histoire : https://www.cuisine-art-politique-et-compagnie.com/forums/sujet/histoire-poetique-au-cours-de-lannee-2023-quelques-vers-par-jour/#post-398

Liste de lecture des essais de "récitation" de l'histoire à suivre que j'ai commencé le 1er janvier, avec improvisation musicale avec la guitare et un petit tambour végan : https://www.youtube.com/watch?v=lDJ3pvMyv0I&list=PLWG3MhJ7E0kjNm7nKDDSwHnSKlza7G-oF&index=1
Vous y trouverez pour le moment les 5 premiers jours d'écriture.
 

 

 

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voyageur8@diaspora-fr.org

Bonjour tout le monde, je suis pas vraiment #nouveauici mais un peu quand même ! J'étais sur Framasphère avant la grande fermeture.

J'ai attendu un looooooong moment la fonction pour réimporter mon compte ailleurs et je ne désespère pas !

Mais en attendant je vais remettre ici des vieux post, du revival et des nouveaux trucs à petite dose, autour de #photo #foto #illustration #japon #urbex #haikyo #art #autoédition #papier #écriture et autres !

A bientôt !

pascal_lamachere@diaspora-fr.org
  • Suite du 30 janvier : Stop, pause. Du moins sur l'histoire au bout du fil. Aparté. Le monde ne va pas s'arrêter sur une injonction. Dommage, car les nouvelles font sensation de gril, ramènent à l'impuissance, de la vanité, face aux préoccupations.

L’impuissance, je pense à une chanson de Daniel Guichard, L'Indien :
https://www.youtube.com/watch?v=aw-uNBwQMRM&list=PL9C4E9847954BBFF4&index=67
celle où l'on constate la répétition de l'histoire, la mort de Palestiniens,
le génocide qui continue dans les élevages et abattoirs,
l'environnement qui continue de se dégrader, tel si au purgatoire.

De la vanité, la mienne, d'une action individuelle dérisoire,
d'écrire de la sorte, de la poussière lancée sur des bulldozers,
alors que de la précarité, que contre des événements, il faudrait pouvoir,
même si qui sait les effets un jour ou l'autre, goutte après goutte, sur l'ère ?

Mais pour les préoccupations, les soucis, il y aurait urgence :
un iceberg géant s'est détaché, bientôt le tour du « glacier de l'apocalypse »,
les machines de guerre ne sont pas prêtes de s'arrêter, alimentées par une terrible essence,
l'horloge de la fin des temps a officiellement été avancée, en serons-nous phénix ? :

28 janvier : la fin du monde : https://www.youtube.com/watch?v=UZvzYOfxKLA

Demain, en France, il y a de nouveau une grève générale officielle,
et quand je lis les messages du directeur de l'institut d'urgence climatique : https://twitter.com/PCarterClimate
que le Capitalocène est sur sa lancée, que les médias de masse en font le jeu, selon des critiques,
je crains que les oppositions et in fine tous n'aient d'autre destin qu'une fin cruelle.

Ceci écrit, quelques réflexions en vrac :

  • Sur Facebook, quand vous partagez du contenu abordant le dérèglement climatique, la publication se retrouve associée à un « Découvrez dans quelle mesure la température moyenne change dans votre région », qui peut-être considéré comme une façon de sensibiliser les chauvins, mais cultive de l'individualisme, et une forme d'inconscience que le problème doit être pensé au niveau planétaire, et que la solution est collective, ne peut venir d'un seul pays, quand bien même il serait écologiquement exemplaire. Ce qui est déjà une bonne chose, mais les pays qui seraient les moins impactés dans l'immédiat n'en devraient pas faire pour autant aucun effort. Sans compter que les publications associées n'abordent pas forcément ce qui pourrait faire solution du point de vue holistique ;

  • Le 19 janvier a été partagé un lien vers une thèse qui évoque que cela fait plusieurs décennies que des gens savaient qu'il y avait péril, un dérèglement climatique lié à l'activité humaine, l'utilisation des énergies fossiles. Je le remets là : Traduction française de la transcription de l’épisode 35 du podcast « Revolution now ! » de Peter Joseph (après la vidéo) : https://www-revolutionnow-live.translate.goog/episodes/episode34-staycationing-9jlk7-kbr23-98fgl-fngdf-jn9pp-zsp5y-mzpbc?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp

A savoir que la traduction automatique de google ne traduit pas complètement certains passages, pour une traduction complète, traduire à partir de l’article d’origine : https://www.revolutionnow.live/episodes/episode34-staycationing-9jlk7-kbr23-98fgl-fngdf-jn9pp-zsp5y-mzpbc

de quoi se demander si ils pensaient ne pas être trop impactés dans leurs régions, ou pensaient pouvoir se mettre à l'abri dans une des régions qui seraient les moins impactées si ils seraient encore en vie quand les effets deviendraient de plus en plus délétères ;

  • J'ai lu certains articles de médias indépendants argumenter à propos contre la « réforme » des retraites, mais leurs revendications m'ont semblé de l'ordre d'un « progressisme mou », méconnaissant probablement les idées de Bernard Friot et du réseau salariat, le débat autour des notions de travail et d'emploi. Sans cette remise en question, on peut penser que cela revient à faire le jeu du statu quo. Sans vouloir donner des idées, un gouvernement sournois, « malin », stratégique, pourrait jouer dessus s'il souhaite mettre des bâtons dans les roues pour limiter le « progressisme » et empêcher la concrétisation d'idées révolutionnaires. Car sans cette remise en question et des revendications révolutionnaires, impression que plus qu'un 49.3, des réformes impopulaires provoquent des oppositions où les idées révolutionnaires sont mises de côté pour des revendications de « changement sans rien changer », ou trop peu par rapport à ce que certains considèrent les enjeux de notre époque.

J'ai divers docs à partager à ce propos. Bernard Friot avait fait une vidéo où il exprimait sa philosophie sur la notion de travail et d'emploi, une conférence « A quoi je dis oui », et il y a des articles de Frédéric Lordon : https://blog.mondediplo.net/-La-pompe-a-phynance-
Et cetera.

Si vous manquez de temps, ce n'est pas ce qui synthétise le mieux les idées, mais je vous suggère de lire : Les artistes sont aussi des travailleurs — discussion avec Convergence des Luths [1/2] : https://www.revue-ballast.fr/convergence-des-luths/

Une histoire politique de la musique classique — discussion avec Convergence des Luths [2/2] : https://www.revue-ballast.fr/une-histoire-politique-de-la-musique-classique-discussion-avec-convergence-des-luths-2-2/

  • Concernant le souci pour les animaux, il y a de la doc et des programmes pour faciliter l'adoption d'un régime végan avec des conseils nutritionnels, mais déjà partagé de ceux-ci si vous avez pris le temps de consulter des liens partagés, et puis il y a aussi le souci systémique : Jérôme Segal : « Qui sont les animaux ? », à propos du souci économique, écologique, politique et éthique, de la cause animale, la cause palestinienne, un article où est abordé la critique de la part de certains et l’intérêt du véganisme antispéciste anticapitaliste : https://www.revue-ballast.fr/jerome-segal-qui-sont-les-animaux/

Zoopolis — penser une société sans exploitation animale : https://www.revue-ballast.fr/zoopolis-penser-une-societe-sans-exploitation-animale/ ;

 

 

 
 
 
 

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redj18@diaspora.psyco.fr

Je suis sortit, tantôt, m’acheter un six pack et, en revenant, je me suis assis sur le bord de mon lit.
Après quelques secondes, je me suis tourné la tête;
Dans le noir, Sylverstone était là, avec ses yeux verts, me fixant dans la nuit;
On s’est observé, plus qu’une minute
On s’est bien vu
Il s’en est retourné
Et moi aussi
Chacun de notre côté
Satisfaits d’avoir fait notre job
Chacun de son côté

#écriture

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #poésie #écriture #années #anniversaire #temps #course #chemin #vie #printemps #nostalgie #dérision

Ils s’approchent en catimini mine de rien
Sans bruit, subrepticement, pas à pas
Je ne suis pas pressée
Encore quelques instants
Docilement je vais mon chemin
Il faut bien faire quelque chose de sa vie
Sans oublier d’en rire à la folie
Je ne suis pas pressée
Encore quelques instants
Docilement je cours vers demain
Il faut malgré tout vaille que vaille avancer
Sans se soucier des temps qui changent
ils sont déjà là mes 80 printemps

Épilogue :
C’est passer dans la cinquième dimension !
C’est comme le quatrième tiers du picon-curaçao façon César !
Çe n’est pas possible !

Un beau soir I'avenir s'appelle le passé. C'est alors qu'on se tourne et qu'on voit sa jeunesse. Louis ARAGON