#lemonde

petitpain@diaspora.psyco.fr

Gaza : embarqué dans un avion de parachutage humanitaire - 2' Lemonde
contre-balancer l’immobilisme
Amman Gaza 30mn de vol, des heures passé en l'air...

« Quand la rampe s’ouvre, et qu’on voit ce qu’il y a en bas, c’est un choc », raconte le journaliste Madjid Zerrouky, qui décrit « les ruines » et le paysage « lunaire » de l’enclave palestinienne, bombardée depuis six mois par l’armée israélienne.

https://invidious.privacyredirect.com/watch?v=4K7qXxw4yRg
https://www.youtube.com/watch?v=4K7qXxw4yRg
#Gaza #Amman #france #Lemonde #poudre-de-perlinpinpin #israel-IA-laHonte des fous de dieu

magdoz@diaspora.psyco.fr
escheche@diasp.org

RSF's New Global Collateral Damage Campaign

https://twitter.com/rebecca_vincent/status/1714920538244600248
https://rsf.org/en/rsf-launches-global-collateral-damage-campaign-highlighting-danger-assange-prosecution-media-and

The #campaign is supported by #LeMonde (France) and #TheGuardian (UK), who were among the original #media partners that worked with #WikiLeaks in #2010 on the “ #Cablegate” documents - a tranche of more than 250,000 leaked #diplomatic #cables. The campaign has also been supported by other media around the world.

#rsf #reporterswithoutborders #global #campaign #collateraldamage #julianassange #freeassange #fightforfacts #journalismisnotacrime

part_of_you@diaspora.psyco.fr

"En #Algérie, la campagne de #vaccination lancée en février bute sur de nombreuses réticences. Le pays compte 6,7 millions de primo-vaccinés – soit environ 15 % de la population – et 5,5 millions de personnes ayant eu deux doses. Un résultat loin « des 20 à 25 millions » nécessaires." - #LeMonde

https://fr.statista.com/statistiques/1101324/morts-coronavirus-monde/

magdoz@diaspora.psyco.fr

Le MONDE, #Macron agent double
https://yewtu.be/watch?v=3mnmNsjGVWw

En 2010, pour sauver leur journal en quasi-faillite, les journalistes du Monde se font conseiller par un jeune banquier d'affaire en poste chez #Rothschild. Emmanuel Macron prétend offrir ses services "gratuitement" au motif que la cause de l'indépendance des médias l'intéresse. Mais bientôt le doute s'installe... Pourquoi un jeune loup travaillerait-il bénévolement ?

Le plus parlant ? être #menteur professionnel.... Faire croire aux 2 parties, qu'on est leur allié...

Autre lien :
Ep. 08 | Patrimoine de Macron, où sont passés les millions ?
https://yewtu.be/watch?v=qM3g-E4o24k

#Politique #France #LeMonde #Finance

oursnoir@diaspora.psyco.fr
legeneralmidi@diaspora.psyco.fr

#'GUERRE EN #UKRAINE

Qui sont les soldats du régiment Azov, accusés d’être les « #néonazis » de l’armée ukrainienne ?
Des photos des membres de ce groupe militaire sont très partagées dans le but de montrer que l’ #arméeukrainienne est « infestée de néonazis ». Ils sont pourtant peu représentatifs des forces armées du pays.

Par #RomainGeoffroy

C’est devenu un argument majeur des prorusses pour défendre la guerre en Ukraine : l’armée de #Kiev serait infestée de néonazis. Alors que le président russe, Vladimir #Poutine, a justifié son invasion par une volonté de « dénazification » de l’Ukraine, de nombreux internautes partagent ces dernières semaines des photos de soldats ukrainiens avec des symboles nazis : ceux du #régimentAzov. Ils affirment que, en soutenant l’Ukraine militairement, les pays occidentaux armeraient ainsi des ultranationalistes.

Quelles sont les origines de ce régiment Azov qui se bat aujourd’hui contre l’invasion russe dans plusieurs villes du pays ? Quels sont ses liens avec le reste des forces armées ukrainiennes ? Les soldats qui le composent doivent-ils tous êtres étiquetés « néonazis » ?

A l’origine, un bataillon de volontaires néonazis pour combattre les #prorusses du Donbass
Quand la guerre éclate dans le #Donbass en avril 2014, l’armée ukrainienne est désorganisée et le gouvernement craint de perdre le contrôle de ce territoire au profit de la #Russie, comme ce fut le cas le mois précédent en Crimée. Pour contrer les séparatistes prorusses, le gouvernement autorise des bataillons de volontaires indépendants de l’armée à combattre. Plusieurs formations armées d’ #extrêmedroite apparaissent.

Parmi elles, on trouve le « Corps noir », qui prendra rapidement le nom de « bataillon Azov » en référence à la mer qui borde la #Crimée et le sud-est de l’Ukraine. Il s’agit d’une unité d’une centaine de volontaires aux idées nationalistes et néonazies, dont certains sont « issus du hooliganisme et du paramilitaire », explique #AdrienNonjon, chercheur à l’Institut national des langues et civilisations orientales ( #Inalco), spécialiste de l’extrême droite et du nationalisme ukrainien.

Originaire de #Kharkiv, le fondateur du bataillon, #AndreïBiletski, dirige alors le parti xénophobe, antisémite et raciste Assemblée sociale-nationale (SNA). Azov va utiliser la même symbolique inspirée du nazisme que celle du #SNA. Son emblème, un #wolfsangel (« crochet de loup ») inversé, rappelle beaucoup l’emblème de la 2e division allemande SS « Das Reich ». Autre symbole du mysticisme nazi, un « soleil noir » représentant un svastika arrondi à plusieurs rayons est aussi incorporé un temps sur le logo du bataillon.

Sur Internet, les références assumées au #IIIeReich par certains membres du groupe sont documentées. Des photos sont régulièrement partagées par des militants prorusses souhaitant décrédibiliser l’armée ukrainienne, comme celle – remontant au moins à 2017 – où un homme pose, Kalachnikov au bras, devant plusieurs drapeaux, dont un d’Azov et un nazi aux couleurs ukrainiennes. Une autre, remontant au moins à 2015 selon Libération, montre un groupe d’hommes en pantalon treillis autour d’un portrait d’Adolf Hitler, dont l’un est vêtu d’un tee-shirt Azov.

En juin 2014, les hommes du bataillon Azov participent au combat qui permet aux forces ukrainiennes de reprendre le contrôle de #Marioupol, la grande ville portuaire de l’oblast de Donetsk, dans l’est du pays. Cette victoire contre les séparatistes prorusses appuyés par Moscou forge d’eux une image héroïque aux yeux de la population ukrainienne.

Un régiment de la garde nationale depuis novembre 2014
L’accord de Minsk I, en septembre 2014, prévoit notamment de « procéder au retrait du territoire ukrainien des formations armées et du matériel militaire illicites, ainsi que des combattants irréguliers et des mercenaires ».

Les bataillons ont alors le choix entre rejoindre la garde nationale ukrainienne ou se dissoudre. En novembre 2014, le bataillon #Azov devient officiellement un régiment de la garde nationale, sous la tutelle du ministère de l’intérieur ukrainien.

« Cela leur a permis de se légitimer, de recruter plus largement et d’obtenir des armes modernes. C’est devenu une unité d’élite de la garde nationale », retrace Adrien Nonjon. Des #Ukrainiens sont séduits, des combattants étrangers (des Géorgiens, des Russes, des Biélorusses et même quelques Français) viennent grossir les rangs d’un #régiment qui passe d’une centaine de soldats à sa création à près de 2 500 à la fin de 2017, selon une enquête du magazine allemand Spiegel. Ses #soldats sont réputés durs, et certains crimes de guerre dans le Donbass (tortures, viols) leur ont été attribués en 2016 par des rapports des Nations unies ainsi que d’ @AmnestyInternational et #HumanRightsWatch.

De nombreux volontaires s’engagent dans le régiment Azov sans pour autant être militants d’extrême droite. « [Le] rejoindre (…) n’était qu’un moyen de se battre pour leur pays de la façon qu’ils jugeaient la plus efficace, écrivait, en 2016, #ViatcheslavLikhatchev, historien et expert en sciences politiques, dans une note de l’Institut français des relations internationales. Cependant, toutes les nouvelles recrues étaient endoctrinées aux idées d’extrême droite, souvent xénophobes. »

Pour #MichaelColborne, chercheur et journaliste pour le site d’enquête #Bellingcat et auteur d’un livre publié en 2022 (en anglais) sur « le mouvement Azov », seule une minorité des soldats du régiment sont aujourd’hui portés par des idées d’extrême droite ou néonazies. En 2015, un porte-parole de la brigade, #AndriyDiachenko, affirmait au site du quotidien américain USA Today que « seuls 10 % à 20 % des membres du groupe [étaient] #nazis ».

Cette minorité constitue le noyau du régiment et continue ses provocations à la #haineraciale, comme récemment lorsque des soldats se sont filmés enduisant de graisse de porc leurs balles destinées aux militaires tchétchènes musulmans qui aident la Russie.

Malgré cela, « ce n’est pas une milice qui peut faire tout ce qu’elle veut, rappelle Michael Colborne. Elle n’est pas indépendante et doit répondre aux ordres de l’Etat ukrainien ». Comme le souligne Adrien Nonjon, « l’objet de leur intégration au sein de la garde nationale a été justement d’empêcher que ces bataillons se retournent contre l’Etat ».

Un parti d’extrême droite fondé avec des vétérans du régiment Azov
Le fondateur du régiment, le suprémaciste blanc Andreï Biletski, tente d’exploiter la popularité d’Azov sur le terrain politique. Aux élections législatives de 2014, il décroche un siège de député.

En 2016, il fonde le parti d’extrême droite Corps national avec des vétérans du régiment. « C’est un mouvement national révolutionnaire d’extrême droite prônant une troisième voie, estimant que l’Ukraine ne doit se ranger ni du côté de l’Eurasie, ni [du côté] de l’Occident, décrit Adrien Nonjon. Il met en avant un nationalisme soldatique selon lequel la guerre est le meilleur moyen pour que la nation parachève sa solidification. »

Dans son article de 2016, l’historien ukrainien Viatcheslav Likhatchev écrivait : « Azov est l’exemple le plus éclatant de la légalisation, voire de l’héroïsation, de l’ultranationalisme dans le discours public ukrainien. »

Des vétérans du régiment Azov participent au premier congrès du parti d’extrême droite Corps national, à Kiev, le 14 octobre 2016.
Des vétérans du régiment Azov participent au premier congrès du parti d’extrême droite Corps national, à Kiev, le 14 octobre 2016. GENYA SAVILOV / AFP
En 2017, des proches de Corps national et des vétérans du régiment Azov ont également créé une « milice nationale », qui veut « lutter contre la criminalité de rue, le trafic de drogue et l’alcoolisme public, selon un article du Guardian.

Une extrême droite quasi inexistante aux élections
Mais tous ces efforts pour transformer la popularité d’un régiment en bulletins de vote semblent avoir échoué. Lors des législatives de 2019, Andreï Biletski perd son mandat de député. L’alliance entre les partis ultranationalistes Svoboda, Secteur droit et Corps national n’obtient que 2 % des voix.

« Azov a grandi trop vite pour se constituer une base solide, estime Adrien Nonjon. Le milieu nationaliste ukrainien est extrêmement divisé et Corps national n’a pas su adapter son programme aux problèmes des Ukrainiens. Du fait de la menace russe, on peut aussi considérer que tous les partis ukrainiens sont aujourd’hui nationalistes, pour la défense de leur nation. »

Lire aussi Guerre en Ukraine : parcourez les infox et les fausses images qui circulent depuis le début de l’offensive russe
Bien que la galaxie constituée autour d’Azov ait connu un échec dans les urnes, Michael Colborne souligne que des ultranationalistes comme Andreï Biletski ont réussi à s’intégrer et à être normalisés dans le paysage politique ukrainien. De par sa grande liberté de parole et sa capacité à multiplier ses branches (militaire, politique…), Azov a également bénéficié d’une forte popularité au sein des mouvements d’ultradroite occidentaux. Des néonazis américains, norvégiens et même français se sont ainsi rendus en Ukraine pour rencontrer ses membres.

Un régiment qui représente moins de 2 % des forces armées ukrainiennes
Difficile de dire précisément combien de personnes compte actuellement le régiment Azov. Michael Colborne estimait ce chiffre à 2 000 avant la guerre avec la Russie. Adrien Nonjon avance plutôt un chiffre situé entre 3 000 et 5 000 membres (avec les réservistes).

Le conflit en cours rend l’évaluation beaucoup plus difficile en raison des recrutements massifs auprès de la population. De plus, « l’Etat ukrainien et le régiment entretiennent délibérément le flou sur les effectifs exacts car il s’agit d’une information militaire hautement stratégique », rappelle le chercheur de l’Inalco.

Selon l’International Institute for Strategic Studies, l’Ukraine comptait au total, au début de cette année, 196 000 soldats et 60 000 membres de la garde nationale. Le régiment ne représenterait donc pas plus de 2 % des forces armées du pays.

#Décodeurs #LeMonde

part_of_you@diaspora.psyco.fr

#JuanBranco

Il y a des victoires amères. Natacha #Polony, qui m’avait proposé de travailler pour #Marianne, était devenue l’une de mes plus acharnées détractrices de #Crépuscule, faisant publier articles, vidéos et textes particulièrement fielleux sur tout ce que je faisais, clamant à tout va que je fantasmais et que j’inventais, que les oligarques ne jouaient aucun rôle dans les rédactions où ils investissaient.
L’opération de destruction a été particulièrement rude et soigneusement menée. Marianne était encore quelques peu considéré. Entre quelques tentatives de réhabilitation de nos milliardaires (voir notamment le portrait ahurissant de complaisance que Marianne publierait sur Xavier Niel), elle faisait ainsi commander des articles à des journalistes toujours différents pour me dévaster, allant jusqu’à fouiller dans mes notes de licence à l’université pour tenter de m’humilier.
Vous vous souvenez peut-être de la recension d’Abattre l’ennemi qui, sans un commentaire sur le fond, se contentait, en un long article particulièrement violent, d’ironiser sur le style et sur l’auteur, incapable de porter un jugement de fond.
Ma faute avait été double: révéler l’ampleur de l’emprise des oligarques sur la #presse française dans un livre, et plus incidemment, refuser - comme je l’avais fait pour #Médiapart - une invitation à un de ces cocktails que Marianne organisait, et dans lequel le tout Paris se pressait, en reprochant à mon interlocutrice de les organiser.
Je croyais alors à la sincérité de mon interlocutrice. Natacha Polony est en effet une femme extrêmement intelligente. Je l’avais rencontrée, dans le cadre d’un entretien où elle s’était montrée extraordinairement louangeuse (youtube.com /watch?v=HJ7l5n68d3Q). Elle se voulait alors férocement indépendante et défendant la souveraineté. Elle connaissait traversée du désert financière qui l’avait sérieusement ébranlée.
Ce que j’avais quelques peu oublié - comme je cela m’arriverait lorsque je rencontrerais Edwy #Plenel ou François #Sureau - c’est que ces gens ne sont sincères que lorsqu’ils sont en difficultés. La réalité, c’est qu’elle s’était vendue à tout ce que le petit Paris produit, et n’aspirait qu’à une chose: recommencer.
Après avoir gagné des fortunes sur le service public, puis, pendant cinq ans, plus de 27.000 euros par mois pour une revue de presse de cinq minutes sur Europe 1, elle attendait désespérée que l’on revint la chercher.
C’est alors qu’un certain Daniel #Kretinsky, l’un des plus puissants oligarques tchèques, qui a progressivement pris le contrôle d’une partie de la presse française (dont une partie du groupe #LeMonde et Elle) pour gagner en influence #politique et prendre des parts sur le marché de l’énergie, l’a contactée, en lui faisant signer un contrat de plus de 200.000 euros de salaire annuel, pour prendre la direction de Marianne, rédaction d’à peine vingt #journalistes qui accumulait les pertes et exploitait les pigistes qui le nourrissaient.
C’est donc en bonne employée et avec l’aide de l’indicible Denis #Olivennes - dont j’ai longuement décortiqué l’avanie, et qui est passé depuis à #Libération, ce qui vous permettra de comprendre l’agressivité récente du journal à mon égard - que Natacha s’est jetée enragée sur tous ceux qui critiquaient celui qui lui donnait à manger.
Aujourd’hui, sa société des rédacteurs publie un communiqué pour dénoncer l’intervention de Daniel #Kretinsky dans la Une qu’ils avaient choisi.
Lorsque vous vous vendez à un oligarque, vous n’êtes plus journaliste mais employé. Avec de la chance, celui-ci laissera du mou sur la laisse, et chargera votre hiérarchie et son DG de vous diriger.
Lorsque la chose devient plus serrée - en cas d’élection, par exemple, qui risque de tout faire basculer - alors il faut s’attendre à être traité pour ce que l’on est: rien de moins, rien de plus, qu’un(e) prostitué.
Bernard #Arnault avait fait de même, il y a cinq ans, en imposant la publication, dans #LeParisien (qu’il détient), un appel à voter pour son plus précieux soutien, Emmanuel #Macron, écrit de ses propres mains.
Pensées à tous ceux qui ont accepté de se laisser ainsi manipuler, et auront tout fait pour détruire ceux qui prenaient le courage de le révéler.

FB #Branco #France #oligarques

legeneralmidi@diaspora.psyco.fr

L’énigme résolue des « #momies des sables »

De nombreuses spéculations tournaient autour de l’origine des dépouilles du bassin de Tarim, à l’ouest de la Chine. Une étude génomique lève le mystère.

Qui étaient les « momies des sables » du bassin de Tarim, cette zone qui recouvre le désert du #Taklamakan, à l’ouest de la #Chine ? Ces dépouilles naturellement desséchées, vieilles de quatre mille ans, ont été retrouvées à partir des années 1990 dans des #cercueils en forme de barque signalés pas des mâts, comme cette jeune fille exhumée dans le cimetière de Xiaohe. Leur allure « occidentale », leurs vêtements de laine, leur économie agrospastorale tranchant avec celle des #chasseurs-cueilleurs des alentours ont nourri de nombreuses spéculations quant à leur origine.

Une signature génétique singulière
Une étude génomique vient d’éliminer trois des principales hypothèses qui les faisaient venir des actuels #Turkménistan et #Kazakhstan. L’équipe internationale qui présente ses résultats dans Nature, numéro du 28 octobre, estime que les membres de la culture #xahoe descendent d’une population génétiquement isolée, elle-même issue il y a neuf mille ans de deux groupes humains qui occupaient alors les pourtours du lac #Baïkal. Les Xahoe auraient conservé cette signature génétique singulière, en dépit d’échanges culturels intenses avec leurs voisins.

#histoire #préhistoire #lemonde