#moyenorient

thierry3b2@diaspora-fr.org

16 octobre 2023. Des manifestants passent devant un portrait du président français Emmanuel Macron lors d’un rassemblement devant l’ambassade de France à Beyrouth pour exprimer leur solidarité avec les Palestiniens.
JOSEPH EID/AFP
extrait :
L’Allemagne et la France cristallisent aussi les critiques. Certains attendaient davantage de Paris qui, il y a moins de vingt ans, se distinguait encore avec sa « politique arabe ». « Avant, je défendais la France, mais elle a perdu toute crédibilité vis-à-vis de ses valeurs », assène Nawal. Tony, consultant financier de 37 ans, avoue « être déçu par le comportement des élites françaises, leur double standard, et leur soumission à un État qui mène des actions génocidaires ». Même sentiment chez Ounsi Daif, franco-libanais travaillant pour une organisation environnementale

https://orientxxi.info/magazine/au-liban-le-desamour-de-la-france-et-de-l-occident,7257
#occident #france #liban #moyenorient #gaza #palestine #israel

dunoir@diaspora-fr.org

#Israel #Guerre, #MoyenOrient.....

Israël bombarde le Liban et cherche à embraser toute la région

lien de la #video : https://contre-attaque.net/wp-content/uploads/2024/02/GAw3UBlaFTDNtbkFAAPF52QaejsFbmdjAAAF.mp4

Après avoir validé la destruction de Gaza, le «soutien inconditionnel» de nos dirigeants ira-t-il jusqu’à accepter qu’une poignée de fascistes messianiques provoquent une guerre mondiale ?

Israël agresse et bombarde avec toujours plus de violence le pays voisin, le Liban. La semaine dernière, des frappes meurtrières ont visé le sud du Liban, tuant au moins 15 personnes, notamment 7 membres d’une seule famille dont un bébé, dans la ville de Nabatiyé.

Lundi 19 février, d’autres bombes ont été tirées dans le sud du Liban, détruisant un entrepôt où étaient fabriqués des pneus et des générateurs électriques, ainsi que les environs d’une usine, faisant «quatorze blessés, pour la plupart des travailleurs syriens et palestiniens». Israël prétend qu’il s’agit d’un bâtiment du Hezbollah, faction liée à l’Iran et hostile à Israël.

Le 2 janvier, Israël frappait déjà Beyrouth, capitale du Liban, pour la première fois depuis 2006. Un drone israélien a fait exploser tout un périmètre situé dans la banlieue de la ville. Au moins 6 personnes ont été tuées dans cette frappe, dont Saleh el-Arouri, un dirigeant du Hamas.

Imaginez qu’un État arabe revendique des bombardements militaires sur des villes israéliennes : cela provoquerait l’intervention immédiate des États occidentaux et une guerre mondiale. Le Hezbollah et l’État libanais sont restés globalement passifs depuis le 7 octobre, mais avaient prévenu qu’une attaque sur leur sol serait une ligne rouge à ne pas franchir. Israël multiplie les tirs sur le territoire du Liban pour provoquer un embrasement.

En quatre mois, au moins 269 personnes ont été tuées sur le sol libanais. Le ministre de la Défense israélien Yoav Gallant avait déclaré : «Nous sommes dans une guerre à plusieurs fronts. Nous sommes attaqués sur sept fronts : Gaza, le Liban, la Syrie, la Judée et la Samarie [le nom donné à la Cisjordanie par les fanatiques sionistes], l’Irak, le Yémen et l’Iran». L’État colonial et son allié états-unien multiplie donc les provocations contre plusieurs pays de la région et semble vouloir entraîner tout le Proche-Orient vers le suicide.
Après avoir validé la destruction de Gaza, le «soutien inconditionnel» de nos dirigeants ira-t-il jusqu’à accepter qu’une poignée de fascistes messianiques provoquent une guerre mondiale ?

dunoir@diaspora-fr.org

#MoyenOrient #Gaza #Palestine #Genocide #Israel #Colonialisme, #Guerre, #CrimeDeGuerres #MédiasDominants, #MédiasMainstream

Médias : des paroles génocidaires

lien de la #Video : https://contre-attaque.net/wp-content/uploads/2024/02/NFN-1.mp4

Durant le génocide commis contre les Tutsi au Rwanda en 1994, un média a été l’instrument du crime de masse : la tristement célèbre «Radio télévision libre des Mille Collines». Elle diffusait en permanence, avant le début du génocide, des appels à la violence et répandait des propos et des chansons racistes contre les Tutsi. Après avoir préparé les esprits, elle appelait à «tuer les cafards» durant le génocide et indiquait les endroits où les Tutsi ce cachaient.

Plusieurs membres de ce média ont été jugés par le Tribunal Pénal International et condamnés en 2003 pour génocide et incitation au génocide, à des peines de 30 à 35 ans de prison. Une animatrice a été condamnée à perpétuité pour «planification de génocide» et un autre est mort en prison.

Lors du procès de Nuremberg suite au génocide des juifs par les nazis, Julius Streicher, propagandiste violemment antisémite et ancien directeur d’un grand journal nazi qui appelait sans cesse à la haine contre les juifs, a été exécuté. Par sa propagande haineuse dans la presse, les juges ont considéré qu’il avait activement participé au génocide.

Depuis 4 mois, des appels à «effacer» ou à exterminer les palestiniens, à raser Gaza et autres propos affirmant qu’aucun palestinien n’est innocent sont diffusés régulièrement dans les médias israéliens mais aussi en France. Notamment sur la chaîne I24 appartenant à Patrick Drahi, ainsi que sur Cnews de Bolloré. Diffuser de tels propos n’est pas un jeu, ni de la “liberté d’expression”. C’est un appel à la haine.

Dans un contexte où la Cour de Justice Internationale estime officiellement «plausible» un génocide contre Gaza, et alors que d’innombrables images et témoignages atroces documentent précisément l’opération de nettoyage ethnique commise contre 2,4 millions d’êtres humains, ces médias sont les acteurs indirects d’un crime de masse qui restera gravé dans l’histoire.
Cnews, I24 et les autres plate-formes qui diffusent actuellement des propos génocidaires seront-elles, elles aussi, jugées un jour pour leur complicité ?

dunoir@diaspora-fr.org
#Gaza #Guerre, #MoyenOrient #Israel #Génocide #NettoyageEthnique #CrimeDeGuerre #Barbarie #Armée #Armement

#STOPBOMBINGGAZA #BoycottIsrael #BDS

Hind Rajab, 6 ans, assassinée avec sa famille à Gaza

Génocide en cours

C’était il y a près de deux semaines. Hind Rajab, 6 ans, était en voiture avec sa famille pour fuir la mort en s’éloignant d’une zone de conflit à Gaza. Le véhicule avait été stoppé par des soldats israéliens et un tank. Un premier appel au Croissant Rouge, les services de secours, a été enregistré. On y entend une femme paniquée appeler à l’aide : «ils nous tirent dessus, le tank est juste à côté». Puis une rafale. Les soldats venaient d’exécuter de sang froid tout une famille.

Hind Rajab a miraculeusement survécu. Survivante au milieu des cadavres de ses proches, la petite fille est restée pendant des heures dans la voiture criblée de balles et à tenté à son tour d’appeler des proches. Dans cet échange lui aussi rendu public, on l’entend supplier : «venez me chercher, j’ai tellement peur».

Une équipe de secouristes est alors envoyée à sa recherche. L’ambulance a ensuite été retrouvée calcinée et éventrée, après avoir visiblement reçu un obus. Les deux secouristes héroïques partis aider la fillette se nomment Yusuf Zeino et Ahmed Al-Madhoun. Ils ont été tués.

Quant à la petite Hind Rajab, de maigres espoirs continuaient à subsister sur son sort. Mais ce samedi 10 février, son corps sans vie a été retrouvé auprès de plusieurs membres de sa famille. Des soldats sont donc revenus «finir le travail» : assassiner une fillette de 6 ans.

De tels crimes abominables, l’armée israélienne en commet quotidiennement à Gaza depuis plus de quatre mois. Cette exécution d’une famille, grâce aux enregistrements des appels et à la découverte des véhicules correspondant, est plutôt médiatisé. Elle est une preuve supplémentaire du nettoyage éthique en cours.

Israël mène une guerre génocidaire qui n’épargne ni les bébés, ni les vieillards, ni les blessés, ni les secouristes. Plus de 10.000 mineurs, dont un grand nombre de nourrissons, ont été tués à Gaza depuis le 7 octobre. Dès novembre 2023, l’UNICEF déclarait : «la bande de Gaza est aujourd’hui l’endroit le plus dangereux au monde pour un enfant».

#غزة #حرب، #الشرقالأوسط #إسرائيل #إبادة جماعية #تطهير عرقي #جريمةحرب #همجية #جيش #جيش #جيش #جيش #مقاطعة_إسرائيل #BDS

Et tout les Articles de #ContreAttaque : https://contre-attaque.net/

dunoir@diaspora-fr.org
#Guerre, #MoyenOrient, #Palestine #Israel #Technopolice #Technique #Drones #information #Gaza

Israël tue des Palestiniens avec des «drones snipers»

Gaza : terrain d’expérimentation de l’horreur dystopique

«Des ‘drones snipers’ tirent sur des cibles autour des hôpitaux de Gaza, selon un médecin britannique». C’est le titre d’un article paru dans le journal anglais The Telegraph, le 13 novembre. Comme d’habitude, la presse étrangère mène un vrai travail d’information sur l’attaque de Gaza, pendant que les médias français relaient les éléments de langage de l’armée israélienne. [...]

dunoir@diaspora-fr.org

#Gaza :

#Colonialisme, #Guerre, #MoyenOrient #BarbarieColoniale

l’armée israélienne laisse mourir des bébés prématurés palestiniens de l’hôpital Al-Nasr

«Horreur absolue» : ce sont les mots pour qualifier les images insoutenables filmées par un journaliste d’Al-Mashhad – chaîne de télévision basée à Dubaï – dans l’hôpital Al-Nasr à Gaza. Le reportage mis en ligne sur YouTube le 27 novembre a été repris et diffusé par la chaîne Al-Jazeera le lendemain.

Lors de la «trêve» conclue le 24 novembre entre l’armée israélienne et le Hamas, des journalistes ont pu visiter l’hôpital Al-Narsr, victime d’une attaque avant l’arrêt des combats. Leur vidéo montre des corps de nourrissons prématurés en état de décomposition. Une publication insoutenable vue des dizaines de millions de fois sur les réseaux sociaux avec l’explication : «L’armée israélienne a forcé les familles à évacuer l’hôpital Al-Nasr, laissant derrière elles leur bébé prématuré dans l’unité de soins intensifs».

Un autre tweet va plus loin : «L’armée israélienne a refusé de les transporter pour les soigner, et a obligé les familles à leur faire leurs adieux…» Tsahal a sciemment laissé des nourrissons palestiniens mourir lentement en les abandonnant. L’ONG Médecins sans frontières confirme que les nourrissons étaient encore vivants quand les soignants ont dû quitter l’hôpital le 11 novembre.

Le 9 novembre, le directeur de l’hôpital, Mustafa Al-Kahlot expliquait : «L’alimentation en oxygène et en air du matériel de sauvetage dans les unités de soins intensifs pour nourrissons a été interrompue. L’alimentation électrique a été coupée dans l’hôpital, il n’y a de l’électricité que dans l’unité de soins intensifs. L’hôpital est désormais considéré comme hors service, à l’exception de l’unité de soins intensifs, dans laquelle je me trouve actuellement. Elle accueille huit patients qui sont en danger de mort.»
Ce jour-là, l’hôpital est la cible de tirs d’artillerie israéliens touchant le service pédiatrique et occasionnant des dégâts importants. Une soignante diffuse alors la photo d’un bébé en évidente sous-nutrition décédé lors de ces attaques et dénonce l’absence d’ambulances et la difficulté d’évacuer les lieux en raison de tirs israéliens.

Le 12 novembre les forces d’occupation forcent l’évacuation du personnel soignant. Le directeur des hôpitaux de Gaza explique que «les évacuations forcées des hôpitaux pédiatriques Al-Nasr et Al-Rantisi ont laissé des patients sans soin dans les rues». Le coordinateur médical de Médecins sans frontières à Gaza confirme alors dans le Washington Post que 5 bébés vivants, branchés à des respirateurs, ont dû être abandonnés sur place par des soignants menacés de mort. Ils ont donc probablement agonisé, abandonnés de tous, et leurs corps se sont décomposés jusqu’à ce qu’ils soient retrouvés lors de la trêve.

Au lendemain du 7 octobre, les médias occidentaux n’avaient pas de mots assez durs pour qualifier l’attaque du Hamas, barbare et terroriste. Une histoire rapportant «40 bébés décapités» avait fait le tour du monde, alors qu’elle n’a jamais été démontrée. Ici, il s’agit de vrais bébés prématurés, abandonnés à une mort certaine par l’armée israélienne. Qui fera le procès de la barbarie coloniale du gouvernement Netanyahou ? Pas la presse aux ordres du gouvernement fasciste israélien.

dunoir@diaspora-fr.org

#Gaza :

#Colonialisme, #Guerre, #MoyenOrient #BarbarieColoniale

l’armée israélienne laisse mourir des bébés prématurés palestiniens de l’hôpital Al-Nasr

«Horreur absolue» : ce sont les mots pour qualifier les images insoutenables filmées par un journaliste d’Al-Mashhad – chaîne de télévision basée à Dubaï – dans l’hôpital Al-Nasr à Gaza. Le reportage mis en ligne sur YouTube le 27 novembre a été repris et diffusé par la chaîne Al-Jazeera le lendemain.

Lors de la «trêve» conclue le 24 novembre entre l’armée israélienne et le Hamas, des journalistes ont pu visiter l’hôpital Al-Narsr, victime d’une attaque avant l’arrêt des combats. Leur vidéo montre des corps de nourrissons prématurés en état de décomposition. Une publication insoutenable vue des dizaines de millions de fois sur les réseaux sociaux avec l’explication : «L’armée israélienne a forcé les familles à évacuer l’hôpital Al-Nasr, laissant derrière elles leur bébé prématuré dans l’unité de soins intensifs».

Un autre tweet va plus loin : «L’armée israélienne a refusé de les transporter pour les soigner, et a obligé les familles à leur faire leurs adieux…» Tsahal a sciemment laissé des nourrissons palestiniens mourir lentement en les abandonnant. L’ONG Médecins sans frontières confirme que les nourrissons étaient encore vivants quand les soignants ont dû quitter l’hôpital le 11 novembre.

Le 9 novembre, le directeur de l’hôpital, Mustafa Al-Kahlot expliquait : «L’alimentation en oxygène et en air du matériel de sauvetage dans les unités de soins intensifs pour nourrissons a été interrompue. L’alimentation électrique a été coupée dans l’hôpital, il n’y a de l’électricité que dans l’unité de soins intensifs. L’hôpital est désormais considéré comme hors service, à l’exception de l’unité de soins intensifs, dans laquelle je me trouve actuellement. Elle accueille huit patients qui sont en danger de mort.»
Ce jour-là, l’hôpital est la cible de tirs d’artillerie israéliens touchant le service pédiatrique et occasionnant des dégâts importants. Une soignante diffuse alors la photo d’un bébé en évidente sous-nutrition décédé lors de ces attaques et dénonce l’absence d’ambulances et la difficulté d’évacuer les lieux en raison de tirs israéliens.

Le 12 novembre les forces d’occupation forcent l’évacuation du personnel soignant. Le directeur des hôpitaux de Gaza explique que «les évacuations forcées des hôpitaux pédiatriques Al-Nasr et Al-Rantisi ont laissé des patients sans soin dans les rues». Le coordinateur médical de Médecins sans frontières à Gaza confirme alors dans le Washington Post que 5 bébés vivants, branchés à des respirateurs, ont dû être abandonnés sur place par des soignants menacés de mort. Ils ont donc probablement agonisé, abandonnés de tous, et leurs corps se sont décomposés jusqu’à ce qu’ils soient retrouvés lors de la trêve.

Au lendemain du 7 octobre, les médias occidentaux n’avaient pas de mots assez durs pour qualifier l’attaque du Hamas, barbare et terroriste. Une histoire rapportant «40 bébés décapités» avait fait le tour du monde, alors qu’elle n’a jamais été démontrée. Ici, il s’agit de vrais bébés prématurés, abandonnés à une mort certaine par l’armée israélienne. Qui fera le procès de la barbarie coloniale du gouvernement Netanyahou ? Pas la presse aux ordres du gouvernement fasciste israélien.

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Si tu as bien tout retenu, tu peux trouver du travail dans une grande chaîne de télévision française !

dunoir@diaspora-fr.org
#sondage #Guerre, #MédiasDominants, #MoyenOrient #Israel #Netanyahou #Israéliens #confiance

4% seulement de la population fait confiance à Netanyahou

C’est le grand quotidien israélien Haaretz qui publie, le 14 novembre, les résultats d’un sondage interrogeant les Israéliens sur leur confiance dans l’information et les prises de décision concernant la guerre à Gaza. Les résultats montrent que moins de 4% font confiance à Netanyahou. Oui, moins de 4% !