#brest

elijah7777@diaspora-fr.org
elijah7777@diaspora-fr.org
elijah7777@diaspora-fr.org
elijah7777@diaspora-fr.org
dunoir@diaspora-fr.org

#Brest

#Technopolice #Sureillance #AntiRépression, #BonneNouvelle,

Brest : la mairie installe des caméras équipées d’un logiciel israélien, elles sont repeintes en quelques jours

Brest était l’une des dernières grandes villes françaises sans caméras de surveillance. À la demande du préfet, la mairie PS a décidé de copier les autres métropoles, en installant à son tour ces dispositifs liberticides.

La caméra de Brest repeinte à 360°

Le maire de la ville bretonne a même mis les grands moyens, puisque son bataillon de 15 caméras est équipé d’un «logiciel de pointe» israélien, pour un coût total de 900.000 euros. Il s’agit de caméras sphériques qui captent les images à 360° et qui les traitent avec de puissants algorithmes qui permettent d’analyser un grand nombre de données : ce logiciel est nommé Briefcam.

En Auvergne, la ville de Moirans avait été la première à tester la vidéosurveillance automatisée. L’association La Quadrature du Net dénonçait à l’époque une surveillance illégale (...)

dunoir@diaspora-fr.org

#photo 31 décembre place Guerin 2022

#Brest #Fêtes

#Urbanisme #ContrôleSocial #PolitiquesSécuritaires #Represion #Prison

Sur le 31 décembre place Guérin. Une fête populaire prise pour cible.

Vendredi 29 décembre, la #préfecture du #finistère a publié un arrété pour interdire tout rassemblement le soir du réveillon aux alentours de la place Guérin et de la maison d’arrêt de Brest.

En effet, depuis huit ans des personnes se réunissent le #31décembre à Brest pour aller en cortège tirer un feu d’artifice pour les #prisonniers. Dans la foulée, au retour du cortège, a lieu une fête qui dure toute ou partie de la nuit et réuni une à deux centaines de personnes autour d’un feu de joie et de musique. La place devient un lieu de fête où s’agregent toutes sortes de gens qui sortent fêter la nouvelle année dans les rues. Huit ans maintenant que les réveillons à Saint-Martin sont témoins de cet évènement #anti-carcéral et de cette fête spontannée et libre.

Plus largement la place Guérin est régulièrement éclairée de feux de joie, animée par des fêtes improvisées ou non, par des concerts ou par des évènements militants. Un endroit qui semble échapper à la logique implacable de poliçage des villes, qu’on peut modeler selon nos usages sans demander la permission à qui que ce soit, comme en témoigne par exemple la boîte à don montée sans permission sur la place il y a plusieurs années et qui continue de trôner depuis.

Comme en témoigne aussi l’occupation de l’Avenir, le refus des habitant.es du quartier de livrer leurs espaces de vies à des promoteurs immobiliers, la volonté de faire la ville nous même lorsque l’on comprend que la ville est faite contre nous. Des longues histoires ou des petits rien qui font de cet endroit un espace précieux dans des villes de plus en plus aseptisées, où rien n’est possible si ce n’est consommer différents bien et prestations, où l’espace tend à se polariser entre le centre commercial à ciel ouvert et le quartier résidentiel.

Mais il semble que cette année 2023 sonne le glas de la relative liberté de vivre dont on pouvait jouir dans ce quartier de Brest.

Après l’expulsion et la destruction de l’Avenir cet été, l’interdiction des concerts dans le café qui en organisait régulièrement, les travaux d’installation d’une caméra de vidéo-surveillance sur la place, la fête du nouvel an est donc elle aussi prise pour cible.

Une surprise de dernière minute mais dans la continuité des évènements de l’année passée : l’attaque de la fête par la #police l’année dernière, et les différents évènements depuis laissaient présager une montée en puissance de l’action policière dans le quartier, tout comme l’exercice de sécurisation de la place menée par la police à l’automne et la répréssion de la fête du 13 décembre.
Pour faire respecter cet arreté, la préfecture avait mis les petits plats dans les grands avec la présence d’une quarantaine de policier nationaux en tenue anti-émeute sur place dès 18h. Ceux-ci controlaient toute personne qui semblait transporter on ne sait quel matériel répréhensible sous le regard dépité de celles et ceux qui buvaient un coup en terasse. De quoi dissuader effectivement toute tentative de faire la fête au quartier.

Les jours précédents, du bois soupconné de pouvoir servir à faire un feu, ainsi que l’espace de recyclage des sapins de noël (potentiel combustible) avait aussi été retirés de la place par les services de la mairie. Une véritable volonté politique coordonnée d’empecher toute forme d’amusement à Saint-Martin ce 31 décembre...

Objectif rempli pour la mairie et la préfecture, aucun cortège ne partira de Guérin, et aucune musique n’y résonnera dans la nuit du 31 au premier. Le dispositif policier a fondu avec les heures mais la possibilité pour tous les fétards de s’agréger avait été empéchée. Cependant, une bande de filous semblent avoir bravé l’interdiction de se rassembler pour venir célébrer malgré tout la nouvelle année, et à minuit une bonne trentaine de personnes viennent tirer un feu d’artifice et allumer des fumigènes sur une place laissée déserte par les keufs qui patrouille cependant fort dans le quartier.

Les policiers n’osant intervenir en petit nombre face au groupe, chacun repart tranquillement à ses occupations. La bande se reconstitue une demie heure plus tard pour remettre ça, cette fois-ci une voiture de police se positionne sur la place pour dissuader un second round. Les policiers tentent de sortir de leur vehicule mais doivent renoncer et préfèrent fuir la place sous le feu des batteries d’artifices. La place Guérin résonne pendant plusieurs minutes d’explosions tantôt dirigée au ciel, tantôt dirigée sur les flics qui se tiennent à distance.

C’est ainsi que certain.es auront montré leur refus de se plier au désirs ennuyeux du préfet, et auront préféré n’en faire qu’à leur tête et s’amuser comme il se doit un soir de réveillon.

En tout cas, cette soirée (ou non soirée) vient clore une année d’attaque frontale contre l’espace de liberté relative qu’était la place Guérin dans la métropole brestoise. Une année d’attaque contre une ville vivante et faîte par le bas. Car ce qui se joue effectivement dans ce conflit au long cours entre la place et les autorités, c’est la question de la ville, de ce qu’on y fait, de ce qui mérite d’en troubler la tranquilitté ou non, de qui a le droit d’en définir l’usage. La dimension politique et de classe de la politique urbaine apparait à nu dans tous ces moments de confrontation entre ce que nous faisons de la ville et ce que nos élu.es veulent en faire.

Par exemple on peut privatiser le quai Malbert pendant deux semaines pour créer un village évenementiel où tout coûte un bras et où on célèbre une compétition sportive bouffie de fric (Arkea Ultim Challenge), mais l’utilisation de la place Guérin comme lieu de fête gratuit par des brestois pour les célébration du nouvel an pose un problème. Il faut dire qu’un de ces évènements est bien mieux fréquenté que l’autre. On y celebre à grand frais, entre deux clotures, surveillés par des vigiles et des flics. Il s’inscrit aussi bien mieux dans la soupe « d’identité maritime » qui est au coeur du nouveau branding de la métropole. De ces identités qui sortent des boîtes de com et qu’on impose d’en haut à grand coup de fric, qui applatissent la réalité de la ville pour en faire un produit dont on peut faire la publicité.

Rappelons nous aussi d’une réunion publique lors de laquelle la mairie proposait de raser l’Avenir pour le remplacer par une crèche, les occupant.es du lieu avait alors proposé une solution : utiliser un terrain laissé vide aux alentours de Menez Paul afin de pouvoir construire cette crèche bienvenue sans remettre en question l’existence de ce lieu autogéré. Seulement, la mairie estimait ce terrain trop couteux (1 à 2 millions d’euros), là où l’Avenir se situait sur un terrain lui appartenant.

Soit. Mais l’année précédente, la mairie avait débloqué 19 millions d’euros pour la construction d’un téléphérique urbain sans utilité notable sur le plan des transports publics. En effet, ce téléphérique relie quasiment deux arrêts de tramway entre eux et est facilement remplacé par une navette lors de ses récurrentes pannes, navette dont le côut doit s’elever à quelques centaines de milliers d’euros tout au plus. Cette infrastructure s’avère donc inutile sauf à la marge pour les habitant.es de l’hypercentre Siam, et son utilité est plus à rechercher du coté de l’attraction touristique ou de la distinction sur le marché des métropoles.

Le message est clair : il n’est pas envisageable de dépenser un peu d’argent public pour construire une crèche pour les habitant.es et conserver un lieu populaire autogéré, mais il est indispensable de dépenser beaucoup d’argent public pour une infrastructure inutile mais qui représente un élément publicitaire d’attractivité pour la ville.

Le message est aussi clair lorsque l’Avenir est rasé en 2023 sous un nouveau pretexte et que la mairie annonce que le lieu sera remplacé par un lieu culturel participant à l’attractivité du quartier. A qui s’adresse cette attractivité ? Saint-Martin est déjà un quartier vivant et habité. Nous le constatons car nous le faisons vivre, nous y habitons, nous en fréquentons les bars et les rues. Il s’agit bien d’attirer un autre type de population que celle qui fait aujourd’hui l’identité du quartier. Une population qui veut du calme, de la culture policée, du typique, à deux pas du centre, mais sans grabuge. Qui est prête à/qui peut payer des loyer plus élevés pour loger dans ces quartiers.

Car sous le régime de l’économie capitaliste, une ville attirante c’est aussi une ville chère, appropriée par des personnes qui gagnent bien. Une ville pas pour nous quoi. Pas pour le commun des mortels, pas pour les brestois.es qui sont déjà là. D’ailleurs à coup de rénovation, de revalorisation symbolique des centre-ville, et de spéculation immobilière, on voit déjà les loyers augmenter très fort à Brest et Saint-Martin n’y échappe pas, bien au contraire.

Les élu.es, de gauche ou de droite, partout en france, dans toutes les villes, n’ont que l’attractivité à la bouche. Derrière ce language banalement technocratique, l’horizon pour tous ceux qui ne sont pas attrayant aux yeux de nos chers élus est assez clair. C’est un remplacement de population qui se fomente en plein jour dans les programmes électoraux et qui se fait à bas bruit année après année, au rythme des hausses de loyer, des plans d’urbanismes. Transformant les rues que nous habitons, vivons et faisons vivre en un bucolique décors sans histoire et intercheangable pour une population de cadres et de créatifs attirés par la dimension unique et florissante de la métropole océane...

Enfin, en cette fin d’année 2023, la question de la vidéo surveillance enfonce le clou en promettant de faire de la place guérin un espace où l’on se trouve toujours sous le regard de la police, c’est à dire un endroit tout à fait détestable où l’on ne doit en aucun cas dépasser des clous. Avant goût d’une ville panoptique où l’on est controlé en permanence et où chaque chose reste à sa place dans la marche triomphante de l’économie. A chaque espace et chaque temps son usage défini selon les impératifs du marché et les impératifs de l’image que la métropole veut donner d’elle même. Chaque quartier jouant sont triste rôle dans l’aménagement métropolitain du territoire.

Derrière les concurrences de façades, les débats sécuritaires qui opposent parfois la mairie et l’état au travers de la préfecture, la politique municipale et préfectorale tendent au même horizon urbain déprimant et hostile. Un horizon où nous n’avons plus notre place. Ils veulent une ville chiante et triste, à leur image. Les brestois.es se laisseront-t-ils faire ?

kraspek@diaspora-fr.org

KRASPEK -1
format A4 (portrait) – 32 pages – 4€ avec k7 (ou cd, mais bon…)
Entrer une description pour l'image ici

Dans ce zine, en interviews :

-Absence of colors (rock sombre, qui parvient à jouer en noir et blanc (!))

Gregoire (folk rock de rue de Quimper, devant l’intermarché de Brest, quoi?!)

Moutik (et Fred, la dessinatrice qui a mis en BD ses anecdotes de musicien de rues de Brest)

Sty de Stygmate (punk rock français, Paris – interview précédée d’une longue retrospective, pour les 30 ans du groupe!!!)

Témoignage d « Anonyme » sur sa web radio « Bruit des Meutes » (playlistes punk, à thèmes),
qui a eu la sympathie de nous faire un collage « Boucherie » (ici publié en poster A3)

Récit d’un concert punk / Crust / HxC qu’il y a eu dans la pampa, récemment, un lundi…

reportage sur les flippers (ou « billards électriques ») qui tournent dans le coin…

pas mal de chroniques, de CD, K7, DVD et BD
(et de votre zine, peut être)

sur la k7 (18 minutes) c’est… surprise !

Pour commander : tchinzine@gmail.com
(prévoir 4€ et des timbres)

Voilà !! #punk #fanzine #brest #bzh #rock #zine #zone #k7 #flipper #diy #kraspek

harryhaller@diasp.eu

I give my first impressions of him exactly as I entered them in my diary at the time: #trotsky #lenin #ussr #uk #germany #canada #halifax #lockhart #kerensky #ww1 #russianrevolution #brest #brest-litovsk #history ">

" February 15th, 1918. Had a two hours’ conversation with L.D.T. (Lev Davidovitch Trotsky).

He struck me as perfectly honest and sincere in his bitterness against the Germans.

He has a wonderfully quick mind and a rich, deep voice. With his broad chest, his huge forehead, surmounted by great masses of black, waving hair, his strong, fierce eyes, and his heavy protruding lips, he is the very incarnation of the revolutionary of the bourgeois caricatures.

He is neat about his dress. He wore a clean soft collar and his nails were carefully manicured.

I agree with Robins. If the Bosche bought Trotsky, he bought a lemon. His dignity has suffered an affront. He is full of belligerent fury against the Germans for the humiliation to which they have exposed him at Brest.

He strikes me as a man who would willingly die fighting for Russia provided there was a big enough audience to see him do it.”

Trotsky was angry with the Germans. At that moment he was not quite certain what the German reaction would be tohis famous declaration of “no peace and no war,” but he had a shrewd idea that it would be unpleasant.

Unfortunately, he was also full of bitterness against the English.

We had not handled Trotsky wisely.

At the time of the first revolution he was in exile in America.

He was then neither a Menshevik nor a Bolshevik.

He was what Lenin called a Trotskist — that is to say, an individualist and an
opportunist.

A revolutionary with the temperament of an artist and with undoubted physical courage, he had never been and never could be a good party man.

His conduct prior to the first revolution had incurred the severest condemnation by Lenin.
“Trotsky, as always,” wrote Lenin in 1915, “is, in principle, opposed to the Socialist Chauvinists, but in practice he is always in agreement with them.”

In the spring of 1917 Kerensky requested the British Government to facilitate Trotsky's return to Russia. Common sense seemed to indicate one of two courses: to refuse, on the grounds that Trotsky was a danger to the Allied cause; or to allow him to return unmolested.

As usual in our attitude towards Russia, we adopted disastrous half-measures. Trotsky was treated as a criminal. At Halifax, Nova Scotia, he was separated from his wife and children and interned in a prison camp at Amherst with German prisoners for four weeks.

His finger-prints were taken. Then, having roused his bitter hate, we allowed him to return to Russia.

I am giving Trotsky's own account of the incident. I learnt afterwards that it was substantially correct.

The outraged Trotsky came back to Russia, threw in his lot with the Bolsheviks, and relieved his injured feelings by writing a fiercely anti-British pamphlet entitled
“A Prisoner of the English.” Some trace of his resentment showed itself during our interview* I succeeded, however, in soothing him.

Memoirs Of A British Agent (1933)
by R. H. Bruce Lockhart

dunoir@diaspora-fr.org

#Photo #le #telegrame
Auguste, en larmes, devant la pelle mécanique qui, peu après 8 h, ce jeudi 27 juillet, a entamé la démolition de la ZAD urbaine de l’Avenir, dans le quartier de Saint-Martin, à Brest. (Le Télégramme/Arnaud Morvan)

#Brest #Zad #Maire #destruction #Lettre-Ouverte #Avenir ?

Lettre ouverte sur la destruction de l’Avenir

Publié le 20 septembre 2023

Une lettre envoyée à ceux qui ont orchestré la destruction de l’Avenir.

Monsieur le maire et président de Brest Métropole,

Je tenais à vous présenter toutes mes félicitations pour votre engagement au service de l’intérêt général et pour votre courage politique. Vous avez en effet fait preuve cet été d’une ouverture d’esprit rare en donnant satisfaction à toute la droite brestoise grâce à la destruction de la « ZAD » de l’Avenir, place Guérin. Merci de travailler main dans la main avec M. le préfet nommé par Emmanuel Macron, Mme Malgorn et M. Larsonneur, donc. .... lire la suite sur le site ;)

vincezd@pod.geraspora.de

#retraites #manifestation

Un peu tard mais…

Où est le rassemblement et à quelle heure ?

Comme lors des manifestations des 19 et 31 janvier, les manifestations du 7 février auront lieu dans toute la France. L'UNSA met à disposition une carte interactive des différents points de ralliements à venir ce mardi 7 février, une autre carte a été élaborée par la CFDT:

#​​​​​​Paris : Manifestation à 14h30 Place de l'Opéra
#Tours : Manifestation à 10h Place de la Liberté
#Toulouse : Manifestation à 10h au métro Saint-Cyprien
#Caen : Manifestation à 10h30 Place St Pierre
#Marseille : Manifestation à 10h30 au Vieux-Port
#Nantes : Manifestation à 10h30 au Miroir d'eau
#Pau : Manifestation à 10h30 Place de Verdun
#Rennes : Manifestation à 11h Place de Bretagne
#Montpellier : Manifestation à 11h Place de Zeus
#Lyon : Manifestation à 12h devant la Manufacture des Tabacs
#Bordeaux : Manifestation à 12h Place de la Bourse
#Nancy : Manifestation à 14h Place Carnot
#Strasbourg : Manifestation à 14h Avenue de la Liberté
#Metz : Manifestation à 14h devant l'Arsenal de Metz (barbecue à 12h30)
#Lille : Manifestation à 14h30 Porte de Paris
#Brest : Manifestation à 10h30 Place de la Liberté
#LaRochelle : Manifestation à 14h30 sur le parvis de la gare

https://www.linternaute.com/actualite/societe/2737711-manifestations-du-7-fevrier-ou-auront-lieu-les-rassemblements-villes-par-villes/

aussi vu sur https://www.snes.edu/article/7-fevrier-la-carte-des-mobilisations/

anar65@diaspora-fr.org

#Brest #Rencontre #débat #livre #lecture #Acceptation #Soumission #Conformisme

Rencontre - débat :« L’impuissance du peuple »

Rencontre - débat en présence de l’auteur #Guirec-Le-Meur à l’occasion de la sortie de son livre « L’impuissance du peuple ». Rendez vous le 09 Février à 19h30 à l’Amphi 1 de la faculté Segalen

#Inégalités de #richesses indécentes, #politiciens #hors-sols, #lois-liberticides, #médias de masse abrutissants.

Que faire ? S’engager, manifester, faire sa part ?

Le propre du ’’système de #domination’’ est de perdurer, de s’adapter à toutes les crises, de rendre vaines les #luttes citoyennes.
Ce système est en nous-mêmes, nous l’avons accepté, intériorisé dans notre quotidien...

En savoir plus : www.limpuissancedupeuple.fr

##GuirecLeMeur

deutschewelle@squeet.me

Russen fliehen vor der Teilmobilmachung auch nach Belarus | DW | 04.10.2022

Obwohl das Belarus als Komplize des Kremls im Krieg gegen die Ukraine gilt, fliehen Russen auch dorthin, um der Teilmobilisierung zu entkommen. Wie kommen sie dort zurecht? Die DW hat mit Betroffenen vor Ort gesprochen.#RusslandsKrieggegendieUkraine #KrieginderUkraine #FluchtnachBelarus #MobilmachunginRussland #FluchtvonderMobilmachung #Minsk #Brest #russischeMännerfliehen
Russen fliehen vor der Teilmobilmachung auch nach Belarus | DW | 04.10.2022

deutschewelle@squeet.me

"Der Krieg ist definitiv nicht mein Ding" | DW | 04.10.2022

Russen fliehen vor der Teilmobilmachung auch nach Belarus - obwohl das Land als Komplize des Kremls im Krieg gegen die Ukraine gilt. Wie kommen sie dort zurecht? Die DW hat mit Betroffenen vor Ort gesprochen.#RusslandsKrieggegendieUkraine #KrieginderUkraine #FluchtnachBelarus #MobilmachunginRussland #FluchtvonderMobilmachung #Minsk #Brest #russischeMännerfliehen
"Der Krieg ist definitiv nicht mein Ding" | DW | 04.10.2022

fennec@diaspora.psyco.fr

NUNTA

Il y a les lutheries détournées, augmentées, préparées. Il y a les lutheries inventées. Et il y a l’instrumentarium de Géométrie, dont ce tapophone, hybridation d’une Remington et d’un ensemble de contrebasses. L’instrument est un de ceux utilisés par ce duo, dont les récits renverraient Jules Verne 30.000 lieues sous les mers. Géométries enchevêtre musique électro-acoustique et mélodies traditionnelles pour dérouter l’oreille, patiemment, savamment.

#Géométries en passage à #Brest , au centre d'art Passerelle, le 17 novembre 2022
#festivalinvisible #musique

kraspek@diaspora-fr.org

En #distro , rentré quelques #fanzines #punk
( #fanzine BRA, #zine La Bête G, réassort Du Pain Du Vin Du Bourrin... etc)
et des #disques de #surf en #vinyle #33t #LP sortis par les Productions De l'Impossible
(Arno de Cea, The Irradiates, Demon Vendetta, The Chemist & The Acivities, L'appel de la surf vol.1)
https://productionsimpossiblerecords.bandcamp.com/track/demon-vendetta-what-waits-below

Ce sera possible de nous les toper en mains propres
à lafoire aux puces de #Plougastel (proche #Brest)
le 21 aout au port du Tinduff !