#nupes

bliter@diaspora-fr.org

#Mélenchon ou #Bardella Premier #Ministre ? | #IdrissAberkane reçoit #FlorianPhilippot

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#Macron a plongé la #France en 1936. En jetant, comme il s'en est vanté récemment une "grenade dégoupillée" dans les pattes de son #opposition il est parvenu à ressusciter à lui seul la #NUPES sous le nom désormais de "Nouveau Front Populaire", tout en atomisant Les #Républicains et, sublime du sublime, en y adjoignant spontanément #Glucksmann et #Hollande.

Les #Macronistes eux sont un peu moins enthousiastes, de Braun-Pivet qui ânonne à qui veut l'entendre que sa majorité fut celle (sic) de la responsabilité budgétaire, à #Attal qui malgré un parachutage en grande douceur dans une circonscription gagnée d'avance digère mal d'avoir été écarté de Matignon dont les mauvaises langues disent déjà qu'il n'y était jamais réellement entré.

"Plutôt Hitler que le Front Populaire", le #slogan revient donc à la mode alors que l'impétueux Bardella, dont la formation se résume à un assidu Bac+ Call of Duty, pourrait bien occuper la rue de Varenne dans quelques semaines.

Nous faisons le point avec Florian #Philippot, Président des Patriotes, qui au delà de ses grandes compétences en #analyse politique se trouve avoir décisivement contribué à "faire" Bardella et décryptera pour nous sa #stratégie #électorale dans la guerre des blocs qui s'annonce.

https://www.youtube.com/watch?v=0jTWRmhXzqU
https://invidious.fdn.fr/watch?v=0jTWRmhXzqU
#Dissolution #Bardella #Politique #Legislatives #RassemblementNational #NouveauFrontPopulaire #FlorianPhilippot #IdrissAberkane

alaincognito@diaspora-fr.org

Législatives 2024

Je ne sais plus trop quoi penser, à part le fait qu' honneur, conviction, honte, et honnêteté sont des termes qu'à priori nos politiques ne connaissent pas.
Le père du macronisme , Hollande, est candidat sur une liste "Nouveau Front Populaire",
Un des ministres du macronisme triomphant : Aurélien Rousseau est aussi adoubé par le "Nouveau Front Populaire",
Il ne manque plus que Valls, Attal, et Dussopt pour que la boucle soit bouclée.

Là, je ne me questionne que sur ma "famille" politique. Mais vu les transactions et les compromis, est ce encore ma "famille"?

Suis pas prêt de remettre les pieds dans un bureau de vote...
#elections #legislatives #nupes #ps #lfi #gauche #melenchon #hollande #NFP #FP #france #politique #societe

dunoir@diaspora-fr.org

#Antifascisme, #Élections, #ExtrêmeDroite, #Gouvernement

Macron dissout l’Assemblée : l’extrême droite au pouvoir dans un mois ?

L’histoire s’accélère : le manager de l’Élysée veut donner les clefs de Matignon aux néofascistes

Macron vient d’annoncer la dissolution de l’Assemblée, avec des élections anticipées dans deux semaines seulement, et un premier tour fixé le 30 juin. Il se pourrait que l’extrême droite arrive au pouvoir en France avant même les Jeux Olympiques. On vous explique pourquoi Macron est un fou dangereux

Une dissolution c’est quoi ?
En cas de crise politique, lorsque le Président ne dispose plus de la majorité ou d’une légitimité suffisante, il peut choisir de dissoudre l’Assemblée Nationale. Des élections législatives sont organisées en urgence, pour élire une nouvelle Assemblée et permettre au Président d’avoir une majorité plus solide.

C’est une arme à double tranchant : si le parti au pouvoir n’obtient toujours pas de majorité, alors le parti qui arrive en tête entre au gouvernement : le Premier Ministre change et nomme son propre gouvernement. Le président n’a alors plus aucun pouvoir, puisque le Premier Ministre n’est pas de son bord politique.

La dernière dissolution a eu lieu en 1997. À l’époque, Jacques Chirac voulait obtenir une plus grande majorité, mais il avait surestimé ses forces. Minoritaire dans les urnes, la droite avait perdu et le Parti Socialiste était arrivé en tête. C’est donc la gauche de Lionel Jospin qui a gouverné jusqu’en 2002, alors que le président était de droite. C’est ce qu’on appelle une «cohabitation» : le Président n’est pas du même parti que le Premier Ministre.

L’extrême droite au pouvoir ?
Sauf que nous ne sommes plus en 1997, et ce ne sont pas les deux grands partis de centre gauche et de centre droit qui sont en tête des sondages. Nous sommes en 2024, le régime est en crise et l’extrême droite vient de réaliser près de 40% des voix aux Européennes, elle est arrivée au second tour aux dernières présidentielles. Elle est aux portes du pouvoir.

Clairement, dissoudre maintenant, c’est quasiment donner les clefs de Matignon à l’extrême droite. Nous aurons peut-être une coalition #Bardella, Le Pen, Zemmour au gouvernement dès cet été. Macron est en train d’offrir le gouvernement sur un plateau aux #fascistes.

Le président pense depuis longtemps à dissoudre le Parlement. Dès 2022, les médias évoquaient cette possibilité, alors que Macron avait raté les législatives et ne disposait pas d’une vraie majorité. Ce qui l’a conduit à dégainer le 49.3 systématiquement, pour se passer du vote des députés.

En mars 2023 à nouveau, en plein mouvement social contre la réforme des retraites, Macron évoquait une possible dissolution. Mais à l’époque, la gauche était en force et la France Insoumise aurait probablement raflé plus de sièges qu’elle n’en avait, ce qui n’arrangeait pas les macronistes.

Apparemment, Macron trouve que c’est le bon moment.

Stratégie mortifère
Un an plus tard, la situation est très différente. Le RN triomphe grâce aux médias, la France Insoumise est traînée dans la boue comme jamais et subit des diffamations en flux continu. Elle sort affaiblie des Européennes. Le RN réclamait d’ailleurs une dissolution en cas de victoire aux Européennes. Macron exauce ses vœux, il cède aux désirs de l’extrême droite au moment où elle est en position de force.

Et cette fois-ci, puisque le PS est sorti de son tombeau grâce à la surmédiatisation de Glucksmann, il va être beaucoup plus difficile d’imaginer une #NUPES, une coalition de gauche capable d’être majoritaire. #Glucksmann n’a été créé que pour neutraliser la gauche.

Il est donc probable que le RN soit à la tête du gouvernement dans quelques semaines. Moins probable mais possible : Macron crée une coalition de droite avec Sarkozy, Estrosi et leurs amis pour tenter d’avoir une majorité, ce qui est à peine moins pire.

Que faire ?
La marche vers le #néofascisme est là. Nous l’avons vu avec la #répression implacable de toute contestation, l’usage de l’antiterrorisme contre l’écologie ou le soutien à la Palestine, le contrôle total des #médiasèdominants, l’effondrement des libertés, les pleins pouvoirs à la police.

Dans deux semaines, ce processus va sans doute empirer, sauf si la gauche parvient à déjouer le piège mortifère qui lui est tendu. L’histoire s’accélère. Sortons de toute urgence de l’entre-soi militant, occupons les places, développons nos médias, nos canaux de résistances, nos locaux.

Faisons feu de tout bois.

magdoz@diaspora.psyco.fr

Ce #député balance tout sur les #écoles privées ! - Paul Vannier
https://piped.adminforge.de/watch?v=SfFRcFR0Cd8 ou https://invidious.12a.app/watch?v=SfFRcFR0Cd8

❤️❤️ Clause de défense du logiciel libre : Expert ou novice, le logiciel libre a besoin d'une chose : qu'on le fasse vivre ‼️ Donc n'hésite pas à donner la priorité à Peertube au lieu de Youtube, quand c'est possible, n'hésite pas à privilégier une info diffusée par un site avec peu ou pas de traqueur, plutôt qu'un site capitaliste putaclic, bref, mets en avant ce qui fait notre force ici sur Diaspora, le logiciel libre et décentralisé. Et ne t'inquiète pas, les GAFAM et autres twitter/X ne disparaîtront pas, laisse aux autres les mauvaises habitudes. Cela dit avec bienveillance pour nous tous, car trop de youtube et hop, le jour où ton message dérange, couic, censure : veille à préserver, pour notre bien, le logiciel libre, en le faisant vivre. ❤️❤️ Cela dit sans diffamation, harcèlement de messages répétés partout, bref, un message tout innocent 😜 ‼️ Mots clés : Recherche Peertube - Framalibre - Clients youtube - LibRedirect - Protéger sa navigation sous Firefox - Fediverse -

🔴⚡️ Dérives, laxisme, détournement de fonds, l' #enseignement #privé est au bord d'une crise majeure !
Il est urgent de revoir leur système de financement.
On fait le bilan avec Paul Vannier qui nous présente les révélations de son rapport de mission d'information !

Pressions sur les élus, opacité, conflits d'intérêts : le rapport qui dénonce le financement de l’école privée
https://www.humanite.fr/societe/assemblee-nationale/pressions-sur-les-elus-opacite-conflits-dinterets-le-rapport-qui-denonce-le-financement-de-lecole-privee

Opacité, non-respect d’obligations légales, manquements aux valeurs républicaines : le travail des députés de la mission d’information sur le financement du privé sous contrat est accablant. Pointant autant les dérives des établissements que le manque de contrôle par l’État, il avance la nécessité d’une reprise en main.

Article Public Sénat

#Politique #France #LFI #NUPES #Éducation #École #Collège #Stanislas #CollègeStanislas #Ségrégation #ServicePublic

vincezd@pod.geraspora.de

#bonnenouvelle #EDF #privatision #electricite #servicepublic #PS #NUPES #LFI

Loi contre le « démembrement » d’EDF : la gauche met un pied dans la porte

Lors de la niche parlementaire du Parti socialiste, l’Assemblée nationale a adopté à l’unanimité la proposition de loi pour « protéger le groupe EDF d’un démembrement ». Le texte a fait l’objet d’un compromis avec le gouvernement, mais constitue une première victoire symbolique.

Le Parti socialiste (PS), dans le cadre de sa niche parlementaire (où il décide de l’ordre du jour une fois par an, comme ce jeudi), avait alors fait adopter pour la première fois [il y a un an], contre l’avis du gouvernement, cette proposition de loi comprenant un bouclier tarifaire censé profiter aux petites entreprises « afin de faire face à la hausse des prix de l’énergie ».

Depuis, le texte a navigué plusieurs fois entre l’Assemblée nationale et le Sénat et a obtenu à chaque fois la majorité des voix, contraignant le gouvernement à « plier le genou devant le Parlement », selon la formule du député socialiste Philippe Brun. Mais si le texte a été adopté dans une démarche constructive entre tous les groupes, c’est que les socialistes ont accédé aux compromis proposés par le gouvernement, qui menaçait de saisir le Conseil constitutionnel pour faire tomber des amendements (il n’est ainsi plus question d’actionnariat salarié dans le texte).

La privatisation d’EDF rendue impossible

Ce n’est donc plus une proposition de loi aussi ambitieuse qu’au départ qui a été votée. « Personne n’a souhaité nourrir l’illusion que c’était un texte révolutionnaire pour construire un véritable pôle public de l’énergie. Cette grande loi de nationalisation actualisée devra être à l’ordre du jour quand nous serons aux responsabilités », a souligné le communiste Sébastien Jumel, corapporteur du texte, en conclusion des débats.

Le texte comprend principalement une mesure d’extension des tarifs réglementés de vente d’électricité (TRVE) qui bénéficiera aux entreprises de moins de dix salarié·es (2,5 millions d’entreprises) et aux petites collectivités territoriales (10 000 communes). Les agriculteurs et agricultrices ainsi que les boulangers et boulangères qui, jusqu’à présent, ne pouvaient pas en bénéficier en raison de la puissance consommée, vont donc désormais en bénéficier. La droite sénatoriale a toutefois détricoté le texte en excluant notamment de cette extension les bailleurs sociaux.

En outre, le texte inscrit l’incessibilité du capital d’EDF dans la loi, obligeant à l’avenir toute décision en la matière à être soumise au Parlement. La gauche y tenait particulièrement, s’étant battue contre le projet Hercule qui visait à démanteler l’électricien public et à vendre les parties les plus rentables, notamment Enedis. « La privatisation d’EDF est désormais impossible », explique Philippe Brun.

Si, à plusieurs reprises, les député·es des groupes de gauche se sont félicité·es d’avoir « gagné une bataille politique », c’est qu’en un peu plus d’un an, la majorité présidentielle s’est rangée à la nécessité d’une régulation du marché de l’électricité. « Nous nous réjouissons que le gouvernement ait finalement trouvé de l’intérêt à notre proposition. Il y a un an, il combattait les tarifs réglementés : c’était la ruine, c’était démagogique, c’était contraire au droit européen. Ils y sont désormais favorables »,

[…]

Le dilemne du marché européen

Néanmoins, comme le souligne un communiqué du groupe LFI, si cette proposition de loi, que le gouvernement s’est engagé à faire adopter par le Sénat le 3 avril, met un coup d’arrêt à la libéralisation, « la gauche n’a pas gagné la guerre des prix de l’électricité » pour autant. Sans réforme du marché européen de l’électricité, elle n’est qu’un premier pas. « La réforme européenne va dans le très mauvais sens : elle n’a pas touché à l’indexation sur les cours du gaz du prix de l’électricité, et en 2025, la Commission européenne est même censée demander la fin de tout tarif réglementé pour les ménages et les TPE », prévient la députée LFI Alma Dufour.

Le député socialiste Philippe Brun, qui se dit « favorable à sortir du marché européen de l’électricité », convient bien d’une « loi plus défensive qu’offensive », donc, mais qui permet d’ouvrir un front. Avec le passage de cette proposition de loi, la gauche met un pied dans la porte, ce qui laisse présager d’un débat parlementaire autrement plus houleux lors de la réforme à venir de la loi Nome sur le marché de l’électricité.

https://www.mediapart.fr/journal/politique/290224/loi-contre-le-demembrement-d-edf-la-gauche-met-un-pied-dans-la-porte

#mediapart

magdoz@diaspora.psyco.fr

Jean-Luc #Mélenchon @JLMelenchon Nov 30
https://nitter.unixfox.eu/JLMelenchon/status/1730323462395208069#m

La #droite, l’ #extrême-droite et les #macronistes ont besoin d’un ennemi commun pour s’allier.
Si leur souci était vraiment le Proche-Orient ou l’antisémitisme, ils auraient cherché à convaincre. Pas à menacer, insulter.
Ils sont d’accord pour dire : tout sauf les #Insoumis.

#Simple comme bonjour. #LFI

Et la #NUPES c'est fini. #PS #EELV
Maintenant, on va pouvoir appeler un chat un chat.

hruotland@diasp.org

Un nouveau parti antisémite ?

Alors que mélenchon s'enfonce toujours plus dans l'antisémitisme , par clientélisme ou conviction personnelle (?), et qu'il est de plus en plus critiqué dans son propre camp, se victimisant et rétorquant qu'on cherche à tuer le père , on peut observer chez ses militants, une convergence des idées antisémites des soraliens. Chez E&R et meme à rivarol, on encense JLM en chevalier blanc ... Classique retour d'un antisémitisme tradi à gauche, se cachant derrière l'antisionisme, l'anti-impérialisme, ou on met en doute les evenements, relativisant sans cesse les morts juives, comparant les terroristes du hamas à des résistants, assimilant les israeliens aux nazis ... focalisant sur des politiciens parce que juifs, voir se félicitant de les grimés en nazis. Si mélenchon se cherche des camarades, qu'il se tourne naturellement vers soral et sa bande, au moins les choses seront claires, entres vieux marxistes séniles.

« Le ventre est encore fécond d'où a surgi la bête immonde. »

Voir aussi :
* Arno Klarsfeld chez Livre Noir
* LFI et la complaisance envers l’antisémitisme : la preuve par 5, par Anne Rosencher

#nupes #lfi #soral #mélenchon #antisémitisme #raclures