#gafa

bliter@diaspora-fr.org

Les #GAFA, le #nouveau #LĂ©viathan ! - Le Zoom - #RobertRedeker - TVL

Le LĂ©viathan, dans la Bible, est un monstre marin. Au XVIIĂšme siĂšcle, le philosophe Thomas Hobbes a thĂ©orisĂ© un LĂ©viathan, monstre mĂ©taphore de la #RĂ©publique ou de l' #État. Robert Redeker, avec toute la force de sa pensĂ©e, dessine un nouveau LĂ©viathan : les GAFA ( #Google, #Apple, #Facebook, #Amazon), les nouveaux maĂźtres du monde se placent au-dessus des #États. Ils se veulent dorĂ©navant la vraie #souverainetĂ© ! Et peuvent censurer sous de vĂ©ritables motifs l'ancien #prĂ©sident de la premiĂšre #puissance #mondiale : Donald Trump. Pour le #philosophe, l'affaire va plus loin. Les #RĂ©seauxSociaux suppriment l'intĂ©rioritĂ© de chaque #humain. C'est la fin de l'ĂȘtre humain comme ĂȘtre #privĂ©. Dans "RĂ©seaux sociaux : la guerre des LĂ©viathans", Robert Redeker Ă©voque aussi les moyens d'Ă©viter "l'abolition de l'homme", les moyens de la #renaissance qui porte un nom : l'Ăąme. L'Ăąme et la #culture, remparts Ă  l' #univers #numĂ©rique qui impose son ordre de vie.

https://www.youtube.com/watch?v=3l9wXWyaXZk
#gafam #censure

bliter@diaspora-fr.org

#Internet : Vers la fin de l'âge d'or ?

La Timeline 👉
00:00 Introduction : Les dĂ©buts d’Internet
02:37 Le #monopole des #réseaux #sociaux et la collecte de vos #informations.
05:15 Montée en puissance de la #censure : #Twitter vs #Parler
17:11 La liste de #distribution, le seul moyen d’avoir une vraie audience.
20:58 #Cancel #Culture et #mouvement “ #Woke” : Le cas J.K Rowling
25:16 La rĂ©Ă©criture de l’ #histoire
30:35 Le cas Justine Sacco
39:16 La #bien-pensance se substitue-t-elle Ă  la #loi ?
43:28 #CrĂ©dit #Social : vers un #monde Ă  l’image d’ #Instagram.
47:24 #Google : le #scénario #Skynet se précise.

https://www.youtube.com/watch?v=JDdyiVRyxHo
#cancelculture #réseauxsociaux #créditsocial #GAFA #GAFAM #WEB #NET #NeutralitéDuNet #Facebook

legeneralmidi@diaspora.psyco.fr

Comment les #GAFA engrangent des millions de subventions avec leurs datacenters

Certains projets représentent un coût de 3 millions de dollars par emploi créé.
Repéré par #CélineDeluzarche sur Forbes

Non contents d'ĂȘtre des champions de l'Ă©vasion fiscale, les gĂ©ants de la tech sont aussi particuliĂšrement douĂ©s pour siphonner des subventions publiques.

Aux États-Unis, les gouvernements locaux accordent chaque annĂ©e des millions de dollars d'allĂšgements fiscaux pour persuader les centres de donnĂ©es de s'implanter sur leur territoire. Mais ces accords sont entachĂ©s d'une curieuse opacitĂ© et s'avĂšrent surtout extraordinairement coĂ»teux, rĂ©vĂšle une enquĂȘte du magazine #Forbes.

La plupart du temps, #Google et consorts se cachent derriÚre des sociétés fictives pour réclamer des #allÚgementsfiscaux. Selon eux, l'anonymat permet de préserver le secret commercial et les protÚgent de «risques potentiels de sécurité». Mais cet anonymat a aussi pour but de retarder l'opposition des habitants préoccupés par l'impact environnemental colossal de ces centres de données trÚs gourmands en eau et en énergie. Ils consomment déjà 1,15% de l'électricité mondiale, et leur #consommation devrait encore croßtre de 20% d'ici 2030.

Aussi, accorder ouvertement des incitations fiscales Ă  ces entreprises richissimes peut faire mauvais genre. Les sociĂ©tĂ©s cherchent Ă  se faire le plus discrĂštes possible. #Amazon va mĂȘme jusqu'Ă  faire porter des badges avec un faux nom d'entreprise Ă  ses employĂ©s sur un site de Virginie, selon un document dĂ©voilĂ© par #Wikileaks en 2018. Sur d'autres sites, elle utilise des filiales ou des contrats de location avec des sociĂ©tĂ©s sous-traitantes afin de masquer son identitĂ©.

811 millions depuis 2015
Outre le manque de transparence, les contrats passés entre les sociétés tech et les municipalités s'avÚrent surtout complÚtement disproportionnés. Forbes cite le cas d'un #datacenter implanté à Columbus, dans l'Ohio, qui devrait employer à terme vingt personnes et qui a bénéficié d'un allÚgement fiscal de 54 millions de dollars. Soit
 2,7 millions de dollars par emploi créé!

En se penchant sur trente projets de datacenters aux États-Unis et en menant des dizaines d'entretiens, Forbes a calculĂ© que 811 millions de dollars d'allĂ©gements fiscaux ont Ă©tĂ© accordĂ©s depuis 2015, avec, en moyenne, un coĂ»t d'un million de dollars par emploi crĂ©Ă©.

Par comparaison, les constructeurs automobiles reçoivent généralement environ 100.000 dollars de réduction d'impÎts par emploi. Certains projets sont encore plus coûteux. En 2018, #Facebook, caché derriÚre le nom Stadion LLC, a négocié une ristourne de 150 millions de dollars pour un centre à Eagle Mountain (Utah) avec cinquante emplois à la clé, soit 3 millions de dollars par emploi.

Profitant de ces gĂ©nĂ©reuses subventions et de l'essor exponentiel du #cloud, les datacenters poussent comme des champignons aux États-Unis. GrĂące Ă  ses plus de 2.700 centres, le pays dispose ainsi d'un avantage stratĂ©gique sur ses concurrents, comme la Chine, qui en dispose de six fois moins

#fiscalité #gafam

magdoz@diaspora.psyco.fr

Souriez (dans vot' #piscine), vous ĂȘtes photographiĂ©s !
Le #fisc #français va utiliser un #algorithme de #Google pour repérer les #piscines non déclarées
https://francais.rt.com/france/89510-fisc-francais-va-utiliser-algorithme-google-pour-reperer-piscines-non-declarees

La Direction générale des finances publiques va employer des outils numériques de l'entreprise américaine afin de contrÎler à partir de prises de vues aériennes si les piscines et bùtis ont été correctement déclarés par leurs #propriétaires.

En 2019, Bercy avait déjà fait appel aux services de la société privée de conseil informatique Accenture pour débusquer les erreurs de déclarations de cadastre, comme le rappelle Le Parisien. En quelques semaines, le logiciel avait permis de débusquer environ 3 000 piscines non imposées rien que dans le département des Alpes-Maritimes.

#GAFA #GAFAM #France #ImpĂŽts

legeneralmidi@diaspora.psyco.fr

https://www.franceculture.fr/emissions/le-journal-de-leco/le-journal-de-leco-du-jeudi-17-juin-2021

L'impĂŽt mondial sur les multinationales est-il un leurre ?

#Journaldeléco #XavierMartinet

Deux semaines aprĂšs l’annonce par le #G7 d’un impĂŽt mondial sur les sociĂ©tĂ©s, l’enthousiasme fait place aux questions. Certains le juge trop peu ambitieux, voire nuisible : la rĂ©volution fiscale n’est-elle qu’un leurre ?

L’accord a donnĂ© lieu Ă  des congratulations dignes de la COP21 de la part des Ministres des #Finances du G7 : « engagement sans prĂ©cĂ©dent » pour Janet Yellen, « historique », selon Bruno Le Maire ; car cet #impĂŽt mondial de 15 % sur les sociĂ©tĂ©s – la principale mesure – est censĂ© mettre fin au dumping fiscal gĂ©nĂ©ralisĂ© et Ă  l’évitement de l’impĂŽt des #GAFA et multinationale : rĂ©tablir un dĂ©but d’équitĂ© fiscale coordonnĂ©e dans le nouveau monde qui existe dĂ©jĂ  depuis 40 ans. 

Beaucoup sont sensible au symbole multilatĂ©ral : Finie l’époque du « reagano-thatchĂ©risme » et de la concurrence entre Etats aux budgets de plus en plus rachitiques : place Ă  la coopĂ©ration, prĂ©dit Eric le Boucher des Echos, pour qui l'accord porte un coup d’arrĂȘt Ă  la « rĂ©volution libĂ©rale » du « moins-disant fiscal » dĂ©butĂ©e dans les annĂ©es 80. 

D’autres comme l’économiste Henri Sterdyniak sur France Info saluent le nouvel outil qui permet de « lancer le mĂ©nage contre les paradis fiscaux » auxquels il faut « tordre le bras » : tremblez, « pays qui organisent l’évasion fiscale », et « dĂ©pendances » du Royaume-Uni.

Du principe à la pratique : un accord de faible portée ?

Le diable est dans les dĂ©tails et il n’y a pas Ă  s’approcher beaucoup pour voir le premier : l’accord du G7 n’est pas juridiquement contraignant, rien ne dit qu’il soit acceptĂ© au #G20 en juillet, encore moins Ă  l’ #OCDE ou l’ #UE oĂč il faut l’unanimitĂ© des 27. 

DeuxiĂšmement le taux de 15 % prĂ©sentĂ© comme un succĂšs de compromis pose question : insuffisant pour soulager les #dĂ©ficits budgĂ©taires des Etats, explique notamment l’économiste Gabriel Zucman qui dirige l’Observatoire europĂ©en de la #fiscalité : pour la France, il ne rapporterait que 4 milliards d'euros par an, contre 26 milliards d'euros si le taux Ă©tait de 25 % ; et insuffisant aussi parce que ce seuil exclut en pratique la plupart des pays EuropĂ©ens et de l’OCDE, Ă  l’exception de l’ #Irlande insiste l’inspecteur des finances Bastien Beauducel dans Les Echos : la mesure est « vidĂ©e pratiquement de son sens ».

Les Etats soupçonnés d'avoir joué l'accord à la baisse ?

Cette fois le diable est dans les esprits : car qu’il s’agisse de l’impĂŽt Ă  15 %, ou du « Pilier 1 », l'autre taxe Ă  redistribuer entre les membres du G7, elle Ă  20 % sur les bĂ©nĂ©fices des #multinationales qui font plus de 10 % de marge, les deux auraient Ă©tĂ© calibrĂ©s au plus bas : 

20 %, c’est juste en dessous de l’impĂŽt amĂ©ricain, remarque dans #lesEchos l’avocat fiscaliste Dominique Villemot qui soupçonne un « double jeu » de Washington ; quand dans Le Monde, Eva Joly et l’eurodĂ©putĂ© EELV Damien CarĂȘme dĂ©noncent le « double discours » de la France qui proposait une taxe Ă  12,5 %, plus basse encore que celle obtenue. Autrement dit : Paris accorde aux amĂ©ricains le "Pilier 2", les amĂ©ricains le "Pilier 1" Ă  la France, et tout le monde peut dire qu’il dĂ©fend la fiscalitĂ© et protĂšge ses entreprises. 

Ce faisant Ă©crit Thomas #Piketty dans #LeMonde, l’accord « officialise un monde oĂč les oligarques paient structurellement moins d’impĂŽts que le reste de la population. »

Des entreprises touchées, mais un impÎt contre-productif ?

Concernant le Pilier 1 – l’impĂŽt sur les multinationales Ă  plus de 10 % de marge, si tout le monde remarque qu’ #Amazon y Ă©chappe, #Facebook, Alphabet ou #Google entrent bien dans les critĂšres prĂ©cise Isabelle Couet des Echos ; mais aussi #LVMH, Air Liquide : au total une dizaine de multinationales françaises. 

Mais cette fois le diable est dans les consĂ©quences car cet impĂŽt risque aussi d’avoir des effets pervers : « dĂ©grader la situation fiscale » des #entreprises europĂ©ennes, alertent trois fiscalistes dans Le Monde, entraĂźner une sĂ©rie de contre-mesures de contournement voire de rĂ©torsion dans les « pays victimes » comme l’Irlande, affirme le professeur Thierry Aymar de l’UniversitĂ© de Lorrraine dans Les Echos. 

L' #Ă©conomiste CĂ©line AzĂ©mar met elle en garde contre « l’ #effetMatthieu », terme de sociologie tirĂ© de l’évangile de Saint-Matthieu et dĂ©signant un processus qui favorise les plus dominants. C’est le risque dĂ©sormais pour les 80 % des pays en dĂ©veloppement qui pratiquent des exemptions d’impĂŽt sur plus de 10 ans pour les entreprises qui s’installent, prĂ©vient #CĂ©lineAzĂ©mar : concrĂštement celui de pousser les entreprises Ă  favoriser les grands marchĂ©s ex-BRICS (BrĂ©sil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) au dĂ©triment des autres.  

Sauver ou dépasser l'accord du G7 ?

Cerrtains #Ă©conomistes plaident pour l’amĂ©liorer ou le dĂ©passer : autoriser une « discrimination positive » pour les petits PED propose CĂ©line AzĂ©mar, en profiter pour imposer la transparence fiscale des entreprises, quitte Ă  la judiciariser et crĂ©er une agence fiscale internationale similaire Ă  l’Agence Internationale de l'Energie, imagine Patrick d’HumiĂšres de Sciences Po ; voire, avance #ThomasPiketty, pousser l’innovation fiscale jusqu’à Ă©tablir par les mĂȘmes voies un #impĂŽtmondial sur la #fortune.  

#FranceCulture #France-Culture #podcast #baladodiffusion #Ă©conomie #finance #EntendezVousLĂ©co

bliter@diaspora-fr.org

Le #problĂšme avec les #GAFAM | IDRISS ABERKANE

#Google, #Apple, #Facebook, #Amazon, #Microsoft tout le #monde aujourd'hui connaßt ces #entreprises dont nous utilisons tous les #services au quotidien. Mais que se cache-t-il derriÚre ? Devons nous nous méfier ? L' #Europe pourra-t-elle un jour refaire son retard ? C'est ce que je vous propose de découvrir dans cette nouvelle #vidéo en compagnie d'un expert du sujet, mon ami #JérÎmeBondu.

https://www.youtube.com/watch?v=fMZzNKqDIbM
#gafa #conférence #IdrissAberkane

Le problĂšme avec les GAFAM | IDRISS ABERKANE
gfabre@diaspora-fr.org