miam miam
Tu veux pas te le faire injecter ? Ils vont te le faire bouffer avec les insectes. Pour ton bien, bien sûr. Faut vraiment être un stupide comploplo pour pas comprendre!
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miam miam
Tu veux pas te le faire injecter ? Ils vont te le faire bouffer avec les insectes. Pour ton bien, bien sûr. Faut vraiment être un stupide comploplo pour pas comprendre!
Merci à l' #UnionEuropéenne de nous apporter cette solution. Manger du grillon est devenu possible, recommandé voir même obligatoire puisque les #autorisations de mise sur le #marché sont validées depuis fin janvier 2023 alors que les #études sont en cours pour certifier que la #consommation d' #insectes est sans risque sur la #population.
Rassurez vous, la présence d'insectes sera mentionnée parmi la liste des #ingrédients. Non je plaisante, tu fais confiance aux #industriels, tu fais confiance à l' #UE... C'est comme pour les vaccins, laisse les autres pensez à ta place, toi tu prends ce qu'on te donne... Bon ap !Bien sur j'exagère(pas tant que ça...) puisque la #réglementation impose de mentionner la présence de matière grasse réalisée à base de grillons dans les ingrédients. Ce que je souhaite mettre en avant ici c'est l'absurdité d'un système. Dans un premier temps d'autorisé sur le marché des produits dont on ne connaît pas le potentiel danger pour la santé. D'autre part, ce sont des solutions pour continuer à produire de la merde industrielle qui vient du bout du monde(Une seule usine au monde bénéficie des autorisations pour commercialiser sa poudre de grillons et elle est située au Vietnam. Pour le grillons bio et local qui fait vivre les petites entreprises locales il faudra repasser plus tard) Et enfin, je trouve que le discours médiatique qui tourne autour de ce sujet, nous invite encore une fois à voir ce phénomène comme quelque chose de nouveau, de bon, de bien pour nous, pour la planète etc... Non, c'est encore un sujet à la con, qui favorise les industriels et qui ne change rien à ton quotidien de merde !
https://www.youtube.com/watch?v=sxceM02m2so
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Dans le cas de la philanthropie, l’entreprise donatrice cherche en bien des cas à corriger le préjudice qu’elle a éventuellement contribué à occasionner – directement ou indirectement. Il existe toutefois une différence de taille avec la taxation opérée par l’État : tandis que dans le cas classique de pollueur-payeur, le montant et la forme du préjudice relèvent du régulateur public, dans le cas du philanthrope c’est lui-même qui choisit les modalités de la réparation et son montant, et qui définit, en quelque sorte, la règle du jeu.
Le philanthrope apparaît in fine comme le sauveur et le bienfaiteur désintéressé réparant des dommages dont il entend faire valoir qu’ils ne sauraient lui être complètement imputés. C’est là une sorte de mise en abyme du don, où le donateur s’impose à lui-même ce qu’il reconnaît (ou non) comme un dommage ou un profit teinté d’une part d’illégitimité. Le méfait entraîne un don qui, d’une certaine manière, autorise la poursuite d’une activité éventuellement dommageable, et entraîne en retour une nouvelle action de « générosité ».
De ce fait, l’administration ou le politique renonce à veiller au bien commun et laisse cette mission à l’entreprise. Celle-ci apparaît comme un jour « pollueuse » et le lendemain « bienfaitrice » dans le domaine dans lequel elle a pu opérer des dégâts ou dans un autre. Cette délégation n’est pas nécessairement inefficace si le philanthrope est véritablement soucieux du bien commun, ce qui se produit dans la plupart des cas.
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...et c’est impressionnant.
Article de Mégane Bouron. Paru sur Positivr.
20 millions de milliards ! Voici le nombre approximatif de fourmis sur Terre. Mais en réalité, ces petits insectes si précieux dans la nature seraient bien plus nombreux à peupler notre planète. Lumière sur cette étude édifiante.
Selon une récente étude publiée dans The Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS), la revue officielle de l’Académie nationale des sciences des États-Unis, nos chères fourmis seraient 20 millions de milliards sur Terre, soit 12 millions de tonnes de spécimens. Bien sûr, il s’agit d’une estimation et, selon les scientifiques, la population mondiale de ces insectes serait bien plus élevée.
Pour parvenir à ce bilan impressionnant, les chercheuses et chercheurs ont analysé les résultats de 465 études ayant mesuré localement, sur le terrain, le nombre de fourmis. Deux techniques ont été utilisées pour calculer l’estimation de la population : la première, la pose de pièges durant une durée limitée et la seconde, l’analyse du nombre d’individus présents sur une parcelle donnée de feuillages au sol.
Mais selon les scientifiques, il s’agit d’une estimation largement sous-évaluée car certaines grandes régions ne présentent que très peu de données, voire aucune, telles que l’Afrique centrale et l’Asie centrale. Mais en quoi est-ce une bonne nouvelle pour l’écosystème ?
Une nécessité pour l’écosystème
Certes, les fourmis sont des alliées envahissantes, mais précieuses. Et pour cause, leur présence est indispensable à la bonne santé de nos jardins, pelouses, potagers, et cultures. Par exemple, elles s’attaquent aux insectes ravageurs, tels que les chenilles, vers, larves, cloportes, etc. De plus, elles nettoient le surplus de déchets organiques et jouent un rôle majeur dans la pollinisation en transportant le pollen d’une fleur à l’autre. Enfin, pour toutes ces raisons, elles représentent également une bonne alternative aux pesticides.
Je voulais poster un article de CI, mais la suite est réservée aux abonnés. Tant pis (ou tant mieux), j'en ai trouvé un autre.
Je comprends tout à fait qu'on puisse avoir peur des guêpes. Personne n'aime se faire piquer ! ...Mais, généralement, quand on se fait piquer c'est qu'on a nous-mêmes fait peur aux guêpes. En surgissant brusquement près d'un nid, ou en agitant les mains pour les chasser...
J'avais déjà eu une expérience étonnante avec elles, quand j'étais à Martigues. Mais là, depuis le début de l'été, je cohabite carrément avec elles. ^^
Si cela peut vous aider à les craindre moins, sachez que tous les matins j'ai rendez-vous avec des polistes. Ce sont des guêpes dites sociales. Et je rajouterais... gourmandes, jalouses, et dotées d'une bonne mémoire.
Je prends mon petit-déjeuner dehors, attablée sous l'auvent, où les attend déjà sur le plateau une coupelle toujours emplie d'eau fraîche. Elles savent que je suis ponctuelle. Elles savent qu'il y aura du miel sur ma tartine, et que je vais probablement leur en "essuyer" une larme ou deux sur le bois de la table.
Et pourquoi je continue à faire ça ? Sans doute parce qu'elles en ont pris l'habitude, et que si je ne leur en donne pas, elles viennent m'en demander. oO' (non, je ne fais pas d'antropomorphisme). Elles viennent sur moi, qui suis calme, qui ne fait pas de gestes brusques (et qui ai caché ma tartine), elles se posent sur mon bras dans un "bisoutement" d'ailes, sans jamais me faire mal, reviennent voleter là où devrait se trouver la larme de miel espérée, puis reviennent tourner autour de moi... Le manège ressemble tout à fait à celui d'un chat qui réclamerait ses croquettes. (non, je ne fais pas d'antropo... ah, je l'ai déjà dit).
Lorsqu'enfin je leur délivre la lichette sucrée, elles se battent entre elles. Elles ont un très mauvais caractère ! "C'est MON miel ! Non, je suis arrivée en premier ! T'en as plus loin, casse-toi ! Feuque you !". Bagarre : pelote yin-yang de guêpes bourdonnantes pendant quelques secondes. Mais elles finissent toujours par s'arranger. Elles chassent les moucherons ou les fourmis qui voudraient s'approcher du festin. Elle ne laisseront que quelques minuscules grains de sucre translucides.
Et notez qu'elles ne viendront jamais sur ma tartine (elles pourraient...). Mais non, je déjeune tranquille, et ce petit rituel matinal m'emplit de joie, une joie enfantine de les observer, et d'imaginer que pour quelques instants l'animal et l'humain arrivent à vivre ensemble. Sans douleur.
Les fourmis, plus efficaces que les pesticides https://reporterre.net/Les-fourmis-plus-efficaces-que-les-pesticides
#environnement #agriculture #insectes
Si vous croisez une scolie des jardins, ne la tuez pas ! Elle est inoffensive et non-agressive, se nourrissant de larves d'insectes mangeant le bois mort. Voici l'article la concernant :
https://jessica-joachim.com/insectes/hymenopteres/scoliidae/scolie-des-jardins-megascolia-maculata/
#insectes #faunesauvage #scoliedesjardins
Une étude américaine réalisée par une équipe du Michigan indique que les guêpes sont capables d'utiliser des concepts abstraits. Pour les chercheurs, cela permet de mieux comprendre le cerveau des insectes.
Kader Youb - franceinfo. Publié le 24/07/2022 06:19. Temps de lecture : 1 min.
La polistes fuscatus, plus communément appelée guêpe à papier, souvent décriée, comparée défavorablement aux abeilles, s'avère finalement plus intelligente que nous le pensions, indique une étude menée par des chercheuses américaines de l'université américaine du Michigan (lien non vérifié), publiée par la Royal Society britannique.
En effet, selon les travaux menés par cette équipe, la guêpe est capable de faire la différence entre deux objets. Et ce n'est pas anodin, analyse Adrien Perrard, maître de conférences en écologie à l’université de Paris : "Cette expérience montre que les guêpes peuvent utiliser des concepts abstraits, pas simplement des associations entre un objet physique et un état et une condition (par exemple "une fleur rouge égal une récompense"), mais des concepts plus abstraits : est-ce que les objets sont similaires ou différents ?"
Des paires de symboles à identifier dans un labyrinthe
Concrètement, la chercheuse américaine Elisabeth Tibbetts et son équipe ont entraîné des guêpes à choisir entre des paires de symboles : soit deux fois le même symbole, soit deux symboles différents. Ensuite, décrit Adrien Perrard, "elles les ont placé dans un labyrinthe où les guêpes devaient choisir entre soit des symboles similaires, soit des symboles différents. Mais dans le labyrinthe, c'étaient des symboles qu'elles n'avaient jamais vu."
Les insectes ne pouvaient donc pas juste recourir à leur seule mémoire pour trouver la solution. "Donc ils ne pouvaient pas faire juste l'association "telle couleur c'est la récompense", ou "telle odeur c'est la récompense", précise l'universitaire français. Il fallait que les guêpes fassent appel au fait que les deux couleurs ou les deux odeurs étaient les mêmes pour pouvoir choisir."
Des petits cerveaux capables de grandes opérations
Cette découverte peut sembler insignifiante, mais c'est un grand pas pour la science. "Ces expériences nous permettent de mieux comprendre le fonctionnement du cerveau des insectes, leurs capacités, note Adrien Perrard, mais aussi de le mettre en lien avec le fonctionnement des autres types de cerveaux, et donc de comprendre le mécanisme de la réflexion, de la perception de l'environnement, et donc de son utilisation."
Le prochain défi pour les chercheurs sera donc de comprendre comment des cerveaux aussi petits que ceux des guêpes sont capables de réaliser des opérations dignes des ordinateurs.
#biodiversité #insectes #guêpes #intelligence
L'article est paru sur FranceInfo. Il y a 9 trackers sur l'article du site. Le lien est, à vos risques et périls :
https ://www.francetvinfo.fr/monde/environnement/biodiversite/science-les-guepes-sont-capables-de-realiser-des-choix-abstraits_5273803.html#xtor=RSS-3-[monde]
#LeGénéralMidi #écologie #zérodéchets #anticapitalisme #lemondedaprès
Depuis 1990, la population d’insectes aurait chuté de 75 % en Europe. Aussi captivante qu’alarmante, cette enquête internationale pointe le rôle des néonicotinoïdes, des insecticides neurotoxiques, dans le désastre écologique en cours.
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Il y a trente ans, les automobilistes devaient s’arrêter régulièrement pour nettoyer les impacts sur leur pare-brise. Depuis, 75 % des insectes auraient disparu en Europe, menaçant la survie de nombreux écosystèmes. “C’est la pire extinction de masse que la planète ait vécue”, alerte l’entomologiste américain Jonathan Lundgren. Mais comment expliquer cet effondrement ? Le principal coupable serait à chercher du côté des néonicotinoïdes. Apparus au Japon dans les années 1990, ces insecticides dits “systémiques”, souvent utilisés en traitement préventif des semences, se propagent dans toute la plante pour la protéger des ravageurs. Plus efficaces que les pesticides pulvérisés, ils ont été massivement adoptés par les agriculteurs. Leur marché, détenu par une poignée de multinationales (Syngenta, Bayer-Monsanto, BASF), pèserait ainsi entre 3 et 4 milliards de dollars à l’échelle planétaire. Dans le même temps, les études scientifiques s’accumulent pour dénoncer les ravages de ces neurotoxiques. Pollinisateurs ou rouages essentiels de la chaîne alimentaire, les insectes s’éteignent à une vitesse record, affectant en cascade les populations d’oiseaux, de poissons et d’amphibiens. La santé humaine serait elle aussi menacée : perturbateurs endocriniens potentiels, les néonicotinoïdes, dont on retrouve des résidus sur les aliments d’origine végétale, sont soupçonnés de causer certains cancers et d’altérer le neurodéveloppement dès le stade fœtal. Pressions sur les chercheurs, les décideurs politiques et les autorités de régulation, financement d’études favorables à leurs produits, tests d’homologation biaisés : de leur côté, les lobbies de l’agrochimie brouillent les pistes pour entretenir l’immobilisme. Après les avoir interdits en 2018, la France a réautorisé provisoirement les néonicotinoïdes pour le traitement des betteraves sucrières.
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Alternatives convaincantes
De la Somme aux États-Unis en passant par l’Allemagne, la Belgique ou le Japon, ce documentaire, fondé sur l’enquête de Stéphane Foucart Et le monde devint silencieux – Comment l’agrochimie a détruit les insectes (Éditions du Seuil, 2019), retrace l’histoire des néonicotinoïdes et décrypte leurs effets en compagnie d’une foule de spécialistes : chercheurs, journalistes, représentants d’ONG environnementales, eurodéputé, agriculteur et apicultrice… Étayé de chiffres alarmants, le film met également en lumière les stratégies des industriels pour préserver leurs profits, tout en s’arrêtant sur des alternatives convaincantes : dans la plaine du Pô, en Italie, l’ingénieur agronome Lorenzo Furlan a mis en place un fonds mutuel permettant de compenser les éventuelles – et très rares – pertes de rendement causées par la réduction des pesticides. Ponctuée de fascinantes images d’insectes observés au microscope, cette enquête s’affirme aussi comme une ode à la splendeur du vivant menacé.
https://www.arte.tv/fr/videos/098073-000-A/insecticide-comment-l-agrochimie-a-tue-les-insectes/
#pesticides #insecticides #Arte #neonicotinoides #sante #semences #agriculture #environnement #sante #ecologie #insectes #pollution #alimentation #agricultureintensive #monoculturesintensives #biodiversite #pandémies #croissance #capitalisme
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Il y a du monde au jardin… dont une abeille charpentière.
Il y avait beaucoup d'abeilles et de bourdons autour des centhrantes, mais pas que...
Ceci est un duo d'œdémères nobles (oedemera nobilis), et du plus beau vert métallique.
Les œdémères sont des pollinisateurs et peuvent voler.
Le mâle se reconnaît à ses pattes arrières enflées.
Sur ces photos, on peut observer un mâle et une femelle.
#insectes #natureenville #nature
"Bactrocera oleae", ces insectes responsables de l’anéantissement des récoltes d’olives... Deux cousines aixoises, Marion Canale (Ingénieure en biotechnologie) et Solena Canale-Parola (master communication à l’ISEG), les cofondatrices de Cearitis, ont trouvé la réponse : une solution naturelle pour piéger ces mouches tueuses et les repousser loin des cultures :
On utilise tout simplement des odeurs répulsives. En les pulvérisant sur les cultures, on obtient une barrière anti-ravageurs, qui agit comme un leurre auprès des femelles pondeuses. En plus, on a mis au point un système “attractif” qui, lui, s’installe à l’extérieur des parcelles, pour attirer les insectes déviés.
#biologie #environnement #agriculture #oléiculture #insectes #innovation
Le frelon oriental vient d'être détecté pour la première fois en France à Marseille. La présence de spécimens mâles et femelles laisse redouter une expansion de cette espèce invasive et particulièrement dangereuse pour les abeilles.
$frelon #France #insectes #Vespa-orientalis
Anecdotique ? Des scientifiques allemands ont déterminé que, sur ces trente dernières années, la population des insectes a diminué de 76%. Aucune disparition d'espèce à déplorer, mais une chute sans précédent de tous les effectifs.
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Des libellules et une demoiselle (la demoiselle est le leste brun, ou brunette hivernale (car une des rares espèces à passer l'hiver).
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