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#liberté
#news #purge #médias #suppression #émissions #écologie #luttes #sociales #environnement #pluralisme #liberté #expression #audiovisuel #public
PURGE MÉDIATIQUE DANS L’AUDIOVISUEL PUBLUC
Purge médiatique avec la suppression d’émissions consacrées à l’écologie et aux luttes sociales
C’est une véritable hécatombe au sein du service public de l’information. Plusieurs émissions TV et radio consacrées à l’écologie et aux luttes sociales vont être supprimées ou transformées à la rentrée. Une purge inquiétante pour le pluralisme dans les médias et la liberté d’expression alors que l’urgence écologique redouble d’intensité.
Les raisons de cette suppression : des arbitrages budgétaires selon La Lettre, document interne du 20/11/2023. Delphine Ernotte-Cunci, présidente du groupe audiovisuel public, « préfère redéployer ses moyens sur la couverture des Jeux olympiques de 2024 ». Ironie de l’histoire, l’argent public sera donc aiguillé autour d’un événement décrié pour son impact environnemental d’une durée d’à peine un mois, plutôt que de maintenir des contenus écologiques à l’année.
Cette purge médiatique intervient d’ailleurs alors que l’humoriste Guillaume Meurice vient d’être suspendu pour une blague dénonçant le génocide de Gaza, pourtant « validée » par la justice. Une chose est sûre, ce recul en arrière éditorial rappelle l’importance des médias indépendants, là pour donner la voix aux acteurs de terrain et décrypter les enjeux autour de l’urgence écologique.
C’est ce que nous faisons au quotidien avec La Relève et La Peste. Vous informer sur la quasi totalité des luttes sociales et écologiques en France. Plus que jamais, nous avons besoin de votre soutien pour vous proposer chaque jour des articles à lire gratuitement. En lisant nos livres, vous soutenez notre indépendance et notre média en ligne. Qui veut lire ?
Commander Forêts
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Vive les #valeurs de #liberté de la #droite ! :)
#RadiofRance #Macron #Extrême-droite #Surveillance #Médias
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#Israël, #Gaza, #liberté d' #expression... l' #entretien explosif d' #IdrissJAberkane ! - #LesIncorrectibles
Dans cet épisode, #ÉricMorillot et Idriss #Aberkane discutent du #conflit #israélo-palestinien, analysent les #politiques #internationales et examinent l'impact de personnalités sur les #médias. Ils abordent également la situation en #Russie et en #Ukraine, les conséquences économiques de la #guerre en Ukraine, et la #défense des #valeurs #occidentales par #Poutine.
0:00 Introduction et présentation de l'invité, Idriss Aberkane
3:00 #Discussion approfondie sur le conflit israélo-palestinien
24:06 #Analyse des politiques internationales et du rôle de la #France, de l' #Allemagne, de l' #Italie et des #États-Unis
32:31 Discussion sur la liberté d'expression en France et la #polémique autour de l' #humoriste #GuillaumeMeurice
39:10 #Examen de l' #impact de #personnalités et d' #entrepreneurs sur les médias et le #journalisme
54:45 Discussion sur la situation en Russie et en Ukraine
1:08:51 #Conséquences économiques de la guerre en Ukraine sur l' #industrie #automobile #allemande
1:10:00 Discussion sur la défense des valeurs occidentales et l'impact du #wokisme sur la #société
1:14:25 Discussion sur les #élections #européennes
https://www.youtube.com/watch?v=w631FNNvOPw
https://invidious.fdn.fr/watch?v=w631FNNvOPw
#politique #géopolique #économie #liberté-expression #occident
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L'Organe de Négociation Intergouvernementale de l'OMS se trouve en pleine session d'urgence à Genève, redoublant d'efforts pour faire adopter le Traité sur les pandémies des Nations Unies avant l'Assemblée Mondiale de la Santé, prévue pour le 27 mai 2024.
Les décisions prises au cours de cette réunion pourraient changer de manière irréversible l'équilibre des pouvoirs, conférant aux élites globales un contrôle sans précédent sur les décisions relatives à votre santé personnelle.
Etre 500 000 à signer la Pétition !
#pandemie #oms #liberté #santé #Traitésurlespandémies
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La #liberté d' #expression c'est pour la #Gauche d'abord, et pour les autres si on a le temps - #Campagnol
https://www.youtube.com/watch?v=52Dza-rh4RA
L' #Amérique est une immense #caverne de #Platon
https://odysee.com/@campagnoltvl:2/gauche222:d
https://crowdbunker.com/channel/srBOV4Ke
X / 1787434455600115951
conférence européenne • L' Europe humaniste, celle des seins ...
#Livre sur la #Hongrie - https://giovelina.com/delest.pdf
#politique #analyse #pointdevue #ChristianCombaz #Combaz #libertédexpression
Guillaume #Meurice @GMeurice 1h
https://nitter.poast.org/GMeurice/status/1786322281339277799#m
Nous sommes le vendredi 3 mai et c’est la journée mondiale de la #liberté de la #presse. Bonne journée la liberté de la presse ! 😚
Et Meurice a partagé aussi le Gorafi :
France Inter – Guillaume Meurice remplacé dès dimanche par un nazi sans prépuce
Suite à l’éviction de Guillaume Meurice de l’antenne de France Inter, la direction de #RadioFrance vient d’annoncer que l’humoriste sera remplacé par un nazi sans prépuce qui tiendra une chronique sur la liberté d’expression.
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Deux manières de concevoir la #liberté ( #IsaiahBerlin) - #EgoNon
https://www.youtube.com/watch?v=OZQvE3WOl5Q
La liberté est un des #concepts les plus importants de la #philosophie #politique et en même temps l’un des plus difficiles à définir de façon satisfaisante. Tout le monde aspire à être #libre, mais il n’est pas facile de parvenir à un consensus sur la définition de la liberté. Au cours de l’histoire, le mot « liberté » a été utilisé au moins de deux cents façons différentes ; et il s’agit probablement d’un des mots les plus abusivement utilisés dans l' #histoire récente, au point qu’on peut se demander parfois si certaines politiques établies au nom de la Liberté – avec un L majuscule – ne conduisent pas, paradoxalement, à un appauvrissement de la liberté réelle.
C’est pour éclaircir cette question que nous verrons aujourd’hui « les deux conceptions de liberté » mises en lumière par Isaiah Berlin, un des plus grands #penseurs #libéraux #anglo-saxons du XXe siècle. Liberté "négative" et liberté "positive", refus d'être #esclave ou désir d'être maître, ces deux conceptions de la liberté induisent des visions de la #société assez différentes, voire antagonistes parfois.
- Pour découvrir l'ensemble de mes vidéos privées : http://www.ego-non.com/
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Bégaudeau prend la gauche à contre-pied
La liberté individuelle, c'est de gauche : la droite hait la liberté :)
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Liberté d’expression
Voile à l’école : comment Nicole Belloubet a écarté le sociologue Alain Policar du Conseil des sages de la laïcité
Le 5 avril dernier, le chercheur a déclaré dans un entretien que le voile n’était plus «un signe de prosélytisme», mais qu’il pouvait être au contraire un «vecteur d'émancipation».
(Figaro d’aujourd’hui)
#SalimLaïbi aux #musulmans : « Il faut quitter la France, ça devient dangereux ! » - #LesIncorrectibles
Dans cet épisode, #ÉricMorillot et Salim Laïbi discutent de la #censure, de l' #indépendance des #médias en #France, de l' #identité et du parcours de Salim Laïbi. Ils explorent les relations #franco-algériennes, le #trafic de #drogue, le #racisme, le #communautarisme, la #liberté d'expression et les #stéréotypes #musulmans. Enfin, ils abordent la #criminalité, l' #immigration, l' #éducation, le #débat #public et l'impact de la #religion sur la #géopolitique.
0:00 Introduction et présentation de l'invité Salim Laïbi
6:23 Discussion sur la censure, le #Shadow #Banning et l'impact des qualifications négatives
14:04 Échange sur l'association #ConspiracyWatch et son #financement public
28:24 Débat sur l' #indépendance des médias et l'indépendance #journalistique en France
37:38 Discussion sur l'identité de Salim Laïbi, son parcours et son lien avec l' #Algérie
49:14 Discussion sur les relations entre la France et l'Algérie et l'expérience de Salim Laïbi en France
1:00:14 Discussion sur le trafic de drogue, le racisme et le communautarisme en France
1:07:12 Discussion sur la liberté d'expression, la censure et les stéréotypes musulmans
1:24:26 Discussion sur la criminalité et les #attaques au #couteau en France
1:33:45 Discussion sur l'éducation et le débat public en France
1:44:36 Discussion sur les événements du #Proche-Orient en octobre 2023 et l'impact de la religion sur la #géopolitique #mondiale
https://www.youtube.com/watch?v=ecAC3bex9f4
#politique #factcheckers #shadow-banning #liberté-expression #débat-public #Marseille #corruption
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#iran #droit_humain #peine_de_mort #TomajSalehi #IRI #liberté
Liberté pour #Toomadj_Salehi !
Le rappeur iranien Toomaj Salehi condamné à mort pour son soutien aux manifestations après la mort de Mahsa Amini
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Apologie du terrorisme, criminalisation de la solidarité et délit d’opinion | AOC
Un article issu de la revue en ligne AOC – Analyse opinion critique.
Par Vanessa Codaccioni, historienne et politiste.
Après la candidate aux Européennes Rima Hassan, c’est au tour d’une autre personnalité LFI, la députée et présidente de groupe parlementaire Mathilde Panot d’être convoquée par la police dans le cadre d’une enquête pour « apologie du terrorisme ». Nouvelle illustration de l’usage de dispositifs antiterroristes contre l’activité militante, syndicale et politique dans une société désormais scrutée par un activisme de surveillance.
L’apologie de crime est inventée à la fin du XIXe pour réprimer les « menées anarchistes » dans le contexte d’une multiplication des attentats. Ce délit « l’apologie de crime » fait ainsi partie d’un ensemble de mesures prises pour « purger à jamais de la bande anarchiste le territoire de la république française » selon les mots du Président du conseil de l’époque Dupuy en 1884[1].
Comme la création du délit d’association de malfaiteurs que nous connaissons bien aujourd’hui puisqu’il constitue l’essentiel du contentieux terroriste, l’apologie de crime est partie intégrante des « lois scélérates » visant à faire tomber sous le coup de la loi tout discours anarchiste attentant à la « sûreté de l’État » mais qui en réalité a pour objectif de faire taire toute forme d’opposition à gauche. Dès son origine, l’apologie de crime cible donc les discours « gênants » le pouvoir.
C’est ainsi qu’il sera mobilisé à certains moment de l’histoire pour criminaliser l’action contestataire d’ennemis intérieurs surcriminalisés. Par exemple, pendant la guerre froide et la guerre d’Indochine, des militants communistes ont pu être inculpés « d’apologie du pillage », de l’incendie ou de meurtre, mais aussi d’apologie d’actes de désobéissance militaire lorsqu’ils soutenaient l’action de soldats refusant de partir combattre dans la colonie. Le même phénomène s’observe dans les années 1970 contre des militants maoïstes de la Gauche prolétarienne (souvent couplé avec la « provocation au crime »), à l’instar des dirigeants de La Cause du peuple, Jean-Pierre Le Dantec et Michel Le Bris, respectivement condamnés à Paris par la 17 chambre du Tribunal de grande instance le 28 mai 1970 à un an et huit mois d’emprisonnement pour provocation et apologie de crimes et délits. Là encore, ce sont les « ennemis publics n°1 » qui sont visés par cette infraction.
Néanmoins, le délit d’apologie du terrorisme n’est créé qu’en 2006 (le mot « terrorisme » ne rentre dans le code pénal qu’en 1986) dans le contexte d’un globalisation juridique et pénale du terrorisme par laquelle tout comportement susceptible de présenter un lien, même immatériel, avec le terrorisme se trouve incriminé. Le terrorisme devient progressivement un « phénomène criminel global » dont chaque étape est repréhensible et condamnée : l’intention, les actes préparatoires, l’acte lui-même mais aussi tout possible « prolongement », soutien ou forme de solidarité.
D’où la centralité accordée à l’apologie du terrorisme, qui est par ailleurs retirée en 2014 des délits de presse pour devenir un délit « ordinaire », ce qui permet de soumettre ces actes d’apologie aux règles de procédure de droit commun et à certaines règles prévues en matière de terrorisme comme la possibilité́ de procéder à des saisies et de recourir à la comparution immédiate, exclues en matière de presse, ou d’aggraver les peines si les faits sont commis par Internet.
Censée punir la propagande et faire obstacle à la stratégie médiatique des organisations terroristes qui jouent sur la glorification et l’héroïsation, la répression de l’apologie du terrorisme est sur-utilisée après les attentats de janvier 2015 à Paris, pour la plupart suite à l’expression publique d’une solidarité́ avec les frères Kouachi ou avec Amedy Coulibaly, auteurs des tueries de Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher qui ont fait dix-sept morts. Se déroulant devant le tribunal correctionnel, ces multiples procès du début de l’année 2015 reflètent cette nouvelle orientation pénale et judiciaire de l’antiterrorisme, et illustrent les procès pour terrorisme qui peuvent s’y dérouler, à savoir des procès pour des actes de faible gravité pénale, ou tout au moins, pour des faits de moins en moins reliés à des actes dits « terroristes » ou à l’exécution d’attentats[2].
L’apologie du terrorisme n’en donne pas moins lieu à des dérives certaines, comme la condamnation d’un homme de 18 ans à 3 mois de prison avec sursis pour avoir nommé sa wifi DAESH[3] ou la convocation par la police de collégiens, parfois de jeunes enfants dont l’un de 8 ans, pour des propos tenus en marge des minutes de silence au sein de l’institution scolaire[4]. Dans de nombreux cas, les affaires ont pour origine un signalement effectué par internet : 35000 signalements avaient été faits pour apologie du terrorisme sur la plateforme Pharos à la suite des attentats de janvier 2015, alors que seul 1500 de ce type avaient été enregistrés pour toute l’année précédente[5]. « Pour signaler des contenus ou des comportements illicites, ayez le réflexe Pharos ! » avait lancé le 7 janvier 2015 la police nationale sur Twitter.
Les nombreux cas d’apologie du terrorisme publicisés depuis le 7 octobre 2023 s’inscrivent ainsi dans la longue liste d’affaires de ce type, qui se multiplient en France dès la perpétration d’un attentat. Ils ont néanmoins une double spécificité. D’une part ils n’ont pas de lien avec des actes terroristes s’étant déroulés sur le territoire français, même si certaines affaires ont pu éclater dès le début des années 2000. Citons par exemple le cas d’un hebdomadaire basque dont le directeur de publication et le dessinateur avait été condamnés à 1500 euros d’amende pour une caricature félicitant le Hamas des attentats du World Trade Center[6]. Mais ces affaires d’apologie du terrorisme pour des propos, discours ou illustrations suite à un attentat commis à l’étranger étaient rares. Ce n’est plus le cas.
L’autre spécificité depuis le 7 octobre tient à la diversification et à l’extension des cibles de l’apologie du terrorisme : des syndicalistes, des intellectuels, des militants « en vue », des personnalités politiques, qu’elles soient investies dans une campagne électorale ou qu’il s’agisse de parlementaires de l’opposition (jusqu’à la Présidente d’un groupe à l’assemblée nationale), des étudiants (comme ceux de l’EHESS), viennent rejoindre les musulmans ou supposés tels d’ordinaire convoqués, jugés et condamnés pour ce délit.
Outre la multiplication des prises de position sur le conflit israélo-palestinien et des réactions aux horreurs et drames du 7 octobre et de la guerre à Gaza, cette situation doit être rapportée à deux phénomènes sociaux que nous avons largement décrits par ailleurs[7] : premièrement l’usage de dispositifs antiterroristes contre l’activité militante, syndicale et politique, qui s’observe depuis le début des années 2000 et qui ne se réduit pas à ce type de poursuites (surveillance « antiterroriste », fichage S, poursuites pour association de malfaiteurs, assignation à résidence de militants etc.) ; et deuxièmement la centralité des signalements dans la répression aujourd’hui.
En effet, depuis les attentats du 11 septembre 2001 nous sommes entrés dans des « sociétés de vigilance » où les autorités encouragent les citoyennes et les citoyens à signaler tout comportement anormal, suspect, faisant craindre un passage à l’acte terroriste ou un processus de radicalisation. Outre les modalités de saisine habituelles, les signalements internet contribuent ainsi à l’explosion des affaires, auxquels doivent être ajoutées ici les plaintes d’associations ou de politiques, tel ce député de l’opposition se vantant sur les réseaux sociaux de voir ses multiples signalements depuis le 7 octobre aboutir à des convocations par la police.
Ce qui inquiète aujourd’hui, c’est cet activisme de surveillance qui traque le moindre supposé dérapage à des fins de dépôt de plainte et pour réduire au silence des hommes et des femmes en lutte, surtout dans un contexte de multiplication des interdictions de manifester sa solidarité envers le peuple palestinien (interdiction de manifestations, interdiction de réunion, annulation de prises de parole publiques etc.).
Mais l’apologie du terrorisme et ses usages, politiques notamment, ont également de quoi inquiéter. L’apologie du terrorisme est, en droit, le fait de provoquer à des actes terroristes ou d’en faire publiquement l’apologie. Il s’agit donc d’une incitation au terrorisme, d’une glorification d’attentats violents et meurtriers et de leurs conséquences, d’une satisfaction exprimée à l’égard de la mort violente d’autrui dans le cadre d’une attaque terroriste. Or, de ce que l’on voit dans la presse ces dernières semaines, l’apologie du terroriste n’est plus seulement le soutien public à des actes terroristes – ce sont les « bravo » et les « bien fait » qui ont existé le 7 octobre – mais l’expression d’une solidarité envers un peuple opprimé, qui s’en trouve dès lors criminalisée. De la même manière et par une autre extension de son acception, toute critique envers une politique, un État, ici Israël, se voit sanctionnée d’une convocation par la police, d’un procès ou d’une condamnation. Ce faisant et dans ces cas, l’apologie du terrorisme se meut en dispositif de restriction de la liberté d’expression, de censure et d’autocensure par crainte des représailles, et se transforme en délit d’opinion pour criminaliser des luttes et l’opposition.
[1] Le Procès des Trente. Notes pour servir à l’histoire de ce temps, 1892-1894, Éditions Antisociales, 2009, p. 6.
[2] Julie Alix, Terrorisme et droit pénal. Études critiques des incriminations terroristes, Paris, Dalloz, 2010, p. 144 et suivantes.
[3] Le Parisien, 4 novembre 2016.
[4] Le Monde, 29 janvier 2015.
[5] Le Figaro, 10 février 2015.
[6] La Dépêche, 9 janvier 2002.
[7] Vanessa Codaccioni, Répression. L’État face aux contestations politiques, Textuel, 2019 ; La Société de vigilance. Auto-surveillance, délation et haine sécuritaires, Textuel, 2021.
#politique #société #répression #terrorisme #apologie-du-terrorisme #liberté #liberté-dexpression #censure #autoritarisme #LFI #Vanessa-Codaccioni #AOC
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L’ #état PITOYABLE des #médias en #France ! (non exhaustif) - #TroubleFait
Tour d’horizon de quelques fait « porteurs de sens » qui se sont déroulés dans le courant du mois de mars 2024. Ces faits sont révélateurs de l’état de la #liberté de la #presse en France. Ils montrent certaines limites auxquelles les #journalistes sont confrontés, la collusion quotidienne entre des journalistes et des membres du #gouvernement et l' #instrumentalisation de l' #information pour des intérêts particuliers qui font #commerce d’ #influence.
https://www.youtube.com/watch?v=vCWsDBwsyUc
https://invidious.fdn.fr/watch?v=vCWsDBwsyUc
#politique
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