#victorjara
/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/prisa/FJUHASCWKJHUNBLQVTF3HZZH2E.jpg)
They feared his music, they feared his songs. They tortured him, cut his hands to please American companies.
Whenever you hear US stands for the good, remember it's criminal past.
Victor Jara was just one of the many thousands who was murdered by the #Kissinger and #CIA goons in #Chile.
The evil is the same, it's our tolerance and acceptance that has changed.
It happened 50 years ago, but the monsters who planed. Paid and benefitted from it were never punished for their crimes.
They feared his music, they feared his songs. They tortured him, cut his hands to please American companies.
Whenever you hear US stands for the good, remember it's criminal past.
Victor Jara was just one of the many thousands who was murdered by the #Kissinger and #CIA goons in #Chile.
The evil is the same, it's our tolerance and acceptance that has changed.
It happened 50 years ago, but the monsters who planed. Paid and benefitted from it were never punished for their crimes.
"When I go to work
I think of you,
on the streets of the neighborhood
I think of you,
when i look at the faces
behind the tainted glass
without knowing who they are, where they go.
I think of you,
my life, I think about you.
In you, companion of my days
and of the future
of the bitter hours
and the joy of being able to live,
working the beginning of a story
without knowing the end.
When the shift is over
and the afternoon goes
Stretching out his shadow
by the scissors
and upon returning from work
arguing among friends
reasoning issues
of this time and destiny,
I think of you
my life, I think about you.
In you, companion of my days
and of the future
of the bitter hours
and the joy of being able to live,
working the beginning of a story
without knowing the end".
"""When I go to work"" Victor Jara".
#victorjara #50años #Chile #NeverForget
https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/la-serie-musicale/gracias-a-la-vida-l-epopee-de-la-nueva-cancion-chanter-l-amour-et-la-revolution-4946539
https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/la-serie-musicale/l-epopee-de-la-nueva-cancion-1973-la-blessure-7816122
#chanson #Chili #AmériqueLatine #ViolettaPara #VictorJara #MercedesSosa #AtahualpaYupanqui #chansonRevolutionnaire #Quilapayun #Argentine #Bolivie #Cuba
Ligue des Droits de l’Homme/communiqué, Paris, le 1er septembre 2023
Chili : 50 ans après le coup d’Etat – Pour Victor Jara, la justice enfin
https://www.mcinformactions.net/Chili-50-ans-apres-le-coup-d-Etat-Pour-Victor-Jara-la-justice-enfin?lang=fr
#pinochet #memoire #Chili #VictorJara
Vem aí a celebração "Mil Guitarras para Victor Jara"
Artistas voltam a celebrar a vida e obra de Víctor Jara de forma presencial em São Paulo
#música #VictorJara #music #Brasil #Chile #SP #SãoPaulo #cultura
Disponible en podcast l'interview intégrale de Nicole sur la nouvelle chanson chilienne !
Ecoute: https://www.radiobarbes.com/soul-ableta-entretiens/
#radiobarbès #soulableta #gouttedor #podcast #paris18 #chili #chile #violetaparra #victorjara #salvadorallende #pinochet #dictature #socialisme #feminisme
09/16 - Foi em um 16 de Setembro que #Victor #Jara foi assassinado -
https://www.facebook.com/faconti/posts/10157456408739757 -
Via Tiago F. Pimentel -#Assassinatos #Ditadura #Pinochet -
[ Já esteve aqui. É tão bom que voltou ] - 2019 - [FB] -
#VictorJara havia sido preso dias antes, nos primeiros momentos do gople de Pinochet. Permaneceu confinado no Estádio do Chile, então usado como espécie de campo de concentração pelo golpe de 1973.
Ali Victor foi torturado e teve a língua cortada. Com seus dedos esmagados, ouviu os soldados zombarem dele, pedindo-lhe que tocasse seu violão. Depois de assassinado com 44 tiros, teve seu corpo exibido às multidões, exposto como troféu na entrada do Estádio do Chile.
Apenas em 1990, graças à Comissão da Verdade chilena, seu assassinato foi reconhecido pelo Estado. Em 2004 o Estádio Chile foi renomeado em sua homenagem: Estádio Victor Jara. Ano passado nove militares foram condenados por seu assassinato.
Suas canções deram voz à revolução chilena e ainda ecoam como hinos à liberdade na América Latina..
Victor Jara, presente! -
https://www.facebook.com/photo.php?fbid=10211957275162271&set=a.1405970604324 -
¡SE SIENTE, SE SIENTE, #CHE ESTÁ PRESENTE !
"L’hommage du PCF au Che, chacun en convient, pèse de tout son poids politique et symbolique. Bien plus que la courbe. Il fut un temps jadis où le CHE n’était pour nous, à #Paris comme à #Moscou, qu’un « gauchiste » irresponsable. « ¡Ay, qué dolor !». Sous la coupole de la maison commune, le PCF vient de réparer une sorte d’injustice, de se grandir... et aussi de répondre à la sévérité d’un Che pour qui les classes ouvrières et les militants des pays « occidentaux » « oubliaient » l’internationalisme. La plupart des partis communistes, alignés sur Moscou..."
Lorsque vous arrivez place du Colonel Fabien, au siège du PCF, un frisson vous parcourt le corps de haut en bas, ou peut-être l’inverse. Je croyais la sensualité fâchée avec le béton... va donc ! Ici, pour aller d’un point à un autre, le plus couru des chemins, c’est la ligne courbe... Courbe mais ne se plie pas. Ainsi l’a conçu l’architecte Oscar #Niemeyer, fondateur du parti communiste du #Brésil et communiste de toute une vie, donc « stalinien », « sectaire », « dogmatique », « aux ordres », « subversif »... Quel dommage qu’il ait autant de talent !!!!!!!!!!!!!. Et en plus, le gaillard est resté jusqu’à mort -au delà de cent ans- ami de la révolution cubaine et du terrible Castro, d’un Che fasciné par le sang et la culture des narcisses, un Che génétiquement violent, pervers, premier des « kamikazes », des « détraqués », des « djihadistes »... Marcela a lâché l’amour de sa vie pour ce nombriliste compulsif, qui a passé son temps à frimer, à écrire une légende, plutôt que de vivre la sienne. Pour l’ami Tancrède Ramonet, le mythe et l’homme Guevara, ne font qu’un... bien vu !!! !!!
Ah, ce qu’ils ont dû architexter, rêver, ensemble à La Havane, Che, Fidel et Oscar et Pablo...
Impossible de se garer à Fabien... La boule coupole, ‘bondée’, résonne de « ¡se siente, se siente, el Che está presente ! ». De jeunes excités, thuriféraires du Che, s’en donnent comme des ados. Le CHE : cure de jouvence ?
L’hommage du PCF au Che, chacun en convient, pèse de tout son poids politique et symbolique. Bien plus que la courbe. Il fut un temps jadis où le CHE n’était pour nous, à Paris comme à Moscou, qu’un « gauchiste » irresponsable. « ¡Ay, qué dolor !». Sous la coupole de la maison commune, le PCF vient de réparer une sorte d’injustice, de se grandir... et aussi de répondre à la sévérité d’un Che pour qui les classes ouvrières et les militants des pays « occidentaux » « oubliaient » l’internationalisme. La plupart des partis communistes, alignés sur Moscou...
Pierre Laurent, présent de bout en bout, assis aux côtés du nouvel ambassadeur de Cuba en France, ouvrait un hommage en forme de « performance » politico-poético-musico- hallucinée et hallucinatoire. La bande des occitans prit d’assaut la Seine après les discours, de Pierre Laurent, un discours fin, offensif , de ceux qui font du bien, de ceux que l’on aime, et une intervention sobre et forte du nouvel ambassadeur de Cuba, arrivé il y a tout juste une semaine. Michel, l’ambassadeur du #Venezuela, était caché dans la salle, tout comme l’ami, ô combien attachant, Jean Cormier, pote de Korda, de Blondin, la chanteuse délicieuse et « engagée » (sens ?) Mireille Riva, qui vient de monter avec sa troupe un « spectacle » sur le Che, présenté avec succès à la Fête de « L’Huma », des diplomates boliviens, des militants de la plume : V.K., CC, Cathy D.S , Maïté, qui « couvrit » le Salvador au temps de l’horreur, des syndicalistes CGT, des universitaires, Paul Estrade, beaucoup de militants de la solidarité et leurs associations...
Le poète occitano-internationaliste Serge Pey n’avait jamais mis les pieds dans un siège coco. Pourrait-il en ressortir ? Sa muse, Chiara la Sarde, tricota tout en douceur érotique, un immense Che, pendant que Serge guérillérait avec les mots, piétinait de rage , de transe guévarienne « Tu comprends... il faut politiser ! » PO. LI. TI. SER ! Serge est déraisonnable. D’ailleurs par les temps qui courent, ne faut-il pas être fou pour être raisonnable. Comme il n’aime pas la soupe, il n’y va jamais. Mais d’où sort-il cet impétueux gave sémantique habité ? Le sait-il sous son chapeau anar ? La Garonne le sait-elle ? L’hommage s’étirant au-delà des horaires programmés par le Gosplan, les commissaires politiques nous conseillèrent d’abréger. J.O. lit, lut, quelques morceaux verbaux (les références seront publiées sur ce blog) guévariens hétérodoxes, montrant combien le CHE était passé fort rapidement de « l’orthodoxie » (sens ?), du « soviétisme », à la recherche, antidogmatique, ouverte, seulement interrompue par la mort (à 39 ans), d’un communisme autochtone, endogène, « sui generis », ¡¡qué bien suena !!). En 1965-1966, il écrit : « On (l’URSS) retourne au capitalisme ». Visionnaire ou oiseau de mauvaise augure ?
Deux musicos, un guitariste fils de rouge exalté decazevillois, et un petit-fils de communiste espagnol castrais, qui combattit avec les anars (faut le fer !) pendant la guerre/révolution espagnole. Ils interprétèrent délicatement des textes écrits et chantés en hommage posthume au CHE, par #VictorJara, #Quilapayun, #AtahualpaYupanqui, Carlos #Puebla... Un final à la fois nostalgico-mélancolique, et d’espoir étoilé. Le Petit Prince dit un jour : « Nous avons perdu les étoiles ». Il est grand temps de les retrouver. Tard dans la nuit, mojitée par la Jeunesse Communiste, la bande « communiste-libertaire » fut libérée, après engagement à « SEGUIR JUNTOS ». « Continuer ensemble ».
P.S. : le nombre de livres « Vive le CHE ! » vendus à l’entrée dépassa celui des chocolatines et des churros.
A Vallegrande, Evo #Morales et des milliers de personnes, à Santa Clara, Raul #Castro et le peuple cubain, à Madrid, Rosario, Buenos Aires, Caracas, Tokyo, Alger, en Palestine... les résistants d’aujourd’hui honoraient celui qui « renaît sans cesse ». Qui nous invite a « SEGUIR ADELANTE ».
#JeanOrtiz
Mercredi, 11 Octobre, 2017
Hey ho, one hour gone by with me trying to translate one of the most distressing and sad poems in the whole world. The poem called Estadio Chile that was written by the Chilean Poet and folk-singer Victor Jara as he was in detention in the Chile Stadium after the coup in 1973. The paper he wrote it on was smuggled out in the shoe of another prisoner. Victor Jara was beaten to death and dumped in a favela not far from the stadium four days after the coup..
Yes, I know. Rather sad. Sometimes you can get in a mood like that.
We are five thousand here
in this small part of town.
We are five thousand.
How many in all
in the cities, in the whole country?
Only here,
ten thousand hand that could seed the fields
go work in the factories.
All this human life
with hunger, cold, panic, pain,
pressure, terror and madness.
Six of us is lost
in space amongst the stars.
One dead, one beaten like I had never belived
a human could be beaten.
The four left just want to flee
all the terror,
one jumps into the nothingness.
another beats his head against the wall
but all stare at death.
What horror the face of fascism creates!
They carry out their plans with cunning precision
nothing means anything to them,
To them Blood is medals,
Killing an act of heroism.
Is this the world you created, dear God?
Was it for this: your seven days of work and wonder?
Inside these four wall exists only a number
that will not progress.
That will slowly crave more death.
But then consciousness hit me
And I see this tide has no heartbeat
And I see the pulse of the machines
And the military show off their motherly face
filled with sweetness.
And Mexico, Cuba, and the world?
Scream out againt this atrocity!
We are ten thousand hand
that can do nothing.
How many in the whole country?
The blood of our comrade president
hits harder than bombs and guns.
That is how our fist will strike back anew.
Song, how bad I am selling this
when I must sing of horror.
Horror that I am living,
that I am dying - horror.
To see myself amongst so many, and so many
Infinite moments
where the silence and the screams
are the goal of this song.
What I have seen I never saw.
What I have felt and what I fell
will grow from this moment...
(1973)
Maybe some of the Spanish speaker here can correct me. @gargamello maybe? I had difficulties with:
- menos que no producen.
- harán brotar el momento...
#poetry #translation #sad #sadder #VictorJara #stadium #Chile #1973
Victor Jara
La Partida ###
On this date, 9/11 1973, the lawful Chilean government was overthrown by the military. Four days later the tortured body of the poet and singer Victor Jara was found outside of the Chile Stadium (Estadio Chile) that was used by the military as detention camp. This beautiful piece shows Jara's fascination with the music of the Andes. So very melancholic, and so very God damn sad that a father that had done nothing but sing should be killed in this horrible way.
#music #VictorJara #folk #Andes #murder #innocent #Chile #coup #911 #1973
Victor Jara - El Derecho de Vivir en Paz (Álbum completo)
https://www.youtube.com/watch?v=WSg53srhQyQ
#VictorJara #musica #música #music #musique #Musik #Chile #AméricaDoSul #AméricaLatina
Former Chilean Army Officer Found Liable for 1973 Murder of Víctor Jara After U.S.-Backed Coup
http://www.democracynow.org/2016/6/29/former_chilean_army_officer_found_liable
