#mckinsey

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Qui est Lucie Castets, la candidate de la gauche pour Matignon refusée par Macron?

Le Nouveau Front populaire a enfin tranché : la gauche a proposé la haute fonctionnaire Lucie Castets pour Matignon. M. Macron a décliné, et dit qu’un nouveau gouvernement ne sera pas nommé avant « mi-août ».
Plus personne n’y croyait. Pourtant, juste avant l’interview d’Emmanuel Macron au journal télévisé de France 2, le 23 juillet, les représentants du Nouveau Front populaire (NFP) ont publié un communiqué, annonçant soudainement s’être mis d’accord sur un nom de Première ministre : Lucie Castets.

« Validée au consensus de nos quatre formations politiques », a précisé la cheffe des Écologistes, Marine Tondelier, sur le réseau social X. Et de lancer, comme un défi : « Prochaine étape : Macron doit reconnaître le résultat des élections et la nommer. »

Las, à peine une heure et demie après cette annonce, Emmanuel Macron déclinait l’offre lors de sa première interview depuis le second tour des élections législatives. « Je suis prête, nous sommes prêts, je demande au président de la République de prendre ses responsabilités et de me nommer », a insisté sur France Inter Lucie Castets, mercredi 24 juillet.

Seize jours après les résultats des élections législatives anticipées, où le Nouveau Front populaire est arrivé en tête (sans toutefois réussir à obtenir de majorité absolue), la gauche réunie a enfin tranché. Les Écologistes, La France insoumise, le Parti communiste et le Parti socialiste ont choisi une personnalité inconnue du grand public, moins marquée politiquement qu’Huguette Bello (présidente du conseil régional de La Réunion) et que Laurence Tubiana (directrice de la Fondation européenne pour le climat), dont les noms avaient créé la polémique au sein du NFP.

Une défenseuse des services publics

Le Nouveau Front populaire vante son profil de haute fonctionnaire, « animatrice de luttes associatives pour la défense et la promotion des services publics ». Lucie Castets, 37 ans, a en effet cofondé le collectif Nos services publics en 2021, dont elle est toujours l’une des trois porte-parole.

« Il manquait une entité qui prenne la parole de l’intérieur pour mettre en lumière les dysfonctionnements et faire des propositions », expliquait la Normande, originaire de Caen, au journal L’Humanité en 2023. « Le service public va très mal. Il ne s’agit plus d’une lente dégradation, on arrive à un point de rupture. On ne peut pas traiter le service public comme on traite une entreprise », estimait-elle aussi, ajoutant que nous allons avoir « massivement besoin de l’État pour lutter contre le réchauffement climatique ».

Elle s’est aussi distinguée en novembre 2022, en reprochant publiquement à Stanislas Guérini, ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, sur le plateau de l’émission C ce soir (France 5), de ne pas créer suffisamment de postes liés à la transition écologique et énergétique.

«On a perdu 180 000 fonctionnaires d’Etat entre 2006 et 2018, dans le même temps le recours aux cabinets de conseil explosait»

J’étais hier dans @ccesoir face au ministre @StanGuerini pour rappeler les raisons structurelles du recours à #McKinsey ⤵️ pic.twitter.com/r9p8LeHAWe

— Lucie Castets (@CastetsLucie) November 30, 2022

Lucie Castets travaille actuellement à la Mairie de Paris, où elle est directrice des finances et des achats. Après avoir étudié sur les bancs de Sciences Po, de l’ENA et de la London School of Economics, cette économiste a d’abord exercé à la direction générale du Trésor et à la Banque mondiale, relate L’Humanité. Elle a notamment travaillé « à la répression de la fraude fiscale et de la criminalité financière », souligne de son côté le Nouveau Front populaire.

Auprès de l’Agence France Presse, Lucie Castets a affirmé qu’elle souhaitait porter « l’abrogation de la réforme des retraites » — ce qui figure en bonne place dans le programme commun du NFP. Sans perdre de temps, elle appelle également à une « grande réforme fiscale pour que chacun, individus et multinationales, paie sa juste part ». En outre, elle souhaite impulser une « amélioration du pouvoir d’achat » par la revalorisation des salaires et le relèvement des minimas sociaux.

Selon Macron, « personne n’a gagné » aux législatives

Durant la soirée du 23 juillet, les représentants du Nouveau Front populaire se sont succédé sur les plateaux télé pour demander à Emmanuel Macron de nommer Lucie Castets Première ministre. Las, le président de la République ne l’a pas entendu de cette oreille.

Lors de son interview le même soir, le président de la République a enfin reconnu la défaite de la majorité sortante, estimant cependant que « personne n’a gagné » — quand bien même la coalition de gauche est arrivée en tête du scrutin. « Ce serait faux de dire que le Nouveau Front populaire a une majorité [à l’Assemblée] », a-t-il déclaré, soulignant que le député communiste André Chassaigne, qui avait été désigné candidat du NFP pour l’élection à la présidence de l’Assemblée nationale, n’a pas été élu le 18 juillet.

Interrogé par les journalistes de France 2 sur la proposition Lucie Castets, Emmanuel Macron a répondu que « le sujet [n’était] pas là ». « Le sujet n’est pas un nom donné par une formation politique, a-t-il poursuivi. […] La question, c’est quelle majorité peut se dégager à l’Assemblée pour qu’un gouvernement de la France puisse passer des réformes, passer un budget et faire avancer le pays. »

Le président a donc préféré enjoindre les partis à « faire ce que toutes les démocraties européennes font », c’est-à-dire « savoir faire des compromis » pour « voter ensemble » et « essayer d’avancer ». À trois jours de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris, Emmanuel Macron a affirmé qu’il ne nommera pas de Premier ou Première ministre avant la « mi-août », pour se « concentrer » jusque-là « sur les Jeux » et attendre « l’avancée de ces discussions ».

Macron fait du pied à l’extrême droite

Le président ne s’est pas contenté de nier le résultat de la gauche unie. Interrogé sur le fait que le Rassemblement national n’a obtenu aucun poste au sein du bureau de l’Assemblée nationale, Emmanuel Macron est allé jusqu’à estimer que « ce n’[était] pas une bonne chose », en observant que le Rassemblement national était « le premier parti à l’Assemblée » — quand bien même c’est la coalition des quatre partis de gauche qui est arrivée en tête. Au passage, il ne s’est pas empêché de critiquer les députés ayant refusé de serrer la main de membres du Rassemblement national, lors de l’élection au perchoir.

Continuant sur sa lancée de séduction de l’extrême droite, au moment de dérouler ses « priorités » pour le reste du mandat, Emmanuel Macron a déclaré vouloir « entendre ce que les Français nous ont dit sur [davantage] de fermeté, [davantage] de sécurité », reprenant ainsi les thèmes du Rassemblement national. À aucun moment durant son entretien le chef de l’État n’a mentionné les enjeux écologiques.

« Emmanuel Macron propose la suspension de la démocratie »

Sur le plateau de LCI, la présidente du groupe parlementaire insoumis Mathilde Panot a réagi en demandant à Emmanuel Macron de « se soumettre ou se démettre » pour « respecter le résultat des urnes et le résultat du vote des Français ».

« Il ne s’agit pas d’une trêve olympique que propose Emmanuel Macron, a-t-elle dénoncé. C’est tout simplement la suspension de la démocratie qu’il propose. J’espère que tout le monde comprend la gravité de ce que cela veut dire. »

https://www.pressenza.com/fr/2024/07/qui-est-lucie-castets-la-candidate-de-la-gauche-pour-matignon-refusee-par-macron/

elijahu@pod.geraspora.de

⚠️ Einmal mehr ist es so weit: Deutschleerer weinen leise in ihr Kuschelkissen, und Freunde der Dudenrechtschreibung suchen nach ihrem Sedativum, denn ich bringe einen Text aus meinem kleinen Rotzeblögchen völlig unbearbeitet, ohne Entrotzung der Sprache und in der dort gepflegten Orthografie, die ich eine »rechte Gutschreibung« heiße, weil sie keine gute Rechtschreibung sein soll. Wer allergisch auf kreative Schreibweisen oder teilweise derbe, an den Soziolekt der Verarmten und Ausgebeuteten angelehnte Ausdrucksweise reagiert, möge bitte genau jetzt mit dem Weiterlesen aufhören. ⚠️

(Als ob in der Diaspora jemand einen Text läse, der mehrere Absätze hat und dessen erster, einleitender Absatz schon achtzig mühsam zu lesende Wörter umfasst. Ich bin aber auch verblendet!)

Och!

So schnell wird es wahrscheinlich keine wirklich autonom fahrenden Autos in Deutschland geben. Denn was in der Theorie brillant funktioniert, scheitert in der Realität kläglich. Ilja Radusch von der TU Berlin zieht eine ernüchternde Zwischenbilanz und sagt: „Wir haben die Komplexität unterschätzt.“

(Archivversjon)

Tja, dann müsst ihr eben andere verkehrsschilder aufstellen! Oh, das reicht noch gar nicht?

Pikanterweise sind Unfälle ein Grund dafür, die sich in jüngster Zeit mit autonomen Fahrzeugen ereigneten, dass Stufe 4 wohl noch etliche Jahre nicht erreicht wird. Denn bis heute wird noch regelmäßig eine McKinsey-Studie aus dem Jahr 2015 in der Argumentation pro autonomes Fahren herangezogen, wonach die Technik bis zu 90 Prozent aller Unfälle vermeiden könnte

Die spezjalexperten aus einer spezjalexpertenklitsche haben sich einfach ein paar zahlen aus dem arsch gezogen, um damit die „ergebnisse“ zu belegen, die schon vor jedem denken und jeder untersuchung als inoffizjeller vertragsbestandteil feststanden? Na, sowas aber auch! Dass dieser mckinsey-kltische überhaupt noch so viel geld für diesen betrug und diese blenderei hingeschmissen wird? Ach, da kann man dann die verantwortung für das von vornherein eingepreiste scheitern an eine „beratungsfirma“ abgeben? Na, das ist natürlich praktisch für unkwalifizierte, ahnungslose und völlig verantwortungslos handelnde dampfplauderer. Tolles geschäftsmodell. Gut, ein bisschen halbseiden ist da ja, aber eigentlich schade, dass man nicht selbst drauf gekommen ist, eine beratungsklitsche aufzumachen, wenn man eh nix mehr dagegen tun kann, wie hier alles die kloake runtergeht… 😁️

Die Rechnung geht aber nur auf, wenn Künstliche Intelligenz (KI) in Zusammenarbeit mit Sensoren und anderer Technik fehlerfrei arbeitet

Ich habe keine lust, jetzt noch einmal ausführlicher zu erklären, warum die idee, das autofahren den angelernten neuronalen netzwerken zu überlassen (p’litiker, jornalisten und andere nichtsblicker benutzen meist das reklamewort „künstliche intelligenz“ dafür) so eine beschissene, schlechte scheißidee ist und verweise einfach auf das, was ich vor drei tagen schon etwas länglich schrieb.

Hej, leute! Wenn ihr keinen bock darauf habt, selbst zu fahren, dann setzt euch doch einfach in den zug, in die taxe, in die straßenbahn oder in den bus und lasst euch fahren! Ist doch auch viel bekwemer, und ihr könnt sogar eure scheißhändis streicheln, ohne damit andere leute umzubringen. Züge könnte man übrigens — na ja, auch nicht ganz problemlos, selbst da ist eine menge hässlicher komplexität mit NP-äkwivalenz drin, für die man ein paar heuristiken entwickeln müsste — automatisch steuern, ohne vor unüberwindlichen problemen zu stehen. Aber bitte nicht mit angelernten neuronalen netzwerken! So lustig sind eisenbahnunfälle mit vielen toten dann doch wieder nicht. Auch nicht, wenn hinterher „das war die softwäjhr, da konnten wir nix gegen machen“ in die grabsteine und in die PResseerklärungen gemeißelt wird. Aber nein, da wird nach meinem wissenstand nicht einmal nennenswert dran geforscht. Die fetten milljarden werden schön für den dritten heip der so genannten „künstlichen intelligenz“ verbrannt, und nach der totalen automobilmachung denkt man bei verkehr nur an die hl. kuh auto. Als ob es nix anderes gäbe, als ob zumindest im städtischen bereich die scheißautos nicht schon genug probleme machten, die bis zur objektiven unbewohnbarkeit großer bereiche einer modernen stadt führen können.

„Aus Sicht von uns Forschenden ist dieses Unfallgeschehen insofern ernüchternd, weil wir bislang nicht auf die Idee gekommen wären, eine solche Situation zu programmieren“, sagt Ilja Radusch, Leiter des Daimler Center for Automotive IT Innovations (DCAITI) an der TU Berlin. Es zeige sich, „dass wir das vermeintlich Abseitige oder kaum Mögliche doch in Betracht ziehen müssen.“ Man habe die Komplexität besonders des städtischen Straßenverkehrs unterschätzt, sagt der Wissenschaftler

Bwahahahahahaha! 😂️

Übrigens: beim anlernen eines neuronalen netzwerkes wird nichts in dem sinne programmiert, dass man ein problem analysiert, algoritmen zu seiner lösung entwickelt und anschließend kohdiert und entfehlert. Es wird ein neuronales netzwerk angelernt, und man hofft, dass es dabei auch ja das richtige und gewünschte lernt. Viel einfluss hat man darauf nicht. Hinterher weiß man nicht, warum es funktioniert oder nicht funkzjoniert, und eventuelle fehler sind nicht leicht lokalisierbar und überhaupt nicht korrigierbar. Das ist das genaue gegenteil von programmierung. Und weil man es nicht versteht, nennt man es „intelligent“, denn intelligenz versteht man ja auch nicht. Der typ aus „uns forschenden“, der da im pluralis majestatis schwafelt, dieser Ilja Radusch, ist also entweder ahnungslos oder lügt bewusst. Ach, TU berlin… keine weiteren fragen! Der ist ahnungslos und lügt. Na, wenns so schön bezahlt wird!

Aber hej, wenn man…

In einer Stadt, in der ausschließlich autonome Fahrzeuge unterwegs seien, wäre es einfacher, da man weniger schwer Vorhersehbares erwarten müsse, so Radusch

…diese ganzen lästigen fußgänger, kinder, behinderten, senkkopfzombies, besoffenen, radfahrer und sonstigen menschen von den straßen und damit aus dem verkehr entfernt, wird es zumindest „einfacher“. Da kriegt der autofahrer dann seinen „traum“, wie der jornalist das zu nennen pflegt. Eigentlich kann man dann auch gleich diese bürgersteige wegmachen, es gibt ja niemanden mehr, der dort erwünscht wäre. Willkommen in der innenfreien autostadt aus den feuchten träumen der menschenverachtenden fordistischen arschlöcher von daimler und ihrer kernkorrupten freunde aus den parteienoligarchien der BRD! Gruß auch an den scheißjornalisten, der sich als gewohnheitsschreibtischtäter in den dienst jeder schlechten sache stellt und jedes kwatschinterwjuh und jede PResseerklärung wie eine wichtige nachricht aufbereitet, egal wie menschenverachtend es inhaltlich wird! Ihr seid die scheiße, die man nicht aushalten, sondern bekämpfen und aufhalten muss, statt sie weiter zu ertragen. Ihr seid der kommende faschismus. Ihr seid der feudalismus 2.0. Ihr seid das kommende mittelalter.

#Auto #Daimler #Epic #Fail #KI #Link #McKinsey #ntv #Pseudowissenschaft #TUBerlin #Wahnsinn

elsa_capunta@diasp.eu

AVAST mis en demeure d'arreter de vendre les données personnelles...

... récoltées avec ses applis "vie privée" et son antivirus...

Le scandale avait éclaté début 2020. Suite à une fuite de documents, on apprenait qu'une filiale de Avast se vantait de vendre "chaque clic, chaque donnée d'achat, chaque donnée de recherche, quelque soit le site".
Données récoltées entre 2014 et 2020, principalement avec l'antivirus Avast
100 millions d'ordinateurs impactés !
Les données incluaient aussi : recherches d'emploi, recherches g.maps, visites sur UT ou LinkedIn, sites pornos...
Parmi ses clients : #Homedepot #Google #Microsoft #Pepsi #McKinsey #Yelp #tripadvisor ...
Aujourd'hui, donc 4 ans après, la firme devra payer une amende de16,5 millions de dollars, et renoncer à vendre des données.
Depuis les faits incriminés, Avast a été racheté par une autre entreprise.
Sources : https://arstechnica.com/tech-policy/2024/02/avast-ordered-to-stop-selling-browsing-data-from-its-browsing-privacy-apps/
https://www.vice.com/en/article/qjdkq7/avast-antivirus-sells-user-browsing-data-investigation

#avast #vieprivée #privacy #antivirus #addons #extensions #apps #données #data

mlah@diaspora.psyco.fr

L’entreprise « monde » BlackRock sévit en France de diverses manières. Dégâts et conséquences futures sont à dire à nos élus. Ainsi
informés nous activerons nos élus pour stopper l’étouffement de notre pays par cette pieuvre financière toute puissante. Pieuvre à laquelle aucun homme politique ne peut résister s’il n’a pas le peuple informé pour le soutenir et le pousser à agir.
L’entreprise « monde » BlackRock sévit en France de diverses manières. Dégâts et conséquences futures sont à dire à nos élus. Ainsi
informés nous activerons nos élus pour stopper l’étouffement de notre pays par cette pieuvre financière toute puissante. Pieuvre à laquelle aucun homme politique ne peut résister s’il n’a pas le peuple informé pour le soutenir et le pousser à agir.

QUI EST BLACKROCK ? Cherchez vous même avec les mots entre crochets
sur Internet : [BlackRock infiltre état français ] et aussi [wikipedia BlackRock]

BlackRock dirigée par Larry Fink est une société multinationale américaine créée en 1988 spécialisée dans la gestion d'actifs côtés en Bourse (siège social New York) BlackRock brasse environ 10 000 milliards de dollars et s’est beaucoupdéveloppée après le hold up financier mondial de 2008. #BlackRock,#Vanguard et State Street brassent ensemble près de 20 000 milliards d’euros.
Les fondateurs sont d’anciens salariés de First Boston et Lehman Brothers…

La filiale française crée en 2006 gère 26 milliards d'euros de fonds confiés par des français et est dirigée depuis 2016 par Jean-François Cirelli (haut fonctionnaire issu de Bercy) :
• Énarque et ancien conseiller économique de Jacques Chirac à l'Elysée en 1995
• Pilote en tant que conseiller économique à Matignon pour le passage à l’euro
• Pilote la réforme des retraites de 2003 en tant que directeur adjoint à Matignon
(Raffarin 1er ministre)
• PDG de l’entreprise publique Gaz de France de 2004 à 2015 qu’il privatise dès 2006 puis PDG de Suez en 2015.
• Il rentre chez #McKinsey pendant 1 an puis recruté par BlackRock en 2016
Objectif :
• Jean-François Cirelli veut rendre automatique l’adhésion à un plan d’épargne
retraite par capitalisation par un prélèvement obligatoire sur les salaires de tous les français, de façon à s’assurer que les changements de gouvernement ne puissent pas le remettre en cause.
Voir ici

POIDS DE BLACKROCK EN FRANCE ET EN EUROPE ?
• En 2022, le gouvernement Français reçoit du CAC40 1,7 milliards de dividendes pendant que BlackRock en reçoit 1,5 milliards…
• La notation bancaire de la France baisse, les intérêts augmentent. La France est sous la coupe de Larry Fink qui contrôle 30 % de la dette, le triplement des intérêts fait que nos impôts ne suffisent plus à payer, il faut réduire le social.
• Le logiciel Aladdin de gestion d’actifs de BlackRock compte 5000 ordinateurs et gère 41.000 milliards de dollars.
Exemple tuant : l’Europe est gérée par #Aladdin
👿 Comment l’IA de BlackRock pourrait détruire l'économie ? (documentaire) Durée : 16:45

jabgoe2089@hub.netzgemeinde.eu

das ist genau das, was wir brauchen und was sich ganz bestimmt auch irgendwie rechnet, für mckinsey. wir bauen so viel erneuerbare energieerzeuger auf, dass wir deren gigantischen überschüsse alle in die wassestoffproduktion stecken. die blähen wir dann so stark auf, dass die nötigen abnehmer (chem industrie und dergleichen) so viel übrig lassen, dass wir diesen rest dann bei bedarf, bei dunkelflauten, an umgewidmete gaskraftwerke verfüttern können.

das hat die selbe qualität wie der magische wunsch nach plötzlicher, abfallfreier atomkraft zur bekämpfung des klimawandels ... nein, eigentlich ist es schlimmer ...

mit kompetenz verdient mckinsey wohl nicht sein geld.

#erneuerbare-energien #wirtschaft #mckinsey #fantasie

Image/photoFefebot wrote the following post Tue, 23 Jan 2024 12:56:04 +0100

[l] Ach! Ach nee! Ihr ahnt ja gar nicht, wer hinter diesem hirnrissigen Wasserstoff-Bullshit steckt, mit dem unsere ahnungslosen Polit-Deppen seit Monaten hausieren gehen.

Ja! McKinsey! Die mit der negativen Effizienz!

Und was sagen die so? Die sagen, wir sollten in Bayern weniger Energie aus Erneuerbaren gewinnen und mehr Gaskraftwerke bauen. Ja, wirklich. Erdgas! Begründung: Die könnte man ja auch so bauen, dass die dann irgendwann einfach Wasserstoff verfeuern statt Erdgas!1!!

Der gegenüber den aktuellen Planungen in 2035 leicht höhere CO 2 -Ausstoß (29 vs. 24 Mt; derzeit 256 Mt in 2022) könnte mit H 2 als Energieträger (oder durch CCUS – Carbon Capture and Storage) reduziert werden, sodass in beiden Szenarien eine gleiche Emissionsreduzierung um fast 90% gegenüber 2022 erreicht wird und der Emissionsanteil des Energiesektors von aktuell etwa 37% auf 8 bis 10% des deutschen Emissionsziels im Jahr 2035 sinkt.

Da muss nur kurz ein Genie einen technischen Durchbruch erzielen und wir müssten ein-zwei mirakulöse Wunder in Reihe schalten, aber dann könnte theoretisch, also, äh, vielleicht, weil die Tech existiert ja nicht, daher wissen wir nicht. Aber hey, wer uns fragt, ist ja eh nicht an der Realität interessiert!

Verbesserte Versorgungssicherheit. Insbesondere bei Dunkelflauten in den Wintermonaten und zu Spitzenlastzeiten kann der deutschlandweite Bedarf vollständig mit inländischer Erzeugungskapazität gedeckt werden, statt wie derzeit prognostiziert mit bis zu 30 GW Kapazität (entspricht ca. 20 Großkraftwerken) im Jahr 2035 vom Ausland abzuhängen.

Ooooder, you know, wir könnten in Speicher investieren. Wissen schon. Batterien. Pumpkraftwerke. Schwingräder. Betonkugeln im Bodensee. IRGENDWAS davon!

Höhere Wirtschaftlichkeit. Die Investitionen sind in unserer Analyse um ca. 20% geringer – also um rund 150 Mrd. EUR bis zum Jahr 2035. Gleichzeitig ist der Endkundenpreis 2035 mit etwa 42 bis 44 ct/kWh um mehr als 10% geringer als bei der Umsetzung der aktuellen Pläne mit einem prognostizierten Anstieg auf 47 bis 49 ct/kWh.

Bei unseren Projekten prognostizieren wir natürlich keinen Preisanstieg. Wir prognostizieren auch nicht, dass die viel teurer werden und länger brauchen, wie in der Vergangenheit immer geschehen.

Aber der größte Lacher ist das hier:

Die Studie hat McKinsey unabhängig und auf eigene Initiative erstellt – also ohne

Auftraggeber und Bezahlung.

Die Bezahlung kommt später. Das ist sozusagen die Korruptions-Bewerbung. Jetzt muss nur noch ein Triebtäter von der Union aufspringen und kann dann McKinsey als "Beweis" vorzeigen, dass es auch ohne geht. Jedenfalls in seiner Lebenszeit, die noch 5-10 Jahre dauert. Nach ihm die Sintflut. Äh, die Ahrflut.

#fefebot #EU

xrlavache@diaspora.psyco.fr

Le double jeu du cabinet McKinsey sur le climat, selon des lanceurs d'alerte

McKinsey, plus grand cabinet de conseil au monde, se sert de son influence dans les préparatifs de la COP28 pour défendre les intérêts de ses clients pétrogaziers, sapant les efforts pour sortir des énergies fossiles, selon plusieurs sources et document consultés par l'AFP. En coulisses, l'américain McKinsey & Company a fourni aux organisateurs émiratis de la 28e conférence sur le climat des Nations unies des scénarios sur l'avenir du secteur énergétique mondial qui sont en contradiction avec les objectifs climatiques que le cabinet affiche publiquement, révèle l'enquête de l'AFP. Un "récit de la transition énergétique", rédigé par le cabinet et consulté par l'AFP, prévoit une réduction de la consommation de pétrole de seulement 50 % d'ici 2050, et évoque des milliers de milliards de dollars d'investissements annuels dans le pétrole et le gaz d'ici là. McKinsey, dont les grands clients des hydrocarbures vont de l'américain ExxonMobil à la compagnie nationale saoudienne Aramco, est l'un des nombreux cabinets qui conseillent gratuitement les Émirats arabes unis, puissance pétrogazière hôte des cruciales négociations de près de 200 pays à la COP28, qui débuteront le 30 novembre à Dubaï.

Celles-ci seront présidées par Sultan Al Jaber, également patron de la compagnie pétrogazière émiratie Adnoc. L'année 2023 sera vraisemblablement la plus chaude jamais mesurée et les émissions de gaz à effet de serre continuent d'augmenter à des niveaux sans précédent, malgré l'alarme sonnée par les scientifiques et la multiplication des catastrophes climatiques. Pendant ce temps, McKinsey "appelle ouvertement et sans vergogne à abaisser les ambitions sur l'élimination du pétrole au sein même de la présidence de la COP28", a déclaré une source ayant assisté à des réunions confidentielles avec les hôtes du sommet. "Le développement durable est une priorité essentielle" de McKinsey, a répondu à l'AFP un porte-parole du groupe qui se dit résolument engagé dans le soutien à la décarbonation des entreprises qu'il conseille.

"Nous sommes fiers de soutenir la COP28 en fournissant des informations et des analyses stratégiques, ainsi qu'une expertise sectorielle et technique", a-t-il ajouté.

"Au plus haut niveau"

Certains des concurrents de McKinsey exerçant aussi des activités à Dubaï travaillent à trouver de véritables solutions climatiques, rapportent trois participants à des réunions préparatoires de la COP28 de haut niveau, qui ont demandé à préserver l'anonymat. "Mais il était très clair dès le départ que McKinsey avait un conflit d'intérêts", a déclaré l'une de ces sources qui a pris part aux discussions confidentielles de la présidence de la COP28. "Ils donnaient des conseils au plus haut niveau qui n'étaient pas dans l'intérêt du président de la COP en sa qualité de responsable d'un accord multilatéral sur le climat, mais dans l'intérêt du président de la COP en sa qualité de PDG de l'une des plus grandes compagnies pétrogazières de la région", a-t-elle ajouté. Des documents confidentiels consultés par l'AFP le confirment.

Le plan de transition préparé par McKinsey pour la présidence de la COP28, que l'AFP a pu voir, "donne l'impression d'avoir été écrit par l'industrie pétrolière, pour l'industrie pétrolière", estime l'expert des marchés financiers Kingsmill Bond. "Il ne s'agit clairement pas d'une trajectoire crédible vers l'objectif de zéro émission nette", analyse cet expert du centre de réflexion Rocky Mountain Institute. Joint par l'AFP, un porte-parole de la présidence de la COP28 confirme que "McKinsey soutient la COP28 en fournissant de l'expertise et des analyses à titre gracieux". Mais dire que le cabinet a présenté des scénarios incompatibles avec les objectifs climatiques mondiaux "est tout simplement incorrect", ajoute-t-il.

Le double de pétrole et de gaz

Structuré comme un cabinet d'avocats, McKinsey emploie environ 35.000 personnes dans le monde, dont 2.500 associés, pour un chiffre d'affaires d'environ 15 milliards de dollars en 2022. Par l'accord de Paris en 2015, les nations se sont engagées à limiter le réchauffement climatique bien en dessous de 2°C et si possible 1,5°C. Selon les experts climat du Giec, l'économie mondiale devait être neutre en carbone d'ici 2050 pour espérer rester sous ce seuil plus ambitieux. "En moyenne, 40 à 50 millions de barils par jour de pétrole devraient encore être utilisés en 2050", contre environ 100 millions aujourd'hui, dit le scénario de McKinsey. Ces volumes constitueraient le double des quantités maximum recommandées par la feuille de route zéro émission nette de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), souligne Jim Williams, spécialiste des stratégies de décarbonation à l'université de San Francisco.

Selon l'AIE, les technologies d'émissions négatives, par captage du CO2 dans l'atmosphère, devraient être multipliées par 100.000 d'ici 2050 pour atteindre l'objectif d'un monde neutre en carbone, un défi colossal et sans garantie de succès. Or le scénario de McKinsey en nécessiterait probablement au moins le double, d'après des experts. Ce plan "implique d'atteindre une échelle beaucoup plus importante de déploiement des technologies" de captage du CO2, "ou bien une sortie beaucoup plus rapide du charbon et du gaz", selon Mike Coffin, ancien géologue chez BP devenu expert du groupe de réflexion Carbon Tracker. Le projet de McKinsey pour la COP28 évoque 2.700 milliards de dollars par an de nouveaux investissements dans le pétrole et le gaz jusqu'au milieu du siècle, bien plus que ce que recommande l'AIE.

"Même dans la situation actuelle et en l'absence de nouvelles politiques climatiques, nous prévoyons que la demande mondiale de pétrole atteindra son maximum au cours de cette décennie", a récemment déclaré Fatih Birol, directeur exécutif de l'AIE. Mais de nombreuses majors - encouragées par les bénéfices élevés engrangés grâce à la hausse des prix due à la guerre en Ukraine - sont revenues sur leurs engagements de transition vers les renouvelables... voire ont redoublé leurs investissements dans les hydrocarbures. "Nous continuerons de faire ce que nous savons faire de mieux", a répondu Darren Woods, PDG d'ExxonMobil, lors d'une interview publiée en septembre sur le site de McKinsey, dans laquelle il explique pourquoi l'entreprise s'est tenue à l'écart des éoliennes et du solaire.

Rébellion interne

En 2021, le travail de McKinsey auprès de l'industrie des énergies fossiles a déclenché une rébellion dans ses propres rangs. Plus de 1.100 employés ont signé une lettre interne, consultée par l'AFP, avertissant de l'existence d'un "risque significatif pour McKinsey et pour nos valeurs de poursuivre la voie actuelle". "Notre inaction (ou peut-être notre soutien) au sujet des émissions des clients pose un risque sérieux pour notre réputation" et "pour les relations avec nos clients", écrivent-ils. "Depuis plusieurs années, nous disons au monde d'être audacieux et de s'aligner sur une trajectoire d'émissions pour 1,5°C; il est grand temps que nous appliquions notre propre conseil", poursuivent-ils.

Selon le porte-parole de McKinsey, le cabinet s'est engagé à aider ses clients à atteindre l'objectif de zéro émission nette d'ici 2050 et cela implique de travailler avec des "secteurs à fortes émissions". "Se désengager de ces secteurs ne contribuerait en rien à résoudre le problème du climat", ajoute McKinsey.

"Besoin d'aide"

De nombreuses entreprises font appel à des cabinets de conseil pour se préparer aux risques climatiques comme aux débouchés de la transition écologique. "Nous avons besoin de l'aide des cabinets de conseil car nous devons passer à l'action, et très rapidement", affirme Bob Ward, du Grantham Research Institute on Climate Change à la London School of Economics. "Mais il est essentiel qu'ils travaillent activement à la transition plutôt que d'essayer de la ralentir en raison des intérêts des acteurs en place, telles que l'industrie des énergies fossiles", ajoute-t-il. Les grands acteurs du marché - McKinsey, Boston Consulting Group et Bain - embauchent des diplômés de haut niveau avec des salaires à six chiffres pour élaborer des stratégies pour leurs clients.

Un document de McKinsey de 2022 promouvant les marchés privés du carbone, consulté par l'AFP, identifie plusieurs de ses clients importants, dont les sociétés pétrolières Chevron et BP, l'électricien Drax et le géant minier Rio Tinto. La plus grande compagnie pétrolière mondiale, Aramco, n'a pas souhaité répondre à l'AFP sur ses relations avec McKinsey. McKinsey affirme avoir aidé des clients du secteur de la santé à développer leur parc solaire, des fabricants d'éoliennes à devenir plus compétitifs et au moins un pays en développement à produire davantage d'électricité renouvelable, mais ne cite pas les noms de ces clients. "Si nous voulons assurer une baisse maîtrisée de la production de combustibles fossiles, nous ne pouvons pas le faire si ceux qui aident (les entreprises) à gagner de l'argent avec cela continuent de siéger autour de la table", a déclaré à l'AFP Pascoe Sabido, du groupe de réflexion Corporate Europe Observatory.

Conseil en hydrocarbures

Il y a un "angle mort" juridique sur le rôle des cabinets de conseil dans la crise climatique, ajoute-t-il: "le lobbying et les arrangements en catimini (...) y sont beaucoup plus dangereux parce qu'il y a beaucoup moins de comptes à rendre". La politique de McKinsey l'a conduit à faire plusieurs fois les gros titres. Ces deux dernières années, le cabinet, qui conteste toute faute, a été contraint de débourser des centaines de millions de dollars pour solder des poursuites, après avoir été accusé d'alimenter la crise des opioïdes par ses conseils aux laboratoires pharmaceutiques. De nombreuses enquêtes ont montré que les géants des hydrocarbures étaient conscients des impacts du réchauffement climatique dès les années 1970, grâce aux travaux de leurs propres scientifiques, tout en tentant de saper la confiance dans les travaux des climatologues parvenus aux mêmes conclusions.

McKinsey est "capable de faire du bon travail pour aider ses clients à naviguer dans la transition énergétique, mais ce travail fait pâle figure à côté de ce qu'il fait pour le pétrole et le gaz", estime un ancien consultant du cabinet, qui a requis l'anonymat car tenu par un accord de non-divulgation. "Ils sont au service des plus grands pollueurs du monde", assène-t-il. "La meilleure façon de comprendre cette société, c'est de la considérer comme le plus puissant cabinet de conseil en pétrole et en gaz de la planète, qui se présente comme un acteur du développement durable tout en conseillant ses clients pollueurs sur toutes les possibilités de préserver le statu quo".

#afp #mckinsey #climat #lanceurs-d'alerte #double-jeu #cop28 #pétrogaziers #énergies-fossiles #conférence-sur-le-climat #nations-unies #onu #transition-énergétique #consommation #pétrole #investissements #gaz #hydrocarbures #exxonmobil #aramco #émirats-arabes-unis #dubaï #al-jaber #adnoc #émissions #ges #effet-de-serre #alarme #catastrophes-climatiques #développement-durable #décarbonation #conflit-d-intérêts #industrie-pétrolière #zéro-émission #carbone #aie #éoliennes #solaire #inaction #transition-écologique #transition #électricité #renouvelable #argent #crise-climatique #lobbying #politique #réchauffement-climatique #pollueurs #status-quo

frenchhope@diaspora-fr.org

Duval Philippe sur Twitter : "Connaissez vous la famille du nouveau ministre de la santé Aurélien Rousseau ? Sa femme, Marguerite Cazeneuve est une ex-McKinsey. Elle a été directrice de l'assurance maladie, conseillère de Jean Castex et d'Emmanuel Macron pour la réforme des retraites 1/3 https://t.co/ vsFisYLjP7" / Twitter

#politique #santé #mckinsey

bliter@diaspora-fr.org

L' envers du #mensonge était-il protégé par #LouisXIV ? - #Campagnol

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https://www.youtube.com/watch?v=7xyBd6ZztCQ
Les #dictatures #McKinsey finiront-elles aspirées par le trou noir de Rennes-le-château ?

https://odysee.com/@campagnoltvl:2/rennes:3
https://crowdbunker.com/channel/srBOV4Ke

Et un #documentaire sur le sujet
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Périllos - Avec André Douzet

André #Douzet nous raconte l' #histoire de #Périllos, un #village #abandonné dans les #Pyrénées #Orientales. Il présente les #seigneurs du lieu, qui auraient, d'après certaines #légendes, gardé le #secret de #tombeaux #royaux et #sacrés sur leurs #terres.

A l'aide de #documents #historiques et de #recherches sur place, il nous explique en quoi le #mystère de #Rennes-le-Château peut être résolu si l'on suit, comme l' #Abbé #Saunière, la #destination de Périllos.

#politique

berternste2@diasp.nl

Een bikkelhard boek over de rol van consultancy in de publieke sector: ‘De overheid infantiliseert’

De Volkskrant

Ministeries in Nederland geven jaarlijks miljarden uit aan extern personeel zoals consultants. Rosie Collington (30) deed onderzoek naar de consultancy-industrie. Ze waarschuwt ervoor dat de publieke sector wordt uitgehold door een bedrijfstak vol belangenverstrengeling.

Politici en publiek hebben het geloof in publieke diensten verloren, zegt Rosie Collington. En mensen die in de publieke sector werken, hebben het vertrouwen in zichzelf verloren. Dat is volgens haar, in de kern, de reden dat complete overheidstaken zijn overgenomen door consultants. ‘Ze bedenken beleid én voeren het uit.’ Welke dramatische gevolgen dat heeft, zet Collington (30) uiteen in het net verschenen boek De Consultancy Industrie. (...)

(Tekst loopt door onder de foto.)

Foto van Rosie Collington
Politiek econoom en schrijver Rosie Collington. Beeld Carlotta Cardana / de Volkskrant.

Ook de Nederlandse overheid besteedt veel uit. Vorig jaar gaven ministeries een recordbedrag van 2,7 miljard uit aan extern personeel, zoals ict’ers, interim managers én consultants. Dat is ruim 14 procent van het personeelsbudget, ook al is in 2010 afgesproken dat 10 procent het maximum zou moeten zijn. (...)

‘Dat komt niet alleen door de verkooptechnieken van consultants, die hun cliënten ervan overtuigen dat zij neutrale handelaren in expertise zijn, en werkelijk waarde toevoegen. De diepere oorzaak ligt in de geschiedenis, in de manier waarop we binnen het kapitalisme tegen de rol van de overheid aan zijn gaan kijken.’

‘Het is geen toeval dat de uitgaven aan consultants in de jaren ’80, onder Reagan in de Verenigde Staten en onder Thatcher in het Verenigd Koninkrijk, spectaculair zijn gaan stijgen.’ (...)

‘Het voor langere tijd uitbesteden van overheidstaken, dat kwam daarna pas echt goed op gang onder de linkse leiders van de zogenoemde Derde Weg: Clinton in de VS, Blair in het VK en bij jullie Wim Kok.’ (...)

‘De filosofie van de Derde Weg was dat de overheid moest sturen en niet moest roeien. Maar dat is onlogisch. Overheden weten niet hoe ze moeten sturen als ze al zo lang niet zelf meer hebben geroeid. Je hebt eigen, praktische ervaring nodig om te kunnen bepalen wat er moet gebeuren.’ (...)

‘Inkopen kan veel meer kosten dan wanneer je een taak zelf had verricht. Die kosten zijn vooral hoog op de lange termijn. Want we willen als burgers een overheid die zich kan aanpassen als wij nieuwe behoeften hebben. Zoals nu bijvoorbeeld de klimaatcrisis te lijf gaan. Of het reguleren van big tech. Maar doordat de overheid allerlei competenties niet zelf ontwikkelt, verliest zij het vermogen om zich aan te passen aan nieuwe situaties. Daarom schrijven wij dat het uitbesteden van werk aan consultants de overheid infantiliseert.

‘Die theorie van de slanke organisatie gaat uit van een idee over kennis dat volstrekt irreëel is. Alsof je die in een presentatie kan zetten en kan overdragen. Maar met de meeste kennis kan dat niet. Zeker niet in de publieke sector, waar je je hoort te baseren op wat je van dag tot dag leert over je beleidsterrein, je team en vooral de gemeenschap voor wie je beleid is bedoeld. Dat is niet te standaardiseren.

‘Neem klimaatverandering. We weten dat de overheid daar nog heel lang mee bezig zal zijn. Dat maakt het nog logischer om kennis in huis te ontwikkelen. Toch is de klimaatconsultancy geëxplodeerd. En wij zeggen niet dat de overheid nooit met anderen moet samenwerken, uiteraard niet. Dit is geen pleidooi om overheden alles zelf te laten doen. Maar ook om goed samen te werken heb je kennis nodig.’ (...)

‘We vergelijken consultants met een slechte therapeut die zijn cliënten eeuwig in therapie houdt, in plaats van hen te helpen instrumenten te ontwikkelen waarmee zij op eigen benen kunnen staan.’ (...)

De oorspronkelijke, Engelse titel van het boek is The Big Con, de grote zwendel. De schade van het outsourcen, beschrijven Collington en Mazzucato daarin, is vaak pas na jaren te zien. Zo is met het outsourcen van ict al in de jaren ’90 begonnen en pas de laatste jaren worden de gevolgen duidelijk. (...)

Collington wijst er fijntjes op dat buitenproportioneel veel werknemers van de grote consultancyfirma’s werken in belastingparadijzen zoals de Kaaimaneilanden. Het is dus aannemelijk dat zij bedrijven helpen om zo min mogelijk belasting te betalen aan de overheden die ze intussen adviseren. Zo helpen ze dus actief om die overheden te verzwakken. (...)

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