#lobbying

jeymya@diaspora-fr.org
kuchinster@hub.hubzilla.de

Inside Ukraine’s Effort to Win Over Donald Trump

“It has to be good old-fashioned greed,” #Pompeo told TIME in Kyiv after his meeting with #Zelensky. “It has to be a good old-fashioned, commercial, profit-driven, incentive-forming, risk-taking, entrepreneurial model that delivers that sustainable place for Ukraine.” Appealing for American help in the defense of Ukraine’s democracy or its survival as a nation would not be likely to secure Trump's lasting support. “It can’t be a donor base,” Pompeo explains. “It’s not, ‘Hey, we had a donor conference.’ Those are interesting, and they get things rolling perhaps. But they are wholly unsustainable.”

In trying to deliver that message to Trump and his supporters, some of Zelensky’s Republican allies have pointed to the resource wealth Ukraine could offer the U.S. after the war. Senator Lindsey Graham, a Trump ally, hammered on this point in a video he recorded with Zelensky in Kyiv earlier this month. “They’re sitting on a trillion dollars of minerals that could be good to our economy,” said the Republican from North Carolina. “So I want to keep helping our friends in Ukraine.”

...

Back in Kyiv, Zelensky’s allies have spent months trying to influence Trump’s views on the war. Leaders of the country’s vibrant community of #Baptists have reached out repeatedly to Trump’s evangelical allies on Capitol Hill, including House Speaker Mike #Johnson. Victor #Pinchuk, a Ukrainian billionaire on good terms with the Zelensky administration, hired Trump’s former aide Kellyanne #Conway as a lobbyist in Washington for a fee of $50,000 per month. According to official filings with the Justice Department, Conway will advise Pinchuk’s foundation on “the current state of views on Ukraine among US elected officials, candidates, experts, and opinion leaders.” The lobbying agreement expires on Nov. 14, about a week after Election Day, unless both sides agree to extend it.

In mid-September, about a week before Zelensky’s arrival in the U.S., Pinchuk hosted an annual summit in Kyiv that attracted a range of influential guests from the U.S. and Europe. While working on the program, Pinchuk appealed to Boris #Johnson, the former British Prime Minister, to convince Trump to participate via live video link. “Unfortunately I failed completely to get that,” Johnson said at the conference.

https://time.com/7023450/ukraine-effort-donald-trump/

#USA #US #american #election2024 #lobbying #deepstate #neocons #warmongers #MIC #proxy-war #ukraine #ukraineconflict #ukrainian #oligachy #war against #Russia

mlah@diaspora.psyco.fr

Nouvelle étude sur les effets de l'exposition aux ondes radio sur la santé : les lobbies en action ?
Augmentation des cancers du cerveau en France : les chiffres alarmants ignorés par l’OMS
Liens troublants entre chercheurs et industrie : l’indépendance des études en question
#telephoniemobile #cancer #sante #oem #pollutions #addictions #telephone #insupportable #conflitsinterets #recherche #industrie #lobbying #corruption
On dirait que très peu de gens ont lu le rapport BIOINITIATIVE #Bioinitiative #criirem Télécharger le rapport

bliter@diaspora-fr.org

🎙️ #CORRUPTION DES #ELUS : LE #COMBAT D' #ANTICOR ! (avec #ÉliseVanBeneden) [ #PCAT #S03E16] - #JSPC

top

https://www.youtube.com/watch?v=4IXGhDW5XHk

▇ LE SITE D'ANTICOR : https://www.anticor.org/

▇ SOMMAIRE :
00:00:00 - Dans cet épisode
00:01:56 - Présentation de l'invitée
00:02:57 - Définition : la #corruption
00:03:48 - Définition : le #trafic d' #influence
00:04:32 - Définition : le #détournement de #fonds #publics
00:06:15 - Définition : la prise #illégale d' #intérêt
00:09:00 - Définition : l' #infraction de #favoritisme
00:10:06 - Pourquoi ce #combat est important
00:10:54 - Les débuts d' #Anticor
00:11:52 - Pourquoi l' #agrément est important
00:16:46 - Les critères pour avoir l'agrément
00:18:28 - Pourquoi l'agrément a été refusé
00:24:20 - Combien coûte la corruption ?
00:26:45 - Aider les #gens a #lutter contre la #corruption
00:28:21 - Quand deviens-t-on #lanceur d' #alerte ? / #CélineBoussié / La #Loi Sapin II
00:40:40 - Comment se passe le #travail d'Anticor ?
00:42:19 - La Cour de #Justice de la #République / #Dupont-Moretti
00:46:37 - L'affaire des sondages de l' #Elysée... et le " #procès" de #Sarkozy
00:57:50 - Le procès de #Castelain
00:58:43 - Nous sommes très vulnérables à la corruption
01:00:35 - Dix idées pour améliorer la situation (début)
01:12:17 - Dix idées pour améliorer la situation : Le #lobbying
01:19:00 - Dix idées pour améliorer la situation : Le #Pantouflage / Les cabinets de conseil
01:20:10 - Dix idées pour améliorer la situation : Contrôler les #aides #publiques au secteur #privé
01:23:48 - Dix idées pour améliorer la situation : Les #médias
01:30:27 - L' #égalité devant l' #impôt / comment des #entreprises esquivent l' #impôt / le verrou de #Bercy
01:34:52 - La "faute d'orthographe" de Jean Castex : l'affaire de l'agrément
01:42:16 - Les procédures baillons
01:45:35 - De nouveaux #projets !
01:52:34 - Que peuvent faire les gens pour vous aider ?
01:56:27 - Conclusion

#politique #interview

endehorsdelaboite@diaspora-fr.org
mlansbury@despora.de

David Cameron’s Appointment to Cabinet 'Another Reminder Why the House of Lords Must Go'

Former Prime Minister David Cameron’s appointment as Foreign Secretary – despite having left Parliament in 2016 – has triggered fresh calls to abolish the House of Lords.

Cameron replaces James Cleverly, who has moved to ousted cabinet minister Suella Braverman’s former role of Home Secretary.

There is no constitutional requirement for a cabinet minister to be an elected MP, but it is very rare that senior offices of state are held by unelected politicians. Lobbyist Cameron has been handed a seat in the 800-odd member House of Lords for life to take up the role.

Today campaign group Republic demanded a written constitution and elected upper house following the move.

Republic’s CEO, Graham Smith, said: “This appointment joins a string of recent outrages that remind us of the urgent need to ditch the Lords in favour of an elected upper house.

https://bylinetimes.com/2023/11/13/david-camerons-appointment-to-cabinet-another-reminder-why-the-house-of-lords-must-go/

#ElectoralDictatorship #UnitedKingdom #UK #dictatorship #authoritarian #Tory #Tories #ToryDictatorship #ToryFascists #democracy #PR #DemocracyLost #ToryCronyism #BylineTimes #Lords #HouseOfLords #Republic #lobbying #lobbyist #Cameron #DavidCameron

xrlavache@diaspora.psyco.fr

Le double jeu du cabinet McKinsey sur le climat, selon des lanceurs d'alerte

McKinsey, plus grand cabinet de conseil au monde, se sert de son influence dans les préparatifs de la COP28 pour défendre les intérêts de ses clients pétrogaziers, sapant les efforts pour sortir des énergies fossiles, selon plusieurs sources et document consultés par l'AFP. En coulisses, l'américain McKinsey & Company a fourni aux organisateurs émiratis de la 28e conférence sur le climat des Nations unies des scénarios sur l'avenir du secteur énergétique mondial qui sont en contradiction avec les objectifs climatiques que le cabinet affiche publiquement, révèle l'enquête de l'AFP. Un "récit de la transition énergétique", rédigé par le cabinet et consulté par l'AFP, prévoit une réduction de la consommation de pétrole de seulement 50 % d'ici 2050, et évoque des milliers de milliards de dollars d'investissements annuels dans le pétrole et le gaz d'ici là. McKinsey, dont les grands clients des hydrocarbures vont de l'américain ExxonMobil à la compagnie nationale saoudienne Aramco, est l'un des nombreux cabinets qui conseillent gratuitement les Émirats arabes unis, puissance pétrogazière hôte des cruciales négociations de près de 200 pays à la COP28, qui débuteront le 30 novembre à Dubaï.

Celles-ci seront présidées par Sultan Al Jaber, également patron de la compagnie pétrogazière émiratie Adnoc. L'année 2023 sera vraisemblablement la plus chaude jamais mesurée et les émissions de gaz à effet de serre continuent d'augmenter à des niveaux sans précédent, malgré l'alarme sonnée par les scientifiques et la multiplication des catastrophes climatiques. Pendant ce temps, McKinsey "appelle ouvertement et sans vergogne à abaisser les ambitions sur l'élimination du pétrole au sein même de la présidence de la COP28", a déclaré une source ayant assisté à des réunions confidentielles avec les hôtes du sommet. "Le développement durable est une priorité essentielle" de McKinsey, a répondu à l'AFP un porte-parole du groupe qui se dit résolument engagé dans le soutien à la décarbonation des entreprises qu'il conseille.

"Nous sommes fiers de soutenir la COP28 en fournissant des informations et des analyses stratégiques, ainsi qu'une expertise sectorielle et technique", a-t-il ajouté.

"Au plus haut niveau"

Certains des concurrents de McKinsey exerçant aussi des activités à Dubaï travaillent à trouver de véritables solutions climatiques, rapportent trois participants à des réunions préparatoires de la COP28 de haut niveau, qui ont demandé à préserver l'anonymat. "Mais il était très clair dès le départ que McKinsey avait un conflit d'intérêts", a déclaré l'une de ces sources qui a pris part aux discussions confidentielles de la présidence de la COP28. "Ils donnaient des conseils au plus haut niveau qui n'étaient pas dans l'intérêt du président de la COP en sa qualité de responsable d'un accord multilatéral sur le climat, mais dans l'intérêt du président de la COP en sa qualité de PDG de l'une des plus grandes compagnies pétrogazières de la région", a-t-elle ajouté. Des documents confidentiels consultés par l'AFP le confirment.

Le plan de transition préparé par McKinsey pour la présidence de la COP28, que l'AFP a pu voir, "donne l'impression d'avoir été écrit par l'industrie pétrolière, pour l'industrie pétrolière", estime l'expert des marchés financiers Kingsmill Bond. "Il ne s'agit clairement pas d'une trajectoire crédible vers l'objectif de zéro émission nette", analyse cet expert du centre de réflexion Rocky Mountain Institute. Joint par l'AFP, un porte-parole de la présidence de la COP28 confirme que "McKinsey soutient la COP28 en fournissant de l'expertise et des analyses à titre gracieux". Mais dire que le cabinet a présenté des scénarios incompatibles avec les objectifs climatiques mondiaux "est tout simplement incorrect", ajoute-t-il.

Le double de pétrole et de gaz

Structuré comme un cabinet d'avocats, McKinsey emploie environ 35.000 personnes dans le monde, dont 2.500 associés, pour un chiffre d'affaires d'environ 15 milliards de dollars en 2022. Par l'accord de Paris en 2015, les nations se sont engagées à limiter le réchauffement climatique bien en dessous de 2°C et si possible 1,5°C. Selon les experts climat du Giec, l'économie mondiale devait être neutre en carbone d'ici 2050 pour espérer rester sous ce seuil plus ambitieux. "En moyenne, 40 à 50 millions de barils par jour de pétrole devraient encore être utilisés en 2050", contre environ 100 millions aujourd'hui, dit le scénario de McKinsey. Ces volumes constitueraient le double des quantités maximum recommandées par la feuille de route zéro émission nette de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), souligne Jim Williams, spécialiste des stratégies de décarbonation à l'université de San Francisco.

Selon l'AIE, les technologies d'émissions négatives, par captage du CO2 dans l'atmosphère, devraient être multipliées par 100.000 d'ici 2050 pour atteindre l'objectif d'un monde neutre en carbone, un défi colossal et sans garantie de succès. Or le scénario de McKinsey en nécessiterait probablement au moins le double, d'après des experts. Ce plan "implique d'atteindre une échelle beaucoup plus importante de déploiement des technologies" de captage du CO2, "ou bien une sortie beaucoup plus rapide du charbon et du gaz", selon Mike Coffin, ancien géologue chez BP devenu expert du groupe de réflexion Carbon Tracker. Le projet de McKinsey pour la COP28 évoque 2.700 milliards de dollars par an de nouveaux investissements dans le pétrole et le gaz jusqu'au milieu du siècle, bien plus que ce que recommande l'AIE.

"Même dans la situation actuelle et en l'absence de nouvelles politiques climatiques, nous prévoyons que la demande mondiale de pétrole atteindra son maximum au cours de cette décennie", a récemment déclaré Fatih Birol, directeur exécutif de l'AIE. Mais de nombreuses majors - encouragées par les bénéfices élevés engrangés grâce à la hausse des prix due à la guerre en Ukraine - sont revenues sur leurs engagements de transition vers les renouvelables... voire ont redoublé leurs investissements dans les hydrocarbures. "Nous continuerons de faire ce que nous savons faire de mieux", a répondu Darren Woods, PDG d'ExxonMobil, lors d'une interview publiée en septembre sur le site de McKinsey, dans laquelle il explique pourquoi l'entreprise s'est tenue à l'écart des éoliennes et du solaire.

Rébellion interne

En 2021, le travail de McKinsey auprès de l'industrie des énergies fossiles a déclenché une rébellion dans ses propres rangs. Plus de 1.100 employés ont signé une lettre interne, consultée par l'AFP, avertissant de l'existence d'un "risque significatif pour McKinsey et pour nos valeurs de poursuivre la voie actuelle". "Notre inaction (ou peut-être notre soutien) au sujet des émissions des clients pose un risque sérieux pour notre réputation" et "pour les relations avec nos clients", écrivent-ils. "Depuis plusieurs années, nous disons au monde d'être audacieux et de s'aligner sur une trajectoire d'émissions pour 1,5°C; il est grand temps que nous appliquions notre propre conseil", poursuivent-ils.

Selon le porte-parole de McKinsey, le cabinet s'est engagé à aider ses clients à atteindre l'objectif de zéro émission nette d'ici 2050 et cela implique de travailler avec des "secteurs à fortes émissions". "Se désengager de ces secteurs ne contribuerait en rien à résoudre le problème du climat", ajoute McKinsey.

"Besoin d'aide"

De nombreuses entreprises font appel à des cabinets de conseil pour se préparer aux risques climatiques comme aux débouchés de la transition écologique. "Nous avons besoin de l'aide des cabinets de conseil car nous devons passer à l'action, et très rapidement", affirme Bob Ward, du Grantham Research Institute on Climate Change à la London School of Economics. "Mais il est essentiel qu'ils travaillent activement à la transition plutôt que d'essayer de la ralentir en raison des intérêts des acteurs en place, telles que l'industrie des énergies fossiles", ajoute-t-il. Les grands acteurs du marché - McKinsey, Boston Consulting Group et Bain - embauchent des diplômés de haut niveau avec des salaires à six chiffres pour élaborer des stratégies pour leurs clients.

Un document de McKinsey de 2022 promouvant les marchés privés du carbone, consulté par l'AFP, identifie plusieurs de ses clients importants, dont les sociétés pétrolières Chevron et BP, l'électricien Drax et le géant minier Rio Tinto. La plus grande compagnie pétrolière mondiale, Aramco, n'a pas souhaité répondre à l'AFP sur ses relations avec McKinsey. McKinsey affirme avoir aidé des clients du secteur de la santé à développer leur parc solaire, des fabricants d'éoliennes à devenir plus compétitifs et au moins un pays en développement à produire davantage d'électricité renouvelable, mais ne cite pas les noms de ces clients. "Si nous voulons assurer une baisse maîtrisée de la production de combustibles fossiles, nous ne pouvons pas le faire si ceux qui aident (les entreprises) à gagner de l'argent avec cela continuent de siéger autour de la table", a déclaré à l'AFP Pascoe Sabido, du groupe de réflexion Corporate Europe Observatory.

Conseil en hydrocarbures

Il y a un "angle mort" juridique sur le rôle des cabinets de conseil dans la crise climatique, ajoute-t-il: "le lobbying et les arrangements en catimini (...) y sont beaucoup plus dangereux parce qu'il y a beaucoup moins de comptes à rendre". La politique de McKinsey l'a conduit à faire plusieurs fois les gros titres. Ces deux dernières années, le cabinet, qui conteste toute faute, a été contraint de débourser des centaines de millions de dollars pour solder des poursuites, après avoir été accusé d'alimenter la crise des opioïdes par ses conseils aux laboratoires pharmaceutiques. De nombreuses enquêtes ont montré que les géants des hydrocarbures étaient conscients des impacts du réchauffement climatique dès les années 1970, grâce aux travaux de leurs propres scientifiques, tout en tentant de saper la confiance dans les travaux des climatologues parvenus aux mêmes conclusions.

McKinsey est "capable de faire du bon travail pour aider ses clients à naviguer dans la transition énergétique, mais ce travail fait pâle figure à côté de ce qu'il fait pour le pétrole et le gaz", estime un ancien consultant du cabinet, qui a requis l'anonymat car tenu par un accord de non-divulgation. "Ils sont au service des plus grands pollueurs du monde", assène-t-il. "La meilleure façon de comprendre cette société, c'est de la considérer comme le plus puissant cabinet de conseil en pétrole et en gaz de la planète, qui se présente comme un acteur du développement durable tout en conseillant ses clients pollueurs sur toutes les possibilités de préserver le statu quo".

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