#antifasciste

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#Bordeaux #6Avril

#Rencontre #Débat #Livre #Antifascisme #antifasciste #Fascisme #ExtremeDroite #Fasciste

Rencontre autour du livre « Dix questions sur l’antifascisme »

Débat : Dix questions sur l’antifascisme, organisé par la librairie du Muget avec le collectif La Horde, dans le cadre du festival L’escale du livre // Samedi 6 avril à 16h au Tn’BAR

Dans le cadre du festival l’Escale du livre, la librairie du Muguet est fière de vous proposer un débat le samedi 6 avril prochain à 16h au Tn’BAR (3 place Pierre Renaudel).

Débat autour du livre Dix questions sur l’antifascisme du collectif La Horde publié aux éditions Libertalia.

À la fois mouvement d’autodéfense et mouvement d’émancipation, pratique politique d’action directe, d’information, d’éducation populaire et de contre-culture, l’antifascisme est bien plus varié que l’image qu’il renvoie dans les médias ou dans le monde politique, où on se plaît à le caricaturer.

En dix chapitres, ce livre présente l’histoire et l’actualité de la lutte antifasciste, ainsi que les enjeux auxquels elle doit faire face. Il a pour ambition de donner suffisamment d’éléments à la fois théoriques et pratiques afin de présenter l’antifascisme dans sa complexité, sa richesse, mais aussi ses contradictions.

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#ActionDirect #Sabotage #Librairie #ExtrêmeDroite #LibrairieSoralienne #Covidonégationniste #Louis-Fouché #Santé #Antifasciste #ReinfoCovid #Désinformation #Covid-19 #Fascistes #IVG #LibérationSexuelle #Féminisme #Antisémite #Complotisme #Transphobe #Confusionnisme #Vaccin

#Paris Attaque de la librairie Vincent contre Fouché et ses amis fascistes

Une explication des raisons pour lesquelles la librairie d’extrême-droite Vincent a été prise pour cible à la veille d’une conférence du covidonégationniste Louis Fouché co-organisée par celle-ci.

Depuis plusieurs semaines, la librairie Vincent se vantait de co-organiser, pour le samedi 10 février, une conférence du covidonégationniste Louis Fouché intitulée « Agonie et renouveau du système de santé ». La riposte antifasciste ne s’est pas faite attendre : quelques camarades sont passé-es dans la nuit précédente repeindre la devanture de la librairie et en détruire la serrure. Louis Fouché n’est pas particulièrement connu à l’extrême-gauche, et la librairie Vincent l’est sans doute encore moins. Les raisons de notre action méritent donc quelques éclaircissements.

Louis Fouché est la figure principale du site ReinfoCovid, qui propage de la désinformation au sujet du Covid-19, minimisant sa gravité et proposant des remèdes alternatifs qui n’en sont pas du tout. Depuis son apparition dans l’espace public à la mi-2020, il a montré encore et encore sa proximité avec l’extrême-droite la plus rance : outre ses interventions fréquentes sur CNews, Sud Radio, Radio Courtoisie, FranceSoir etc., il a collaboré à de nombreuses reprises avec des fascistes tels que Jean Robin, proche d’Égalité et Réconciliation, devant lequel il a clamé son opposition à l’IVG, à la libération sexuelle, et au féminisme en général, ou encore Marc Gabriel Draghi, un autre antisémite forcené. Il a également affirmé que les antifas devaient être « trainés dans la boue ». Cette conférence n’est qu’un énième exemple de sa sympathie pour les fascistes : la librairie Vincent est une librairie soralienne installée dans le 7e arrondissement, qui vend par exemple la lettre d’« information » Faits et documents, à l’origine de la théorie du complot transphobe selon laquelle Brigitte Macron est une femme trans.

Malgré ses positionnements politiques, il est traité avec complaisance par une partie de celleux qui devraient être ses ennemis, parce qu’il mobilise des références prisées à l’extrême-gauche telles qu’Alain Damasio ou Murray Bookchin dans le cadre d’une stratégie confusionniste, et parce que le mouvement antifasciste n’a pas entièrement pris la mesure de la menace continue que constitue le covidonégationnisme. Louis Fouché, comme tous ceux qui nient la gravité du Covid-19, l’efficacité du vaccin et des masques, est un eugéniste, prêt à sacrifier les personnes les plus vulnérables à la maladie. Il est également clair que lui et ses amis sont des fascistes, et doivent désormais être traités comme tel par tou-tes les révolutionnaires. L’objectif de cette expédition nocturne était de faire passer ce message, et de montrer à Fouché et ses collaborateurs qu’ils ne sont pas en sécurité, même au cœur des quartiers bourgeois.

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#Villeurbanne

#ExtrêmeDroite, #Gouvernement, #Répression #Conference #Antifascime #Police #Censure #BD

Cancel Culture : un débat sur la police interdit à Lyon, une BD censurée à la demande de la police à Saint-Malo

Depuis le 29 novembre, une série de conférences, ateliers et concerts se tiennent dans le cadre d’une semaine #antifasciste à Lyon. Ces 2 et 3 décembre, des interventions de militant-es et d’auteur-es autour des violences d’État et de la répression policière devaient avoir lieu à Villeurbanne. La préfecture du #Rhône a pris un arrêté pour interdire les rencontres et discussions du week-end au motif de présumés troubles à l’ordre public.

L’arrêté préfectoral visait notamment l’atelier «Abolir la Police» du collectif Matsuda, qui fournit un travail remarquable sur l’ #abolitionnisme de la police. Les motifs invoqués sont délirants. La discussion porterait atteinte, selon le préfet, aux principes et valeurs de la République. Penser la répression policière deviendrait une menace, un risque de trouble. Dans le même temps les syndicats policiers #séditieux peuvent tranquillement organiser des rassemblements contre la Justice devant l’Assemblée Nationale ou manifester pour le droit de tuer sans que cela ne soit considéré comme un risque de trouble à l’ordre public. L’inversion est totale.

D’autres conférences sur les dissolutions, l’ #anti-terrorisme ou encore l’extrême-droite ont été interdites. Au moment même où des #milices armées #néo-nazies s’activent lors de descentes et mobilisations à caractère raciste sur tout le territoire. L’antifascisme dérange les #fascistes, donc il est interdit de parler d’antifascisme. La préfecture du Rhône est #complice de l’extrême-droite la plus violente, déjà bien implantée localement.

Pendant ce temps en #Bretagne, du côté de #Saint-Malo, une trentaine de planches de la bande dessinée “Koko n’aime pas le capitalisme” étaient exposées lors du festival Quai des Bulles le mois dernier. “Une mise à l’honneur” pour les illustrations de l’artiste tienstiens dans divers lieux publics de la ville. La BD a été vendue à plus de 20.000 exemplaires.

Alors que l’exposition devait se terminer le dimanche 26 novembre, un article de France 3 précisait que les planches avaient été décrochées dès le 17 novembre car des agents de la police municipale jugeaient deux panneaux du dessinateur particulièrement choquants. En ligne de mire, un croquis représentant des choristes chantant l’hymne des militants radicaux : “Tout le monde / Déteste la police” et intitulée “ACAB BCBG”, pour “All Cops Are Bastards” (tous les flics sont des bâtards) et “bon chic bon genre”. Un dessin insupportable pour les policiers municipaux qui, après un simple coup de pression à la mairie, a réussi à faire enlever les affiches de tienstiens illico… Un épisode de censure ahurissant.
Le police a tellement de pouvoir et a acquis tellement d’autonomie qu’elle peut, d’un claquement de doigts, décider de censurer ou d’interdire tout regard critique à son encontre. En route vers la dictature policière ?

#ACAB

anar65@diaspora-fr.org
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#Bloc-Lorraint dissout, ça y est c'est fait !!!

#Antifascisme, #ExtrêmeDroite, #Gouvernement, #Justice, #Solidarité

Et #bonne-Nuit !

🔴 État policier : le Bloc Lorrain officiellement dissout 🔴

La dissolution de l’association militante crée un précédent inquiétant

«Ça y est, c’est tombé en Conseil des Ministres, on est dissout». Ce sont les mots du porte parole de l’association Le #Bloc-Lorrain, basée dans l’Est de la France. Il ajoute : «on va faire un recours au Conseil d’État. On a peur qu’ils se servent de ça pour faire une jurisprudence.»
**
En effet, dans un courrier daté du 21 octobre 2022 que nous avions pu consulter, le #BlocLorrain était accusé par le Ministère de l’ #Intérieur de provoquer **«à des manifestations armées ou à des agissements contre des personnes et des biens»
. Rien que ça.

Mais qui compose le Bloc Lorrain ? Quelles sont ses activités ? La structure est une association loi 1901 qui «regroupe environ 200 adhérents et adhérentes de tous les âges» nous explique son porte-parole. Le collectif se revendique #libertaire, #altermondialiste, #écologiste. À la base, c’est «un groupe de potes, certains militent depuis 20 ans». «On s’est constitué en association en mars 2021, pour mener à bien certaines actions autour de la #justice-sociale

Depuis, le Bloc Lorrain n’a pas ménagé ses efforts. Des maraudes étaient organisées «toutes les semaines, à Nancy, Metz, dans toute la Lorraine». Désormais, il «y a des militants partout dans la région» et même «des sympathisants ailleurs». En deux ans, le Bloc Lorrain a distribué plus de 20.000 repas.

Le collectif réalise aussi des distributions de nourriture aux étudiant-es et vient en aide à des familles de réfugié-es. «On fait aussi des actions environnementales» nous explique le porte-parole. Par exemple, le groupe sort ramasser des tonnes de déchets jetés dans la nature. Des initiatives salutaires, en faveur du bien commun.
C’est un véritable «système alternatif de luttes» qui se met en place. Le Bloc Lorrain pratique l’entraide concrète et lutte dans la rue. «On manifeste aussi, évidemment, on tient les banderoles», ou encore «on milite aussi sur #Bure, contre l’enfouissement des déchets #nucléaires». Le Bloc Lorrain s’est aussi déplacé à Paris lors de grosses manifestations ou à Nantes lors de fêtes de la musique en hommage au jeune #Steve, tué par la police.

C’est sur ce point que le gouvernement veut les attaquer. Le Ministère de l’Intérieur, qui est entré dans une frénésie de dissolution depuis deux ans, a tenté de détruire notre média #Nantes-Révoltée, puis des groupes de #soutien à la "Palestine, et un collectif #antifasciste lyonnais. Auparavant, il avait dissout de nombreuses associations musulmanes, au nom de la lutte contre le «séparatisme». Des procédures d’exception contre les minorités et les opposant-es pendant qu’Éric #Zemmour, condamné pour provocation à la haine raciale et proche de groupes néo-nazis violents, est invité sur tous les plateaux dès qu’il a envie de vomir son #racisme à l’antenne.

Contre le Bloc Lorrain, il n’y a que des accusations floues, basées sur des intentions supposées. Par exemple le gouvernement accuse la structure de «valoriser les débordements» sur sa page Facebook, la diffusion de vidéos de manifestations, ou encore la dénonciation de la #police. Dire la #vérité est désormais interdit en France. Chaque publication ou commentaire sur Facebook semble scrutée, épluchée, pour en déduire que le collectif «incite» à la «commission d’actes violents». On peut difficilement faire plus mensonger : le Bloc Lorrain a organisé une manifestation à Nancy, contre sa dissolution le 29 octobre. Des centaines de personnes avaient défilé dans le calme.

Ce 22 novembre 2022, en Conseil des Ministres, un décret lunaire au nom de la Première Ministre et du Ministre de l’Intérieur a donc entériné la dissolution. Un précédent inquiétant, puisque les procédures contre Nantes Révoltée n’ont pas abouti et que les dissolutions visant les associations pro-Palestine et antifascistes ont été cassées par le conseil d’ #État. Avec cet arrêté contre le Bloc Lorrain, s’il est maintenu, c’est un palier qui est franchi. Demain, n’importe quel #collectif #militant peut être visé. Et après ? Il en va de la survie des maigres #contre-pouvoirs qui existent encore en France.

Pour rappel, les procédures de #dissolution ont été inventés dans les années #1930, en pleine montée du #fascisme et de tensions militaires : il s’agissait de réagir aux nombreux groupes armés d’extrême droite, #fascistes ou #monarchistes, qui préparaient un coup d’État contre la République, commettaient des attentats et avaient attaqué le Parlement. Aujourd’hui, cette procédure est utilisée très largement pour anéantir les groupes d’opposant-es qui font vivre la vie sociale à l’échelle des territoires. L’usage s’est inversé.

Sur sa page Facebook, le Bloc Lorrain déplore : «La 180ème maraude n’aura pas lieu, l’énième ramassage de déchets ne se fera pas ce week-end. Nous n’existerons plus en tant qu’entité. Nous serons dans l’obligation de stopper nos activités, plus de messages, plus de réponses collectives, plus de compte bancaire, plus rien au nom de l’association. Nous ne pourrons plus nous rassembler tous ensemble sous peine de 3 ans de #prison et 45.000 euros d’ #amende

Tout n’est pas fini, car un recours aura lieu au Conseil d’État, probablement dans plusieurs mois. D’ici là, une cagnotte est en ligne et le déroulé de la procédure sera expliqué sur le Média Jaune de Lorraine

fiel@diaspora-fr.org

#Suisse #1932 #Manifestation #Répression

1932-2022 : on n’oublie pas et on continue le combat !

Le 9 novembre 1932, l’armée suisse a tiré sur une manifestation #antifasciste à Genève faisant 13 morts et plus de 60 blessés. Face à une provocation #fasciste, le mouvement ouvrier genevois avait fait bloc dans la rue et affronté la #police et la #gendarmerie. Les autorités avaient fait appel à l’ #armée pour assurer l’ordre bourgeois à balles réelles contre une foule désarmée.

90 ans plus tard nous prenons la rue pour commémorer un des nombreux crimes de l’ #Etat suisse, et l’un des épisodes de répression les plus sanglants de Genève. Nous prenons la rue afin d’honorer la mémoire antifasciste et ouvrière de notre ville. Mais nous prenons la rue également pour appeler à continuer la #lutte, aujourd’hui, pour un avenir digne et une société solidaire.

Gegen krise, krieg und faschismus !

Les #crises, la #guerre et le #fascisme ne font plus partie du passé mais bien du présent. C’est aujourd’hui et maintenant qu’il faut organiser l’autodéfense populaire contre les attaques patronales et les politiques racistes, sécuritaires et militaristes.

A Genève, ces dernières années des groupes d’ #extrême-droite ont tenté de s’implanter sans succès face à un mouvement #antifasciste combatif. Que ça soit en 1932 ou en 2022, l’extrême droite n’a jamais été la bienvenue dans nos rues.

Seulement, il n’y a pas que le problème du « fascisme de rue » qu’il faut contrer. Le #racisme d’Etat, les politiques #antisociales et #néo-libérales ont un réel impact sur notre quotidien et nos vies et représentent un danger bien plus important que les bandes de #néo-nazis. Contre leur monde de contrôle, de domination et d’exploitation : l’organisation est la clef !

Les dernières lois islamophobes, racistes et sécuritaires ainsi que les attaques constantes contre les acquis sociaux et les droits des femmes sont autant de signaux pour illustrer la situation critique dans laquelle nous nous trouvons.

Tenir la rue, tenir la bien !

Face à cette menace nous devons construire un rapport de force pour ensemble tenir tête au capital, aux fascistes et à l’Etat. Comme la classe ouvrière genevoise des années 30, organisons-nous pour ne plus reculer face aux patrons, pour ne pas baisser les yeux face aux fascistes, en bref, défendre les intérêts des #classes-populaires.

Ce 12 novembre retrouvons-nous dans la rue pour commémorer les 90 ans du 9 novembre 1932 et pour lancer un signal fort : on n’oublie pas et un continue le combat !

Sans #mémoire il n’y aura pas d’ #avenir

Action Antifasciste Genève

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Nantes Révoltée

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LE FASCISME TUE, MORT AU FASCISME

➡️ Il y a 9 ans jour pour jour, Clément, 18 ans, était assassiné par une bande de néo-nazis qui portaient des T-Shirts racistes en plein Paris. Immédiatement, les médias avaient transformé la victime en coupable. Les grandes chaînes de télévision avaient donné la parole à des responsables d’extrême droite, diffusé des infographies mensongères présentant le jeune antifasciste en train «d’attaquer de dos» un néonazi. Depuis, l’enquête et le procès ont prouvé que toute cette version médiatique était fausse, que les agresseurs étaient armés de poings américains et cherchaient à en découdre. Mais le mal était fait depuis longtemps. C’était le début d’une longue descente aux enfers. D’une longue criminalisation de l’antifascisme.

➡️ 9 ans plus tard, Macron a rendu hommage à Pétain, nommé des ministres issus de l’extrême droite aux postes clé, et appliqué de nombreux points du programme du Front National. Un chroniqueur pétainiste condamné pour «provocation à la haine raciale» a pu mener campagne avec l’appui de nombreux médias, en proposant la déportation de 1 million de personnes. Les empires télévisuels déversent leur propagande policière, islamophobe et néolibérale au quotidien, dans des dizaines de millions de foyers.

➡️ En parallèle, les nostalgiques d’Hitler ou de Pétain s’affichent au grand jour. L’extrême droite tue, achète des armes, prépare des attentats et parfois les concrétise. Il n’y a pas une semaine sans une agression fasciste, sans un démantèlement de groupe armé, sans une sortie raciste dans les médias. Deux hommes tués par balle à Paris durant la campagne électorale, par des néofascistes. La police, toujours plus armée et impunie vote ultra-majoritairement pour l’extrême droite. Plus que jamais, il est nécessaire de les combattre, de contre-attaquer.

#fascisme #fasciste #extremeDroite #medias #radio #TV #Presse #antifasciste #antifascisme #macron #petain #FN #RN #lepen #zemmour #caîtalisme #neoLiberalisme #liberalisme #néofascistes #Police #acab

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#Nantes-Révoltée

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ALSACE : MARINE LE PEN PREND LA POSE AVEC UN NAZI

Le 1er avril, Marine #LePen se déplaçait dans la commune de #Haguenau en #Alsace. Dans cette ville où l’ #extrême-droite fait des scores importants, un réseau #néo-nazi avait été démantelé par les services anti-terroristes en 2021 : selon les enquêteurs, une cellule s’apprêtait à commettre des attentats.

C’est donc là bas que la candidate du #Rassemblement-National a pris la pose avec une figure de l’extrême droite la plus #violente : un leader d’un groupe de hooligans #néonazis baptisé : «Strasbourg Offender». La photo a été diffusée sur les réseaux sociaux de Marine Le Pen.

Le groupe de #Hooligans dont fait parti l’individu se démarque par sa grande violence en organisant des «fights» contre d’autres supporters, tout en s’impliquant politiquement, notamment aux côté du #Bastion-Social, éphémère groupuscule #fasciste issu du Groupe Union Défense – #GUD. Ces hooligans alsaciens ont notamment commis des agressions #racistes aux abords de stades ou attaqué une manifestation contre la «Loi de sécurité globale» à Stasbourg.

Le crane rasé qui pose avec la candidate figurait sur la liste du #Front-National aux élections municipales de Haguenau en 2014. Il était aux côté d’un autre nostalgique d’ #Hitler : Thibaud #Rufra, l’un des individus arrêtés l’an dernier pour un projet d’ #attentat. Celui ci se faisait surnommer «Thibault Aryan» par ses copains, et porte un tatouage #nazi sur le torse.

Avant cela, le même leader hooligan sur la photo avec Marine Le Pen était également membre du groupuscule nazi Elsass Korps dissout par le gouvernement De Villepin pour leurs nombreuses agressions et la dégradation en série de cimetières juifs.

Eric #Zemmour a mené une candidature #néo-fasciste assumée, réhabilitant #Pétain, et proposant la déportation d’1 million de personnes.
Pendant ce temps, l’héritière du clan Le Pen n’a pas fait campagne : les #médias l’ont faite pour elle. Elle s’est faite discrète, n’a pas organisé de grand meeting, et a attendu son heure, en capitalisant sur l’ambiance brune qui plane sur la France et la « #dédiabolisation» dont elle bénéficie. Si elle passe au second tour face à #Macron, cette fois ci, elle pourrait bien gagner.

L’extrême droite est littéralement aux portes du pays. Et le dernier geste politique du gouvernement aura été de dissoudre un groupe #antifasciste.

Sources :

Le journaliste Guillaume Krempp : https://twitter.com/GuillaumeKrempp/status/1510206901337874435

Et : https://www.rue89strasbourg.com/avant-son-projet-dattentat-le-neonazi-de-haguenau-naviguait-entre-fn-et-groupuscules-dultradroite-207151

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#Nantes-Révoltée

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🔴 LE GOUVERNEMENT LANCE LA DISSOLUTION D’UN GROUPE ANTIFASCISTE LYONNAIS ! 🔴

mars 18, 2022

Le Groupe #Antifasciste #Lyon et Environs vient de recevoir une notification de #dissolution

Le scandale continue. Après avoir dissout des associations musulmanes, le gouvernement a essayé de s’attaquer à Nantes Révoltée, et vient de dissoudre des collectifs locaux de soutien à la Palestine.

Aujourd’hui, c’est au tour du Groupe Antifasciste Lyon et Environ. Il est très clair que l’objectif de l’État français est d’anéantir tous les #contre-pouvoirs existant dans les villes. Qu’il s’agisse d’associations, de médias #indépendants, de groupes #militants.

«Dissoudre les #antifas et les #antiracistes» est un vieux rêve des partis #fascistes. Le gouvernement le réalise. Concernant le collectif #Palestine Vaincra, le gouvernement les accuse de ne «pas avoir modéré les commentaires» publiés par des anonymes sur leur page Facebook, ou «d’appeler au boycott». Des arguments dérisoires. Pour les antifascistes lyonnais, c’est le fait de relayer des appels à manifester qui est mis en cause. C’est extrêmement grave. Quiconque relaie un appel à lutter est désormais potentiellement visé par une procédure d’exception.

Ce #gouvernement #autoritaire n’a plus aucune limite. Réagissons avant qu’il ne soit trop tard, demain, c’est vous !

Le texte de nos camarades :

«Depuis décembre 2021, la préfecture fait peser sur notre groupe la menace d’une possible #dissolution. Ses fondements ? Le relais via les réseaux du groupe d’une vidéo du Lyon Antifa Fest montrant notamment des slogans #anti-police lors d’un concert, puis quelques mois plus tard celui de l’appel du mouvement «Les Soulèvements de la terre» à assiéger #Bayer-Monsanto le 5 mars à Lyon.

#Darmanin a indiqué vouloir dissoudre le groupe, après avoir fait un signalement au ministère de la #justice, et demandé aux services du ministère de l’intérieur d’entamer des investigations sur la GALE et le Lyon Antifa Fest.

Ce jeudi 17 mars des documents de déclenchement de la procédure de dissolution ont été notifiés à des individus considérés par la préfecture comme appartenant à notre groupe. Depuis mercredi 16 mars, c’est un véritable dispositif de harcèlement qui s’est mis en place : des militant.e.s ont été suivi.e.s dans la rue jusqu’à leur domicile et leur travail, iels sont harcelé.e.s au téléphone par la #police lyonnaise, venue sonner et tambouriner aux portes très tôt le matin et à plusieurs reprises dans la journée.

Nous ne sommes bien sûr pas surpris.e.s par cet acharnement, dans un contexte où le gouvernement ne se cache pas d’être en campagne de #criminalisation des #organisations que les médias qualifient «d’ #ultra gauche». D’autres groupes politiques tels que le média #NantesRévoltée et plus récemment les associations Comité Action Palestine et le Collectif Palestine Vaincra sont également visés, voire même déjà dissous. N’oublions pas non plus la dissolution visant les associations musulmanes comme le CCIF. C’est pour cette raison que nous avons toujours refusé d’alimenter les outils répressifs de l’état même s’il est utile de rappeler que la procédure de dissolution a historiquement été établi contre les ligues fascistes des années 30.

Cette dissolution ne nous fait pas peur. L’excitation de Darmanin à dissoudre tous les groupes dits d’«ultra-gauche» est un coup électoral pour attirer les électeurs de droite. C’est aussi un moyen de réprimer un mouvement d’ampleur qui se prépare face à un potentiel second quinquennat du gouvernement #Macron qui s’apprête à poursuivre sa #politique #antisociale et #raciste. Cette procédure témoigne d’une double-méprise des gouvernants.

La première c’est de penser qu’en dissolvant des groupes on arrête des mouvements de contestation, qu’on arrête la #pensée émancipatrice de se diffuser et la critique de se poursuivre. Au contraire, nous espérons que ces démarches #politiciennes auront l’effet inverse. De fait, le procès des 7 antifascistes a eu pour seul effet de resserrer des liens déjà existants et de créer un mouvement de #soutien d’ampleur. Cette #répression est pour nous l’occasion de construire à nouveau un rapport de force et ce avec tout notre camp politique.

La seconde méprise c’est de penser que nos organisations reprennent les mêmes structures hiérarchiques que celles des institutions : que nous avons des bureaucrates, des chef.fe.s, des représentant.e.s et qu’en les déboutant et en les faisant taire ils annihileront les #luttes. On a beau leur expliquer, ils ne comprennent pas ou peut-être pensent-ils qu’il est préférable de nous pousser dans la clandestinité ? Par cette dissolution c’est l’ #autonomie lyonnaise qui est visée. Or c’est beaucoup donner à la GALE que de penser qu’elle représente tout un mouvement qui par essence est hétérogène, disparate et massif.

Encore une fois, les fantasmes du gouvernement alimentent une répression sans précédent : la dissolution d’un groupe antifasciste. Ceci est un appel à un #soutien d’ampleur de la part de tous nos allié.e.s et des forces #progressistes dans leur ensemble. Depuis quelques mois, notre camp social vit un basculement répressif, faire bloc est notre seule issue. On ne dissout pas la #révolte qui gronde. À jamais antifasciste.»

Source du communiqué : https://groupeantifascistelyonenvirons.wordpress.com/2022/03/18/procedure-de-dissolution-du-groupe-antifasciste-lyon-et-environs/

Une interview : https://www.rue89lyon.fr/2022/03/18/une-procedure-de-dissolution-engagee-contre-le-groupe-antifasciste-lyon-et-environs/

legeneralmidi@diaspora.psyco.fr

Des radicaux d’extrême droite attaquent une conférence #antifasciste à Strasbourg

Une vingtaine d’assaillants, identifiés par les victimes comme membres du groupuscule #néonazi Strasbourg Offender, ont fait deux blessés vendredi soir. Un fait divers de plus à ajouter à la litanie des violences d’ #ultradroite perpétrées ces dernières années.

«[Vendredi] soir, une vingtaine de nazis ont attaqué la Maison des syndicats où se tenait une table ronde du collectif antifasciste 67», a condamné Cem Yoldas, porte-parole de la Jeune Garde Strasbourg sur Twitter samedi, vidéo à l’appui. (Twitter Cem Yoldas)
par Maxime Macé et Pierre Plottu
publié le 27 février 2022 à 12h35

Il est autour de 22 heures, vendredi soir à Strasbourg, lorsqu’un commando d’extrême droite se déchaîne soudain. Entre 15 à 20 personnes, selon les différents témoignages, ont attaqué, à coups de bâtons et de projectiles, une conférence #antifasciste qui se tenait à la Maison des syndicats, dans le centre-ville. Des militants de gauche présents sur place, dont un responsable du groupe antifasciste Jeune Garde contacté par #Libération, désignent des néonazis héritiers du GUD comme les assaillants. Deux blessés légers sont à dénombrer.

«[Vendredi] soir, une vingtaine de #nazis ont attaqué la Maison des syndicats où se tenait une table ronde du collectif antifasciste 67», a condamné Cem Yoldas, porte-parole de la Jeune Garde #Strasbourg sur Twitter samedi, vidéo à l’appui. «On les a empêchés de rentrer dans la Maison des syndicats, c’est très grave qu’ils attaquent ce lieu», dénonce le même auprès de Libé. Les images qui circulent en ligne montrent un groupe de jeunes hommes tentant de pénétrer dans le bâtiment mais se heurtant au service d’ordre qui en défend l’entrée. S’ensuivent de longues minutes de violences à coups de bâtons et de projectiles lancés par les assaillants, tandis que les militants de gauche tiennent l’embrasure de l’entrée. Les Dernières Nouvelles d’Alsace ont recensé deux blessés parmi ces derniers, l’un ayant eu une dent cassée, un autre ayant dû se faire poser des points de suture à la tête.

Hier soir, une vingtaine de nazis ont attaqué la maison des syndicats où se tenait une table ronde du collectif antifasciste 67.
Heureusement ils ont étés repoussés par le service d'ordre de l'événement. pic.twitter.com/1kiMvGSqwk

— Cem Yoldas (@CemYoldass) February 26, 2022
Cette conférence réunissant une historienne, une autrice, un syndicaliste et un membre de la #JeuneGarde avait pour thème le danger fasciste en France et une centaine de personnes y assistaient, détaille Rue89 Strasbourg. Le site d’actu a recueilli le témoignage d’une riveraine «choquée par une scène d’extrême violence».

La mouvance d’extrême droite radicale a revendiqué l’attaque via ses canaux habituels. Un compte rendu partial, viriliste, accompagné d’une vidéo des violences en version longue. Mais qui omet de nommer un auteur. Les participants à la réunion désignent pourtant clairement Strasbourg Offender, des hooligans néonazis supporters du RC Strasbourg (RCS). «On les a formellement reconnus, assure Cem Yoldas. Et ça criait “ #RCShooligan” !»

Des anciens du GUD
Une version confirmée par les images que nous avons pu consulter. Ce qui, entre le mode opératoire, le canal de revendication et le motif politique, flèche très clairement vers Strasbourg Offender (qui nie toutefois son implication auprès de Rue89 Strasbourg). Des radicaux pour qui militer se résume à la violence de rue. Attaques de manifs, de militants de gauche, agressions… ces anciens du #GUD, devenu Bastion social en 2017 (dissous par les autorités dès avril 2019), ont également attaqué des supporters d’un club israëlien en juillet 2019. Ils l’avaient revendiqué en diffusant une photo de leur groupe brandissant leur bannière, faisant des saluts #nazis et exhibant un drapeau à croix gammée.

#StrasbourgOffender appartient à la galaxie de groupuscules #néonazis qui militent à coups de poing un peu partout en France. Des #ZouavesParis (qui ont molesté des militants de SOS Racisme au meeting de #Zemmour à Villepinte et dont le leader est en prison) au #GuignolSquad à Lyon, en passant par le #LagafCrew de Toulouse… une épidémie de bandes mêlant #néonazis, #identitaires et autres militants d’ #extrêmedroite, la baston réconciliant les chapelles.

Une conséquence aussi de la stratégie de décentralisation commencée pour contrer l’interdiction du #Bastionsocial, qui s’est reformé quasi immédiatement en montant une nébuleuse de groupes locaux. Et qui est désormais très ancrée à l’ #extrêmedroite radicale. Libé a démontré que #GénérationIdentitaire a reproduit le même schéma dans la foulée de sa dissolution en mars 2021, s’illustrant également par un regain de violence.

partagenoir@diaspora-fr.org

Journaliste militant : Un #libertaire et #antifasciste (presque) inconnu : : George Seldes - Partage Noir

Au cours de sa carrière, le journaliste américain George Seldes est amené à couvrir des meetings révolutionnaires, la Première Guerre mondiale en Europe, ou encore les débuts de l’URSS. Des expériences qui le poussent à s’engager dans la voie de l’intégrité et de la dénonciation du fascisme.
https://www.partage-noir.fr/journaliste-militant-un-libertaire-et-antifasciste-presque

union_communiste_libertaire@diaspora-fr.org

Soutien aux camarades de la GALE

Ce mardi 21 septembre à #Lyon des militant·es antifascistes du « Groupe #Antifasciste Lyon et Environ » (GALE) subissaient une vague d’arrestations suite à une altercation avec un groupe de militants catholiques intégristes de Civitas lors d’une manifestation anti-pass du 28 août dernier : https://www.unioncommunistelibertaire.org/?Soutien-aux-camarades-de-la-GALE

#Communiqué #UCL