#heureux

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Françoise Bouvot épouse Cheminade (1)

Françoise Bouvot épouse Cheminade, ma femme, était handicapée tant au niveau physique que mentale. En 2012, soit quelques mois avant de mourir, ma femme a rédigé un texte pour raconter sa vie. Vous le trouverez ici.

Malgré ses handicaps, elle a réussi sa vie parce qu’elle a agi pour cela. Chacun peut avoir dans sa vie une chance d’agir et de changer son avenir. Il suffit parfois d’oser. Ma femme, a osé m’aborder. Vous le verrez, en le lisant, au début de notre histoire, c’est elle qui m’a dragué. Elle a osé imaginer l’impossible. Elle a osé imaginer que malgré ses handicaps elle pouvait mener une vie normale et elle a réussi cela.

J’ai commencé à parler d’elle dans un texte parlant de sa sœur Monique.

Je parlerai aussi d’elle dans d’autres textes à venir. Je mettrai le lien vers le texte suivant dans les commentaires.
Au niveau physique elle avait une bronchectasie. quand je l’ai connue, elle avait déjà les poumons très détériorés. Une de ses belle sœur avait dit à sa mère, à propos d’elle, alors que Françoise était petite, « ça ne vit pas très longtemps ». Ma belle-mère avait été choquée que l’on puisse nommer sa fille par « ça » Ses poumons sécrétaient une quantité très importante de mucus. Durant toute sa vie, elle a dû faire l’effort de l’évacuer. Pour que ce mucus puisse être facilement évacué il lui fallait avaler quotidiennement un médicament pour fluidifier le mucus. Il lui fallait aussi aller chez le kiné deux ou trois fois par semaine.

Au niveau mental elle avait un faible QI (Niveau cours élémentaire première année.)
Elle a passé une grande partie de sa jeunesse loin de sa famille. Elle n’en parle pas dans le récit de sa vie que vous trouverez plus loin, mais elle avait été un certain temps dans un CAT (Aujourd’hui appelé ESAT éloigné de chez ses parents. Elle ne voulait pas vivre une vie d’handicapée dans un CAT ou dans un foyer. Elle voulait vivre une vie normale. C’est peut-être pour cela qu’elle ne parle pas de son séjour dans cet établissement dans le récit qu’elle fait de sa vie.

J’ai rencontré Françoise au cours du mois de juillet 1978 lors d’un pèlerinage à Lourdes. Je faisais partie des brancardiers. Elle faisait partie des malades. Nous étions tous deux de familles nombreuses. Chez elle ils étaient sept enfants et chez moi nous étions cinq. Nos familles n’étaient pas riches. Nos mères n’avaient pas d’emploi et le revenu qui va avec. Mais elles avaient de quoi s’occuper avec leur descendance.

Elle est décédée le 12 février 2013. A la fin de la cérémonie d’enterrement il y avait tant de monde qui sortait de l’église qu’une personne qui passait devant a demandé à l’une de ses sœurs qu’elle était la personnalité que l’on enterrait.

Le nom de ma femme va être donné à la structure administrative et au label qui vont résulter de la révolution apolitique très sociale que j’initie. Ma femme va aussi devenir l’égérie de la révolution apolitique très sociale car sans elle cette innovation qu’est la révolution apolitique très sociale n’aurait jamais existé.

Voici ce qu’elle a écrit quelques mois avant de mourir  (Dans le texte je n’ai rien changé. Seules les fautes d’orthographe ont été corrigées). :
Nous Ma vie.
Je suis née le 29 04 58.
J’étais bien malade.
J ai les bronches de malade. C‘est à dire du mucus dans les poumons.
Je suis allé dans un aérium Saint Vincent de Paul au Moulleau Arcachon.
Je suis resté 12 ans. Je ne pouvais pas aller chez mes parents.
Ma mère venait une fois par semaine me voir en train. Je m’étais habitué à l’aérium.
C était presque ma maison. 12 ans après je suis allé à Lége. Il y avait un docteur qui n’était pas gentil avec les malades. Il ne fallait pas être malade avec lui.
On m’a sortie de là après plusieurs temps. Je suis allé vivre avec mes parents. J’allais à Lourdes tous les ans. Un jour je suis allé à Lourdes comme d’habitude en train avec d autre malade à Lourdes j ai rencontré un jeune homme brancardier .
C est moi qui me suis approché de lui.
Je lui ai parlé. Plus tard je lui ai donné le bras. Je lui ai demandé où il habitait. Il m’a dit Libourne. Moi j’ai dit moi aussi. A la fin du séjour il m’a ramené avec ses parents et ma valise chez mes parents. Il venait me voir souvent. Et un jour on s’est marié .On a eu une fille. On ne s’est plus quitté. Il savait que j’étais malade. Sa grand- mère lui a dit avant de se marier tu as bien réfléchi ? Il à dit oui. Il a bien fait car je suis heureuse avec lui.
Nous avons habité 3 ans à Châteaudun avec notre fille. Il était dans l’armée . Après nous sommes revenus à Libourne . il vendait des ordinateurs pendant plusieurs années. Après il est allé travailler chez un patron pendant plusieurs années. Quant il a vu que ça allait mal il est parti avec une prime . il s’est mis à son compte sur son ordinateur. ça fait 30 ans que nous sommes mariés. Il m’a pris avec toutes mes maladies. C est rare de voir ça. Quand j ai connu mon mari je lui ai dit que j aimerai qu’il fasse pousser sa moustache. Par amour pour moi il à dit oui. Et depuis il l’a gardé sa moustache. J ai eu 2 cancers différents. Le premier je l ai eu à 40 ans . du sein droit. On m’a opéré fait des rayons. Le deuxième au sein gauche. On m’a fait une biopsie. Opéré une fois. après une autre fois pour enlever le sein gauche . j’ai fait de la chimio. J ai perdu tous mes cheveux. J ai acheté une perruque. Mes 2 cancers sont guéris. 5 ans après le deuxième cancer un 3 ieme cancer différent aussi
dans le cardia . On ne m’a pas opéré trop risqué d être handicapé. Alors on m’a fait des rayons et de la chimio tout le mois de mars 2012. Il est petit pris a temps. On m’a mis une sonde gastrique en cas que ça se bloque pour manger pendant le traitement. Mon mari me dit si je voulais voir une psychologue avec lui. Nous y allons ensemble .ça aide énormément. On parle de tout. Quant ça va pas mon mari me soutien. A deux ça va mieux. Et sa repart pour un tour. Et c est bien. J aime parler avec mon mari on se complète. Il m’aide beaucoup . Il me remonte le moral quant ça vas pas . il vient avec moi chez le docteur. Je tricote. Je lis je regarde la télévision. Je fais de l’ordinateur. je fais des mots croisés . Je m occupe un peu de la maison. Je garde espoir que je vais guérir. Je suis d une famille nombreuse. J ai en tout avec moi 3 sœurs et moi 4. Et 3 frères. Ils ont eu tous une bonne situation. Il y à toujours quelqu’un de ma famille qui s’occupe de moi . J ai une amie proche. ça fait plus de 37 ans que l’on se connaît. On n a jamais rien eu entre nous. Pas de dispute. En oncologie c’est un endroit ou l’ on me fais des rayons. Le personnel qui me soigne est tellement gentil . Je rigole bien avec eux. ça me fait du bien. ça me détend pour faire la séance. ça me donne le moral. Il ne faut pas pleurer. ça n’arrange rien. Quand je suis fatigué je me repose et ça repart pour un tour. Je ne pensais pas réussir ma vie. Et pourtant je suis bien là et contente de l’être. Quand j ai su que j avais un cancer je me suis dit que je ne viendrais pas à 50 ans. Quand j ai dit ça mon mari ma dit tu es toujours la. On va faire une belle fête. Mon mari avec ma sœur aîné ont tout prévu les invités les jeux le repas la musique. Nous étions 50 personnes. Il faisait beau. Nous étions dans une salle de la mairie de Vayres avec un grand parc au bord de l’eau avec des canards .
Nous sommes venu début d’après midi. On a fait des jeux dehors dans le parc. Jusqu’à l apéritif. C était très bien. Arrivé le soir nous avons pris l’apéritif dehors. Après nous sommes rentrés dans la salle qui était bien décoré. J’ étais contente que mon frère qui est mon parrain est venu pour ma fête. Car il ne vient jamais aux repas de famille. Chacun se place comme il voulait. Nous avons mangé du couscous. Chacun venait se servir comme il voulait. Après le fromage il y avait ma belle-sœur qui m’a fait une surprise . elle m’a fait une pièce monté. Nous avons dansé très tard. Fait plein de photos . c’est une journée que je n’oublierai pas. J aime le printemps avec toutes ses couleurs. Les arbres qui fleurissent . Les fleurs qui poussent dans le jardin. La première fleur qui sort de terre c’est la jonquille les jacinthes . Je vois les oiseaux. Je fait le tour de la maison pour aller au jardin. Et c’ est bien agréable. On a semé des légumes et c’est bien bon. Nous avons du sable. Alors il faut beaucoup d’eau. Mais les légumes sont meilleurs que dans les magasins. Le 9 mars 2012 c’était ma fête. Une amie m’a offert deux bouquets de tulipes un bouquet rouge et j aune, un autre bouquet rose pâle et blanc. C’est ma fleur préférée. J ai dis je ne peux pas souhaiter les 50 ans de mon mari. A cause de moyens. Mon frère qui a entendu ça à fait quelque chose de bien . Il a dit à tous mes frères et sœurs de fêter les 50ans de mon mari de participer aux repas. Pendant plusieurs jours ils ont tout préparé chez mon frère aîné. Car il a un grand jardin. Mon frère me dit vient il faut aller boire l’apéritif chez mon frère aîné. Nous partons donc chez mon frère. Arrivé chez lui il y avait des ballons accrochés avec le prénom de Serge il a versé sa larme. Moi aussi j’ai été très émue. Quand j ai vu toute ces voitures j ai dit tous ça. Après nous somme sortie de la voiture. Nous avons vu le monde. Nous étions émus tous les deux. Il y avait 50 personnes. Nous avons passé une bonne journée. Je remercie tous ceux qui nous ont fait une belle surprise. Je n’oublierais pas cette belle journée. Il y avait que des gens que j aime bien. Je vais aux lotos le mardi le mercredi, le jeudi et le vendredi. ça passe le temps. ça coûte 50 centimes le carton. ça ne fait pas cher. Il y a plein de monde. Tous gentils avec moi. Nous formons une bonne équipe. Le loto ça commence à 14 h 30 et à 16 h on a le goûter et après on reprend jusqu’a 17 h. ça fait passer un moment . des fois je gagne des fois je perd . c’est le jeu. Tout le monde me soutient et ça me fait plaisir de voir quand je ne viens pas au loto ils s inquiètent de moi et on me téléphone et sa me fait bien plaisir. J ai plusieurs collections. C est à dire une collection de fèves que l’on me donne et une collection de magnets de pays que l’on me donne aussi. Je classe mes fèves par des ensembles complets et ça prend du temps. Une personne me donne une fève une autre une fève et ça me fait des ensembles sans que les gens se voient. C’est bien fait. J aime bien ça. Je les range dans des meubles en verre. ça ne me coûte rien une collection comme ça. J’en profite un peu . Il y en a pour de l’argent en tout. J ai beaucoup d’ensembles entiers.
#solidarites #humanite #handicap #fraser #fra #politique #impossible #apolitique #bonheur #société #heureux #cancer #fève #arcachon #libourne #lourdes #révolution #révolution_apolitique_très_sociale

bliter@diaspora-fr.org

LA #RELIGION DU #MARCHÉ A FAIT DE NOUS DES #ÊTRES #SERVILES ET #CONFORMES - #RolandGori - #ÉLUCID

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Roland #GORI est #professeur de #psychologie et de #psychopathologie, et l' #auteur de nombreux #ouvrages parmi lesquels « Faut-il renoncer à la #liberté pour être #heureux ? », « L' #individu #ingouvernable » ou encore « La #fabrique de nos #servitudes » (éd. LLL).

Dans cette interview par #OlivierBerruyer pour #Élucid, Roland Gori #analyse notre #époque et notre #condition d' #individus atomisés dans une #société #dominée par la #religion du #marché. Comment les injonctions à la #concurrence et « en même temps » au #conformisme nous rendent-elles malheureux ? À quel point la #mondialisation nous #désenracine t-elle et nous isole-t-elle ? Comment Emmanuel #Macron est-il devenu l' #incarnation du #néolibéralisme #débridé et de la #destruction du #sens des #mots ? Tout cela est le résultat d'un long processus #pernicieux qui a débuté par l'échec des promesses de la #modernité et du #libéralisme, pour aboutir à une société bâtie sur nos #servitudes. Dans cet #entretien, il y a peut-être quelques pistes pour s'en libérer...

https://www.youtube.com/watch?v=Y8ffYfySvRU
#politique

anar65@diaspora-fr.org

#Opinion #Vie #Mort #Capitalisme #Rêves #Regret #Obéissance #ravailléMoins #Temps #Sentiments #Heureux

En fin de vie, le plus grand regret est d’avoir trop travaillé

Bronnie Ware était infirmière en soin palliatif en Australie, elle s’occupait des patients en fin de vie. Dans son travail, elle pouvait recueillir la parole de patients au seuil de la mort. Elle a publié un livre en 2012 intitulé «The Top Five Regrets of the Dying», «Les 5 plus grands regrets des mourants». «Quand les gens se rendent compte que leur vie est presque terminée et qu’ils la regardent avec clarté, c’est facile de voir le nombre de rêves qu’ils avaient et qu’ils n’ont pas réalisé» explique-t-elle. Cela peut paraître niais ou banal, mais cela résonne avec l’actualité. Quels sont ces 5 plus grands regrets ?

➡️ Le premier est : «J’aurais aimé avoir eu le courage de vivre la vie que je voulais vraiment, fidèle à moi-même, pas celle que les autres attendaient de moi.» C’est le de l’, d’avoir «joué le jeu», d’avoir rempli le rôle qu’on attendait plutôt que vivre ce que l’on désirait.

➡️ Le deuxième plus grand regret qui revenait aux oreilles de cette soignante : «J’aurais aimé avoir travaillé moins dur». Oui, du temps passé au travail c’est du temps passé en moins à vivre, à être avec les gens qu’on aime, à s’occuper de ses proches, à cultiver son corps et son esprit. Le temps file vite, et la vie est courte, le temps volé par le salariat ne revient plus.

➡️ Les trois autres regrets principaux : «J’aurais aimé avoir eu le courage d’exprimer mes sentiments», «J’aurais aimé avoir gardé le contact avec mes amis» et «J’aurais aimé m’être donné la permission d’être davantage heureux.»

Aucun de ces regrets n’est «j’aurais aimé passer plus de temps au boulot pour combler le déficit des retraites» ou «j’aurais aimé créer une start up» ou «mon rêve était d’être milliardaire et de spéculer en bourse» ou encore «j’aurais aimé travailler plus parce que la valeur travail est importante».

Ces 5 idées peuvent paraître naïves, mais elles nous rappellent que la politique doit viser le bonheur commun, une vie juste et bonne pour toutes et tous, une vie qui vaille la peine d’être vécue. Tout le reste n’est que bavardage. Libérer du temps pour les loisirs, l’amour et la création, permettre l’émancipation, réduire les aliénations et les oppressions sont des objectifs politiques. Il n’y a pas à en avoir honte.

La honte est du côté des gouvernants qui cassent les retraites, le droit au chômage, le code du travail. Leur but est de nous voler notre temps, notre argent, de nous soumettre. Ils veulent faire en sorte que nous ne puissions plus échapper au monstre capitaliste. C’est d’ailleurs pourquoi tant de gens démissionnent et tentent d’échapper à tout prix au mode de vie toxique qui nous est imposé.

Travaillons moins, vivons plus.

Une source : https://www.slate.fr/lien/49587/sante-cinq-regrets-avant-mourir

nairo@diasp.org

Je me permets de transmettre le message de mon #coach ici, au cas où. Et si je le conseille, c'est parce que je crois en lui, quand je vois ma transformation... il est redoutablement efficace.


[Ce qui suit est la copie de mon dernier post sur #LinkedIn, je me dis qu'il pourra peut-être trouver écho ici également.
Merci à vous pour la lecture.]

Cher #réseau, je sollicite votre aide.
Ce n'est (vraiment) pas souvent que j'ose demander, mais je viens de retrouver une #vidéo que ce type a publiée il y a deux ans, et je me dis que je ferais bien de suivre son/mon #conseil.

Version longue

*Voici le contexte *: ma boîte, Le Jeu de la vie, est en train de pivoter. Depuis 3 ans, nous nous donnions à fond sur les aspects B2C, avec une énorme envie de partager nos connaissances, #compétences et #expérience en #communication et #développementPersonnel auprès des particuliers. C'était ce qui était le plus aligné avec notre envie de #changement pour le #monde : contribuer à y mettre plus de #paix, de #liberté et de #bonheur. Et nous l'avons fait à une certaine échelle, avec des retours clients de ouf qui font chaud au coeur.

Toutefois jusqu'ici nous n'avons pas réussi à avoir la #visibilité et la traction (et donc les rentrées financières permettant de viabiliser l'activité) que nous escomptions. Il est temps de passer au plan B. Pivoter, dans le jargon #start-up.

Le plan B, je l'ai en tête depuis très longtemps. En fait il a des goûts de plan A, j'en rêve depuis des années, sauf qu'il m'a toujours paru inaccessible. C'est de développer sérieusement notre activité B2B.

Ce n'est pas quelque chose de nouveau, loin de là : depuis 10 ans, j'ai énormément investi dans la veille concernant le #leadership et les #entreprises dites libérées. C'est mon côté #nerd ou "premier de la classe" : quand je m'investis sur un sujet, je lis toute la #bibliographie. Bien évidemment je l'ai également fait pour le #coaching et la #PNL, pour laquelle j'ai fait 3 fois le #cursus complet dans des écoles différentes. Oui, je ne fais pas les choses à moitié.

Bref... Avec Le Jeu de la vie, nous avons eu un certain nombre de clients B2B : des #dirigeants de petites entreprises ou des #managers dans des plus grosses. Du super taf, passionnant, et qui intègre toutes les facettes de ce que je sais faire (c'est là où je suis content d'être passé par le coaching de vie ainsi que la thérapie, je me sers aussi de tout ça en entreprise quand il y en a besoin). Je ne vous le cache pas, c'est rentable, bien plus qu'en B2C. Et c'est utile, ça crée de la #valeur pour tout le monde : les boîtes fonctionnent mieux et les gens sont plus #heureux dedans. Voilà, aujourd'hui je veux beaucoup plus de ça.
L'intention est posée.

Alors où est-ce que ça coince ? C'est simple. Jusque là, je n'ai jamais fait de #prospection. C'est une chose avec laquelle je ne suis pas du tout à l'aise et que j'ai toujours tenté d'éviter_ (oui j'ai un certain travail personnel en cours sur ce sujet, sachez que je reviens de très très loin)_. Et ça j'en ai payé le prix fort.

Nos clients B2B jusqu'ici, ça a été des coups de bol. Des gens qu'on connaissait déjà, des #recommandations... Bref, des choses où on dit "youhou merci Univers" quand ça tombe, mais qu'on est incapable de reproduire proactivement.

Version courte

Si je vous sollicite aujourd'hui, c'est que j'ai besoin d'un gros #CoupDePouce sur le #réseau. J'ai besoin d'être plus en #contact avec les #personnes et #entreprises qui peuvent me faire #travailler et à qui j'ai envie d'apporter de la #valeur.

Typiquement :

  • Pour le coaching de managers, j'ai besoin d'être mis en #relation avec des #dirigeants ou des #DRH d'entreprises de taille moyenne. Je table sur une taille de 50 à 500 personnes. Suffisamment gros pour qu'il y ait des rôles de #management dans lesquels ça vaut le coup d'investir et où il y a les moyens de le faire ; et suffisamment petit pour qu'ils ne prennent pas que des "gros" #prestataires. Ça c'est mon plan "safe", car cette #prestation ne demande aucune remise en question du #fonctionnement de l'entreprise (#gouvernance, #processus-clé, #culture) ni de ses #dirigeants. Un #produit simple et #efficace qui fait le #boulot, ça met de l'huile dans les rouages, et les gens concernés vivent mieux après.

  • Pour le coaching de #dirigeants et le #conseil en #management, je recherche des personnes (dirigeants donc, mais peut-être que côté RH il y a des pistes) qui cherchent à rendre le #travail plus #agréable et #épanouissant pour tous, à mettre plus d' #humanité et d' #horizontalité dans l' #entreprise. Tout en restant #cohérent sur le volet #économique, il s'entend : ce genre de #transformation s'accompagne naturellement d'un gain en #performance (la littérature est très riche d'exemples et de retours d'expérience à ce sujet). Inconvénient : il demande beaucoup de #courage. D'oser se remettre en question, de faire bien plus #confiance à ses #collaborateurs, et de #tester des choses nouvelles qui peuvent faire peur. Une vraie #aventure quoi, et pas que pour la personne que j'accompagne en premier lieu.
    **
    Vous connaissez quelqu'un qui rentre dans l'un de ces deux profils ?**
    Si oui, pouvez-vous svp nous mettre en contact ?
    J'aurai plaisir à les rencontrer avec la perspective d'apporter de la valeur à leur organisation et aux personnes qui la composent. Merci beaucoup.

Mes coordonnées : Stéphane Witzmann stephane@le-jeu-de-la-vie.com +33 6 79 36 34 20.