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The #US national #debt is now rapidly approaching $36 trillion at a rate which has been characterised by all of Washington’s official institutions, including the Treasury Department and the Federal Reserve Board, as “unsustainable,” and where one dollar in seven of the annual federal budget is needed just to pay the interest bill.
Such metrics if applied to any other state would lead to its designation as bankrupt. But the US enjoys a unique position within world capitalism because the dollar is the global currency and therefore its debt is financed by the inflow of #capital into dollar assets from the rest of the world.
This means that ever-increasing US spending, above all on the military to finance its expanding war front, is financed by the accumulation of debt, financed by others.
But if #dollar #supremacy is in any way significantly questioned or if confidence is undermined, even well before there is any prospect of an alternate currency, then the inflated debt structure is threatened with a crash.
from
The Bourgeoisie in the Imperialist World System. | Kommunistische Partei — https://kommunistischepartei.de/diskussion/the-bourgeoisie-in-the-imperialist-world-system/
Summary of the article in short theses:
In today’s capitalism, monopolistic finance capital has become the dominant type of capital worldwide. Industrial monopolies are also a form of finance capital; in them, too, capital ownership is separated from functioning capital and they realize a large part of their profits through financial operations.
Theses according to which the imperialist world system today is unipolar dominated by the USA are not tenable. The argument that U.S. asset managers and institutional investors would play a world-dominating role and thus push all other countries into unilateral dependence on themselves are, at the very least, greatly exaggerated and do not stand up to scrutiny.
The term “comprador bourgeoisie” is totally inappropriate to characterize the bourgeoisie in weaker countries of the imperialist world system. In these countries, too, monopoly capital rules and, in order to pursue its own profit strategies, it enters into links on a global scale based on unequal mutual dependence with other finance-capitalist monopolies. However, this does not cause it to lose its independence, nor does it make it a mere appendage of the foreign monopolies. The category of the “comprador class,” on the other hand, originated in the context of colonial rule and referred either to pre-capitalist ruling classes or to nonmonopolistic capital that acted as a mere intermediary of foreign monopolies.
A closer look at the Russian capitalist class in particular substantiates this point: Here, too, we are not dealing with a “comprador bourgeoisie,” but with developed monopoly capital. Neither does it act as an intermediary of the foreign monopolies, nor is it particularly dependent on them. On the contrary, its dependence has been significantly reduced in recent years, precisely as a result of the conflict with the West. Russian capital is nevertheless actively involved in international capital movements. The view of Russian capital exports as mere “capital flight” is erroneous and based on an inadequate understanding of capital movements.
https://www.youtube.com/watch?v=T_h_djQlxZY
https://invidious.fdn.fr/watch?v=T_h_djQlxZY
#politique
“Le #Capital au XXIe siècle”
Trailer “Le Capital au XXIe siècle”
https://www.informassue.tuxfamily.org/Soumission_autorite.php#capital_piketty
+lien vers le film.
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#news #travail #valeur #talent #usines #paysans #production #capital #économie #plus-value #oligarque #industrie #revenu #alimentaire #marchandises #besoins #élémentaires #révolte #main-oeuvre #mywork #mytex
La valeur-travail,
Tout travail rémunéré par un salaire a de fait une certaine valeur évaluée selon des critères arbitraires et inégaux. Mais je ne suis pas sûre que la valeur-travail telle que prônée par nos dirigeants soit de la même veine. Il s’agit plutôt de mettre en exergue le travail comme valeur cardinale de notre société, celui qui participe sans rechigner a la « richesse du pays » : « Il n’y a pas de salut hors le travail ». Les pêcheurs à la ligne ne participent pas au grand bond économique. Loin de l’idéal de Marx : “De chacun selon ses capacités, à chacun selon ses besoins.”
Cela se confirme dans les projets de modification des règles concernant entre autres l’indemnisation du chômage qui serait la plaie économique du budget national. Inutile d’être grand clerc pour comprendre vers où la balance penche. Nous sommes de plus en plus soumis à des dictats idéologiques indécents.
Le « travail » fait intrinsèquement partie de notre programme génétique depuis l’origine, voir Adam et Ève chassés du Paradis pour les croyants. Manger, se vêtir, s’abriter demandent une activité de chasseur-cueilleur bien connue au paléolithique. C’était il y a longtemps, mais l’homme qui a évolué morphologiquement, n’a pas changé ses besoins vitaux ni la nécessité de les satisfaire quotidiennement. Tout s’est complexifié avec la révolution industrielle. Nombre de paysans dont le travail était depuis la nuit des temps indispensable à notre survie (rappelez-vous le labourage et le pâturage qui étaient alors les deux mamelles de la France) sont devenus rétrogrades, un frein à l’évolution de la société. La guerre de 14/18 par son hécatombe a beaucoup contribué à changer définitivement ce monde agricole. Nombre de survivants ont dû rejoindre alors les usines à l’apogée du progrès technique, qui avaient besoin de beaucoup de main d’œuvre.
Nous nous sommes dont séparé de la relation travail/nourriture qui n’était pas encore qualifiée de travail-alimentaire, (« travail sans passion effectué uniquement pour l’argent » définition wiktionnaire). Car vous l’avez compris il y aujourd’hui au minimum deux définitions du travail, l’alimentaire et l’autre. J’espère que vous faites partie de la seconde. La force de travail louée et transformée en une quelconque marchandise et échangée contre un salaire pour satisfaire ses besoins élémentaires, n’exclut pas l’extorsion du surtravail, une plus-value (Base productive qui crée de la valeur ajoutée) pour faire grossir et entretenir le capital et tous ceux qui l’exploite. Ce système ingénieux, il faut le reconnaître, a bénéficié d’un succès immédiat de part le monde.
Maintenir une main d’œuvre abondante et nécessiteuse au profit des investisseurs industriels a été très longtemps facilité par l’ignorance et la soumission d’une grande partie du peuple. Il y avait ceux qui frottaient le parterre et ceux qui comptaient les billets. Il y a ceux qui mouillent la chemise et ceux qui ont la valeur et le talent d’être bien nés.
S’ enrichir par le travail est sans commune mesure pour les uns et pour les autres. C’est ça la valeur-travail. C’était dans l’ordre des choses. Cette « belle époque » est presque finie. Instruit par des années de lutte, le salarié réclame, exige, revendique, se révolte.
Comment contraindre et convaincre des milliers de citoyens libres à enrichir par leur travail une frange de plus en plus nombreuse d’avides oligarques qui monopolisent tous les pouvoirs politiques, économiques, culturels en les exploitant. Cela relève d’un certain « talent », d’une certaine « valeur »*, il faut bien le reconnaître et c’est l’Histoire du monde. Mireille MOUTTE
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La valeur-travail,
Tout travail rémunéré par un salaire a de fait une certaine valeur évaluée selon des critères arbitraires et inégaux. Mais je ne suis pas sûre que la valeur-travail telle que prônée par nos dirigeants soit de la même veine. Il s’agit plutôt de mettre en exergue le travail comme valeur cardinale de notre société, celui qui participe sans rechigner a la « richesse du pays » : « Il n’y a pas de salut hors le travail ». Les pêcheurs à la ligne ne participent pas au grand bond économique. Loin de l’idéal de Marx : “De chacun selon ses capacités, à chacun selon ses besoins.” Cela se confirme dans les projets de modification des règles concernant entre autres l’indemnisation du chômage qui serait la plaie économique du budget national. Inutile d’être grand clerc pour comprendre vers où la balance penche. Nous sommes de plus en plus soumis à des dictats idéologiques indécents.
Le « travail » fait intrinsèquement partie de notre programme génétique depuis l’origine, voir Adam et Ève chassés du Paradis pour les croyants. Manger, se vêtir, s’abriter demandent une activité de chasseur-cueilleur bien connue au paléolithique. C’était il y a longtemps, mais l’homme qui a évolué morphologiquement, n’a pas changé ses besoins vitaux ni la nécessité de les satisfaire quotidiennement. Tout s’est complexifié avec la révolution industrielle. Nombre de paysans dont le travail était depuis la nuit des temps indispensable à notre survie (rappelez-vous le labourage et le pâturage qui étaient alors les deux mamelles de la France) sont devenus rétrogrades, un frein à l’évolution de la société. La guerre de 14/18 par son hécatombe a beaucoup contribué à changer définitivement ce monde agricole. Nombre de survivants ont dû rejoindre alors les usines à l’apogée du progrès technique, qui avaient besoin de beaucoup de main d’œuvre.
Nous nous sommes dont séparé de la relation travail/nourriture qui n’était pas encore qualifiée de travail-alimentaire, (« travail sans passion effectué uniquement pour l’argent » définition wiktionnaire). Car vous l’avez compris il y aujourd’hui au minimum deux définitions du travail, l’alimentaire et l’autre. J’espère que vous faites partie de la seconde. La force de travail louée et transformée en une quelconque marchandise et échangée contre un salaire pour satisfaire ses besoins élémentaires n’exclut pas l’extorsion du surtravail, une plus-value (Base productive qui crée de la valeur ajoutée) pour faire grossir et entretenir le capital et tous ceux qui l’exploite. Ce système ingénieux, il faut le reconnaître, a bénéficié d’un succès immédiat de part le monde.
Maintenir une main d’œuvre abondante et nécessiteuse au profit des investisseurs industriels a été très longtemps facilité par l’ignorance et la soumission d’une grande partie du peuple. Il y avait ceux qui frottaient le parterre et ceux qui comptaient les billets. Il y a ceux qui mouillent la chemise et ceux qui ont la valeur et le talent d’être bien nés. S’ enrichir par le travail est sans commune mesure pour les uns et pour les autres. C’est ça la valeur-travail. C’était dans l’ordre des choses. Cette « belle époque » est presque finie. Instruit par des années de lutte, le salarié réclame, exige, revendique, se révolte.
Comment contraindre et convaincre des milliers de citoyens libres à enrichir par leur travail une frange de plus en plus nombreuse d’avides oligarques qui monopolisent tous les pouvoirs politiques, économiques, culturels en les exploitant*. Cela relève d’un certain « talent », d’une certaine « valeur », il faut bien le reconnaître et c’est l’Histoire du monde. Mireille MOUTTE
Pourquoi la #Suisse est-elle si #riche ? | #RTS
https://piped.adminforge.de/watch?v=N_zbuEctt_c ou https://invidious.privacyredirect.com/watch?v=N_zbuEctt_c
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La Suisse fait partie de l'espace appelé #BananeBleue.
La Suisse est si riche qu'un adulte sur 8 est #millionnaire.
Un quart de toutes les matières premières négociées dans le monde, le sont depuis la Suisse.
Remarque surprenante, mais intéressante :
Être un paradis fiscal est très souvent lié au fait d'être une puissance nucléaire.
Le premier million est toujours le plus dur à gagner.
#Politique #Capitalisme #Richesse #Schweiz #Switzerland #PIB #Banque #SecretBancaire #Industrie #ParadisFiscal #ParadisFiscaux #Finance #Capital #Neutralité #Guerre #Europe #Or #Commerce #Confédération #DémocratieDirecte #Histoire #Éducation #Argent
#Lula defende #InteligênciaArtificial genuinamente #nacional, mas #Brasil segue #entregando #dados para aperfeiçoamento de IAs de empresas norte-americanas
Opera Mundi https://operamundi.uol.com.br/opiniao/lula-e-a-inteligencia-artificial/
São Paulo
17 de março de 2024,
às 13:45
Poucas pessoas têm uma #intuição tão aguçada e profunda sobre as questões cruciais do seu tempo como o presidente #Lula. Em uma recente reunião do Conselho Nacional de #Ciência e #Tecnologia, o presidente brasileiro declarou de modo contundente querer “uma #IA (Inteligência Artificial) genuinamente #guarani” ou “ #yanomami ”. Cobrou dos pesquisadores que fizessem algo “nosso”.
É impressionante que Lula tenha dito uma frase tão certeira nesse momento crucial do desenvolvimento das tecnologias chamadas de “inteligentes”. Com sua sentença, Lula deixou evidente que a IA não é neutra, que ela porta as cosmovisões de uma #sociedade, que é desenvolvida conforme os traços culturais de uma #população. A IA atual é concebida e elaborada a partir de um universo cosmotécnico que não é o nosso, nem o dos yanomamis. O filósofo honconguês Yuk Hui parece ter conversado antes com Lula. Mas, sei que não.
Lula também reforçou o #pensamento de várias pesquisadoras, como a #matemática Cathy O’Neil, que nos alerta que as tecnologias digitais, apesar de sua reputação de #imparcialidade, refletem #objetivos político-econômicos e ideológicos. O’Neil escreveu que “os modelos (inclusive de IA) são #opiniões embutidas em matemática”. Cheguei a considerar que o presidente poderia ter lido e se inspirado na ideia de que as tecnologias informacionais expressam aquilo que Richard Barbrook e Andy Cameron nomearam como a “Ideologia Californiana” no título de seu livro de 1995.
O presidente também acertou em cheio ao cobrar dos cientistas brasileiros uma abordagem original da IA. Talvez alguém tenha alertado Lula de que aquilo que o mercado chama de “inteligência artificial” são na realidade sistemas algoritmos que extraem padrões de variadas e gigantescas base de dados para criar modelos que serão acessados a partir de interfaces digitais. A IA realmente existente é a dos sistemas automatizados que utilizam muitos dados e cada vez mais poder computacional, ou seja, infraestruturas com milhares de servidores. Por isso, Lula esboçou uma reclamação ao falar que temos tanta gente inteligente no Brasil, como se quisesse advertir alguns desavisados de que a IA realmente existente está muito longe de superar nossa inteligência orgânica.
Há um texto muito importante para mostrar que aquilo que naturalizamos nas tecnologias, em geral, são perspectivas e ideários que guardam cosmovisões. Um grupo internacional de #tecnólogos #indígenas, em 2021, utilizando a metodologia chamada design centrado no território – criada pelos povos indígenas da #Austrália – buscou criar protocolos de um sistema de parentesco para desenvolver uma estrutura algorítmica com base na chamada #computação #genética. Os algoritmos criados sob a orientação dos anciões receberam uma elevada pontuação em #diversidade e #complexidade, mas fracassavam em velocidade e eficiência. Esse relato presente no livro Out of the Black Box: Indigenous Protocols for AI (Saindo da caixa preta: protocolos indígenas para a AI, em tradução literal) evidencia que “fazer mais com menos” nem sempre é algo prioritário para uma #cultura. A velocidade algorítmica não interessava aos aborígenes. Interessa ao #capital. O acúmulo de dados é vital para os paradigmas dominantes na IA realmente existente.
Não é por menos que os Estados Unidos detém mais da metade dos #Data Centers do planeta. O insumo essencial da IA nas abordagens atualmente dominantes são os dados. Mas, eles não são como o petróleo, naturais; não brotam do chão. Dados são criados por #humanos, #empresas, #instituições, #indivíduos ou por #máquinas inventadas por humanos. As grandes empresas de tecnologia, as Big Techs, querem que acreditemos na sua #ideologia sobre dados para continuar a extraí-los como algo disponível na natureza. Por isso, mais uma vez Lula acertou ao pedir que os cientistas daqui façam algo. Para isso, teremos que estancar a coleta de dados absurda que é feita em nosso país para alimentar e treinar os sistemas algoritmos dos Estados Unidos.
O que Lula, apesar de sua intuição, não tratou, foi da colossal transferência de dados públicos que fazemos para as Big Techs. Também não se pronunciou sobre o fato de que o seu governo continua treinando os algoritmos da #IBM com dados dos servidores públicos, civis e militares, quando esses acessam o serviço de chat do #SouGov. Essa derrama de dados começou com Bolsonaro e continua no atual governo. Lula certamente não leu os Termos de Uso do SouGov. Nele, está justificado o envio de dados dos brasileiros para os Estados Unidos: “… tal armazenamento tem o objetivo de prover o aprendizado de máquina da ferramenta de chat denominada ‘Watson’, onde as interações dos usuários no chat são utilizadas para ‘aprendizado’ pelo computador que envia as respostas automáticas quando o usuário está sendo atendido por meio do chat do serviço SouGov.”
Tão grave quanto a entrega de dados dos servidores públicos brasileiros para um sistema que opera em solo norte-americano, longe da nossa jurisdição, é o fato de que mais de 70% das universidades brasileiras entregaram seus e-mails e listas de discussão, bem como seus repositórios para o armazenamento de arquivos para o Google e para a Microsoft. Lula poderia sugerir que o #MEC fizesse um consórcio com as universidades para construir data centers que mantenham nossos dados sobre nossa governança, servindo ao treinamento de sistemas algorítmicos desenvolvidos pela nossa inteligência coletiva. Seria um primeiro grande passo para proteger os nossos dados e desenvolver nossa IA.
(*) Sérgio Amadeu da Silveira é sociólogo e Doutor em Ciência Política pela Universidade de São Paulo. É professor-adjunto da Universidade Federal do ABC (UFABC). Foi presidente do Instituto Nacional de Tecnologia da Informação e membro do Comitê Gestor da Internet no Brasil.
#Féminicide #Féminisme, #Sexisme, #Police #TechniquePolicière
Dans le Var : la police intervient pour des violences sexistes, saisit plusieurs armes détenues illégalement, mais laisse le mari libre. Il assassine sa femme quelques minutes plus tard.
Ce vendredi 2 février, à Sanary-sur-Mer, dans le Var, la police intervient au domicile d’un couple, à l’appel de l’épouse, âgée de 64 ans. Dans un communiqué, le procureur ose encore parler d’une intervention policière dans le cadre d’un «différend conjugal», alors même que la femme a été assassinée, poignardée par son mari, quelques minutes seulement après l’intervention inutile des forces de l’ordre.
Refusant de déposer plainte, les policiers n’ont pas cherché à la mettre en sécurité. D’autant que le mari, ne cherchant même pas à dissimuler son niveau de dangerosité auprès des policiers, leur a remis «spontanément» plusieurs armes et munitions détenues illégalement. Rappelons que ce seul fait de détention illégale d’armes est une infraction qui peut, à elle-seule, justifier l’interpellation et des poursuites judiciaires à l’encontre du mis en cause. Les raisons juridiques ne manquaient donc pas pour l’interpellation de cet homme, au moins temporairement, pour éviter ce féminicide. Mais là n’est pas la priorité de la police, qui est repartie en le laissant tranquille. Provoquant la mort de sa compagne. Les agents se sont-ils identifiés à cet homme masculiniste et détenteur d’armes ?
Quand on connaît la répression féroce qui s’abat sur le moindre écologiste considéré comme éco-terroriste dans une manifestation champêtre, il semble invraisemblable qu’un homme pris en flagrance lors d’une scène de violence sur son épouse et possédant des armes et munitions détenues illégalement, ne soit même pas auditionné.
Une enquête administrative a été ouverte «afin de déterminer si les règles d’intervention et de traitement de ce type de situation ont été respectées. Une enquête administrative, parallèle à l’enquête judiciaire, a été ordonnée par le directeur interdépartemental de la police», précise le parquet. Comme si le ministère public croyait encore que sa police respecte la moindre règle et la moindre loi ! Comble de l’indécence.
C’est une affaire tragique, une de plus, qui a conduit à la mort brutale d’une femme du fait d’être une femme, alors que celle-ci aurait pu être évitée. Si seulement la police avait simplement fait le travail qu’elle prétend faire… Cette tragédie reflète encore une fois le mépris total des forces de l’ordre pour les personnes victimes de violences sexistes et sexuelles. Refus de prendre les plaintes, refus d’intervenir, accueil insultant… les témoignages de la #misogynie et du sexisme de la police sont plus que nombreux, ils sont la norme ! Mais cette norme est #criminelle. À ce niveau de #complaisance, peut-on encore considérer qu’il s’agit d’une simple incompétence et non pas d’actes de #complicité ?
En 2020, une enquête du monde révélait que «35 % des féminicides ont été perpétrés alors que les victimes avaient déjà subi des violences physiques, psychologiques et / ou sexuelles. Environ 75% de ces femmes avaient déposé une plainte auprès des forces de l’ordre, soit environ 18% de l’ensemble des victimes d’homicides conjugaux».
C’est déjà le 15ème féminicide de l’année 2024, recensé par le collectif Nous Toutes. La «première cause du quinquennat» a sombré dans l’oubli depuis bien longtemps, et le gouvernement priorise la répression des étrangers, des pauvres, des chômeur-ses… et avant toute chose, il protège le grand #capital.
@permaCultura
♲ mʕ•ﻌ•ʔm jesuiSatire .. ᘛ⁐̤ᕐᐷ - 2024-01-25 19:43:38 GMT
Algunas aclaraciones básicas:Ay muchas palabras, muchos términos y muchas interpretaciones.
Todo es una teoría hasta que se compruebe o se demuestro lo contrario.
Conspiración es casi todo, hasta el momento en que se lo conversa públicamente.
Free #openSource ( #codigoLibre e abierto) equivalente a #openGovernment, #gobiernoAbierto, de hecho es un reclamo de izquierda y sin embargo open #freeSource no es considerado un movimiento de #izquierda (oficialmente) aunque es indudablemente un concepto que refleja ideales de izquierda.
(según como se define "izquierda")Los temas de impacto de la #civilización humana reinante, la civilización occidental, gobernada por "el #capital" (occidental) y el derecho de autor (occidental) con respecto a la naturaleza existente, el #ecosistema planetario de los ultimos 20 mill años mas o menos, el nicho ecológico del mono sapiens, es clararamente extractivo y destructivo, fiel al comportamiento de la civilización del consumismo en general.
Los que describes respecto a las complicaciones de reemplazar los #hidrocarburos para las economías industriales del mundo es cierto. Donde te equivocas es en la búsqueda de "silver bullets", remedio único, inmediato y simplificado.
En el tema de fundiciones, la respuesta es hidrógeno.
Lo que ya anda con electricidad si se puede reemplazar fácilmente con #energíasRenovables, #solar, #viento, hidrico y térmico subterráneo. Las tecnologías de almacenamiento son donde mas hace falta aun desarrollar y descubrir. Actualmente aparecieron recientemente baterías de Natrio (simple sal de mar) para todo lo que no sea un SUV o un Porsche, aflojando bastante el cuello de botella del #litio.
En general la solución para el coche, el automovilismo individual, es el transporte publico: trenes, ómnibus y micro buses.Y antes que nada se precisaría un basta de:
* consumismo al pedo
* productos no duraderos
* #obsolescenciaProgramada
* despilfarro y derroche por parte los ricosLa transformación planteada implica un montón de trabajo, o sea mano de obra.
Reciclaje implica un montón de trabajo.
Diseño y construcción duradero para una economía circular precisa un montón de trabajo, trabajo de calidad e invención de calidad, que también es trabajo de calidad.No es gas que se precisa para los fertilizantes si no la energía del mismo para producir nitrógeno con el sistema "Haber-Bosch" que consume muchísima energía.
Pues, o milagro, toda leguminosa (trebol, soja, timbó, Ibira Pita) "produce" nitrógeno.No se puede trabajar en contra de la naturaleza, al menos no por mucho rato.
La ciencia de trabajar con ella y organizarla a su manera con sus propios principios se llama #permacultura y si no has escuchada de este concepto te recomiendo que te dediques a investigarlo ya que es interesante, diferente, coherente y relativamente novedoso.
#Sionismo es un "Kampfbegriff" (termino de lucha) de los Nazis.
Si o si.
puntoPor cierto,"Lucha" es un termino de la izquierda, al menos hasta el día de hoy, mientras que "Kampf" es mas bien de los Nazis (y de la confrontación de clases, de castas).
Sionismo, la idea de construcción de un estado nacional hebreo, en el fondo es en todo caso un concepto nacionalista de una época nacionalista colonial.
Podrías por lo tanto hablar de #nacionalismo elitario o oligárquico, o sea gobierno nacionalista por los que ya están al mando, colonialismo nacionalista occidental.
Sin embargo usas un termino claramente ideológico racista que es utilizado por una rama de los nacionalistas monoteístas fascistas en contra de otra rama de las tres ramas monoteístas que gobiernan las noticias del mundo occidental.
Divide et impera.El populismo y la demagogia llevado a la perfección por personajes como #AdolfoNazi o #DagobertDrumpf se basa en levantar el dedo indice acusador, apuntar hacia una minoría a culpar, e decir una y otra ves:
"Son ellos, fueron ellos".
Y es evidente porque:
"Los buenos somos nosotros, quien si no!"
« La taxe minimum de 15 % sur les multinationales est entrée en vigueur », semble-t-il...
À voir ou revoir cette vidéo de 2021 de Trouble Fait :
Le FUTUR SCANDALE de l’impôt mondial sur les sociétés.
https://inv.zzls.xyz/watch?v=GbQL-oSnsLQ ou https://invidio.us/watch?v=GbQL-oSnsLQ
qui montre à quel point une certaine enflure de menteur professionnel nous prend encore pour des idiots avec cette “taxe”…
#Impôt #Société #Sociétés #GAFAM #GAFA #Google #Facebook #Amazon #Taxe #Fraude #Taxation #OCDE #BEPS #FMI #Riches #Milliardaires #G7 #ÉvasionFiscale #Fiscalité #FraudeFiscale #Irlande #Estonie #Pays #ParadisFiscal #ParadisFiscaux #Néolibéralisme #Profit #Multinationales #Bénéfices #Bénéfice #Économie #Capitalisme #Capitaux #Capital #UE #EU #CommissionEuropéenne #France #Politique #Fisc #LeMaire #Macron #Macronistes #StartupNation #Startup #Justice #Légalisation
Ça, c'est gentil, ça.
Mais est-ce que ça suffira à noyer l'info qui circulait il y a seulement quelques semaines...
#consommation #lobbies-alimentaires #capital #charitywashing
Une étude d’économistes et de statisticiens, publiée en Suisse cet été, met en lumière les interconnexions entre les multinationales mondiales. [...] Résultat : 80 % de la valeur de l’ensemble des 43.000 multinationales étudiées est contrôlé par 737 « entités » : des banques, des compagnies d’assurances ou des grands groupes industriels. Le monopole de la possession du capital ne s’arrête pas là. « Par un réseau complexe de prises de participation », 147 multinationales, tout en se contrôlant elles-mêmes entre elles, possèdent 40 % de la valeur économique et financière de toutes les multinationales du monde entier.
#BlackRock #Vanguard #JPMorgan #StateStreet #entreprise #entreprises #capitalisme #capital
https://www.cnbc.com/2023/12/05/elon-musks-ai-startup-xai-files-to-raise-1-billion-.html
“Free, free Palestine.” Video shows students being arrested after gathering outside the Israeli embassy in India’s capital to protest against Israel’s bomba...#AlJazeera #AlJazeeraEnglish #Israeli #alJazeera #aljazeeraEnglish #aljazeeralive #aljazeeravideo #aljazeeraEnglish #aljazeeralatest #aljazeeralive #aljazeeralivenews #arrested #bombardment #capital #detained #embassy #gathering #latestnews #newsheadlines #outside #protesting #protests #students #support
Protesters arrested outside Israeli embassy in India | AJ #shorts
#fr #politique #capital #carburants #lacorde
Vu à la télé :
CARBURANTS, VENTE À PERTE : LES FOURNISSEURS DISENT "NON"
Par contre, pour les subventions et autres aides de l'État, ils disent jamais "non". C'est même "oui et c'est pas assez, on en veut encore, toujours plus."
la condition d'existence du #capital, c'est le #salariat . Le salariat repose exclusivement sur la #concurrence des ouvriers entre eux.
K.Marx, Manifeste
On dit bien que le capital et le salariat ont les mêmes intérêts, mais cela n'a qu'un sens: le capital et le salariat sont les deux termes d'un seul et même rapport [de production]._
K.Marx, Travail salarié et capital
"Je refuse d'être un improductif. J'entend bien contribuer à la production de valeur économique jusqu'à ma mort", dit le sociologue.
Militant du #PCF depuis 1969 -soit 54 ans à manger son chapeau devant toutes les trahisons imaginables-, Il fonde en 2011 le "Réseau Salariat", dont l'objectif déclaré, sur leur site, est : "prolonger, diffuser une pensée révolutionnaire orientée vers l’appropriation collective des moyens de production [...] et l’octroi à toutes et tous d’un salaire à vie." Cette phrase, seule, suffit à poser une large partie des confusions structurant sont discours, une redéfinition inédite du communisme : La production c'est le travail, la révolution c'est le salaire ; la liberté c'est l'esclavage.
La revendication du #salaire_à_vie vise à pousser à son terme la logique de la marchandisation de la force de travail pour mieux la subvertir de l’intérieur. Tout en se réclamant de Marx et en lui empruntant une partie de son vocabulaire, Friot opère une profonde torsion de ses concepts centraux, délaissant les autres et disloquant littéralement son analyse du capitalisme, sans jamais se référer ni aux débats nombreux en la matière ni à aucun élément empirique précis. Cette opération épargne à Friot toute proposition d'une véritable élaboration théorique : tablant sur une faible diffusion de cette culture économique, prenant le relais de critiques antérieures du marxisme qu’il ne cite pas, il peut par simple décret s’autoriser à redéfinir le salariat comme forme émancipatrice et le communisme comme sa généralisation, n’analysant jamais la séparation des producteurs et des moyens de production qui définit la condition salariale. C'est surtout par ces qualités d'orateurs, entretenues par un demi-siècle de fêtes de l'Huma, qu’un tel édifice tient debout dans la forme.
Le centre névralgique de sa construction réside dans la proposition d’un salaire à vie -proposition aujourd’hui montante, sous des dénominations diverses, au point que ses nombreuses variantes se répartissent sur un arc qui va de l’anticapitalisme au libéralisme- La version présentée par Friot est celle d’une rémunération déconnectée de l’emploi, qui s’oppose selon lui à la proposition libérale de « revenu universel ». Ces salaires, dit-il, seront financés par une «caisse des salaires», qui sera alimentée par une cotisation prélevée sur la valeur ajoutée de toutes les entreprises. Ce ne sont plus les entreprises qui payeront directement les salariés, mais toutes les entreprises payerons une caisse des salaires qui paye les employés. Voilà comment la redéfinition du concept de respiration est censé éviter la noyade.
Pas touche à l'économie de marché, à la concurrence structurelle de l'économie marchande, à l’extorsion de la plus-value ; mais comment s’y prendra une entreprise pour défendre sa compétitivité sur le marché ? Elle ne paye pas les salaires, donc ne peut pas les diminuer. Il lui restera quelques options : allonger le temps de travail des salariés ou augmenter leur productivité. Nous voilà revenus à des mécanismes bien connus, à l'organisation actuelle. C’est qu’on a affaire à un système utopique, au sens d’une construction artificielle, arbitraire, que Friot a élaboré à la façon dont les socialistes utopiques, avant Marx, construisaient leurs phalanstères et leurs communautés utopiques. Marx, justement, a permis de dépasser ce socialisme utopique et de fonder un socialisme scientifique, dont le programme est élaboré en s’appuyant sur une analyse scientifique de la réalité économique. La seule lutte des classes qui vaille, c’est la lutte pour le salaire à vie et l’augmentation du taux de cotisations. Tout le reste, c’est du temps perdu. Voilà ce que Friot écrit noir sur blanc, et c’est franchement absurde.
(largement inspiré de cet article)
En même temps, et tout à fait en dehors de l’asservissement général qu’implique le régime du salariat, les ouvriers ne doivent pas s’exagérer le résultat final de cette lutte quotidienne. Ils ne doivent pas oublier qu’ils luttent contre les effets et non contre les causes de ces effets, qu’ils ne peuvent que retenir le mouvement descendant, mais non en changer la direction, qu’ils n’appliquent que des palliatifs, mais sans guérir le mal. Ils ne doivent donc pas se laisser absorber exclusivement par les escarmouches inévitables que font naître sans cesse les empiétements ininterrompus du capital ou les variations du marché. Il faut qu’ils comprennent que le régime actuel, avec toutes les misères dont il les accable, engendre en même temps les conditions matérielles et les formes sociales nécessaires pour la transformation économique de la société. Au lieu du mot d’ordre conservateur: « Un salaire équitable pour une journée de travail équitable », ils doivent inscrire sur leur drapeau le mot d’ordre révolutionnaire: « Abolition du salariat ».
Karl Marx, Travail salarié et capital
Or, si tous ces idéologues sont des partisans du travail – et pas seulement parce qu’ils comptent faire accomplir leur labeur par d’autres –, ils manifestent d’étranges réticences à le dire. Ils peuvent pérorer sans fin sur les salaires, les horaires, les conditions de travail, l’exploitation, la productivité, la rentabilité ; ils sont disposés à parler de tout sauf du travail lui-même. Ces experts, qui se proposent de penser à notre place, font rarement état publiquement de leurs conclusions sur le travail, malgré son écrasante importance dans nos vies. Les syndicats et les managers sont d’accords pour dire que nous devrions vendre notre temps, nos vies en échange de la survie, même s’ils en marchandent le prix. Les marxistes pensent que nous devrions être régentés par des bureaucrates. Les libertariens estiment que nous devrions travailler sous l’autorité exclusive des hommes d’affaires. Les féministes n’ont rien contre l’autorité, du moment qu’elle est exercée par des femmes. Il est clair que ces marchands d’idéologies sont sérieusement divisés quant au partage de ce butin qu’est le pouvoir. Il est non moins clair qu’aucun d’eux ne voit la moindre objection au pouvoir en tant que tel et que tous veulent continuer à nous faire travailler.
[…]
Seule une fraction (toujours plus réduite) des activités salariées remplit des besoins réels - indépendants de la défense ou de la reproduction du système salarial et de ses appendices politiques ou judiciaires. Il y a trente-cinq ans, Paul et Percival Goddman estimaient que seuls 5% du travail effectué alors – il est probable que ce chiffre, pour peu qu’il soit fiable, serait plus bas de nos jours – auraient suffi à satisfaire nos besoins minimaux : alimentation, vêtements, habitat. Leur estimation n’est qu’une supposition éclairée, mais la conclusion en est aisée à tirer : directement ou indirectement, le gros du travail ne sert que les desseins improductifs du commerce et du contrôle social.
[…]
Comme le travail ne présente aucune nécessité, sauf pour ceux dont il renforce le pouvoir, des travailleurs toujours plus nombreux passent d’une activité relativement utile à une activité relativement inutile, dans le simple but d’assurer le maintien de l’ordre, la paix sociale – car le travail est en soi la plus redoutable des polices. N’importe quoi vaut mieux que rien. Voilà pourquoi vous ne pouvez rentrer avant l’horaire à la maison sous prétexte que vous avez achevé votre besogne quotidienne plus tôt. Même s’ils n’en ont aucun usage productif, les maîtres veulent votre temps, et en quantité suffisante pour que vous leur apparteniez corps et âme.
Bob Black, L’Abolition du travail
Ainsi, tout les aliénés qui souhaitent se vendre librement, trouveront dans les thèses de Friot un exutoire maximaliste : Vendre librement sa vie pour survivre, comme seul horizon.
Pour tout les autres :
Monopoly capitalism isn't free market capitalism, it's a failure of government to umpire free markets to prevent monopoly formation.
Free markets are the best system of resource management we have, but their major flaw is progressive consolidation of capital to the extent of monopolies, duopolies, triopolies etc.
Government corruption such as cronyism has led to the failure of government to umpire free markets which has led to the monopoly capitalism of today.
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