#planète

socialisme_libertaire@diaspora-fr.org

#alimentation #planète #écologie #végétarisme #santé #nutrition #environnement #productivisme #capitalisme

★ S’ALIMENTER SANS DÉTRUIRE LE MONDE ?...

" Il ne s’agit pas ici de répondre en quelques lignes à cette question, mais bien de tenter de comprendre si elle est pertinente dans le contexte géopolitique actuel et de contribuer à la réflexion sur le sujet. Prenons donc un peu de recul et commençons par le début en nous situant dans le contexte général (...) "

▶▶ https://www.socialisme-libertaire.fr/2019/01/s-alimenter-sans-detruire-le-monde.html

tina@diaspora.psyco.fr

Il a plu sur le Groenland...

Normalement, dans la région, les basses températures empêchent de l'eau de tomber sous forme liquide. Mais mercredi dernier, la station Summit du National Snow and Ice Data Center (NSIDC) a confirmé que ce phénomène s'est produit le 14 août dernier.
Les températures supérieures à zéro degré, à plus de 3000 mètres d'altitude, ont permis que la pluie tombe. Au total, sept milliards de tonnes d'eau ont été déversées.

#environnement #planète #climat #effondrement

s6xtet@friendica.xyz

Compilation estivale du label 3024

https://3024world.com/album/it-was-always-there-vol-1

While everyone experienced the great 'reset' of the global pandemic differently, the absence of gigs and touring provided space to re-think how #music should be made, released and distributed. New initiatives and ideas have surfaced to make the #electronicmusic scene more interesting, more innovative and more inclusive than before. One such initiative is the 3024 Mentoring Program.

Based on Martyn's holistic approach to music-making the program helps producers of all experience levels to find their own voice and develop it. But this unique period in time has helped turn this program into so much more than just that ; it's become a vibrant community of producers, dj's, radio makers exchanging ideas and creative energy. This spawned the idea of the three-part #compilation "It Was Always There".

In character with 3024's open minded attitude towards genre-bending and style nomadism, "It Was Always There" is a 28 track collection to be released over the summer of '21, featuring exciting #music by producers, some established, some yet to be discovered, who are united in their dedicated quest for innovation and fine tuning of their sound. From the warm summer's day #drumnbass of #WhiteTransitVan, the glitched out #bass mutations of Talik, to the relentless warehouse #techno of #ADG, it all has its place in the #3024 universe. We hope you enjoy this small treasure of exciting music!

Martyn & Jeroen #Erosie @ 3024

Tracks by: Talik, #Sobolik, #CCL, White Transit Van, #Anchoret, ADG, #LaurenceKapinga, #Planète, #Pharma & #JWeaver.
#electro #idm #musique #musiqueélectronique

anarchiste@framasphere.org

#Covid #pandémie #virus #capitalisme #progrès #technologie
#écologie #environnement #écocide #déforestation #biodiversité #planète
#anarchisme #anticapitalisme

★ LE PRIX EXORBITANT DE LA DÉMESURE...

" L’arrogance, l’autosatisfaction, l’optimisme béat et la loi du profit ont conduit à considérer prématurément les maladies infectieuses comme appartenant au passé (des moyens spécifiques ont été supprimés), à ignorer les multiples avertissements émis, notamment depuis le milieu des années 2000 – et même bien avant – par des dizaines de scientifiques à plusieurs occasions (SARS, Zika, grippe aviaire H1N1, Nipah…), à découpler la santé des humains de celle de l’environnement. Or une vision globale, une approche transdisciplinaire, une perception écologique de l’émergence des maladies permettent d’entrevoir la complexité des relations, des interactions entre les agents pathogènes, leurs hôtes et l’environnement, et donc la difficulté à prévoir cette émergence (...) "

▶▶ https://www.socialisme-libertaire.fr/2021/07/le-prix-exorbitant-de-la-demesure.html

eco11@diaspora-fr.org

Le grain de sable dans la machine.

Quels enseignements tirer dès à présent de la #crise du #Covid-19 ? La pandémie a-t-elle grippé la grande machine libérale ? Ce documentaire singulier revient sur la funeste année 2020 et ouvre des perspectives politiques pour l’avenir.
Le Covid-19 a-t-il grippé la grande machine libérale ? Depuis bientôt un an, la pandémie mondiale a mis en évidence la faiblesse de nos systèmes de santé, mais elle souligne surtout l’immunité défaillante de nos démocraties, affaiblies par les crises économique et climatique. Exposant les citoyens à une régression des libertés fondamentales, elle pousse entreprises et États à faire des choix cruciaux. Faut-il alors abandonner le modèle économique qui a contribué au surgissement de ce #virus et alimenté le réchauffement de la #planète ?
Tourné à travers le monde, le film revient sur les événements de l’année passée et combine les approches de sociologues, scientifiques, politiques et philosophes. Entremêlant information, récit et émotion, il entrechoque la réalité avec une certaine forme de poésie... salvatrice.
Réalisation : Alain de Halleux
#Documentaire #Arte
#covid #sanitaire
https://www.youtube.com/watch?v=vx6LXFjIK4g

miksimus@framasphere.org

Chère Bonne Maman,

Ton nom rassurant et touchant à notre enfance ne m’explique pourtant pas pourquoi tes actes sont ceux d’un industriel déresponsabilisé du monde qui l’entoure.

Il me semble qu’une “bonne maman” prend soin de ceux qu’elle nourrit, et de leur environnement.

Alors dis moi, chère Bonne Maman,
Pourquoi tes biscuits sont emballés UN par UN dans un emballage plastique polluant et désastreux pour l’environnement.
Je t’avoue que j’hallucine quand j’ouvre le paquet en carton et que je vois plus le plastique que les gâteaux, qui sont si bien mis en valeur sur la boite.

Bien sur, je ne m’attarde pas là sur les produits inutiles voir dangereux présents dans tes biscuits. C’est un autre débat, mais un même état d’esprit.

Puisqu’en 2021, tu n’as pas l’air d’avoir pris conscience de l’urgence écologique, et qu’à ton niveau, tu n’as pas daigné faire ce petit effort, alors j’agis à ta place, et je te promets que jamais plus, je n’achèterais tes biscuits (et par extension les produits de ta “mère” Andros) parce que j’ai envie que mes enfants disent de moi que j’étais…

…un “bon papa”

#écologie #planète #humanité #gaspillage #urgenceclimatique #pollution #écologie #environnement #climat

jaune_lola@diaspora-fr.org

#Cyberaction N° 1386 : Sauvons les peuples #autochtones et la #biodiversité

Cyberaction mise en ligne le 28 avril 2021, proposée par Cyberacteurs Elle sera envoyée au Président de la République
#Survival International rend publique une lettre pour que tout le monde puisse comprendre que la lutte contre la perte de biodiversité ne peut pas se faire aux dépens des meilleurs gardiens de la #nature. L’objectif de 30 % d’aires protégées est un “grand #mensonge vert” ; il détruira des millions de vies, mais ne sauvera pas notre #planète.
https://www.cyberacteurs.org/cyberactions/sauvonslespeuplesautochtonesetlabio-4723.html
#cyberacteurs #environnement #écologie #peuples-premiers #droits-humains #solidarité #pétition

royae@framasphere.org

Ces deux paysages ont le même âge : des milliards de milliards d'instants se sont écoulés depuis que seule l'eau coulait sur leur roche.
Dans le premier des milliards de milliards de petits déséquilibres, le fil du temps passant, ont crées une richesse biologique profonde et toute entrelassée et même des merveilles de mouvement et de vie : les mamifères, un loup...
Lequel de ces paysages devrait nous faire envie, nous épanouir, nous nourir et nous reposer, et même nous faire découvrir l'apréhension et le jeu avec un loup ?
Quel aveuglement, hystérie, faut-il pour ne pas savoir répondre à la question précédente ?
#planète #mars #terre #panoramique #paysage #vallée #écosystème #loup #économie

pbissf@diasp.org

Un texte de Fred Vargas que je trouve percutant, concernant l’humanité et son lien avec la planète et l’écologie.

“Nous y sommes”

Nous y voilà, nous y sommes. Depuis cinquante ans que cette tourmente menace dans les hauts-fourneaux de l’incurie de l’humanité, nous y sommes.
Dans le mur, au bord du gouffre, comme seul l’homme sait le faire avec brio, qui ne perçoit la réalité que lorsqu’elle lui fait mal. Telle notre bonne vieille cigale à qui nous prêtons nos qualités d’insouciance.
Nous avons chanté, dansé…
Quand je dis « nous », entendons un quart de l’humanité tandis que le reste était à la peine.
Nous avons construit la vie meilleure, nous avons jeté nos pesticides à l’eau, nos fumées dans l’air, nous avons conduit trois voitures, nous avons vidé les mines, nous avons mangé des fraises du bout du monde, nous avons voyagé en tous sens, nous avons éclairé les nuits, nous avons chaussé des tennis qui clignotent quand on marche, nous avons grossi, nous avons mouillé le désert, acidifié la pluie, créé des clones, franchement on peut dire qu’on s’est bien amusés.
On a réussi des trucs carrément épatants, très difficiles, comme faire fondre la banquise, glisser des bestioles génétiquement modifiées sous la terre, déplacer le Gulf Stream, détruire un tiers des espèces vivantes, faire péter l’atome, enfoncer des déchets radioactifs dans le sol, ni vu ni connu.
Franchement on s’est marrés. Franchement on a bien profité.
Et on aimerait bien continuer, tant il va de soi qu’il est plus rigolo de sauter dans un avion avec des tennis lumineuses que de biner des pommes de terre.
Certes.
Mais nous y sommes.
A la Troisième Révolution.
Qui a ceci de très différent des deux premières ( la Révolution néolithique et la Révolution industrielle, pour mémoire) qu’on ne l’a pas choisie.

« On est obligés de la faire, la Troisième Révolution ? » demanderont quelques esprits réticents et chagrins.
Oui.
On n’a pas le choix, elle a déjà commencé, elle ne nous a pas demandé notre avis. C’est la mère Nature qui l’a décidé, après nous avoir aimablement laissés jouer avec elle depuis des décennies.
La mère Nature, épuisée, souillée, exsangue, nous ferme les robinets.

De pétrole, de gaz, d’uranium, d’air, d’eau.
Son ultimatum est clair et sans pitié :
Sauvez-moi, ou crevez avec moi (à l’exception des fourmis et des araignées qui nous survivront, car très résistantes, et d’ailleurs peu portées sur la danse).
Sauvez-moi, ou crevez avec moi.
Evidemment, dit comme ça, on comprend qu’on n’a pas le choix, on s’exécute illico et, même, si on a le temps, on s’excuse, affolés et honteux.
D’aucuns, un brin rêveurs, tentent d’obtenir un délai, de s’amuser encore avec la croissance.
Peine perdue.
Il y a du boulot, plus que l’humanité n’en eut jamais.
Nettoyer le ciel, laver l’eau, décrasser la terre, abandonner sa voiture, figer le nucléaire, ramasser les ours blancs, éteindre en partant, veiller à la paix, contenir l’avidité, trouver des fraises à côté de chez soi, ne pas sortir la nuit pour les cueillir toutes, en laisser au voisin, relancer la marine à voile, laisser le charbon là où il est, – attention, ne nous laissons pas tenter, laissons ce charbon tranquille – récupérer le crottin, pisser dans les champs (pour le phosphore, on n’en a plus, on a tout pris dans les mines, on s’est quand même bien marrés).
S’efforcer. Réfléchir, même.
Et, sans vouloir offenser avec un terme tombé en désuétude, être solidaire.
Avec le voisin, avec l’Europe, avec le monde.
Colossal programme que celui de la Troisième Révolution.
Pas d’échappatoire, allons-y.
Encore qu’il faut noter que récupérer du crottin, et tous ceux qui l’ont fait le savent, est une activité foncièrement satisfaisante. Qui n’empêche en rien de danser le soir venu, ce n’est pas incompatible.
A condition que la paix soit là, à condition que nous contenions le retour de la barbarie –une autre des grandes spécialités de l’homme, sa plus aboutie peut-être.
A ce prix, nous réussirons la Troisième révolution.
A ce prix nous danserons, autrement sans doute, mais nous danserons encore.

Fred Vargas, Archéologue et écrivain.

Ce texte a été diffusé en novembre 2008 sur le site de “L’écologie - les verts” de Paris 20e, au moment où Fred Vargas a rejoint les Verts. source: http://cestpourdire.blogspot.ca/2011/04/nous-y-sommes-fred-vargas.html

#écologie #planète #humanité #vert #sociologie #alter-mondialisation #nature #révolution