#antispécisme

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"Tout animal étant un être sensible doit être placé par son propriétaire dans des conditions compatibles avec les impératifs biologiques de son espèce" Art L214-1 du Code rural
Un rappeur connu effaré par la visite d'un élevage de poules pondeuses en cages
La vidéo date un peu mais elle est malheureusement toujours d'actualité.
Bon appétit à toi qui, probablement mange des animaux et leurs produits et sous produits, penses y et penses à règler ce problème de dissonance cognitive, qui participe à la tuerie et au massacre animal. Car plus de 400 000 TONNES d'ANIMAUX sont trouvés morts en élevage chaque année dans notre beau pays, devenu un charnier quasi invisible. Et rappelles toi qu'on est des animaux, aussi doués qu'eux de sensibilité. "La question n'est pas : Peuvent ils raisonner ? ni : peuvent ils parler ? Mais Peuvent ils souffrir ? Jeremy Bentham Introduction aux principes de morale et de législation, 1789
#antispécisme #veganisme #vegetarisme #respect #droit #sensibilité

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Pourquoi publier une revue antispéciste ? | AOC

Un article de Martin Gibert, philosophe, accessible gratuitement sur inscription sur le site d’AOC.

Des militantes francophones contre le spécisme publient pour la première fois une revue papier. À quoi pense le mouvement animaliste ? Quels débats le nourrissent ? Réponse argumentée et présentation de ce numéro par la corédactrice en chef de L’Amorce.

Ce printemps 2024, paraît une nouveauté, L’Amorce, au sous-titre sans équivoque : revue contre le spécisme. Sous une couverture orangée, on y trouve des articles en forme de questions : « Faut-il se fier aux intuitions spécistes ? » ou « Pourquoi la droite tient-elle tant à son verre de lait ? ». On peut aussi y lire une entrevue avec le philosophe Peter Singer, auteur du fameux Animal liberation (1975). Et qui analyse la polémique sur Sandrine Rousseau et les barbecues ? Nulle autre que l’autrice de La Politique sexuelle de la viande, l’écoféministe Carol J. Adams.

Je le sais parce que je suis co-rédactrice en chef de L’Amorce. Cette revue, en ligne depuis 2018, est le fruit d’un collectif de philosophes, sociologues, intellectuelles et militantes qui s’intéressent de près au spécisme. (Nous utilisons le féminin par défaut pour certains groupes mixtes ; c’est étrange au début, mais c’est comme pour le tofu : on s’habitue). Ce qui est nouveau ce printemps, c’est que la revue est pour la première fois publiée en un volume papier aux éditions Éliott. Voilà donc l’occasion de répondre à une question aussi simple que légitime : pourquoi publier une revue antispéciste ?

À bien y penser, je vois au moins quatre raisons.

La première raison, c’est que nous avons raison. Il existe bel et bien une oppression massive, violente et omniprésente, contre les animaux. Qui plus est, cette oppression passe largement inaperçue. Il faut donc en parler. Le spécisme, cette discrimination en fonction de l’espèce, n’est pas seulement un concept abstrait : des dizaines de milliards d’animaux terrestres (sans compter d’innombrables animaux aquatiques) sont élevés et envoyés chaque année à l’abattoir alors que l’on sait pertinemment qu’on pourrait s’en passer.

Dire, un peu crânement, je vous l’accorde, que nous avons raison, c’est dire que le spécisme existe et qu’il y a d’excellentes raisons morales de le combattre. C’est assumer son identité de revue militante. Comment rester indifférents et ne pas vouloir amorcer (et oui) un changement culturel lorsqu’on prend la mesure des violences spécistes ?

En philosophie morale, presque personne ne soutient sérieusement qu’il est légitime de discriminer les individus en fonction de l’espèce. Comme le montre François Jaquet dans son dernier livre, Le Pire des maux : éthique et ontologie du spécisme, le spécisme, tout comme le racisme, viole un principe fondamental d’égal traitement des individus. Nous avons raison, mais nous savons aussi que les gens s’en remettent rarement à la raison dans leurs jugements moraux. Dans ce premier numéro de L’Amorce, le philosophe suisse interroge la psychologie morale des intuitions spécistes, celles-là mêmes qui conduisent à minimiser ou ignorer les intérêts des animaux.

Ces intuitions, constate-t-il, s’expliquent par le tribalisme et la dissonance cognitive. On perçoit moralement les animaux comme des membres d’une autre tribu, et on ajuste nos croyances à nos pratiques – culinaires notamment. Puisque ces facteurs explicatifs sont sans rapports avec la vérité des intuitions spécistes, il s’ensuit qu’elles ne sont pas fiables. Pour penser le spécisme, il faut donc se méfier de nos intuitions – qui correspondent au système 1 du psychologue Daniel Kahneman – et examiner des arguments en mobilisant le système 2, la raison. À la réflexion, n’est-ce pas ce qu’essaye de faire une revue ?

La seconde raison de publier, c’est de rassembler. Car un volume papier, c’est d’abord ça : réunir sous une même couverture des auteurs et des autrices dont on juge la parole pertinente. Et ce faisant, créer du lien, constituer un « nous ». Car ce rassemblement a bien sûr un sens politique. Il signale une présence : nous sommes nombreux, y compris dans le monde universitaire, à penser que nous avons un gros problème avec le spécisme. En ce sens, publier une revue antispéciste, c’est donc participer à un mouvement social et politique, à un projet collectif.

La revue s’ouvre d’ailleurs avec un texte collectif, La Déclaration de Montréal sur l’exploitation animale, lancé le 4 octobre 2023. Signée par plus de 500 philosophes moraux et politiques, elle ne plaide pas pour la viande locale ou bio, mais condamne explicitement toute forme d’exploitation des animaux sentients, c’est-à-dire capables d’éprouver du plaisir, de la douleur ou des émotions. Lorsqu’il m’arrive d’avoir des doutes (déformation professionnelle), je me souviens qu’il existe une expertise philosophique, et que ce n’est pas demain la veille que 500 philosophes moraux et politiques seront prêts à se commettre pour défendre l’exploitation animale.

Mais quand bien même les antispécistes auraient tout faux, cela ne changerait rien à la troisième raison de publier : c’est intéressant. Contrairement à ce qui se passe pour la plupart des gens – ce qui inclut la plupart des journalistes et des intellos – il faut bien comprendre que, pour les animalistes, la question de l’éthique de l’exploitation animale est réglée depuis longtemps. Nous nous intéressons aujourd’hui à d’autres questions, plus pragmatiques, plus politiques.

D’ailleurs, où situer politiquement l’animalisme ? Si les organisations féministes manifestent souvent leur soutien à Black Lives Matter, aux immigré·es ou aux homosexuel·les, « les groupes animalistes restent en dehors de ces solidarités progressistes », constate Will Kymlicka. Cela viendrait d’une croyance profondément enracinée en chacune, à savoir que la valeur de l’humanité réside dans sa différence avec l’animalité.

On le voit bien avec les métaphores et les insultes animalières utilisées pour dévaloriser, en les déshumanisant/animalisant, des groupes vulnérables (femmes, musulman·es, Noir·es), ceux-là même que défend la gauche. Et le philosophe canadien de résumer : « L’argument le plus courant en faveur des droits des animaux repose sur la continuité entre les humains et les animaux ; à l’inverse, l’argument le plus courant pour les droits des groupes déshumanisés repose sur une discontinuité radicale entre les humains et les animaux. » Qui l’eut cru, l’humanisme de la gauche possède un revers embarrassant : le suprémacisme humain.

Un écho très concret de ces préoccupations résonne dans la lettre ouverte qu’adressent des militantes antispécistes – des orphelines de la gauche – aux féministes. Les autrices proposent à leurs alliées une « solidarité passive », le respect d’un principe de non-nuisance. Concrètement, cela implique par exemple « de cesser d’alimenter le spécisme via des slogans suprémacistes humains (« nous ne sommes pas des animaux », ou encore « nous ne sommes pas du bétail », « ni viande ni objet ») » ou que l’option végétalienne soit offerte par défaut dans les rassemblements militants.

De même, au Brésil, explique Sandra Guimarães en entrevue, le mouvement du « véganisme populaire » construit des ponts avec la lutte des paysans sans terre et d’autres mouvements de justice sociale. L’activiste brésilienne du réseau antispéciste UVA (União Vegana de Ativismo) s’empare de thèmes comme la réforme agraire, l’agroécologie, la souveraineté alimentaire ou la décolonisation des pratiques agricoles. Pour elle, toute bonne stratégie doit tenir compte des besoins des gens : « La vie du peuple est tellement difficile que si la lutte n’améliore pas concrètement la vie des classes populaires dans le présent, elle ne fera jamais sens pour nous. »

En Amérique du Nord, les masculinistes se moquent des soy boys, ces hommes véganes soi-disant féminisés par le soja. Mais ce n’est pas tout. Comme le rappelle Élise Desaulniers, l’extrême droite instrumentalise aussi un fait biologique, à savoir que tous les êtres humains ne sont pas égaux devant la digestion du lait, pour valoriser la « race blanche ». En effet, seules les populations (adultes) qui possèdent une mutation génétique capitale, la « persistance de la lactase » peuvent digérer le lait. Pour les personnes d’ascendance européenne et des peuples nomades d’Afrique, c’est un héritage de leur ancêtre ayant domestiqué les vaches. Ajoutez à cela la couleur du lait et voyez comment l’extrême-droite peut en faire un symbole qui conjugue suprémacisme humain et suprémacisme blanc. Avouez que c’est intéressant.

Publier une revue antispéciste, c’est rassembler en créant des juxtapositions inédites : c’est touiller de l’information et lancer des idées. Que se passera-t-il dans la tête des lectrices qui liront un article sur l’intelligence artificielle, un autre sur la souffrance des animaux dans la nature et un troisième sur le Black veganism ? Quelles connexions inédites vont s’enclencher ?

Quant à la quatrième raison, c’est qu’il y a de la place pour nous. Hélas. La couverture médiatique est en effet saturée de spécisme : presque tous les vecteurs d’information tiennent pour acquis que l’espèce est un critère de discrimination légitime. Or, pour avoir un marché libre des idées, il est crucial que toutes les positions soient exprimées (et en particulier les bonnes !). Cette dernière raison, même nos détracteurs devraient l’endosser. Brisons les monopoles idéologiques et accueillons, sous vos applaudissements, une nouvelle perspective cohérente et radicale.

La revue mérite en particulier d’exister dans l’espace informationnel francophone. Car L’Amorce n’est pas particulièrement une revue française. Cinq d’entre nous vivent à Montréal ou sont québécoises, l’un vient de Suisse, deux vivent en Angleterre et une demeure même à la campagne, en Ardèche. De fait, nous sommes bien placées pour apprécier la lenteur d’allumage relative des intellos aux enjeux animalistes dans divers pays. Et la France ne nous impressionne pas beaucoup.

Dans les journaux, lorsqu’on s’aventure à parler d’antispécisme, on équilibre aussitôt le papier avec « l’autre côté de la médaille ». Des ouvrages publiés par des journalistes (par exemple du Figaro ou de Philosophie magazine) prétendent invalider l’antispécisme. Ils agitent le spectre de la panique morale et hurlent au loup, ce qui ne contribue pas à élever le débat. Je me souviens en particulier d’un dialogue de sourds lorsque Valéry Giroux fut invitée par Alain Finkielkraut sur France Culture à défendre son Que sais-je ? sur l’antispécisme.

Notre projet consiste à offrir des analyses que l’on n’entend pas à la radio. Ainsi, Valéry Giroux pose dans ce numéro une question qui fâche, impubliable ailleurs : les véganes qui, comme moi, se privent au quotidien des délices tirées de l’exploitation animale, ne le feraient-ils pas pour rien ? Quelle est l’efficacité réelle du boycott végane? Avec sa rigueur habituelle, la philosophe québécoise analyse la plus récente littérature scientifique sur le sujet et conclut qu’il existe de bonnes raisons non seulement déontologiques, mais aussi conséquentialistes de se priver (ouf !). Elle s’inscrit par-là dans le courant très « esprit critique » ou zététique qui se développe depuis quelques années dans le monde animaliste – et dont Florence Dellerie est une autre représentante, en plus d’avoir paré ce premier numéro de ses croquis animaliers.

En définitive, je crois que c’est une certaine reconnaissance intellectuelle que l’on va chercher lorsqu’on décide de publier une revue contre le spécisme. C’est la responsabilité de contribuer au débat et le droit de répliquer lorsqu’on juge que des intellos disent n’importe quoi sur le sujet. Ce qui arrive plus souvent qu’autrement. Thomas Lepeltier, dont la revue papier reprend une tribune contre certaines thèses environnementalistes, a écrit tout un livre sur le sujet, L’Imposture intellectuelle des carnivores.

Les intellos sont responsables de ce qu’ils écrivent. Ainsi, lorsque Baptiste Morizot attaque l’antispécisme avec un mauvais argument, nous estimons devoir lui répondre (« Un philosophe confondant »). Lorsque l’anthropologue Charles Stépanoff cire les bottes des chasseurs français, nous pensons qu’une riposte est requise (« Un anthropologue chachant chacher »). Publier une revue contre le spécisme, c’est assumer le contre. C’est tenir son cap dans la bataille des idées et donner le change aux défenseurs du spécisme.

En résumé, je vois au moins quatre raisons, en 2024, de publier une revue francophone contre le spécisme : parce qu’il y des raisons morales de combattre cette discrimination, parce que c’est politiquement rassembleur, parce que c’est intéressant et pour donner à la critique du spécisme la place légitime qui lui revient dans le monde des idées. Gageons que ce sont autant de raisons de lire une revue antispéciste.

NDLR – Après cinq ans d’existence en ligne, le revue L’Amorce a publié un premier numéro papier paru le 17 avril.

#politique #animalisme #spécisme #antispécisme #LAmorce #AOC

dunoir@diaspora-fr.org

#Grèce #Mégare #Antispécisme #Animaux #Élevage de #Gibiers

Mégare (Grèce) : Revendication d’une libération d’animaux

Unoffensive Animal

Pendant que d’autres échangent des recettes, nous enfilons des cagoules.

Aux premières heures de dimanche [le 3 mars 2023 ; NdAtt.], nous avons attaqué les « élevages de gibier » de Vassiliadis et Kavouras, à Mégare [ville à mi-chemin entre Athènes et Corinthe, sur l’isthme ; NdAtt.]. Dans le premier, nous avons fait tomber la clôture des #sangliers et dans le deuxième, nous avons ouvert les portes de la cage des #cerfs.

Nous refusons le rôle de « libérateur.trices » et considérons que nous avons simplement fait notre devoir minimal de #solidarité envers ces êtres captifs : Nous leur avons donné une chance de vivre.
Bonne chance à eux tous et mauvaise chance à ceux qui les considèrent comme de la nourriture.

Les paroles ne sont rien, les actions sont tout et nous sommes jugé.es seulement sur la base de celles-ci.

A la prochaine fois…

oursnoir@diaspora.psyco.fr
oursnoir@diaspora.psyco.fr
pascal_lamachere@diaspora-fr.org

Suite du 20 février : Je reçus assez rapidement des réponses. Certaines assez déplaisantes, des « trolls provocations », des pleines de clichés d'idiots mal informés sur la richesse de l'alimentation végétale, du véganisme et sur l'intérêt santé d'un régime végétalien, et de propos de lobbies carnistes couplés à un certain nombre de moqueries.

Du style : « Oui à la verdure dans les jardins, non aux herbes, même hachées, dans mon assiette. »

« Encore un qui veut se la jouer Fsociety. Un conseil, prenez un raccourci : réveillez-vous ! »

« C'est bon, les filles et les gars, profitez comme moi de la fin du monde sur un transat. »

« Jésus, tu t'es trompé d'époque, va te faire voir et multiplier les pains chez les Grecs. »

« Les produits végans ne sont pas vos amis pour la vie. »

En réponse, je me contentai de les inviter à lire des articles, celui de Jérôme Segal « Qui sont les animaux ? » qui répond à des critiques, et d'autres :

Et de consulter les fiches nutritionnelles d'associations dédiées à la cause animale :

Et s'inscrire à un programme d'aide à la transition s'ils devaient manquer de motivation pour s'informer par eux-mêmes :

Et d’écouter le podcast Comme un poisson dans l’eau : https://www.youtube.com/@poissonpodcast/videos

Et de lire le livre Le mal du sucre pour limiter leur consommation de sucre en même temps.

Curieusement pour moi, le plus dur à convaincre, à inviter à remettre en question leurs préjugés et idéaux politiques, fut les adeptes de l'idéologie libertarienne se revendiquant du courant anarcho-capitalisme, semblant assez nombreux, peut-être bien majoritaires dans cette dimension d'internet que je découvrais. Non pas dur à convaincre par défaut d'arguments ou parce qu’adhéré à une thèse climato-sceptique complotiste où toute information contraire à leur point de vue serait douteuse. Juste que par principe ils n'étaient pas prêts à lutter contre le capitalisme, et encore moins passer du temps à compulser des documents qui chercheraient à leur expliquer par a + b leurs torts.

Malgré tout, je leur suggérai de voir ou lire les transcriptions de la conférence « Une société viable » (A Viable Society) et du podcast « Révolution maintenant ! », pour quand ils auraient le temps et l'envie : https://www.revolutionnow.live/

De notable, de constructif, des réponses reçues, quelques-uns suggérèrent des docs ou / et des façons d'organiser le collectif, en s'intéressant à ceux déjà un peu dans cette idée, cet objectif. Et puis il y a celles et ceux qui proposèrent leur aide, leur participation, dont des qui se considéraient sans « compétences précises ». Je leurs répondis :

« Si je puis dire, pas de soucis,
certaines tâches peuvent s'apprendre sur le tas,
et vous pourrez participer d'une manière ou d'une autre, au choix,
ne serait-ce qu'offrir votre temps de cerveau disponible, vos opinions, vos avis,
éventuellement enquêter pour vérifier ce qui relèverait de la véracité,
en s'intéressant aux publications, les lire, les regarder, commenter, partager,
participer à la stratégie et popularisation du mouvement sur le réseau commun.
En bref, du moment que vous êtes de bonne volonté,
comprenez l'importance des idéaux, du souci commun,
êtes prêt(e) à une Révolutionère société,
à une quête de mue,
vous êtes bienvenu(e) !»

Pendant ce temps, pendant que je me la jouais apprenti révolutionnaire, de ce que j'ai retenu de ce que Œil d'aigle me racontera, celle-ci avait ouvert les « yeux de sa conscience » sur le parvis d'un théâtre.

Pour lire ce qui a été écrit avant et suivre l'histoire : https://www.cuisine-art-politique-et-compagnie.com/forums/sujet/histoire-poetique-au-cours-de-lannee-2023-quelques-vers-par-jour/#post-398

Liste de lecture des essais de "récitation" de l'histoire à suivre que j'ai commencé le 1er janvier, avec improvisation musicale avec la guitare et un petit tambour végan : https://www.youtube.com/watch?v=lDJ3pvMyv0I&list=PLWG3MhJ7E0kjNm7nKDDSwHnSKlza7G-oF&index=1
Vous y trouverez pour le moment les 5 premiers jours d'écriture.
 

 

 

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