#prostitution

entreleslignesentrelesmots@diaspora-fr.org
mme_de_faune@nerdpol.ch

[...] Mau: Wir müssen dringend darüber reden, was passieren wird, wenn geflüchtete ukrainische Frauen, die wir hier zu Recht aufnehmen, auf eine #Gesellschaft treffen, in der sich viele Männer als Freier betätigen. Von der polnischen Grenze gibt es bereits Berichte, dass dort Zuhälter ukrainische Frauen mit kleinen Kindern ansprechen und versuchen, sie mitzunehmen. Es scheint klar, wohin sie gebracht werden sollen, denn wir sind eines der Hauptzielländer für #Menschenhandel. Bei uns lohnt es sich richtig, eine Frau zur #Prostitution zu zwingen, denn wir haben eine legalisierende Gesetzgebung und sehr, sehr viele Freier. Deswegen ist klar, an der Nachfrage müssen wir ansetzen. Freier zu sein, muss bestraft werden. Die Regel ist im Prinzip einfach: Weniger Freier bedeutet weniger Prostitution, weniger Prostitution bedeutet automatisch weniger #Zwangsprostitution und Menschenhandel. [...]

https://www.zeit.de/zeit-magazin/leben/2022-03/prostitution-ausstieg-huschke-mau-interview/komplettansicht

#Ukraine #Russland #Flucht #Armut

tpq1980@iviv.hu

Ukraine is, apparently, a major #global center for #child #rape, child #prostitution, child #pornography production & child rape #tourism.

Ukraine's capital #Kiev / #Kyiv is both The major center in #Ukraine for the sexual #exploitation of #children & home to #Jewish #Ukrainian president Volodymyr #Zelenskyy.

I find child rape, especially the #systematic & #commercialised versions of it to be the most vile & egregious of #crimes. Perhaps #Putin will bring an end to this abomination?

#ukrainecrisis #childtrafficking #nwo #childabuse #ukraineconflict #russia #volodymyrzelenskyy #kiev #kyiv #globalism #newworldorder #davos #criminals

https://www.google.co.uk/search?q=Ukraine+child+pornography+prostitution

https://en.wikipedia.org/wiki/Child_prostitution_in_Ukraine

entreleslignesentrelesmots@diaspora-fr.org

Une survivante raconte l’horreur de la prostitution

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De toutes les tragédies que j’ai vécues quand j’étais en situation de prostitution, il y a deux événements qui continuent de me tourmenter et dont je ne me suis toujours pas remise. Ce sont des expériences traumatiques que j’ai rangées dans mon esprit, mais elles sont toujours là, à l’intérieur de moi, même si j’essaye de vivre ma vie en les ignorant.

https://entreleslignesentrelesmots.blog/2022/02/08/une-survivante-raconte-lhorreur-de-la-prostitution/

#féminisme #prostitution

legeneralmidi@diaspora.psyco.fr

« La prostitution des mineures est un problème majeur de la société » #NatachaDevanda

Deux lois censées les protéger, des rapports en veux-tu en voilà et si peu d’évolution positive sur les trottoirs, dans la rue, sur Internet. Lundi 15 novembre, un plan intergouvernemental était censé s’emparer de la délicate question de la #prostitution des mineurs. Entre 7 000 et 10 000 jeunes, des filles en écrasante majorité, composent cette cohorte de chair fraîche. Elles sont exploitées par les #proxénètes, violées par des clients qui s’en dédouanent par un billet et sous couvert de consentement. Comment arrêter un phénomène qui, malgré la réglementation, explose, change de forme et se « professionnalise » ? Rencontre avec #StéphanieCaradec, directrice du mouvement #LeNid, une association qui, depuis 70 ans, lutte pour l’abolition de la prostitution.

Quel est votre sentiment par rapport aux décisions du plan intergouvernemental de lutte contre la prostitution des #mineurs ?
Tout d’abord, on salue l’existence d’un plan interministériel sur cette question. On se réjouit aussi qu’il soit financé à hauteur de 14 millions d’euros. C’est une bonne nouvelle que ministres et secrétaires d’État de la Justice, de l’Intérieur, de la Politique de la Ville, de la Jeunesse ou de la Solidarité et de la Santé, se retrouvent pour évoquer ce problème majeur de société : la prostitution des #mineures. La dimension interministérielle permet d’aborder toutes les facettes du problème. C’est primordial pour lutter contre.

De même, le développement de la prévention dans les établissements du secondaire et l’ambition de développer, grâce à la formation, une « culture commune » auprès de nombreux professionnels : action médico-sociale et éducative, services de santé, police et justice est une bonne chose. Le gouvernement promet aussi une prise en charge immédiate des victimes dès les premiers signes de détresse.

Comment avez-vous travaillé en amont lors des travaux préparatoires ? Et quelle était la position du Nid ?
Nous avons fait partie du groupe de travail préparatoire, présidé par Catherine Champrenault, procureure générale de Paris. Des discussions qui ont duré neuf mois. Si on salue l’intention, on s’interroge car il y a encore peu de détails sur la façon dont les actions seront menées et bien sûr, nous regrettons le grand absent des préconisations du plan : le « client ». Plus précisément, le plan indique que les « clients » et les proxénètes « nourrissent » le phénomène, mais aucune action concrète n’a été annoncée pour améliorer la répression des hommes qui achètent des actes sexuels à des enfants. L’État doit aller plus loin. Aujourd’hui, un nombre infime de « clients prostitueurs » sont interpellés et l’impunité reste la norme. La campagne de sensibilisation prévue au 1er semestre 2022 par le plan devra également s’adresser à eux.

Qu’est-ce qui fait que les lois sont-elles si peu ou si mal appliquées ?
Parce qu’il y a une chose qui s’appelle le sexisme et le patriarcat qui accepte toujours l’achat d’actes sexuels, surtout quand c’est majoritairement auprès de femmes. Acheter un rapport sexuel avec une adolescente est un délit. Les proxénètes comme les « clients prostitueurs » sont, en principe, sanctionnés. Mais dans les faits, c’est beaucoup plus compliqué. Les clients se dédouanent facilement avec un billet glissé à la jeune fille. Devant les policiers ou les magistrats, ils se servent tous de cette phrase magique : « Je pensais qu’elle était majeure ». À partir de là, il est très difficile de prouver que ces hommes mentent. Pourtant, il est impossible pour un homme de ne pas voir les conséquences de son acte en imposant une relation sexuelle à une jeune fille. Il est impossible de ne pas voir l’environnement qui règne dans une chambre où les filles enchaînent les passes. Une jeune fille de 14 ou 15 ans, il n’y a pas de doute possible sur sa minorité.

Qu’est-ce qui cloche alors et que faudrait-il faire ?
Le sujet est toujours sensible. On a l’impression à tort que la prostitution touche à la #sexualité et relève du domaine de l’intime. Beaucoup de travailleurs sociaux sont mal à l’aise avec ça. Mais ça évolue : depuis plusieurs années, on a de plus en plus de demandes de formations et de co-accompagnement par la Protection judiciaire de la jeunesse ou l’Aide sociale. Il y a aussi la façon dont la société dans son ensemble tolère cette situation. Le gros manque c’est de dire clairement les choses. Dire que le fait d’acheter le corps d’une adolescente, c’est de la #pédocriminalité. Il faut mettre le paquet contre ces hommes qui sont des criminels. Or, il n’y a rien sur les clients dans le plan interministériel. Il faudrait marteler des campagnes à destination des hommes qui achètent le corps des jeunes filles. Rappeler que c’est illégal et que ça a des conséquences sur le développement physique et psychologique des enfants. Ce silence sur les « clients », ça dit en creux que c’est aux gamines de porter toute la responsabilité. Ce n’est plus possible !

Votre association travaille sur la prostitution depuis des décennies. Comment voyez-vous son évolution, notamment pour les mineures ?
S’il est difficile de donner un nombre précis de jeunes filles mineures prostituées, une chose est sûre, Internet et les #réseauxsociaux sont un immense facilitateur pour le passage dans la prostitution. Des jeunes filles qui y exposent leur vulnérabilité, leurs disputes avec leurs parents par exemple, leur envie de fuguer… Tout ça, c’est du pain bénit pour les recruteurs. Les proxénètes sont à l’affût pour entrer en contact avec elles. Ils se font passer pour des #loverboy, des garçons gentils et compréhensifs, qui vivent eux aussi de grosses difficultés. Ce piège des proxénètes a toujours fonctionné mais avec Internet, la chasse est plus vaste. Dès que l’ado est amoureuse et/ou sous emprise, le loverboy va se transformer en homme insistant voire violent pour inciter ou forcer sa copine à franchir le pas et se prostituer.

Même facilité pour les clients. Avec Internet, les possibilités d’entrer en contact sont immenses. Même plus besoin de trouver une excuse pour sortir de chez soi et aller au bois de Boulogne. Ils peuvent faire leur marché à domicile, devant leur ordinateur. Ils ne prennent plus de risques. Les réseaux sociaux et les plateformes locatives comme #Airbnb sont des facilitateurs énormes qui ont fait exploser le proxénétisme des mineures. La police, la justice, les magistrats référents sur la prostitution des mineures le disent. De même, qu’on voit le développement de petits réseaux de proxénètes qui eux aussi peuvent être mineurs. Des jeunes qui végétaient dans le #trafic de drogue se lancent dans le #proxénétisme pour s’enrichir plus rapidement et à moindre risque. Les policiers parlent de micro-réseaux qui passent au travers des mailles de la loi, malgré l’engagement croissant de la justice et de la police sur le sujet.

Les médias insistent beaucoup sur l’argent facile, la vie futile des jeunes prostituées. Est-ce raccord avec la réalité à laquelle vous vous frottez ?
Au départ, la plupart disent : « J’assume ». C’est classique chez les mineures comme chez les adultes. Mais dès que le lien de confiance est créé avec des militants de l’association par exemple, elles nous disent : « Je voudrais faire autre chose ». Dire que la prostitution permet de gagner de l’argent facile, c’est vrai pour les proxénètes mais faux pour les prostituées. Au mieux, ça peut être de l’argent rapide mais certainement pas facile. Coucher avec un homme dont on n’a pas envie, faire dix, quinze passes ou plus par jour, n’est en fait rien d’autre que du #viol répété. Le fait qu’il soit tarifé ne change rien. Une fois lancées dans la prostitution, les jeunes femmes ont du mal à s’en sortir. L’emprise, similaire à celle qu’on observe dans les autres violences sexistes et sexuelles, les maintient en état de dépendance.

Pourtant des policiers et magistrats notent un « effet #Zahia », un attrait pour une vie fantasmée d’escort et une tendance à évoquer la prostitution comme un « métier » ?
Comment s’en étonner quand la société, les modèles commerciaux poussent à l’hyper- #sexualisation des corps des femmes et au virilisme des hommes. L’exploitation sexuelle filmée, le #porno amateur ou professionnel banalise des violences sexuelles auprès des plus jeunes. De même, quand certains médias utilisent la notion de « #travaildusexe », c’est aussi une forme de banalisation de cette violence qu’est le système prostitutionnel. Une des façons de lutter est, dans ce cas comme dans d’autres, d’employer les bons mots, de faire de la prévention auprès des jeunes et d’avoir les moyens humains et financiers pour empêcher les jeunes de tomber dans la prostitution et aider celles et ceux qui veulent en sortir. C’est-à-dire l’écrasante majorité. •

Le mouvement Le Nid est une association dite « abolitionniste » qui milite pour l’abolition de la prostitution tout en aidant celles et ceux qui se prostituent. Elle édite une revue trimestrielle Prostitution et société. Le mouvement du Nid mène des actions d’accompagnement des personnes prostituées mais aussi de la prévention auprès des jeunes dans les écoles, la sensibilisation des acteurs sociaux et du grand public.

#CharlieHebdo #féminisme #adolescence #traitedesêtreshumains

entreleslignesentrelesmots@diaspora-fr.org

BDSM et prostitution : comment dénoncer sans blesser les concernées

Au cours des derniers mois, il est arrivé que certains commentaires, publications ou procédés de nos allié·es anti-violences sexuelles nous dérangent. Par exemple, des insultes, des accusations de « collaboration », ou des commentaires agressifs envers les femmes pro-prosti qui – par leur nombre et la nature d’internet – peuvent parfois confiner à du harcèlement.

Tout d’abord, nous voulons dire que nous comprenons bien d’où vient la colère de certaines abolitionnistes : elles subissent des attitudes agressives, manipulatrices, menteuses, méprisantes. Elles font face à des raisonnements pervers et de mauvaise foi, à une banalisation constante des violences, et à des arguments complètement à l’envers (d’autant plus violents lorsqu’elles sont survivantes de la prostitution). Elles font constamment face à des hommes agresseurs et parfois à des femmes ayant intégré « la passion de l’oppresseur » au point d’invectiver les autres femmes, de déformer les propos, de prêter les pires intentions du monde et de se moquer des violences subies… On prête aux abolitionnistes des idéologies politiques ou religieuses qu’elles n’ont pas, elles sont diabolisées, parfois agressées, accusées des malheurs qu’elles cherchent justement à empêcher : le fait de leur imputer la responsabilité des meurtres commis par les hommes clients, par exemple, est ignoble.

https://entreleslignesentrelesmots.blog/2022/01/10/bdsm-et-prostitution-comment-denoncer-sans-blesser-les-concernees/

#féminisme #prostitution

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Violences : un leitmotiv pour les mineures victimes de prostitution

99%. Les chiffres peuvent difficilement être plus clairs. 99% des jeunes filles ont subi des violences avant leur mise en prostitution. L’étude, accablante, publiée par l’Observatoire des Violences de Seine Saint Denis (novembre 2021) porte sur le parcours d’une centaine de victimes mineures suivies par l’Aide Sociale à l’Enfance. En pointant l’urgence de mieux déceler ces situations et de mieux les prendre en charge, elle confirme le message porté par le mouvement metoo : en finir avec le silence, l’indifférence et l’impunité.

https://entreleslignesentrelesmots.blog/2021/12/24/violences-un-leitmotiv-pour-les-mineures-victimes-de-pr

#prostitution

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L’enfer des passes

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L’essai majeur de Rachel Moran, « Paid For », est enfin traduit en français, sous le titre « L’enfer des passes ».

C’est peu dire que ce livre essai-témoignage de la survivante irlandaise Rachel Moran, « L’enfer des passes, mon expérience de la prostitution » est important, et qu’on attendait depuis des années sa traduction. Reconnu par de nombreuses personnalités (Gloria Steinem, Catherine Mac Kinnon, Ashley Judd) comme l’un des plus importants jamais écrits sur la prostitution, il n’a, sept ans après, rien perdu de sa clairvoyance.

La fondatrice de Space international, association de survivantes de la prostitution, commence le livre en racontant ce qui l’a menée à être prostituée : la maladie mentale de ses parents, la maltraitance, la rue, les foyers, puis le « petit copain proxénète ». « Différents éléments s’emboîtèrent parfaitement de sorte que la prostitution se présenta à moi comme étant la seule option qui me paraît viable », dit-elle.

https://entreleslignesentrelesmots.blog/2021/12/16/lenfer-des-passes/

#féminisme #prostitution

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Nous avons marché ensemble le 20 novembre contre toutes les violences sexistes et sexuelles !

Depuis de nombreuses années, autour du 25 novembre, journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes et aux filles, nos associations manifestent pour être entendues de la société et des responsables politiques. Nous y avons toujours affirmé que les violences masculines s’inscrivent dans un continuum : violences conjugales qui peuvent être physiques, sexuelles, psychologiques, ou économiques, harcèlement, agressions sexuelles, viols, prostitution, mutilations sexuelles, discriminations diverses en raison du sexe, jusqu’aux féminicides. Elles ont des causes communes, au premier rang desquelles le sexisme et la culture du viol qui doivent être combattues ensemble.

https://entreleslignesentrelesmots.blog/2021/11/24/nous-avons-marche-ensemble-le-20-novembre-contre-toutes-les-violences-sexistes-et-sexuelles/

#féminisme #prostitution

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Cendrillon du trottoir : de la prostitution au porno

Interview de Bianca Cendrine Bastiani par Francine Sporenda

FS : Dans votre livre, vous racontez que vous êtes entrée dans le porno à cause d’un homme, que vous avez rencontré à 17 ans, animée d’un désir de sortir de votre milieu d’origine, de prendre une revanche sociale. Vous avez rencontré d’autres actrices pornos. Qui sont-elles ? De quel milieu viennent-elles ? Quel est leur parcours de vie, d’après ce que vous avez pu en savoir ?

https://entreleslignesentrelesmots.blog/2021/04/29/cendrillon-du-trottoir-de-la-prostitution-au-porno/

#prostitution #pornographie

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Prostitution. Sous le Strass, le corporatisme d’un monde libéral et antiféministe

Depuis quelques années, les médias de gauche ouvrent leurs colonnes à une obscure association corporatiste se présentant comme le Syndicat des « travailleuses du sexe » (Strass). Cette association, portée par un projet profondément libéral, vise à soumettre l’ensemble des activités humaines aux logiques du marché capitaliste. Son projet s’oppose à toutes les femmes qui luttent contre les violences qui leur sont faites, au premier rang desquelles se trouvent les violences sexuelles. Les positions du Strass sont en opposition radicale avec les organisations qui défendent le droit des salarié-e-s. La position des syndicats les plus combatifs et de la majorité de la gauche est très claire à l’égard de la prostitution. « Dans la prostitution, la personne est engagée tout entière ; il n’y a plus de séparation entre elle et la fonction qu’elle occupe. Pour nous, la force de travail physique ou intellectuelle est à distinguer de l’intimité. Le sexe doit rester une barrière, il est du domaine de l’inaliénabilité. Tout ne se vend pas ». Voilà en substance la position de la CGT, par exemple, concernant l’activité prostitutionnelle.

https://entreleslignesentrelesmots.blog/2021/09/25/prostitution-sous-le-strass-le-corporatisme-dun-monde-liberal-et-antifeministe/

#feminisme #prostitution

entreleslignesentrelesmots@framasphere.org

À Paris, 300 salons de /m/a/s/s/a/g/e/s/ prostitution actifs malgré la loi

Zéromacho fête ses 10 ans d’activité en lançant une grande action contre le système prostitueur.

Pendant tout l’été, l’équipe de Zéromacho a parcouru les rues de Paris pour recenser les prétendus « salons de massages » asiatiques qui sont en réalité des établissements de prostitution.

Voici les résultats de notre enquête.

Nous avons trouvé 300 de ces prétendus « salons », avec une concentration record – 55 – dans le 17e arrondissement, surtout dans le quart sud-est.

85% des masseuses sont Chinoises, et 14% Thaïlandaises. La plupart parlent très mal le français, même si elles sont depuis longtemps en France.

Sur les sites web de ces « salons », accessibles à tout le monde, à Zéromacho comme à la police, les commentaires des « utilisateurs » ne laissent aucun doute sur les actes de prostitution (« massages avec finitions ») qui s’y pratiquent.

Indice qui ne trompe pas : on voit seulement des hommes y entrer ou en sortir.

https://entreleslignesentrelesmots.blog/2021/09/24/a-paris-300-salons-de-m-a-s-s-a-g-e-s-prostitution-actifs-malgre-la-loi/

#féminisme #prostitution

bliter@diaspora-fr.org

#VIDÉO - #Prostitution: #ados en #danger

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synopsis

#Film #documentaire. Louna n’a que 17 ans mais peut enchaîner une dizaine de passes par jour dans des chambres d’hôtels payées par ses #proxénètes en #région #parisienne : « On ne peut pas dire qu’on est bien dans sa peau quand on fait ça. On ne peut pas dire que c’est du plaisir quand 15 hommes nous passent dessus. A un moment, on ne ressent plus rien...» L’ #adolescente s’adonne à la #prostitution depuis l’âge de 14 ans : «Quand tu vois que tu gagnes le #salaire de quelqu’un en une journée, tu te dis « un #travail normal, ça sert à quoi ?». Ces dernières années, la #prostitution des #mineures a explosé en #France : elles seraient entre 7 et 10 000 à vendre leur corps sur des sites de petites #annonces. Les #enquêteurs de la #police et de la #gendarmerie, la #Justice, les services sociaux sont désormais débordés par les #dossiers. Avec un #problème majeur : si certaines #adolescentes sont enlevées, séquestrées, forcées de se #prostituer, beaucoup d’entre elles sont au départ volontaires, en quête d’ #argent facile, ne se considèrent pas comme des #victimes et refusent de témoigner. Une #loi du silence qui pose de vraies difficultés aux #autorités qui veulent lutter contre cette activité, plus rentable et moins risquée que le# trafic de #drogue. Qui sont ces #jeunes #prostituées, dont certaines affichent fièrement une vie #glamour sur les #RéseauxSociaux, sans #conscience du #danger ? Comment fonctionnent les #réseaux pour lesquels elles travaillent ? Comment protéger ces #adolescentes, recrutées parfois en quelques clics et qui se retrouvent prises au piège des #proxénètes ? Durant plusieurs mois, la #réalisatrice #PaulineLiétar a mené l’ #enquête et obtenu des #témoignages inédits : adolescentes, proxénètes, enquêteurs...

info

Titre d'émission : Prostitution : ados en danger
Chaine TV : TF1
Date de diffusion : 23/09/2021
Réalisé par : Pauline Liétar
Présenté par : Harry Roselmack
Nationalité : Français
Genre : #Documentaire / #Reportage, #Enquête / #Investigations, #Histoire, #Sexualité, #Société, #Découverte
Durée : 53min
Langue : #Français

Regarder ou Télécharger le documentaire

entreleslignesentrelesmots@framasphere.org

Amicale du Nid : Rapport du groupe de travail sur la prostitution des mineur·es

L’Amicale du Nid salue le travail remarquable mené par le groupe de travail présidé par Catherine Champrenault, Procureure Générale près la Cour d’Appel de Paris durant 8 mois, et son rapport remis le 13 juillet à Adrien Taquet, Secrétaire d’Etat en charge de l’enfance et des familles.

L’Amicale du Nid était partie prenante de ce groupe de travail, en y apportant son expertise, notamment issue de ses actions professionnalisées de prévention auprès des jeunes, de sensibilisation, de formation, d’« aller-vers » dans l’espace public et numérique, d’accueil, d’accompagnement, d’hébergement, d’insertion socio-professionnelle. En outre, l’Amicale du Nid dispose de missions mineures, à Paris, dans les Hauts-de-Seine, à Lyon, Marseille, Montpellier et en Seine-Saint-Denis, et conduit une action de prévention auprès des mineur·es sur internet « Je n’suis pas à vendre ». Enfin, l’Amicale du Nid est la première association d’accompagnement de personnes en parcours de sortie de prostitutions depuis sa création par la loi de 2016 et constate que 26% d’entre elles étaient déjà en situation de prostitution mineur·es (7% à moins de 14 ans, 19% entre 15 et 18 ans).

https://entreleslignesentrelesmots.blog/2021/09/17/amicale-du-nid-rapport-du-groupe-de-travail-sur-la-prostitution-des-mineur·es/

#prostitution #enfant

olladij_tudajev@joindiaspora.com

Ich wurde als „migrantenfeindlich“ bezeichnet, als ich darauf hingewiesen habe, dass es vor allem Menschen aus sehr armen Ländern sind, die hierzulande in der #Prostitution von deutschen Männern sexuell ausgebeutet werden: #Frauen aus den Armenhäusern #Europa|s, aber auch geflüchtete Männer, die sich z.B. im Berliner Tiergarten unter Elendsbedingungen prostituieren.
Außerdem wurde mir abgesprochen, eine Betroffene zu sein mit der Begründung, ich sei ja aus der Prostitution ausgestiegen und keine „Sexarbeiterin“ mehr.
Ich habe jetzt die ganze Nacht wachgelegen und vor mich hingedacht. Das hier war ja nicht das erste Mal, dass ich als Exprostituierte, die über die Realitäten in der Prostitution spricht, ausgerechnet von linken Gruppen auf unterstem Niveau und außerhalb jedweder Sachebene angegriffen worden bin. Das schmerzt mich umso mehr, weil ich mich selber als linke Person begreife. Und ich habe nichts gegen harte Diskussionen, ich bin Aktivistin und brauche keine Kuschelatmosphäre, um zu sprechen, und auch keine falsche Rücksichtnahme, bloß weil ich betroffen – weil selber ehemalige Prostituierte – bin. Aber das gestern, das war einmal wieder ein Anzeichen für die Absurditäten in linken Debatten, denen ich nicht mehr folgen kann.
Ist es nicht #Rassismus, strukturellen Rassismus zu leugnen? Ist es nicht absurd, Menschen, die auf strukturellen Rassismus hinweisen, als RassistInnen zu bezeichnen? Ist es nicht der Inbegriff von Betroffenenfeindlichkeit, #Diskriminierung und Stigmatisierung, eine Betroffene, bloß weil deren Meinung einem nicht passt, mit dem Ziel der Bekämpfung ihr den Betroffenenstatus abzusprechen?

https://www.emma.de/artikel/abschied-von-dieser-linken-338663 #feminismus #gewalt #ausbeutung #woke #identität #linke #solidarität #cdu #fdp

entreleslignesentrelesmots@framasphere.org

Transformer les attitudes et les mentalités pour abolir la demande des prostitueurs

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« Ce manifeste a déjà quinze ans. Publié par les éditions Sisyphe, qui étaient dirigées par les féministes Élaine Audet et la regrettée Micheline Carrier, traduit en catalan, il est toujours d’actualité. C’est pourquoi il est réédité, car le combat contre l’exploitation sexuelle, même s’il a enregistré plusieurs avancées, est loin d’être terminé ». Dans son avant-propos, publié avec l’aimable autorisation de M éditeur, Richard Poulin aborde, entre autres, la proposition abolitionniste, les industries capitalistes du sexe et leurs transformations, l’organisation de bordels dans les pays réglementaristes, la situation des femmes prostituées pendant la pandémie, l’industrie de la pornographie, le proxénétisme en ligne, l’exploitation sexuelle des personnes prostituées migrantes et la racialisation de l’industrie prostitutionnelle, la féminisation de la pauvreté et des migrations sous la mondialisation néolibérale, la traite à des fins de prostitution…

Note sur : Richard Poulin : Abolir la prostitution – Manifeste

https://entreleslignesentrelesmots.blog/2021/09/07/transformer-les-attitudes-et-les-mentalites-pour-abolir-la-demande-des-prostitueurs/

#féminisme #prostitution