#témoignages

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Trois mille milliards : les #secrets d'un #État en #faillite | Le film de #ContribuablesAssociés

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https://www.youtube.com/watch?v=hcKZ6lXvy-I

Sur un rythme enlevé et dans une démarche didactique, mêlant #analyses, #témoignages d’ #experts et graphiques, le #documentaire 3 000 milliards : les secrets d’un État en faillite a pour objectif d’expliquer aux #Français l’ #engrenage de la #dette et comment nous en sommes arrivés là. Mais aussi de pousser les responsables #politiques à agir, tant l’heure est grave.

http://dette-publique.fr/

SOMMAIRE
00:00 Introduction
11:28 Chapitre 1 : Impôt, élus, service public
24:47 Les collectivités locales
37:35 Chapitre 2 : Le contrôle des dépenses
53:46 La gestion de l'Etat
1:08:33 Chapitre 3 : La matrice de la dépense publique
1:18:46 Le système de santé Français
1:27:48 Chapitre 4 : La dette
1:36:58 Les conséquences du non-paiement de la dette

INTERVENANTS

Jean-Marc Daniel - Économiste et essayiste - Professeur à l'ESCP
Christian Saint-Etienne - Économiste et essayiste - Professeur au CNAM
Marc Touati - Économiste et essayiste - Directeur ACEDFI
François Ecalle - Ancien rapporteur général de la Cour des comptes - Président de FIPECO
Édouard Balladur – Ancien Premier ministre (1993-1995)
Benoît Perrin – Directeur de Contribuables Associés
Virginie Pradel - Avocate fiscaliste - Présidente de l'Institut Vauban
Olivier Babeau - Économiste et essayiste - Président de l'Institut Sapiens
Jean-Michel Fourgous - Maire d'Élancourt, ancien député
François Facchini – Professeur de sciences économiques Université Paris-Sorbonne
François Lainée – Consultant, Data Expert
Jean-Baptiste Leon – Directeur des publications de Contribuables Associés
Benoîte Taffin - Ancien maire 2e arrondissement de Paris
Paul-Antoine Martin – Ingénieur et essayiste
Hervé Novelli - Ancien ministre, député et maire
Charles Prats - Ancien magistrat de la Délégation Nationale à la lutte contre la Fraude (DNLF)
Pr. Michaël Peyromaure - Chef du service d'Urologie à l'hôpital Cochin et essayiste
Lisa Kamen-Hirsig - Enseignante et essayiste

#France #Economie #DettePublique #Politique

https://linktr.ee/contribuablesassocies

bliter@diaspora-fr.org

LE #CLIENT N'EST JAMAIS #ROI - Paroles Brutes #2 - #RebbyCraft #Animation

Pourquoi le client n'est jamais roi ?
Est-ce qu'il le deviendra un jour ?
On va voir ça tout de suite dans cette 2nd #parolebrute !
Découvrez dans cette vidéo les 15 raisons qui sont basée sur mon cas et celui d'autres personnes

https://www.youtube.com/watch?v=Wmg6dGzoV2A
#commerce #politique #client #offre #demande #analyse #témoignages #compatibilité

my_pal_jm@diasp.org

Le Silence des mots : la parole de femmes tutsies violées par l’armée française

Le documentaire « le Silence des mots » recueille la parole de femmes tutsies violées par l’armée française pendant l’opération « Turquoise » au Rwanda. Il sera diffusé le 23 avril sur Arte. Rencontre avec les réalisateurs, Michaël Sztanke et Gaël Faye.

Du 7 avril au 17 juillet 1994, a eu lieu le dernier #génocide du XXe siècle. Au #Rwanda, plus de 800 000 #Tutsis ont été assassinés par des #Hutus. Après des semaines de massacres, la #France intervient et lance, en juin de cette même année l’ opération «#Turquoise », qui a pour mission officielle de mettre fin aux tueries. Au cours de cette mission de pacification, l’armée française a mené bien des #exactions. Dans des camps de réfugiés tutsis, des femmes ont été violées par des soldats hexagonaux. Trente ans plus tard, malgré des plaintes, aucune d’entre elles n’a obtenu justice. « Le Silence des mots », diffusé samedi 23 avril sur #Arte, raconte cette histoire. Gaël #Faye et Michaël #Sztanke en sont les deux réalisateurs. Entretien croisé.

Michaël, en 2019, vous aviez réalisé un film intitulé « Rwanda, chronique d’un génocide annoncé ». Pourquoi ce nouveau film ? Et pourquoi avoir approché Gaël Faye ?

Michaël Sztanke. Dans ce premier film, j’avais pu traiter la question de la responsabilité de l’État français dans ce génocide, mais pas celle des exactions commises par l’armée française pendant l’opération « Turquoise ». J’ai donc voulu réaliser un film uniquement sur cette question. J’ai proposé à Gaël d’y collaborer parce que j’estime qu’il a une légitimité pour parler de ce sujet qu’il tient de son histoire et de son implication dans le Collectif des parties civiles pour le Rwanda.

Dans quelles conditions avez-vous recueilli les #témoignages des #victimes ?

Gaël Faye. Le préalable, pour filmer, c’était que ces victimes comprennent nos intentions. Ces femmes associent la France au #crime et à la #responsabilité du génocide. Alors, forcément, même si j’ai la nationalité rwandaise, elles nous voient comme deux Français. Dida #Nibagwire, notre coproductrice, qui vit au Rwanda, a été une interlocutrice parfaite. Elle a su leur parler. Elle vient de la même histoire qu’elles, elle sait ce que c’est que d’être un #survivant dans la société rwandaise. Il faut arriver avec une psychologie particulière pour accéder à cette parole. Je pense que nous avions, Michaël et moi, également conscience qu’on abordait des témoignages pour l’ #Histoire avec un grand H.

Michaël Sztanke. Il y avait une envie commune d’archiver, de mémoriser. Ces femmes ont le droit à une #mémoire. Une mémoire que leur refuse la #justice française malgré des plaintes déposées. Nous avons voulu leur donner la possibilité de raconter avec leurs mots ce qu’elles ont vécu.

Gaël, votre roman « Petit Pays » raconte le génocide à travers les yeux d’un enfant. Ce documentaire la raconte à travers les yeux de survivantes. Voyez-vous là une sorte de continuité logique ?

Gaël Faye. Il s’agit vraiment d’un travail très différent. Bien sûr, il y a un contexte qui me nourrit artistiquement. Je vis au Rwanda et côtoie des survivants, donc toutes ces histoires me nourrissent. Mais quand j’aborde ce sujet avec Michaël, je me demande simplement comment je peux être utile en tant qu’artiste pour réparer cette injustice. Car il s’agit bien d’une injustice : dix ans après leur plainte, rien n’avance. À côté, on continue de faire passer l’opération « Turquoise » pour une opération humanitaire presque parfaite. Dans le rapport #Duclert (remis le 26 avril par 2021 à Emmanuel #Macron par Vincent Duclert, au nom de la commission de recherche sur les archives françaises relatives au Rwanda – NDLR), il n’est pas du tout fait mention de ces crimes. Il y a ce discours de Macron qui parle de la responsabilité mais affirme qu’il n’y a eu aucune complicité, donc aucune culpabilité à avoir. Faire ce film, c’était une façon de remettre la lumière sur un sujet qui est passé complètement inaperçu. En France, cette histoire n’est pas connue. Au Rwanda, c’est pareil.

Quand on a, comme vous, un lien direct avec ces événements, comment vit-on le fait de s’y replonger dans le cadre d’un documentaire ou d’un livre ?

Gaël Faye. Je ne m’y replonge pas, je vis avec. C’est comme la perte d’un être cher. Tous les Rwandais vivent avec cette histoire. Mais, effectivement, lors d’un tournage comme celui-là, c’est particulier. Certaines en parlaient pour la première fois. La #parole des survivants est une parole brute. Elle nous renvoie à l’événement du cataclysme du génocide. Les mots ne sont même pas suffisants pour l’expliquer. Il faut qu’on soit un petit peu à la hauteur du courage qu’elles ont. C’est comme un travail d’accueil. On reçoit cette parole, elle est difficile. Mais c’est avant tout difficile pour elles. Nous sommes là pour les aider à aller au bout de ce processus de témoignage.

Espérez-vous que ce documentaire puisse aider d’autres victimes à sortir du silence, raconter leur histoire et obtenir justice ?

Gaël Faye. Nous espérons au moins que cette histoire apparaisse dans notre conscience et dans la réalité de ce génocide. Au sujet de l’opération « Turquoise », on entend souvent parler de l’épisode #Bisesero (60 000 Tutsis massacrés entre le 27 et le 30 juin 1994 – NDLR), mais jamais des femmes violées par des militaires français dans des camps de #réfugiés. Il s’agit de les réhabiliter dans l’histoire globale de ce génocide. Et aussi de nous interroger nous, en tant que citoyens français, sur ce que nos politiques et notre armée font à l’étranger en notre nom. Il faut faire la lumière sur ces #accusations. Et je crois que c’était important pour elles de déposer leurs témoignages, pour leurs enfants, pour d’autres femmes.

Michaël Sztanke. Dans l’actualité récente, il y a eu le rapport Duclert et une volonté de Macron d’ouvrir et de normaliser les relations avec le Rwanda. Mais, derrière cette volonté affichée, il y a surtout celle de dire : « Regardez, j’ai tellement ouvert qu’il y a eu un rapport qui montre les responsabilités. On a fait ce travail d’histoire. » C’est peut-être un peu plus complexe que cela. L’angle mort de ce rapport, c’est l’attitude de l’armée française sur le terrain. Il n’y en a pas la moindre évocation.

Gaël, le Rwanda est omniprésent dans votre œuvre. Vous intervenez dans le documentaire pour déclamer des textes. Pensez-vous que l’art puisse libérer la mémoire et guérir la souffrance ?

Gaël Faye. Je pense que ça peut apaiser et permettre de sortir d’une forme de #solitude en créant des liens entre les gens. Ça a aussi des vertus thérapeutiques et cathartiques. Le génocide, c’est la #déshumanisation. Par l’art, on permet de se réapproprier une dignité, une consistance humaine. Moi, j’utilise des mots, et on sait très bien que les mots ont été travestis pour perpétrer un génocide. C’est donc une manière de se réapproprier la langue pour reconstruire. Mais, comme je le dis, le silence des mots, ça veut dire aussi qu’il restera toujours une dimension qui dépasse l’entendement et ne pourra jamais être formalisée.

Le documentaire pose la question clé de la transmission de la mémoire aux nouvelles générations. Quel rapport la société civile rwandaise et son gouvernement entretiennent-ils avec ce souvenir ?

Gaël Faye. Au #Burundi où j’ai grandi et vécu, il y a une histoire d’amnésie. Les nouvelles générations ignorent les crimes qui ont été commis. Une maladie de l’impunité abîme ce pays. Au Rwanda, le gouvernement mis en place après le génocide a eu cette volonté de placer le souvenir au centre de la #reconstruction. De nombreuses lois punissent le négationnisme. Chaque année, les commémorations durent trois mois. C’est abordé dans les écoles. Il n’y a pas un Rwandais qui ignore ce qu’il s’est passé en 1994. Après, c’est comme dans tous les pays, il faut construire des mythes autour desquels tout le monde est d’accord. Ça reste la parole officielle. C’est pour ça que, si les politiques ont un rôle à jouer, les historiens en ont un aussi. La société rwandaise est loin d’être monolithique. Les survivants eux-mêmes ressentent parfois des choses qui sont en contradiction avec les décisions étatiques.

Michaël Sztanke. Tout le monde n’adhère pas à cette politique de réconciliation nationale. Pour être précis, elle suppose de ne plus parler ni de Hutus ni de Tutsis, juste de Rwandais. Mais il y a des Rwandais qui se considèrent comme Tutsis. Et au sujet de la transmission, ce qui nous a frappés chez ces femmes, c’est qu’elles ont une manière de transmettre différente. Certaines parlent frontalement de ce qu’elles ont vécu. D’autres non. C’est un travail sur le long terme.

https://www.humanite.fr/

#guerre #arméeFrançaise #PetitPays #opérationHumanitaire
#politique #société #dictature #fascisme #censure #manipulation #démocratie #oligarchie #questionner #comprendre #agir

fiel@diaspora-fr.org

Sur le #film #documentaire « Un Peuple »

Pourquoi ce film documentaire est à voir.

Un film de #Emmanuel-Gras

ce film documentaire offre une #rétrospective du #mouvement des #Gilets-Jaunes ( #GJ= depuis la ville de #Chartres.

La force principale de ce film est donc de nous plonger véritablement dans l’intérieur du mouvement de cette ville « moyenne » d’Eure-et-Loire, de près de 40 000 habitants.

Le réalisateur suit ainsi la trajectoire du mouvement de façon chronologique à partir de décembre 2018 (dommage que l’édification du mouvement en novembre, avec les grosses journées du 17 et 24 novembre passent à la trappe) jusqu’au printemps 2019.

La force de ce film réside dans l’authenticité des images mais aussi les réflexions portées par les #témoignages. Cette immersion intime mais aussi pudique apporte sensibilité et réelle émotion.

Si la naïveté de certains Gilets Jaunes agace (comment ne pas être pantois lorsqu’une « coordinatrice » GJ téléphone à la gendarmerie, en amont d’une manifestation, pour demander de l’aide pour la mise en place de « street medics » ?), elle montre également toutes les interrogations des actrices et acteurs de ce mouvement et l’évolution des discours et pratiques. C’est ici surtout l’apprentissage de mobilisations politiques qui est filmée avec subtilité et « humanité » par le réalisateur.
Les #revendications portées par les participant.e.s filmé.e.s restent relativement floues voire peu ambitieuses (TVA à 0% sur les produits de « première nécessité » ou encore la mise en place du référendum d’initiative citoyenne – #RIC) mais ce qui lie vraiment toutes ces personnes c’est la difficulté de boucler la fin du mois, la galère quotidienne pour manger, se soigner, aider ses proches...
La singularité de ce mouvement c’est que finalement il ne revendique rien de très précis. Sa force réside essentiellement dans l’immersion collective (balbutiante parfois) de gens sur l’espace public (les rond-points mais aussi les Champs Élysées à Paris notamment) avec cette volonté de donner un gros coup dans la fourmillière en visant #politiciens et #puissants (le film montre plusieurs images d’opérations péage gratuit contre Vinci).

Le réalisateur aurait pu mettre davantage en lumière les divergences d’opinions #politiques entre les participant.e.s car on perçoit seulement en filigrane la radicalité plus forte de certain.e.s dans le choix des mots.
Néanmoins, le documentaire interroge l’essentiel des aspects partagés au sein du mouvement des GJ : l’horizontalité, le partage des tâches, la fatigue physique et nerveuse, la place (trop) forte des réseaux sociaux, le rapport à la violence, la répression et l’auto-défense collective.

Il met aussi en lumière les traumatismes psychologiques subis des #violences-policières (encore bien souvent trop sous-estimés dans le milieu militant).
La #solidarité entre les #GiletsJaunes prend toute sa dimension dans les images du film.

Des lecteurs de PLI (Paris Luttes Infos)

Note

En espérant des projections collectives (à prix libre ?), le film est (trop) peu diffusé dans des salles de #cinéma
Plus d’informations sur : https://un-peuple.lefilm.co/

loposum@diaspora-fr.org

The Testimonies Project

Risques de la vaccination covid, des victimes israéliennes témoignent

Risks of covid vaccination, Israeli victims testify

Entrer une description pour l'image ici


Cette vidéo raconte l’histoire de nombreuses personnes en Israël qui ont pris le vaccin et ont souffert d’effets secondaires, notamment de problèmes cardiaques, de caillots sanguins, de problèmes de peau, de saignements, de problèmes neurologiques, d’inflammations, d’apparition de maladies et même de décès… Ce sont là quelques-unes des réactions au “vaccin” COVID qui sont survenues chez ces personnes qui pensaient faire ce qu’il fallait.

The Testimonies Project a été créé pour offrir une plateforme à tous ceux qui ont été affectés par le vaccin COVID-19, et pour s’assurer que leurs voix soient entendues, car elles ne le sont pas dans les médias israéliens.

Nous espérons que ce projet encouragera de plus en plus de personnes à raconter leur histoire.


This video tells the stories of many people from Israel that took the vaccine and suffered side effects, including Heart Problems, Blood Clots, Skin Problems, Bleeding, neurological issues, inflammations, disease outbreak and even death… These are some of the COVID ‘vaccine’ reactions that have happened to these people who thought they were doing the right thing.

The Testimonies Project was created to provide a platform for all those who were affected after getting the COVID-19 vaccine, and to make sure their voices are heard, since they are not heard in the Israeli media.

We hope this project will encourage more and more people to tell their story.


English subtitled version :
https://www.vaxtestimonies.org/en/

Version sous-titrée en français :
https://odysee.com/@ivermectine-covid.ch:5/(st-français)-The-Testimonies-Project--risques-de-la-vaccination-covid,-des-victimes-israéliennes-témoignent-(-www.vaxtestimonies.org):b


#vaccins #vaccines #vaccin #covidvaccines #covid #effetsindesirables #israel #TheTestimoniesProject #vaccinations #victims #testify #témoignages #effetssecondaires #effetssecondairesgraves #cardiaque #myocardites #pericardites #saignements #problemesneurologiques #inflammations #deces #sideeffects #heartproblems #bloodclots #thromboses #bleeding #neurologicalissues #diseaseoutbreak #death #covidvaccine #wearenotguineapigs #cobayes #reinfocovid #resistance #moncorpsmonchoix #nurembergcode #codedenuremberg #pfizer #spike

tina@diaspora.psyco.fr

Refus de l’obligation vaccinale : Appel à témoins.

Recherche de témoignage sur la situations des soignants ayant refusé le pass sanitaire, et leurs moyens de lutte.

Nous lançons cet appel à témoignage, en vue d’écrire un article qui fasse apparaître combien ces luttes sont nombreuses et liées entre elles. En vue aussi, pourquoi pas, d’organiser une assemblée qui permette de réelles discutions collectives, en dehors de WhatsApp et autres messageries virtuelles.

#pass-sanitaire #soignants #témoignages

union_communiste_libertaire@diaspora-fr.org

Communication de #Féminisme #Libertaire #Bruxelles

Suite à la publication de stories sur notre compte Instagram, nous avons reçu des centaines de messages et plusieurs dizaines de #témoignages de femmes racontant avoir été droguées (avec perte de connaissance, malaise, le black-out de la soirée), et bien souvent avoir été victime de viols ou d’agressions sexuelles, dans deux bars du quartier du cimetière d’Ixelles : https://bxl.communisteslibertaires.org/2021/10/13/communication-de-feminisme-libertaire-bruxelles-13-10-2021/

#Antipatriarcat #UCL #UCLBruxelles

bliter@diaspora-fr.org

#VIDÉO - #Prostitution: #ados en #danger

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synopsis

#Film #documentaire. Louna n’a que 17 ans mais peut enchaîner une dizaine de passes par jour dans des chambres d’hôtels payées par ses #proxénètes en #région #parisienne : « On ne peut pas dire qu’on est bien dans sa peau quand on fait ça. On ne peut pas dire que c’est du plaisir quand 15 hommes nous passent dessus. A un moment, on ne ressent plus rien...» L’ #adolescente s’adonne à la #prostitution depuis l’âge de 14 ans : «Quand tu vois que tu gagnes le #salaire de quelqu’un en une journée, tu te dis « un #travail normal, ça sert à quoi ?». Ces dernières années, la #prostitution des #mineures a explosé en #France : elles seraient entre 7 et 10 000 à vendre leur corps sur des sites de petites #annonces. Les #enquêteurs de la #police et de la #gendarmerie, la #Justice, les services sociaux sont désormais débordés par les #dossiers. Avec un #problème majeur : si certaines #adolescentes sont enlevées, séquestrées, forcées de se #prostituer, beaucoup d’entre elles sont au départ volontaires, en quête d’ #argent facile, ne se considèrent pas comme des #victimes et refusent de témoigner. Une #loi du silence qui pose de vraies difficultés aux #autorités qui veulent lutter contre cette activité, plus rentable et moins risquée que le# trafic de #drogue. Qui sont ces #jeunes #prostituées, dont certaines affichent fièrement une vie #glamour sur les #RéseauxSociaux, sans #conscience du #danger ? Comment fonctionnent les #réseaux pour lesquels elles travaillent ? Comment protéger ces #adolescentes, recrutées parfois en quelques clics et qui se retrouvent prises au piège des #proxénètes ? Durant plusieurs mois, la #réalisatrice #PaulineLiétar a mené l’ #enquête et obtenu des #témoignages inédits : adolescentes, proxénètes, enquêteurs...

info

Titre d'émission : Prostitution : ados en danger
Chaine TV : TF1
Date de diffusion : 23/09/2021
Réalisé par : Pauline Liétar
Présenté par : Harry Roselmack
Nationalité : Français
Genre : #Documentaire / #Reportage, #Enquête / #Investigations, #Histoire, #Sexualité, #Société, #Découverte
Durée : 53min
Langue : #Français

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