#sexualité

namas@diaspora-fr.org

Recherche sur la sexualité des hommes

J'envisage d'écrire un texte (grosse brochure ou petit livre) sur la #sexualité, dans une perspective de transformation personnelle et sociale, et plus spécialement sur l'éjaculation (masculine) "choisie". Une recherche sérieuse et attentive, quoi que non académique.
Pour ça j'aimerais en parler avec d'autres #hommes qui font l'amour, souvent ou non, en mode hétéro, conventionnel ou pas, mais en tout cas sans éjaculer, jamais ou parfois.

Si c'est ton cas, est-ce que tu voudrais bien me faire signe, qu'on voit si on souhaite échanger davantage et comment (plutôt par téléphone de mon côté si possible, ou par écrit) ?

**Tous retours et partages bienvenus ! Y compris critiques.
**Camarades femmes, bienvenuEs pour commenter ou questionner aussi.
Je peux expliciter davantage les intentions au besoin càd plutôt dans le dialogue

Même quand il se pratique solo ou à deux le #sexe est une question politique (et spirituelle, si consentement)
Car l’apprentissage, sur les plans sexuels et affectifs, c’est toute la vie, non ?

La #cultureduviol est un mode de pensée fondateur du #patriarcat, qui l’alimente sans cesse de nouveaux avatars de toute sorte. Le sexe « récréatif » n’échappe pas toujours à ce processus de récupération : par exemple, je ne crois pas que le porno puisse jamais être vraiment « féministe »… point de vue polémique, et ça dépend bien sûr des ambitions & priorités qu’on met avec ce mot.

En tout cas, *peut-on espérer renverser le patriarcat en lui cognant les burnes ? *
Je crains qu’il ne soit inorganique hélas : peines (d’amour) perdues...

Ça n'empêche certes pas de tenter des croc-en-jambes... ni de jouir bien sûr ! et comment ?
Notre frustration existentielle vient peut-être, entre autres, du fait que nous ne savons pas vraiment aimer et être aimé-es, pour la plupart (je ne parle pas forcément de toi, de vous).
C’est vrai des femmes comme des hommes sans doute, mais au niveau physiologique il y a une nuance significative je crois… au-delà même du pur phénotype génital et moyennes hormonales, je veux dire.
À quel point cette différence est liée à des construits sociaux ? C’est impossible à déterminer (et ce n’est pas le cœur de mon sujet)

#ejaculation #differentialisme #ecoféminisme

Pour stimuler la prise de parole plus que la prise de tête, un petit sondage semi-humoristique extrait de masto :
La sexualité des hommes cis hétéro c'est...
• 13%Trop la honte
• 19%Un truc de droite
• 48%Un sujet possiblement féministe
• 39%Pas mon affaire
Actualiser · 31 personnes ·

Je vote 1 et 3 perso (Hélas pour le 1 /:)
Et toi, et vous ?

flaccide@friendica.me

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/lisa-delmoitiez-n-aurait-pas-fait-comme-ca/la-chronique-lisa-delmoitiez-du-lundi-20-novembre-2023-1712030

"Dans le film, l’association, l’Arche de Noé, accueille des jeunes #LGBTQIA+ mis à la rue par leur famille. Parce qu’en 2023, malheureusement, des gens doivent encore se justifier de leur #sexualité. Enfin des gens, non. Les personnes LGBTQIA+. Les #hétéros, eux, ils doivent jamais se justifier… Pourtant il y en a, ils font des dingueries hein !"

#FranceInter #humour #LisaDelmoitiez

anne_har@diaspora.psyco.fr

#Sexualité #Enfance #Déviance #Totalitarisme

Éducation sexuelle : « Des lobbies rêvent de légaliser la pédophilie » – Ariane Bilheran, R. Brunod

https://www.youtube.com/watch?v=5V8VcPGGujE&ab_channel=EpochTimesFrance

A l'heure où la macronie ramène l'âge de la scolarisation -dont celle de l'enseignement d'une soi-disant sexualité- où nous étions encore dans le cocon familial protecteur où le jeu était le principal mode d'apprentissage, soit en ce qui me concerne 6 ans - entrée au cours primaire -, à l'heure donc où les enfants sont scolarisés dès 3 ans, on assiste à un véritable massacre du psychisme infantile, comme le démontrent ces défenseurs de l'enfance, dont les travaux prouvent que derrière ce comportement se profile une véritable manipulation au profit d'une méthode visant à créer des générations de traumatisés dont le but n'est autre que la soumission de la majorité de la société dont les bases ne sont plus l’apprentissage, mais l'intrusion, et touts les traumatismes qui en découlent.

Je me souviens d'avoir eu entre les mains le Rapport Kinsey vers 15 ans, en avoir été choquée, car déjà alors il était critiqué, voire condamné comme visant à encourager des pratiques perverses de toutes sortes. Il y a aussi eu tous ces philosophes déjà sans doute traumatisés, qui s'appuyaient sur l'existence d'une sexualité infantile pour justifier la leur. Par chance, et ma mère, protectrice et défensive, et mon père, homme de principes scientifique, non seulement croyaient en notre parole lors d'abus à l'école - professeur se frottant, posant ses main sur nos poitrines naissantes- et intervenaient avec succès. Malheureusement, la période Covid aura renforcé les comportements déviants, et l'OMS elle-même en a profité pour enfoncer le clou. On verra si ce post engage les menaces dont sont victimes les détracteurs de cette manoeuvre à gande échelle de soumission sociétale, déjà et enfin dénoncé par le célèbre film américain Out or Freedom, dénonçant ces outrages nés aux USA comme par hasard, comme l'ont étés les auteurs de cet entretien et leurs ouvrages.

anne_har@diaspora.psyco.fr

#ARTE #Culture #Sexualité #Pouvoir
Un reportage stupéfiant, j'ai dû attendre 65 ans pour apprendre des pratiques historiques de la Grèce antique, mais peu - ou pas - connues ! Pour les femmes, et a fortiori les hommes, c'est la découverte de la puissance de cette vulve par nature profondément cachée, et par culture quasiment niée surtout chez les plus misogynes. Un autre reportage sur le Pénis est également disponible et très intéressant, mais il semble moins révélateur, car lui, par nature, doit être vu sous tous ses angles, quoi que ni l'un ni l'autre ne figurent dans le programme de l'éducation nationale basique !

**l' #ANASYRMA""

Pourquoi les vulves font-elles peur ?

Gymnastique - Émission du 24/09/2022
#Gustave_Courbet le sait bien : représenter un sexe féminin, c’est la garantie de lancer la polémique. Mais depuis la Grèce antique avec la pratique de l’”anasyrma”, les femmes l’ont compris : dévoiler sa vulve, c’est une prise de pouvoir. Aujourd’hui, des artistes et militantes féministes reprennent ce geste dans leur combat. Pourquoi montrer son sexe pour faire peur ? Et pourquoi ça marche ?

Pays France Allemagne 2021

https://www.arte.tv/fr/videos/100170-005-A/gymnastique/

nairo@diasp.org

Hyper intéressant #OMS #sexualité #enfance #éducation #totalitarisme #anesthésie #émotions

Globalement, depuis 2017, on éduque les enfants à la sexualité... la porte ouverte aux #pédophiles

Dans un 2e temps, le #totalitarisme et la #banalisation de la #violence.

Ça rejoint ce que j'ai étudié en #parentalité : les #autoroutes neuronales : montrer la violence depuis l'enfance provoque une habituation de la violence et donc elle devient normale.
Pire, lorsqu'on montre la violence en disant "c'est pas bien" de faire ça, on renforce cette habituation, cette tendance à la violence. À voir les spots de StopVEO, je leur ai reproché ce côté où, finalement, ils ne montrent encore que ce qu'il ne faut pas faire en renforçant les autoroutes neuronales déjà trop grandes. Je me suis fait "lyncher" d'avoir osé penser et dire ça. Sauf que c'est vrai... Le cerveau voit les images, ça renforce la violence. Il n'entend pas vraiment que "c'est pas bien".

Bref, et ça amène à accepter l'inacceptable.

#Attention au règne de l' #image.

https://app.videas.fr/embed/901f8abf-b4da-48fb-8038-2c5591c150d3/

legeneralmidi@diaspora.psyco.fr

« La prostitution des mineures est un problème majeur de la société » #NatachaDevanda

Deux lois censées les protéger, des rapports en veux-tu en voilà et si peu d’évolution positive sur les trottoirs, dans la rue, sur Internet. Lundi 15 novembre, un plan intergouvernemental était censé s’emparer de la délicate question de la #prostitution des mineurs. Entre 7 000 et 10 000 jeunes, des filles en écrasante majorité, composent cette cohorte de chair fraîche. Elles sont exploitées par les #proxénètes, violées par des clients qui s’en dédouanent par un billet et sous couvert de consentement. Comment arrêter un phénomène qui, malgré la réglementation, explose, change de forme et se « professionnalise » ? Rencontre avec #StéphanieCaradec, directrice du mouvement #LeNid, une association qui, depuis 70 ans, lutte pour l’abolition de la prostitution.

Quel est votre sentiment par rapport aux décisions du plan intergouvernemental de lutte contre la prostitution des #mineurs ?
Tout d’abord, on salue l’existence d’un plan interministériel sur cette question. On se réjouit aussi qu’il soit financé à hauteur de 14 millions d’euros. C’est une bonne nouvelle que ministres et secrétaires d’État de la Justice, de l’Intérieur, de la Politique de la Ville, de la Jeunesse ou de la Solidarité et de la Santé, se retrouvent pour évoquer ce problème majeur de société : la prostitution des #mineures. La dimension interministérielle permet d’aborder toutes les facettes du problème. C’est primordial pour lutter contre.

De même, le développement de la prévention dans les établissements du secondaire et l’ambition de développer, grâce à la formation, une « culture commune » auprès de nombreux professionnels : action médico-sociale et éducative, services de santé, police et justice est une bonne chose. Le gouvernement promet aussi une prise en charge immédiate des victimes dès les premiers signes de détresse.

Comment avez-vous travaillé en amont lors des travaux préparatoires ? Et quelle était la position du Nid ?
Nous avons fait partie du groupe de travail préparatoire, présidé par Catherine Champrenault, procureure générale de Paris. Des discussions qui ont duré neuf mois. Si on salue l’intention, on s’interroge car il y a encore peu de détails sur la façon dont les actions seront menées et bien sûr, nous regrettons le grand absent des préconisations du plan : le « client ». Plus précisément, le plan indique que les « clients » et les proxénètes « nourrissent » le phénomène, mais aucune action concrète n’a été annoncée pour améliorer la répression des hommes qui achètent des actes sexuels à des enfants. L’État doit aller plus loin. Aujourd’hui, un nombre infime de « clients prostitueurs » sont interpellés et l’impunité reste la norme. La campagne de sensibilisation prévue au 1er semestre 2022 par le plan devra également s’adresser à eux.

Qu’est-ce qui fait que les lois sont-elles si peu ou si mal appliquées ?
Parce qu’il y a une chose qui s’appelle le sexisme et le patriarcat qui accepte toujours l’achat d’actes sexuels, surtout quand c’est majoritairement auprès de femmes. Acheter un rapport sexuel avec une adolescente est un délit. Les proxénètes comme les « clients prostitueurs » sont, en principe, sanctionnés. Mais dans les faits, c’est beaucoup plus compliqué. Les clients se dédouanent facilement avec un billet glissé à la jeune fille. Devant les policiers ou les magistrats, ils se servent tous de cette phrase magique : « Je pensais qu’elle était majeure ». À partir de là, il est très difficile de prouver que ces hommes mentent. Pourtant, il est impossible pour un homme de ne pas voir les conséquences de son acte en imposant une relation sexuelle à une jeune fille. Il est impossible de ne pas voir l’environnement qui règne dans une chambre où les filles enchaînent les passes. Une jeune fille de 14 ou 15 ans, il n’y a pas de doute possible sur sa minorité.

Qu’est-ce qui cloche alors et que faudrait-il faire ?
Le sujet est toujours sensible. On a l’impression à tort que la prostitution touche à la #sexualité et relève du domaine de l’intime. Beaucoup de travailleurs sociaux sont mal à l’aise avec ça. Mais ça évolue : depuis plusieurs années, on a de plus en plus de demandes de formations et de co-accompagnement par la Protection judiciaire de la jeunesse ou l’Aide sociale. Il y a aussi la façon dont la société dans son ensemble tolère cette situation. Le gros manque c’est de dire clairement les choses. Dire que le fait d’acheter le corps d’une adolescente, c’est de la #pédocriminalité. Il faut mettre le paquet contre ces hommes qui sont des criminels. Or, il n’y a rien sur les clients dans le plan interministériel. Il faudrait marteler des campagnes à destination des hommes qui achètent le corps des jeunes filles. Rappeler que c’est illégal et que ça a des conséquences sur le développement physique et psychologique des enfants. Ce silence sur les « clients », ça dit en creux que c’est aux gamines de porter toute la responsabilité. Ce n’est plus possible !

Votre association travaille sur la prostitution depuis des décennies. Comment voyez-vous son évolution, notamment pour les mineures ?
S’il est difficile de donner un nombre précis de jeunes filles mineures prostituées, une chose est sûre, Internet et les #réseauxsociaux sont un immense facilitateur pour le passage dans la prostitution. Des jeunes filles qui y exposent leur vulnérabilité, leurs disputes avec leurs parents par exemple, leur envie de fuguer… Tout ça, c’est du pain bénit pour les recruteurs. Les proxénètes sont à l’affût pour entrer en contact avec elles. Ils se font passer pour des #loverboy, des garçons gentils et compréhensifs, qui vivent eux aussi de grosses difficultés. Ce piège des proxénètes a toujours fonctionné mais avec Internet, la chasse est plus vaste. Dès que l’ado est amoureuse et/ou sous emprise, le loverboy va se transformer en homme insistant voire violent pour inciter ou forcer sa copine à franchir le pas et se prostituer.

Même facilité pour les clients. Avec Internet, les possibilités d’entrer en contact sont immenses. Même plus besoin de trouver une excuse pour sortir de chez soi et aller au bois de Boulogne. Ils peuvent faire leur marché à domicile, devant leur ordinateur. Ils ne prennent plus de risques. Les réseaux sociaux et les plateformes locatives comme #Airbnb sont des facilitateurs énormes qui ont fait exploser le proxénétisme des mineures. La police, la justice, les magistrats référents sur la prostitution des mineures le disent. De même, qu’on voit le développement de petits réseaux de proxénètes qui eux aussi peuvent être mineurs. Des jeunes qui végétaient dans le #trafic de drogue se lancent dans le #proxénétisme pour s’enrichir plus rapidement et à moindre risque. Les policiers parlent de micro-réseaux qui passent au travers des mailles de la loi, malgré l’engagement croissant de la justice et de la police sur le sujet.

Les médias insistent beaucoup sur l’argent facile, la vie futile des jeunes prostituées. Est-ce raccord avec la réalité à laquelle vous vous frottez ?
Au départ, la plupart disent : « J’assume ». C’est classique chez les mineures comme chez les adultes. Mais dès que le lien de confiance est créé avec des militants de l’association par exemple, elles nous disent : « Je voudrais faire autre chose ». Dire que la prostitution permet de gagner de l’argent facile, c’est vrai pour les proxénètes mais faux pour les prostituées. Au mieux, ça peut être de l’argent rapide mais certainement pas facile. Coucher avec un homme dont on n’a pas envie, faire dix, quinze passes ou plus par jour, n’est en fait rien d’autre que du #viol répété. Le fait qu’il soit tarifé ne change rien. Une fois lancées dans la prostitution, les jeunes femmes ont du mal à s’en sortir. L’emprise, similaire à celle qu’on observe dans les autres violences sexistes et sexuelles, les maintient en état de dépendance.

Pourtant des policiers et magistrats notent un « effet #Zahia », un attrait pour une vie fantasmée d’escort et une tendance à évoquer la prostitution comme un « métier » ?
Comment s’en étonner quand la société, les modèles commerciaux poussent à l’hyper- #sexualisation des corps des femmes et au virilisme des hommes. L’exploitation sexuelle filmée, le #porno amateur ou professionnel banalise des violences sexuelles auprès des plus jeunes. De même, quand certains médias utilisent la notion de « #travaildusexe », c’est aussi une forme de banalisation de cette violence qu’est le système prostitutionnel. Une des façons de lutter est, dans ce cas comme dans d’autres, d’employer les bons mots, de faire de la prévention auprès des jeunes et d’avoir les moyens humains et financiers pour empêcher les jeunes de tomber dans la prostitution et aider celles et ceux qui veulent en sortir. C’est-à-dire l’écrasante majorité. •

Le mouvement Le Nid est une association dite « abolitionniste » qui milite pour l’abolition de la prostitution tout en aidant celles et ceux qui se prostituent. Elle édite une revue trimestrielle Prostitution et société. Le mouvement du Nid mène des actions d’accompagnement des personnes prostituées mais aussi de la prévention auprès des jeunes dans les écoles, la sensibilisation des acteurs sociaux et du grand public.

#CharlieHebdo #féminisme #adolescence #traitedesêtreshumains

bliter@diaspora-fr.org

GÉRARD FAURÉ BALANCE : #Soral, #Delon, #Chirac, #SaintLaurent, #BellaHadid, #Tapie, #HassanII

#GérardFauré, prince de la #coke et #dealer du tout paris balance tout sur #AlainSoral, #Delon, Saint Laurent, Bella Hadid, Tapie, Chirac, Hassan II, #JohnnyHallyday, la #coke et l' #homosexualité, #Dassault...

Les parties fines #sordides de #PierreBergé et Saint Laurent avec des #enfants qui faisaient des #overdoses
Quelle #mannequin lui a demandé d’ #assassiner son père ?
Sa relation avec son avocat mythique
Ses #révélations sur #AlainSoral
Comment l’ #agression de Tapie serait un coup monté
Comment la coke rend homosexuel ?
La #sexualité de #Johnny
Comment il assassinait #JoeDassin
Comment un #président prenait de la coke chez #Dassault ?
La fois où il a mis du laxatif dans la coke chez dassault
Quel #légende du #cinéma a été #exfiltre du #Maroc pour pratiques #pedophiles ?
Comment Hassan II était un enfant illégitime et que sa mère était juive ?

https://www.youtube.com/watch?v=9GGuJjnlk2o

tina@diaspora.psyco.fr

On sait désormais à quelle zone du cerveau le clitoris est relié.

Le docteur Pierre Foldes, établi à Saint-Germain-en-Laye, travaille à la reconstitution du clitoris et à la réparation des dommages physiques et psychologiques causés par les mutilations génitales. Il a opéré plus de 6.000 femmes victimes d'excision.
"La recherche nous permet, à nous qui travaillons sur la reconstitution du clitoris et le fait de retrouver ou non des possibilités orgasmiques, de prouver que les sensations reviennent et qu'on a remis en circuit des terminaisons nerveuses qui étaient abimées et mutilées."

#sciences #sexualité #violences #réparation

bliter@diaspora-fr.org

A-t-elle eu trop de partenaires ? La #logique #marchande appliquée aux #relations #hommes - #femmes - l'Observateur

La Timeline 👉
00:00 Introduction
00:00:39 Synopsis
00:01:53 Quand la logique marchande s'applique à la #sexualité
00:06:35 Quand la savoir “RedPill” se démocratise
00:08:54 Lien entre le nombre de partenaires et la probabilité d’un divorce
00:21:21 Les deux catégories de femmes
00:25:24 Caroline Ingalls Vs les Kardashian
00:27:13 Rapport entre le nombre de partenaires, et l’insatisfaction
00:31:58 Nous vivons bien trop longtemps
00:38:14 De #Orwell à #Huxley. Bienvenue dans le meilleur des mondes

https://www.youtube.com/watch?v=M5vZLvl6-nw
#divorce #mariage #relations_hommes_femmes #lObservateur

bliter@diaspora-fr.org

#VIDÉO - #Prostitution: #ados en #danger

img

synopsis

#Film #documentaire. Louna n’a que 17 ans mais peut enchaîner une dizaine de passes par jour dans des chambres d’hôtels payées par ses #proxénètes en #région #parisienne : « On ne peut pas dire qu’on est bien dans sa peau quand on fait ça. On ne peut pas dire que c’est du plaisir quand 15 hommes nous passent dessus. A un moment, on ne ressent plus rien...» L’ #adolescente s’adonne à la #prostitution depuis l’âge de 14 ans : «Quand tu vois que tu gagnes le #salaire de quelqu’un en une journée, tu te dis « un #travail normal, ça sert à quoi ?». Ces dernières années, la #prostitution des #mineures a explosé en #France : elles seraient entre 7 et 10 000 à vendre leur corps sur des sites de petites #annonces. Les #enquêteurs de la #police et de la #gendarmerie, la #Justice, les services sociaux sont désormais débordés par les #dossiers. Avec un #problème majeur : si certaines #adolescentes sont enlevées, séquestrées, forcées de se #prostituer, beaucoup d’entre elles sont au départ volontaires, en quête d’ #argent facile, ne se considèrent pas comme des #victimes et refusent de témoigner. Une #loi du silence qui pose de vraies difficultés aux #autorités qui veulent lutter contre cette activité, plus rentable et moins risquée que le# trafic de #drogue. Qui sont ces #jeunes #prostituées, dont certaines affichent fièrement une vie #glamour sur les #RéseauxSociaux, sans #conscience du #danger ? Comment fonctionnent les #réseaux pour lesquels elles travaillent ? Comment protéger ces #adolescentes, recrutées parfois en quelques clics et qui se retrouvent prises au piège des #proxénètes ? Durant plusieurs mois, la #réalisatrice #PaulineLiétar a mené l’ #enquête et obtenu des #témoignages inédits : adolescentes, proxénètes, enquêteurs...

info

Titre d'émission : Prostitution : ados en danger
Chaine TV : TF1
Date de diffusion : 23/09/2021
Réalisé par : Pauline Liétar
Présenté par : Harry Roselmack
Nationalité : Français
Genre : #Documentaire / #Reportage, #Enquête / #Investigations, #Histoire, #Sexualité, #Société, #Découverte
Durée : 53min
Langue : #Français

Regarder ou Télécharger le documentaire

legeneralmidi@diaspora.psyco.fr

Les femmes ont une #prostate : vrai ou faux ?

Au Panthéon des super-héroïnes, il y a Catwoman, et… Shannon Bell, alias «the ejaculator». Bien qu’elle soit chercheuse à l’université, cette philosophe-en-action éjacule lors de performances destinées à «montrer» l’existence de sa prostate.

La fonction principale de la prostate est de sécréter une partie du #liquideséminal. En 2001, le Comité international pour la terminologie anatomique (FICAT) intègre la "prostate féminine" à sa Terminologia Histologica, qui fait autorité dans le monde. Vingt ans ont passé. Autour de vous, combien de femmes parlent de leur prostate ? Si vous cherchez des informations sur la #prostateféminine dans les manuels médicaux ou si vous consultez les sites internet de référence, déception : lorsqu’elle est évoquée (c’est-à-dire rarement), elle l’est de manière simpliste. Le fait que la prostate féminine soit un organe équivalent à la prostate masculine (issu du même tissu embryonnaire et produisant les mêmes substances) est rarement mentionné. Pourquoi ?

Liquide #prostatique
La chose est d’autant plus surprenante que l’existence d’une prostate féminine est parfaitement connue dès le #MoyenAge. Le médecin #AlessandroBenedetti (1452-1512) note d’ailleurs que, lors du #coït, elle est capable d’expulser la semence «avec une pression telle qu’elle jaillit plus loin que chez les hommes». Dans les années 1980, une #féministe canadienne en fait la démonstration, avec une puissance de feu dévastatrice. Elle s’appelle Shannon Bell. Philosophe de la performance, Bell est également professeure à l’Université York (Toronto) et directrice au département de science politique. Cette activiste apprend à #éjaculer au moment où le film Terminator sort au cinéma.

Ejaculer plus vite que son ombre
A force d’entraînement, elle perfectionne sa technique et parvient «à éjaculer en une à trois minutes et jusqu’à quinze fois par heure avec stimulation #clitoridienne ou #vaginale, avec ou sans #orgasme». Elle éjacule tantôt en petite quantité, tantôt à en «inonder les murs». Et elle ne manque jamais sa cible. Bell dispose de la «capacité légendaire d’éjaculer sur une pièce de monnaie». Dans l’ouvrage Fontaines, Stéphanie Haerdle – chercheuse en études de #genre à l’université de Berlin – lui consacre un chapitre vibrant d’admiration, illustré d’une photo surprenante. On y voit Shannon Bell, petit bout de femme maigre, pesant à peine 49 kilos, seulement vêtue d’une paire de bottes, faire jaillir de sa #vulve un squirt (projection) saisi au vol.

A l’époque où Shannon Bell se filme en train de se masturber afin d’expliquer publiquement les techniques d’éjaculation, la plupart des femmes pensent qu’il s’agit d’urine. La faute au couple légendaire William Masters et Virginia Johnson. Pionniers de la #sexologie dans les années 50 et 60, Masters et Johnson ont bien sûr constaté que des #femmes éjaculent. Bien que, de toute évidence, le liquide ne soit pas de l’urine, ils interprètent le phénomène comme une «incontinence de stress». Ils préconisent de re-muscler le plancher pelvien, voire une intervention chirurgicale pour mettre fin à cette «miction involontaire». Haro sur les malheureuses qui mouillent «trop» lors de l’orgasme.

Diagnostic : incontinence
«C’est ainsi qu’un aspect naturel de la sexualité féminine devient un phénomène honteux, embarrassant, que les femmes essaient d’empêcher en se contractant, en se crispant. Quand elles ne renoncent pas carrément à jouir. C’est ainsi qu’on pathologise des femmes en parfaite santé, voire, pire encore, qu’on les opère.» Pour Stéphanie Haerdle, le tabou posé sur la prostate féminine date en partie du diagnostic posé par Masters et Johnson. Un diagnostic désastreux, dit-elle, qui «explique la tabouisation et le refoulement de l’ #éjaculationféminine au XXe siècle, dont nous ressentons toujours les effets aujourd’hui. Quel tourment, pour beaucoup de femmes, dans ce qui devrait être un moment de détente absolue et d’oubli de soi, de penser qu’elles pourraient uriner sur leur partenaire…»

A coup d’éjacs explosives, Shannon Bell fait voler en éclat ce carcan de honte. «C’est fantastique», dit-elle. Dont acte. En 1989, dans la vidéo Nice Girls Don’t Do it (co-réalisée avec #KatyDaymond), elle montre qu’une femme peut «prendre son pied» comme un mec, exposant de façon sauvage la réalité corporelle du #plaisir. Avec Shannon #Bell, le corps féminin devient le lieu d’une #sexualité puissante, agressive, auto-déterminée, qui tranche de façon radicale avec l’image lénifiante de la #féminité onctueuse telle que la défendent les «féministes différentialistes». Ainsi que Stéphanie #Haerdle le défend, l’idée selon laquelle les femmes auraient l’apanage de certains #fluides (le lait ou les menstrues qui couleraient doucement), par opposition aux hommes seuls capables de «gicler» peut paraître séduisante au premier abord mais elle relève de l’imposture.

Homme : #5ml en moyenne
«Ce n’est pas un hasard si les personnes qui contestent l’ordre hétéronormatif et binaire, gender terrorists, lesbiennes ou gender deviants sont aussi précurseures en matière d’éjaculation. Pour Bell, le corps féminin éjaculant […] fait la démonstration de l’égalité des corps.» Il ne s’agit pas pour les femmes de singer les mâles, ni de jouer à faire «comme eux». Il s’agit au contraire de se réapproprier une qualité dont les hommes non seulement n’ont pas le monopole, mais dont ils ne possèdent que les rudiments. Car, au fond, qui éjacule le plus ? Les femmes. Un homme produit entre 2 et 6 millilitres par orgasme, soit une cuillerée à café de sperme, et s’il éjacule plusieurs fois de suite, la quantité baisse, ce qui n’est pas le cas chez la femme dont la prostate semble inépuisable : elle peut produire jusqu’à 126 millilitres d’éjaculat par orgasme.

Dans son livre #FastFeminism (2010), Bell évoque ce concours nommé «éjaculathon» au cours duquel sont mesurés les records de vitesse, de distance ou de quantité. C’est une femme qui #éjacule le plus rapidement (deux secondes). C’est aussi une femme qui éjacule le plus loin (presque sept mètres), le plus souvent (chiffre introuvable) et en plus grande quantité (des litres). Il peut paraître ridicule de rivaliser ainsi, comme dans une cour d’école, mais les jeux d’enfant sont jouissifs et ils permettent aux femmes de reprendre de l’assurance, en détrônant les hommes, au besoin. Le but n’est pas de dire qu’elles sont supérieures, mais qu’elles partagent avec les hommes des organes similaires. Pour #ShannonBell, il n’existe qu’un seul corps humain et les frontières du genre fluctuent au gré des jeux.

#Fontaines – Histoire de l’éjaculation féminine de la Chine ancienne à nos jours, #StephanieHaerdle, #LuxQuebec, avril 2020.

Blog #Les400Culs

gammanu@framasphere.org

Faite l'amour pas la guerre...

Mais ne faites pas de l'amour une guerre* !

* Une lutte pour une sexualité respectueuse, oui.
Un lieu de violences ordinaires et d'oppressions inconscientes, non.

A toute celles et ceux qui aspirent au respect mutuel, à plus de solidarité et de conscience,
voici ou passer votre soirée le 7 octobre avec la #conférence gesticulée :

Vous désirez ?

Et plus globalement du 1er au 10 octobre à #Bordeaux le #festival :

Comme Un Grondement {Amoureux}

Mots clefs :
#amour #violence #sexualité #féminisme #viol #consentement