#agro-industrie

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#Ecologie, #Technopolice #police #État #autoritarisme #Démocrature #espionnage #Mégabassines #Repression #Criminalisation #Millitants-es #Écologie #Eau #environnement #agro-Industrie ...

Mégabassines : une balise GPS cachée sous le véhicule d’un opposant

Une caméra avait déjà été dissimulée devant sa maison. La préfecture assume.

C’est une figure de la lutte contre les mégabassines dans les #Deux-Sèvres. Présent dans les mobilisations contre ces immenses cuves artificielles plastifiées qui accaparent l’eau de la nappe phréatique, #Julien-Le-Guet est persécuté par les services de #renseignement.

Jeudi 19 janvier, son garagiste découvrait un petit boîtier, noir et pas plus gros qu’une boite d’allumette, soigneusement caché, aimanté sous l’essieu avant de son camion. Il s’avère qu’il s’agit d’une #balise-GPS, un #traceur, numéroté “2919” qui permet à la police de le géolocaliser en temps réel à chaque déplacement. Ce dispositif intrusif visait-il à surveiller les déplacements d’un multimilliardaire mafieux ou d’un trafiquant d’armes ? Non, juste d’un homme qui se bat, près de chez lui, pour défendre les ressources en eau.

Et ce n’est pas la première fois. Le 17 mars 2022, Julien Le Guet et son père découvrent devant la maison familiale, également dans les Deux-Sèvres, une #caméra de #surveillance et un relais radio utilisés dans le cadre de la #surveillance-militaire. L’appareil est grossièrement caché sous un buisson. Par chance, le chien d’un ami avait été intrigué par l’appareil, ce qui a permis de le découvrir. Des #gendarmes étaient venus récupérer leur caméra peu après sa découverte.

Quand #Darmanin parlait «d’ #écoterrorisme», il accompagnait des actes à ses paroles inquiétantes. Les défenseurs de l’environnement sont traqués, épiés, réprimés avec de grands moyens jusque dans le vie quotidienne. Interrogée par la presse, la préfecture des Deux-Sèvres assume d’ailleurs cet espionnage et le justifie par les «antécédents de violences du collectif Bassines Non Merci». «La loi ouvre la possibilité à certains services de police de mettre en place des dispositifs ciblés, notamment pour prévenir des violences collectives de nature à porter gravement atteinte à la paix publique.»

Ce harcèlement s’accompagne de vastes campagnes répressives. En à peine un an et demi plus d’une cinquantaine de militant-es contre ces projets ont été auditionné-es par les forces de l’ordre, une douzaine ont été inculpé-es avec des dossiers de centaines de pages, les services de renseignement travaillent à plein régime sur la contestation aux mégabassines, à base d’écoutes, de filatures et de perquisitions… Et le collectif les Soulèvements de la Terre est menacé de dissolution.

Tout aussi grave, les mobilisations contre le mégabassines font face à des déploiements répressifs proprement #totalitaires. La dernière grande manifestation à #Saint-Soline, en octobre 2022, avait été interdite par la préfecture. Sur place, des milliers de gendarmes ont été déployés, appuyés par pas moins de 6 hélicoptères, des drones et des milliers de grenades tirées. Du jamais vu en France. Coût d’un seul week-end de répression : plusieurs millions d’euros. L’État met les grands moyens pour soutenir les #agro-industriels et la destruction du vivant.

De leur côté, les opposant-es aux bassines ont subi plusieurs #agressions de la part de #milices #pro-bassines et de nombreuses personnes ont été blessées par les forces de l’ordre. Aucune suite n’a été donnée par la #justice. Plus largement, alors que des moyens colossaux sont mis en œuvre pour écraser la moindre #contestation #sociale ou #écologiste, l’ #extrême droite prospère dans une #impunité totale. Fin décembre, un raciste armé a tué trois kurdes au cœur de Paris. Il sortait tout juste de prison après avoir tenté de tuer à coup de sabre des exilés dans leurs tentes. Le ministère de l’Intérieur affirmait que ce terroriste d’extrême droite était «inconnu des services de police». De même pour les nombreux groupes #néo-nazis qui s’entraînent, s’arment, et parfois passent à l’acte sur tout le territoire français. Par contre, les services de Darmanin connaissent le moindre détail de l’emploi du temps d’un défenseur de l’eau !

Entre les protecteurs d’une planète vivable d’un côté et les riches et leurs alliés fascistes de l’autre, Macron a choisi son camp.

#JulienLeGuet

anar65@diaspora-fr.org

bonjour, Bonsoir, au revoir, bonne soirée et nuit

#Répression #Violences sur un #Militant #anti-Bassines #mégaBassines #Ecologie #Agro-industrie, #FNSEA #Etat #Gouvernement #Darmanin #police #Complice fnsea #affameur, #pollueur #réactionnaire voir ... + et maintenant #Criminel (mais rien de nouveau ! )

Agression brutale d’un militant anti-bassine devant chez lui

“Ecolo de merde”, “On te pisse dessus”, “Il est beau l’antibassine”

Un communiqué du collectif Bassines Non Merci :
Ce jeudi 24 Novembre, notre camarade Valentin a déposé plainte à la gendarmerie de Melle (79), accompagné par son avocate suite à l’agression dont il a été victime vendredi 18 Novembre à son domicile.

De retour devant son domicile après son footing quotidien, Valentin a surpris un individu qui tentait de forcer une des portes de son domicile pour vraisemblablement s’y introduire.
Apostrophant cet individu, Valentin a été violemment frappé au visage par un deuxième homme, tapi dans l’ombre. Mis au sol, Valentin a alors été roué de coups sur tout le corps et insulté en des termes qui ne laissent aucune ambiguïté quant aux motivations réelles de ses agresseurs “Enculé d’écolo de merde”, “On te pisse dessus”, “Il est beau l’antibassine”.

Cette agression a nécessité l’hospitalisation de Valentin à plusieurs reprises, débouchant sur une Incapacité Totale de Travail (ITT) de 15 jours. Il présente en effet plusieurs blessures graves : fractures et/ou fêlures des côtes et du nez sur le flanc gauche, entorse cervicale et entorse de la cheville gauche, multiples contusions, plaies au visage et sur l’ensemble du corps. Cette ITT pourrait être réévaluée au vu des incapacités plus longues causées par le choc psychologique; et le temps nécessaire à se remettre des entorses et fêlures sur les diverses parties du corps avant de pouvoir retrouver une activité normale.

👉 Pourquoi Valentin était ciblé ?
Le caractère politique de cette agression ne fait aucun doute. Voici ce que nous dit Valentin sur le caractère public de son engagement et sur ce qui a pu motiver ses agresseurs : “Très attaché à la protection de mon territoire, le Marais Poitevin, depuis très jeune, j’ai toujours entretenu une relation privilégiée avec mon milieu de vie, imaginant un temps devenir guide de pêche. C’est tout naturellement que j’ai rejoint ces derniers mois le collectif Bassines Non Merci et que j’ai rendu public mon investissement dans ce combat vital.

En amont de la manifestation, j’avais diffusé, le 22 Octobre, un appel à rejoindre la manifestation de Sainte-Soline les 29 et 30 octobre sur mon compte Instagram qui a été assez largement diffusé. Le jour de la manifestation, j’ai été horrifié par la quantité de munitions en tout genre utilisées par les forces de l’ordre et par les blessures qu’elles occasionnaient. Je me suis investi dans le soutien des plus fragiles et des plus impactés. Le lendemain et les jours suivants, j’ai participé à des opérations de ramassage et d’inventaires des centaines de bombes de désencerclement, assourdissantes, lacrymogènes et LBD laissées éparses dans les champs. Certaines grenades étant encore susceptibles d’exploser et de blesser.
Les dégâts constatés par l’impact des bombes de désencerclements m’ont amené à la conclusion que ce jour là, les forces de l’ordre auraient pu, comme lors de la mort de Rémy Fraisse à Sivens, commettre l’irréparable. J’ai fait part à visage découvert de ces réflexions et constats sur les réseaux sociaux.”

Il se trouve que Valentin est aussi le neveu d’un des porte-paroles du Collectif Bassines Non Merci, Julien Le Guet, menacé lui-même à différentes reprises, ce qui l’expose d’autant plus.

👉 Les faits précédents – La lourde responsabilité du gouvernement et des promoteurs des bassines.
De nombreuses questions demeurent quant à l’identité, aux mobiles précis, aux complicités ou aux commanditaires des agresseurs. Nous ne pouvons qu’attendre à ce titre des réactions et procédures rapides après le dépôt de plainte de cet après-midi. Mais il nous faut mettre en avant dès aujourd’hui un ensemble de faits et d’acteurs qui ont pu cautionner et générer cette agression.
Voilà en effet ce que suscite le sentiment d’impunité qui peut naître – au vu des partis pris affirmés des pouvoirs publics et des forces de l’ordre – chez les partisans des bassines et leurs complices, qu’ils soient exploitants, représentants des entreprises de travaux publics… Depuis plusieurs années, les membres du collectif Bassines Non Merci avaient déposé à de nombreuses reprises des plaintes pour mise en danger de la vie d’autrui et menaces de mort.
👀 https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/face-face-tres-tendu-entre-agriculteurs-collectif-bassines-non-merci-greve-mignon-1704170.html
👀 https://www.lanouvellerepublique.fr/deux-sevres/ragondin-mort-une-tentative-d-intimidation

Ces plaintes étaient restées lettre morte. A contrario des gendarmes du territoire avaient pu récemment présenter un diaporama des membres du collectif Bassine Non Merci devant une assemblée des irrigants du pays mellois. Et tout récemment encore, le président de la chambre d’agriculture interdépartementale, Jean-Marc Renaudeau, justifiait par des propos scandaleux les menaces de mort contre le porte-parole de la Confédération paysanne Benoit Jaunet.

👀 https://www.ouest-france.fr/economie/agriculture/le-president-de-la-chambre-d-agriculture-denonce-l-escalade-de-la-violence-des-anti-bassines-59f112ba-69b2-11ed-8d4d-08b259fcf3f5

Cette agression est par ailleurs emblématique de la montée des tensions sur un territoire lorsqu’un gouvernement tente d’imposer par tous les moyens, y compris répressifs et militaires, un projet contesté depuis des années par une large part de la population, habitant.es, paysan.nes, naturalistes, pêcheurs, scientifiques… Les projets de bassines et le modèle agricole industriel qu’ils maintiennent à bout de souffle sont déjà condamnés par l’accélération des bouleversements climatiques. Pourtant, d’autres solutions existent et peuvent garantir la souveraineté alimentaire de la population et la préservation de la ressource en eau, tant en quantité qu’en qualité. Mais le gouvernement a choisi de ne pas en tenir compte et de passer en force, quitte à créer un climat explosif.

💥 Cette agression témoigne de la violence qu’autorise et cautionnent les prises de paroles honteuses d’un ministre de l’intérieur, Darmanin qui choisit sciemment de diaboliser des milliers de citoyen.ne.s mobilisé.es pour la défense d’un bien commun et d’éviter ainsi de parler du fond du dossier.

💥 Cette agression est le pendant apparemment “civil” d’une criminalisation croissante des militant.e.s écologistes, que le gouvernement invite à punir sévèrement. Une circulaire “d”exception”, signée par le garde des sceaux Dupond-Moretti, à été adressée aux procureurs de France pour les enjoindre à punir de manière expéditive et exemplaire tou.te.s les citoyen.ne.s qui osent s’en prendre à des “projets d’aménagements du territoire” (pour ne pas dire explicitement mégabassines).

https://www.ouest-france.fr/economie/agriculture/le-president-de-la-chambre-d-agriculture-denonce-l-escalade-de-la-violence-des-anti-bassines-59f112ba-69b2-11ed-8d4d-08b259fcf3f5

Nous rappelons pour notre part que nos actions de désobéissance n’ont jamais pris pour cible l’intégrité physique des personnes, nous nous sommes toujours fermement opposés à toute initiative à l’encontre des bénéficiaires de ces projets et de leurs soutiens. Nos actes collectifs de désarmement des équipements sont motivés par «l’état de nécessité», car ceux-ci font peser un danger imminent sur l’ensemble de la population et du vivant. À l’inverse, depuis de nombreuses années, les menaces physiques sont le mode d’action privilégié par le camp des pro-bassines afin de faire pression sur les membres du Collectif Bassines Non Merci. Elles trouvent leur débouché aujourd’hui dans l’attaque envers Valentin.

👉 Pour empêcher qu’une agression de ce type ne se reproduise, le gouvernement à l’heure des choix.
Avec cette agression et quels qu’en soient les responsables, le Rubicon a été franchi. La situation est grave et le risque d’embrasement réel. Il serait impensable que les citoyen.ne.s en viennent à constater que tous les moyens ne soient pas mis en œuvre pour trouver les agresseurs de Valentin. Comme Valentin l’affirme dans sa déclaration, “Il s’agit ici d’interroger le choix fait par l’État entre la protection d’un dispositif qui met en danger la ressource en eau d’un côté et la protection des personnes contre les violences physiques, mais aussi la préservation de ce qui est essentiel à la vie de l’autre. Des millions pour protéger un cratère, combien d’agents et de temps pour enquêter sur mon agression ? L’avenir nous le dira.”

Au-delà du suivi de cette agression et pour que la paix revienne sur tout le territoire, il n’y a aujourd’hui qu’un seul chemin responsable :

✅ la mise en place urgente d’un moratoire sur les projets de méga-bassines et l’arrêt immédiat des chantiers en cours.
✅ l’établissement d’une concertation apaisée sur une gestion de l’eau partagée et un changement de pratiques agricoles, avec toutes les parties prenantes.

Le collectif BNM et toutes ses composantes ne se laisseront pas intimider par ces pratiques ignobles et lâches. Nous poursuivrons dans les jours et semaines qui viennent le combat juste pour la préservation de l’eau et du vivant.

⚠ Notre priorité est cependant pour l’heure d’apporter protection à la victime. C’est dans ce cadre que nous demandons à tout.e.s les camarades qui voudraient apporter leur soutien à Valentin à ne pas le contacter directement.

✊ La mobilisation contre toute forme de répression ou d’intimidation se poursuit également :
🗓 Vendredi 25 à 10h00 devant la chambre d’agriculture de La Rochelle, pour une action portée par la Confédération Paysanne en réaction aux propos scandaleux de Jean-Marc Renaudeau.

🗓 Lundi 28 novembre à Niort, où une mobilisation aura lieu devant le tribunal judiciaire à 12h, à l’occasion du procès des 5 camarades inculpés suite à la manifestation de Sainte-Soline

https://www.facebook.com/events/455495950066328

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#Sainte-Soline #Eco-terrorisme #DésobéissanceCivile #Eau #MegaBassine #agro-industrie #Moratoire

communiqué - Sainte-soline :

exigence de moratoire sur les bassines, nouvelle action nationale en vue et vigie sur le chantier
Le mouvement laisse une vigie face au chantier, exige un moratoire sur les projets de bassines et s'engagera dans une nouvelle action nationale si le gouvernement maintient son passage en force

Les 29 et 30 octobre, nous nous sommes introduits en masse dans le chantier de la méga-bassine de Sainte-soline en déjouant un nouvelle fois un dispositif policier pléthorique et avons démonté une canalisation destinée à remplir cette bassine. Après ces deux actions qui ont démontré la montée en puissance du #mouvement #anti-bassines et sa détermination, nous repartons avec des souvenirs éblouissants, des camaraderies renforcées et laissons sur le champ dans lequel s'est déployé le camp, une Outarde canepetière géante ainsi qu'une vigie. Celle-ci servira de tour d’observation autant pour les oiseaux que pour l’avancée du chantier de la #bassine de Sainte-Soline. Cette accueillante prairie, foulée par 10 000 personnes, entretenue par un #paysan ex-irrigant et désormais opposé aux bassines, pourra servir de nouveau à l'avenir de point d’appui pour des mobilisations. Mais ces actions pourront aussi ressurgir à n'importe quel moment, partout là où des bassines menacent de se construire et d'aggraver la dégradation des cours d'eau et des nappes au profit d'une minorité d'irrigants.

Le large coalition de plus 150 organisations ayant portées la #manifestation « pas une bassine de + » exige de nouveau l’arrêt du chantier de Sainte-Soline et un moratoire sur l’ensemble des autres méga-bassines en projet. Le gouvernement, aux abois, agite l'épouvantail grotesque de l'éco-terrorisme mais c'est bien lui qui appuie et finance aujourd'hui des crimes contre l'eau et les terres. S'il persiste à passer en force et à imposer des dispositifs d’accaparement de l’eau pour un modèle agro-industriel toxique, une nouvelle date de mobilisation nationale et de désobéissance civile sera annoncée d’ici 15 jours. Nous montrerons une nouvelle fois s'il le faut que ces dispositifs sont atteignables et qu'au vu de l'urgence climatique, les arrêtés préfectoraux et autres montées de fièvre répressives ne peuvent plus arrêter les défenseurs.euses de l'eau.

Nous appelons à maintenir une #solidarité très forte avec nos camarades placé.es en contrôle judiciaire après un premier passage au tribunal aujourd'hui et avec les blessé.es lors de la manifestation de samedi et attendu.es par la #police à la sortie de l'hôpital. Nous remercions infiniment toutes celles et ceux qui ont rendu cette nouvelle étape possible, bravé les interdictions pour amener la logistique, les cantines, la fête et les outils de manifestation, qui se sont mis.es en jeu de façon aussi renversante sur les terres rouge de Sainte-Soline. Nous nous retrouverons plus nombreux.ses encore à l'avenir !

No Bassaran !

Bassines Non Merci et les Soulèvements de la Terre.

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#Eau #Communs #écologie #Sainte-Soline #Mega-Bassines #Agro-Industrie

💧 Deux-Sèvres : sécheresse et restrictions d’eau sur les terres des méga-bassines

Absurdistan écologique : après avoir réprimé un mouvement de défense de l’eau, les autorités restreignent son usage

Il y a un monde qui se meurt ici et maintenant, sous nos yeux, conséquence dramatique de la course effrénée d’une petite caste de privilégiés pour maximiser leurs profits. Ils sont en guerre contre le vivant. Les images que nous avons vu ce week-end à Sainte-Soline, dans le département des #Deux-Sèvres, en sont un sinistre exemple.

L’État a concentré des moyens répressifs ahurissants pour protéger un trou destiné à concentrer des centaines de milliers de mètres cubes d’eau pompée directement dans les nappes phréatiques, pour 12 #agriculteurs-productivistes. Les gendarmes mobiles étaient prêts à tuer pour défendre cette plaie béante et hostile. Plus de 2000 grenades ont été tirées lors de la #manifestation du samedi.

Les méga-bassines sont construites pour soutenir une #agriculture d’un autre âge : intensive, polluante, gourmande en eau, destinée au bétail. Des cultures de céréales inadaptées à la région, notamment les plantations de maïs bourrées d’intrants et de pesticides. À l’heure de l’ #effondrement de la #biodiversité et après des épisodes de #sécheresses à répétition, ces cultures sont des non-sens écologiques.

Parlons sécheresse justement. Le manque d’eau et de précipitations ne sont pas le fruit d’un délire collectif partagé par quelques paysans “hurluberlus” et d’une minorité d’écologistes “radicaux”. Ces phénomènes sont bien réels. Les sécheresses se succèdent et sont de plus en plus intenses. Le niveau des eaux de surface et des nappes est extrêmement bas.

Avec le réchauffement climatique ces épisodes sont amenés à se répéter. Nous sommes au mois de novembre, les températures ont avoisiné les 30⁰C ce week-end par endroit et les pluies sont très faibles pour les mois de ce début d’automne 2022, alors que c’est normalement la saison où les réserves d’eau doivent se remplir. La situation hydrologique sur certains territoires est inquiétante.

Exemple saisissant ce 1er Novembre dans les Deux-Sèvres, sur la terre des méga-bassines : la préfecture annonce la prorogation des restrictions sur les usages de l’eau sur l’ensemble du département. Dans un article, Le courrier de l’ouest précise : “La situation hydrologique des nappes et des cours d’eau reste précaire et nettement en-dessous des conditions normales pour la saison. Il apparaît nécessaire de proroger certaines mesures de restrictions des usages de l’eau au-delà du mardi 1er novembre. Ces mesures de restrictions s’appliquent pour les usages publics ou privés et quelle que soit la ressource (eaux superficielles, eaux souterraines et adduction d’eau potable) à compter du mardi 1er novembre et sur l’ensemble du département des Deux-Sèvres. Compte tenu des conditions météorologiques actuelles et de l’évolution de la situation hydrologique dans le département, chacun est invité à adopter des comportements économes en eau pour tous les usages de l’eau.”

Vous l’avez donc compris : au lendemain de la mobilisation à Sainte-Soline, la préfète annonce de nouvelles restrictions en eau sur le territoire. Les nappes et les cours d’eau sont quasiment à sec en pleine saison automnale, à tel point que des arrêtés de restriction tombent en octobre, mais l’État veut autoriser les #agro-industriels à pomper la flotte des nappes pour remplir leurs méga-bassines.

Seulement, de l’eau, il n’y en a plus ou pas assez. Ces projets de méga-bassines sont sensées réduire un problème grave sur du très court terme, sans se soucier des conséquences. Ils sont absurdes et nuisibles pour les #paysans et le #vivant. Leur arrêt total doit devenir notre seule boussole.

Source : https://www.ouest-france.fr/nouvelle-aquitaine/deux-sevres/restriction-des-usages-de-l-eau-pour-les-professionnels-et-les-particuliers-en-deux-sevres-289bdf50-5928-11ed-a722-27cc128a3cb2

et a Demain !

fiel@diaspora-fr.org

#communs

#Vie #Eaux #Repression #Préventive #agriculture #agro-industrie #gouvernement #Etat #démocrature #pré-fascisme #post-Démocratie ..... #écologie #environnement #climat

🔴 Tribune : 200 personnalités protestent contre les interdictions de manifester à Sainte-Soline

La préfecture des Deux-Sèvres crée les conditions d’un trouble majeur à l’ordre public !"

Alors que la crise écologique s’approfondit et que la bataille de l’eau est engagée, les autorités françaises prétendent interdire la mobilisation prévu à partir de ce soir dans les #Deux-Sèvres contre les #mégabassines. Soyons des milliers à nous rendre à #Sainte-Soline vendredi, samedi et dimanche. En attendant, une tribune contre l’attitude irresponsable du préfet :

“Voilà des années maintenant que les habitant.e.s du #Marais-Poitevin, des Deux-Sèvres, que les #riverain.e.s de la Charente et du #Clain tirent le signal d’alarme face à un long et systématique processus d’accaparement de la ressource en #eau par une poignée d’entrepreneurs de l’agro-industrie. Elles et ils se sont mobilisé-es sans relâche pour informer, mobiliser, les élu.e.s, les agricultrices et agriculteurs, les associations, les simples riverains et habitantes contre les protocoles d’accord autorisant la construction de dizaines de réserves d’eau géantes à ciel ouvert, dans des zones déjà partiellement ravagées par les pratiques agricoles industrielles, et fortement impactées par les effets du réchauffement.

Personne aujourd’hui ne peut faire mine de ne pas savoir de quoi il retourne. Un certain modèle agricole, hyper- #industrialisé, porté sans relâche par cette coalition d’intérêts privés qu’est la #FNSEA, appuyé par le lobby #agro-alimentaire et légitimé par l’État est en train de parachever son entreprise de #destruction au nom même de l’adaptation au changement climatique.

Là où toute personne un peu sensée devrait saluer le courage et l’opiniâtreté de ces habitant.e.s qui mènent pour nous, sur le terrain, ces batailles exemplaires, l’État prend activement la défense de l’agro-industrie en finançant et protégeant ces infrastructures. C’est ce débat public informé, qui n’a jamais pu avoir lieu, que les collectifs Bassines non Merci, appuyés par près de 150 collectifs et organisations, viennent chercher ces samedi et dimanche 29 et 30 octobre dans le bourg de Sainte Soline, dans le pays Mellois.

La réponse de la préfecture des Deux-Sèvres, qui a poussé au lancement rapide des travaux, n’a jamais varié. Interdiction d’approcher les sites lors de toutes les manifestations précédentes, pressions multiples contres les habitant.e.s mobilisées au sein des collectifs Bassines Non Merci, de la Confédération Paysanne ou des Soulèvements de la Terre, convocations et placements en garde-à-vue des militant.e.s les plus en vue, dispositifs policiers disproportionnés pour dissuader toute forme de mobilisation. Dès ce mardi matin 25 octobre, le lendemain du dépôt de la déclaration de manifestation par des organisations syndicales signataires, la préfète a dégainé pas moins de cinq arrêtés prétendant interdire tout rassemblement sur un périmètre couvrant 10 communes du pays Mellois et un autre portant les mêmes interdictions sur un large périmètre à proximité de la bassine de Mauzé sur le Mignon, contre laquelle de précédentes manifestations s’étaient tenues en septembre et novembre 2021, ainsi qu’en mars 2022. Un référé liberté va être déposé contre ces arrêtés par la CGT et Solidaires (qui portaient la déclaration de manifestation).

Alors que les machines travaillent jours et nuits depuis 3 semaines à arracher la terre végétale, à damer le sol, à creuser les tranchées de la future méga-bassine de 16 hectares de Sainte Soline, une nouvelle mobilisation massive s’organise depuis partout en France. Ce sont des milliers de personnes qui s’apprêtent à converger sur le site pour exercer leur droit fondamental de manifester et leur opposition à un tel projet, financé
à plus de 70 % par de l’argent public. Au moment où nous écrivons ces lignes, un campement vient d’être installé à proximité, sur un terrain privé à l’invitation de l’agriculteur propriétaire, par des habitant.e.s mobilisé.e.s sur le secteur pour préparer l’accueil des manifestant.e.s.

En s’obstinant de cette manière à essayer, en vain, d’étouffer une mobilisation légitime, la préfecture et les services de l’État produisent les conditions d’un trouble à l’ordre public majeur. En effet en privant les manifestant.e.s d’un point d’accès légal au site, en suspendant localement leur droit fondamental à protester à proximité d’un chantier public au service d’intérêts privés, la préfecture des Deux-Sèvres empêche aussi la mise en place d’infrastructures permettant un accueil décent des manifestant.e.s et des conditions du bon déroulement d’une manifestation qui se veut populaire, festive et déterminée.

Par cette tribune nous signifions notre entier soutien aux collectifs et organisations signataires de l’appel à mobilisation et ré-affirmons la primauté de la #liberté fondamentale de #manifester. La #lutte contre l’accaparement de la ressource en eau est une cause plus que jamais légitime. Au vu de la dégradation constante des conditions climatiques et des ressources en eau souterraines après plusieurs années de sécheresse inédites, elle est un mouvement vital auquel toutes et tous devraient pouvoir prendre part sans crainte d’en être empêchées par un État supposé garant de l’intérêt général.”

Signataires
Nadege Abomangoli – députée NUPES FI
Laurent Alexandre – député NUPES FI
Julie Alix, professeure de droit pénal à l’Université Paris Nanterre.
Gabriel Amard – député NUPES FI
Etienne Ambroselli, avocat au barreau de Paris
Ségolène Amiot – députée NUPES FI
Farida Amrani – députée NUPES FI
Rodrigon Arenas – député NUPES FI
Guillaume Arnaud, avocat au barreau de Bobigny
Rémi Astruc, Enseignant-chercheur à Cergy
Manon Aubry – députée européenne LFI et co-presidente du groupe de la Gauche au Parlement européen.
Hervé Auguin – co-délégué Solidaires 79
Clémentine Autain – députée NUPES FI
Evelyne Auzuret – Adjointe à la Maire de La Crèche
Léa Ballage – secrétaire nationale adjointe d’EELV
David Baranger – élu à la ville de La Crèche
Antonin Bastière – élu à la cfvu de la fac de Poitiers, syndicat étudiant ” l’alternative étudiante de Poitiers”
Vital Baude – Conseiller Régional EELV Nouvelle Aquitaine
Alexis Baudelin – Avocat au barreau de Paris
Oulematou Ba-Tal, adjointe à la ville de Tours
Alice Becker, avocate au barreau de Paris
Anne-Laure Bedu – Conseillere Régionale EELV Nouvelle AquitaineLisa Belluco – députée de la Vienne
Ugo Bernalicis – député NUPES FI
Christophe Bex – député NUPES FI
Carlos Martens Bilongo – député NUPES FI
Benoit Biteau – député européen
Jean-François Blanco – Conseiller Régional EELV Nouvelle Aquitaine
Manuel Bompard – député NUPES FI
Mattéo Bonaglia, avocat au barreau de Paris
Emilie Bonvarlet, avocate au barreau de Paris
Coline Bouillon, avocate au barreau de Créteil
Christophe Boulanger, conseiller métropolitain EELV Tours Métropole
Idir Boumertit – député NUPES FI
Katia Bourdin – Conseillere Régionale EELV Nouvelle Aquitaine
Louis Boyard – député NUPES FI
Sophie Bussière – Conseillere Régionale EELV Nouvelle Aquitaine
Chloé Chalot – avocate au barreau de Rouen
Isabelle Chauvin – conseillère municipale, Vitrolles (13) et syndicaliste
Damien Careme – député européen
Aymeric Caron – député NUPES FI
Sylvain Carrière – député NUPES FI
Leila Chaibi – députée du parlement européen
Cyrielle Châtelain – députée de l’Isère, présidente du groupe écologiste à l’Assemblée Nationale
Florian Chauche – député NUPES FI
Sophia Chikirou – députée NUPES FI
Hadrien Clouet – député NUPES FI
Maryse Combre – Conseillere Régionale EELV Nouvelle Aquitaine
Eric Coquerel – député NUPES FI
Alexis Corbière – député NUPES FI
David Cormand – député européen
Jean-François Coulomme – député NUPES FI
Françoise Coutant – Conseillere Régionale EELV Nouvelle Aquitaine
Jérémie Crépel – secrétaire nationale adjoint d’EELV
Catherine Couturier – députée NUPES FI
Didier Damestoy – Conseiller Régional EELV Nouvelle Aquitaine
Hendrik Davi – député NUPES FI
Chrystelle Dechâtre – co-déléguée Solidaires 79
Gwendoline Delbos-Corfield – députée européenne (EELV)
Karima Delli- députée européenne
Sébastien Delogu – député NUPES FI
Emmanuel Denis – maire de Tours
Amandine Dewaele- Conseillere Régionale EELV Nouvelle Aquitaine
Karfa Diallo – Conseiller Régional EELV Nouvelle Aquitaine
Thomas Dossus – Sénateur
Vincent Drezet – porte parole d’Attac
Alma Dufour – députée NUPES FI
Simon Duteil – co-délégué Solidaires National
Karen Erodi – députée NUPES FI
Martine Etienne – députée NUPES FI
Sophie Favriou – Adjointe à la Maire de La Crèche
Raphaëlle Feillant – Eco Avenir 79
Emmanuel Fernandes – député NUPES FI
Sylvie Ferrer – députée NUPES FI
Caroline Fiat – députée NUPES FI
Maryline Forgeneuf – Conseillere Régionale EELV Nouvelle Aquitaine
Elsa Fortage, élue municipale à Niort
Sebastien Fortin, conseiller délégué à la Maire de La Crèche
Charles Fournier – Deputé d’Indre-et-Loire NUPES-EELV
Pascal Fuzat – co-secrétaire départemental FSU 79
Perceval Gaillard – député NUPES FI
Nicolas Gamache – Conseiller Régional EELV Nouvelle Aquitaine
Raquel Garrido – députée NUPES FI
François Gibert – Elu municipal et communautaire Niort EELV
Nicolas Girod – Porte parole de la Confédération Paysanne Nationale
Christine Graval – Conseillere Régionale EELV Nouvelle Aquitaine
Florestan Groult – conseiller de la métropole de Lyon
Claude Gruffat – député européen
Cathy Garreau – conseillère déléguée à la Maire de La Crèche
Clémence Guétté – députée NUPES FI
Murielle Guilbert Co-déléguée Solidaires National
Sébastien Guillon – Adjoint à la Maire de La Crèche
Elodie Guillot-Bozier – élue à la ville de La Crèche
Romain Guillot – Président Eco Avenir
David Guiraud – député NUPES FI
Betsabée Haas – Conseillère régionale Centre- Val de Loire
Anis Harabi, avocat au barreau de Paris
Hélène Hardy – conseillère fédérale d’Europe Ecologie-Les Verts
Julien Hémon – UD CGT 86
Patrick Henriot – Magistrat honoraire
Catherine Hervieu, vice-présidente de Dijon Métropole, présidente de la FEVE
Mathilde Hignet – députée NUPES FI
Pierre Huriet, avocat au barreau de Nantes
Yannick Jadot – député européen et ex-candidat à l’élection présidentielle
Yann Jezequel – Elu municipal et communautaire Niort LFI
Raphaël Kempf, avocat au barreau de Paris
Rachel Keke – députée NUPES FI
Andy Kerbrat – député NUPES FI
Bastien Lachaud – député NUPES FI
Julie Laernoes – députée de Loire-Atlantique
Maxime Laisney – député NUPES FI
Sabine Lalande, conseillère régionale Pays-de-la-Loire – LFI Nupes
Arnaud Legall – député NUPES FI
Antoine Léaument – député NUPES FI
Elise Leboucher – députée NUPES FI
Charlotte Leduc – députée NUPES FI
Jérôme Legavre – député NUPES FI
Sarah Legrain – députée NUPES FI
Muriel Lepvraud – députée NUPES FI
Yannick Maillou – vice président de la communauté de communes du Haut Val de Sevre
Noel Mamère – écologiste
Zoé Maraval – MJC 86
Elisa Martin – députée NUPES FI
Pascale Martin – députée NUPES FI
William Martinet – député NUPES FI
Frédéric Mathieu – député NUPES FI
Lucile Mathieu – conseillère déléguée à la Maire de La Crèche
Damien Maudet – député NUPES FI
Marianne Maximi – députée NUPES FI
Marina Mesure, députée européenne LFI-NUPES
Manon Meunier – députée NUPES FI
Servane Meyniard – avocate au barreau de Paris
Laurence Motoman – Conseillere Régionale EELV Nouvelle Aquitaine
Léonore Moncond’huy – Maire de Poitiers
Jean-Philippe Nilor – député NUPES FI
Danièle Obono – députée NUPES FI
Younous Omarjee – député au parlement européen
Karine Olivier secrétaire générale CGT CD79 ou co secrétaire du PG79
Nathalie Oziol – députée NUPES FI
Jean-Louis Pagès – Conseiller Régional EELV Nouvelle Aquitaine
Lydie Palpacuer – co-secrétaire départemental FSU 79
Mathilde Panot – députée NUPES FI
Aïnoha Pascual – avocate au barreau de Paris
Francesca Pasquini – députée des Hauts-de-Seine
Marylène PATOU-MATHI – préhistorienne, Directrice de recherche au CNRS,rattachée au département Préhistoire du Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Karine Parrot – Professeure de droit à l’Université de Cergy-Pontoise
Anne-Sophie PELLETIER – Députée européenne – Délégation France insoumise
Guillaume Pellerin – Responsable R&D à l’IRCAM
Thierry Perreau – Conseiller Régional EELV Nouvelle Aquitaine
Eric Piolle – maire de Grenoble
François Piquemal – député NUPES FI
Robbin Plantet – Eco Avenir 86
Marie Pochon – Députée de la Drôme NUPES-EELV
Raymonde Poncet – sénatrice du Rhone
Thomas Portes – député NUPES FI
Christine Poupin – porte parole du NPA
Philippe Poutou pour le NPA
Loïc Prud’homme – député NUPES FI
Adrien Quatennens – député NUPES FI
Hanna Rajbenbach – Avocate au barreau de Paris
Jean-Hugues Ratenon – député NUPES FI
Jean Claude Raux – Député de loire-Atlantique
Sandra Regol – députée du Bas-Rhin
Michèle Rivasi – députée européenne
Sébastien Rome – député NUPES FI
Caroline Roose – députée européenne
Sandrine Rousseau – députée de Paris
Muriel Ruef, avocate au barreau de Paris
François Ruffin – député NUPES FI
Chloé Sagaspé – porte parole d’EELV
Aurélien Saintoul – député NUPES FI
Michel Sala – député NUPES FI
Eva Sas – députée de Paris
Mounir Satouri – député européen
Xavier Sauvignet, avocat au barreau de Paris
Claire Schweitzer – Conseillère régionale des Pays-de-la-Loire et conseillère municipale Angers
Annaelle Schaller – adjointe au maire de Tours, déléguée à la Démocratie permanente
Sabrina Sebaihi – députée des Hauts-de-Seine
Christopher Sébaoun (Conseiller à la Ville de Tours, délégué à la Loire et au Cher, à la préservation du patrimoine fluvial et des ressources aquifères)
Christine Seguineau – Conseillere Régionale EELV Nouvelle Aquitaine
Danielle Simonet – députée NUPES FI
Serge Slama, Professeur de droit à l’Université de Grenoble
Ersilia Soudais – députée NUPES FI
Bénédicte Taurine – députée NUPES FI
Andrée Taurinya – députée NUPES FI
Matthias Tavel – député NUPES FI
Benoît Teste – secrétaire général de la FSU
Nicolas Thierry – Conseiller Régional EELV Nouvelle Aquitaine et député de Gironde
Marine Tondelier – élue d’opposition au conseil municipal d’Hénin-Beaumont
Yohan Touret – élu à la ville de La Crèche
Marie Toussaint – Élue au parlement européen
Stephane Trifiletti – Conseiller Régional EELV Nouvelle Aquitaine
Aurélie Trouvé – députée NUPES FI
Camille Vannier – avocate au Barreau de Bobigny
Paul Vannier – député NUPES FI
Sophie Wahnich – historienne, directrice de recherche au CNRS
Léo Walter – député NUPES FI
Samuel Delalande – Avocat

fiel@diaspora-fr.org

#Mega-Bassine #eaux #agro-industrie

Pas une bassine de plus !

C’est parti ! Ils tentent de passer en force. Les travaux de la mégabassine de Sainte-Soline (79) ont commencé. Le compte à rebours a démarré jusqu’à la mégamanif du 29/30 octobre pour les arrêter ! Nous vous invitons à relayer cet appel dès aujourd’hui partout et dans vos divers réseaux, à le cosigner avec avec vos orgas et collectifs, à organiser des soirées de mobilisation chez vous, à nous demander des tracts et affiches ! Tous/toutes à Sainte-Soline. No Bassaran !

Pas une bassine de plus !
Les 29/30 octobre 2022, stoppons le chantier de Sainte-Soline (79)
Grande manifestation, rendez-vous samedi 29, 10 heures

...
Des soirées de mobilisation, bus et covoiturages s’organisent aux quatre coins du pays et au-delà. Vous pouvez y contribuer ! Pour les covoiturages : https://www.mobicoop.fr/covoiturages-evenements/1904/Pas-une-bassine-de-plus

P.-S.
D’autres info : https://lessoulevementsdelaterre.org/
https://www.facebook.com/bassine.no...

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Appel à rejoindre la 4e saison des Soulèvements de la Terre

En une année et demi, les Soulèvements de la Terre sont déjà venus à bout de trois saisons. Voici l’annonce de la 4e, si ce n’est pas encore un programme, c’est déjà une invitation : « Nous nous situons à une première étape de la constitution d’un front de résistance au désastre et de reprise en main de nos moyens d’existence. »
lire la suite sur "lundi.am"

#soulèvementdelaterre #actionDirect #environnement #écologie #Climat #artificialisationdesterres #Terre #agro-industrie

fiel@diaspora-fr.org
Reporterre #Bretagne #Enquête #Pollutions #Agro-industrie #porcherie #souffrance-animal

En Bretagne, une porcherie géante s’impose à coups de passe-droits

Dans le #Finistère, l’une des plus grandes porcheries de France pourrait bientôt régulariser son agrandissement. Mais, révèle Splann !, les conclusions de l’enquête publique censées guider le choix des autorités apparaissent largement biaisées.

lire l'article complet : https://reporterre.net/En-Bretagne-une-porcherie-geante-s-impose-a-coups-de-passe-droits

fiel@diaspora-fr.org

#Bretagne

#Action expresse pour les #Animaux ( #Morbihan, 56)

À l’heure où vous lisez ces lignes, des #bénévoles #L214 #manifestent devant l’ #abattoir de #Saint-Jean-Brévelay (56), également siège de la Société bretonne de #volaille. La #SBV rassemble les activités du géant #LDC en Bretagne.

Les #revendications sont claires : la SBV doit abandonner les pires pratiques d’ #élevage et d' #abattage des #poulets ! En effet, la filiale et sa maison-mère ne se sont toujours pas engagées à respecter les critères du European Chicken Commitment (ECC). C’est un comble, quand on sait que le leader de la “volaille” en #France met à mort plus de 300 millions d’animaux chaque année.

Même à distance, donnez de la force au mouvement ! ✊ comment : lire la suite de l'article

le groupe LDC détient entre autres les marques Le Gaulois, Marie et Maître CoQ.
Entrer une description pour l'image ici

#souffranceAnimal #agro-industrie #agriculture-intensive

emmanuels@framasphere.org

S'il n'y avait qu'une seule pétition à signer sur toute l'année…

…voire toute la décennie…

Parce que je pense que c'est le plus risque ayant jamais été imaginé contre le monde du vivant (non seulement nos cultures, nos jardins, nos animaux, mais aussi l'ensemble de la nature sauvage, dont l'existence même sera dirigée par les firmes, grâce au génie génétique qui décidera quel organisme existe ou n'existe plus, et lequel fera quoi, à quel endroit et de quelle manière), pourriez-vous la transmettre à tous vos contacts, s'il vous plaît ?

N'hésitez pas à copier-coller mon texte, pour pouvoir ajouter des #hashtags ou #croisillons que j'aurais oubliés.

https://action.pollinis.org/go/20568

#biodiversité #forçage-génétique #pollinis #effondrement #totalitarisme #génie-génétique #génétique #industrie #agro-industrie #chimie #pesticides #liberté #avenir #jardinage #abeilles #nature #écosystèmes #lobbying #lobby #jardin #agriculture #ogm #alimentation-bio #demeter #nature-et-progrès #biocoop #éthologie #vie #