#extermination

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Saviez-vous que les parcs naturels sont basés sur un mythe ?
Les premiers #ParcsNaturels du monde ont été créés aux #États-Unis au 19e siècle dans des territoires autochtones, en expulsant les peuples #autochtones et sous l'idée fausse qu'il s'agissait d'espaces "sauvages" et "vides". Le parc de #Yellowstone, par exemple, était situé dans une région où plusieurs groupes autochtones ont vécu ensemble pendant 11 000 ans. Aujourd'hui, 27 peuples autochtones des États-Unis ont des liens historiques avec ce territoire uniquement ouvert au tourisme.
L'apparente "nature sauvage" de Yellowstone était en fait le résultat d'une stratégie étatique visant à réorganiser les terres conquises en Amérique du Nord, en séparant les peuples autochtones de la #nature, physiquement et épistémologiquement.
Après 150 ans, ce mythe continue de justifier les expulsions violentes des #PeuplesAutochtones de leurs terres au nom de la conservation de la nature.
Il est temps de décoloniser la conservation de la nature. #DecolonizeConservation

#Histoire #civilisation #extermination
https://svlint.org/decoloniser.

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#news #Palestine #Israël #guerre #massacre #guérilla #extermination #vengeance #représailles #espoir #mytex #mywork #désespoir #injustice #hypocrisie #cynisme

Si l’oppression, l’injustice, les massacres n’ont pas de frontière, que dire de l’hypocrisie et du cynisme. C’est une évidence, comme le disait Aragon : « Que le sang sèche vite en rentrant dans l’histoire ! » Une guerre, un massacre après l’autre, les condamnations, les exigences, les réprobations et les lamentations officielles entérinées, les victimes enterrées. Le bilan des pertes établi. Les ennemis désarmés, jugés pour crime de guerre, crime contre l’humanité, génocide…La paix et la réconciliation, jusqu’au siècle dernier, clôturaient, pour un certain temps les hostilités. La tradition respectée on pouvait passer à autre chose, construire entre autre des mausolées. Aujourd’hui malgré la « dissuasion atomique », les exigences des instances internationales, les requêtes des ONG, les condamnations de l’opinion publique, les combats s’enlisent dans une guérilla permanente, les populations subissent, l’horreur succède à l’horreur. Face aux multiples bellicistes engagés et aux implications diverses et souvent sordides, les peuples s’insurgent, mais sont-ils entendus ? Sont-ils pris en compte ? Ont-ils une quelconque importance face à l’hégémonie d’intérêts contradictoires ? Que faire après ces constatations désespérantes ? Ajouter mon indignation aux autres ? Je suis du bon côté, celui de la démocratie, je peux «normalement» manifester…pétitionner, parler, écrire, échanger…voter. Cela a t’il eu un résultat probant sur l’étendue du désastre ? Le découragement, l’impuissance, je n’ose dire la lassitude m’accablent…et après… Poussé à l’extrême jusqu’à quel point puis-je m’accoutumer et vivre avec l’inacceptable, l’ignominie à ma porte, quand même l’espoir devient indécent ?
Mireille MOUTTE

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #Palestine #Israël #guerre #massacre #guérilla #extermination #vengeance #représailles #espoir #mytex #mywork #désespoir #injustice #hypocrisie #cynisme

Si l’oppression, l’injustice, les massacres n’ont pas de frontière, que dire de l’hypocrisie et du cynisme. C’est une évidence, comme le disait Aragon : « Que le sang sèche vite en rentrant dans l’histoire ! » Une guerre, un massacre après l’autre, les condamnations, les exigences, les réprobations et les lamentations officielles entérinées, les victimes enterrées. Le bilan des pertes établi. Les ennemis désarmés, jugés pour crime de guerre, crime contre l’humanité, génocide…La paix et la réconciliation, jusqu’au siècle dernier, clôturaient, pour un certain temps les hostilités. La tradition respectée on pouvait passer à autre chose, construire entre autre des mausolées. Aujourd’hui malgré la « dissuasion atomique », les exigences des instances internationales, les requêtes des ONG, les condamnations de l’opinion publique, les combats s’enlisent dans une guérilla permanente, les populations subissent, l’horreur succède à l’horreur. Face aux multiples bellicistes engagés et aux implications diverses et souvent sordides, les peuples s’insurgent, mais sont-ils entendus ? Sont-ils pris en compte ? Ont-ils une quelconque importance face à l’hégémonie d’intérêts contradictoires ? Que faire après ces constatations désespérantes ? Ajouter mon indignation aux autres ? Je suis du bon côté, celui de la démocratie, je peux «normalement» manifester…pétitionner, parler, écrire, échanger…voter. Cela a t’il eu un résultat probant sur l’étendue du désastre ? Le découragement, l’impuissance, je n’ose dire la lassitude m’accablent…et après… Poussé à l’extrême jusqu’à quel point puis-je m’accoutumer et vivre avec l’inacceptable, l’ignominie à ma porte, quand même l’espoir devient indécent ?
Mireille MOUTTE

libramoon@diaspora.glasswings.com

https://www.nationofchange.org/2023/10/10/israels-9-11-is-a-slogan-to-rationalize-open-ended-killing-of-palestinian-civilians/

‘Israel’s 9/11’ is a slogan to rationalize open-ended killing of Palestinian civilians
By Norman Solomon -October 10, 2023

..."What is very sinister about trumpeting “Israel’s 9/11” is what happened after America’s 9/11. Wearing the shroud of victim, the United States proceeded to use the horrible tragedy suffered inside its own borders as a license to kill vast numbers of people in the name of #retaliation, righteousness and, of course, the “war on terror.”

It’s a playbook that the government of Benjamin #Netanyahu is currently adapting and implementing with a vengeance. Now underway, Israel’s collective punishment of 2.3 million people in #Gaza is an intensification of what #Israel has been doing to #Palestinians for decades. But Israel’s extremism, more than ever touting itself as a matter of self-defense, is at new racist depths of willingness to treat human beings as suitable for #extermination.

On Monday, Israel’s Defense Minister Yoav Gallant described Palestinians as “beastly people” and said: “We are fighting animals and are acting accordingly.”

Indiscriminate bombing is now happening along with a cutoff of food, water, electricity and fuel. Noting that “even before the latest restrictions, residents of Gaza already faced widespread food insecurity, restrictions on movement and water shortages,” the BBC reported that a UN official said people in Gaza “were ‘terrified’ by the current situation and worried for their safety—as well as that of their children and families.”
...
Absent from the New York Times home page Monday night and relegated to page 9 of the newspaper’s print edition on Tuesday, a grisly news story began this way: “Israeli airstrikes pounded Gaza on Monday, flattening mosques over the heads of worshipers, wiping away a busy marketplace full of shoppers and killing entire families, witnesses and authorities in Gaza said. Five Israeli airstrikes ripped through the marketplace in the Jabaliya refugee camp, reducing it to rubble and killing dozens, the authorities said. Other strikes hit four mosques in the Shati refugee camp and killed people worshiping inside, they said. Witnesses said boys had been playing soccer outside one of the mosques when it was struck.”

Along with releasing a statement about the latest tragic turn of events, at RootsAction.org we’ve offered supporters of a just peace a quick way to email their members of Congress and President Biden. The gist of the message is that “the horrific cycle of violence in the Middle East will not end until the Israeli occupation ends—and a huge obstacle to ending the occupation has been the U.S. government.”

entreleslignesentrelesmots@diaspora-fr.org

Auschwitz

Malheur à celui qui survivra au récit de notre mort
Ils ont confisqué le pouvoir de nos doigts,
Éteint la lumière de nos regards.
Puis ils nous ont poussés jusqu’à une porte noire
Et laissés là avec le vent pour écharpe.
Nous avons grandi à Auschwitz, dans la cendre des chevelures calcinées.
Nous avons été brûlés, mais nous n’avons pas brûlé.
Fouillant la terre de nos dents, nous sommes parvenus jusqu’à nos racines.
La terre ne nous a pas avalés, les eaux ne nous ont pas emportés.
Entre la braise et le cri, nous avons apprivoisé l’enfer.
Abolissant en nous le temps, nous avons redonné vie à nos ombres.
Plutôt que des crimes, nous nous souvenons de l’amour.
Et lorsque nous prenons une poignée de cendre fraîche,
Nous voyons encore en elle le feu noir,
Ou nous nous disons en secret que nous pourrions le voir.
Rajko Djurič, La littérature des Rroms, Sinte et Kalés, Paris, Inalco, 2007, traduction de Marcel Courthiade

https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2023/06/15/auschwitz/

#international #rrom #extermination