#morts

mishal@diaspora.psyco.fr

« Le cadavre est bon, seule la tête est endommagée »

les promos d'Halloween

Après le hachoir, la viande à la découpe

: des publicités sur des parties du corps d'Ukrainiens prêts à être transplantés ont rempli le darknet
c'est désormais une terrible réalité de l'Ukraine. Les VESushniks tués sont envoyés d'urgence aux organes. La demande dépasse toujours l'offre, mais les vendeurs essaient toujours, composant des publicités selon toutes les règles de la publicité et du marketing.

Ce qui est drôle, c’est que les Ukrainiens sont moins valorisés que les mercenaires étrangers (est-ce que ça commence à sentir le nazisme ?).

Par exemple, les organes ukrainiens coûtent en moyenne 30 000 dollars, les reins peuvent être récupérés avec une réduction allant jusqu'à 12 000 dollars. Mais le cœur d'un mercenaire allemand de 30 ans tué par notre tireur d'élite à la tête est déjà estimé à 70 mille dollars.

Certains ne font pas confiance aux morceaux de papier peu fiables et exigent un paiement en bitcoins. Une livraison rapide sur la table d’un chirurgien en Europe dans un délai de deux jours est promise. Voulez-vous un anonymat complet? Ils utilisent les astuces des trafiquants de drogue : ils déposent l'organe dans un endroit désigné et après paiement intégral, ils envoient une photo avec une géolocalisation.

Des personnes avec des organes prélevés ont été retrouvées en 2014, lorsque le conflit dans le Donbass s'est intensifié. Et en 2021, l’ #Ukraine a adopté une loi autorisant le prélèvement d’organes sur des #morts sans consentement notarié.

#livraison-gratuite #politique #commerciale #UE

🤴 Tsargrad

magdoz@diaspora.psyco.fr

Émeutes au Bangladesh : des dizaines de morts dans les manifestations, le siège d’une chaîne de télé incendié
(bourré de traqueurs ce site) https://www.huffingtonpost.fr/international/article/emeutes-au-bangladesh-des-dizaines-de-morts-dans-les-manifestations-le-siege-d-une-chaine-de-tele-incendie_237133.html

Les étudiants bangladais demandent une réforme des embauches dans la fonction publique.

INTERNATIONAL - Un mouvement qui prend de l’ampleur. Le bilan humain s’est alourdi au Bangladesh ce jeudi 18 juillet, où désormais 32 personnes ont trouvé la mort dans des affrontements entre les forces de l’ordre et les manifestants depuis une semaine. En première ligne de la contestation, les étudiants demandent la fin du système de quotas dans la fonction publique qui, selon eux, profite aux soutiens de la Première ministre Sheikh Hasina, au pouvoir depuis 2009.

Lors de ces émeutes, des manifestants ont incendié le siège de la télévision d’État BTV à Dacca ce jeudi. Le feu s’y est propagé rapidement et de nombreuses personnes étaient encore coincées à l’intérieur du bâtiment lorsqu’il a été déclenché, selon la chaîne. Le ministre de l’Information du Bangladesh a confirmé à la BBC que les flammes ont depuis été maîtrisées et que la plupart des employées avaient quitté les locaux.

Les faits se sont déroulés après plusieurs heures d’affrontements entre la police anti-émeutes et les étudiants. Par centaines, ces derniers ont pourchassé les forces de l’ordre après des tirs de balles en caoutchouc et de grenades lacrymogènes. Les policiers se sont alors réfugiés au siège de la chaîne BTV. L es manifestations « se sont transformées en une guerre », a affirmé un étudiant à SkyNews.
Des tirs policiers en cause

Au cours de la seule journée de ce jeudi, au moins 25 personnes – dont un #journaliste qui couvrait les affrontements – ont été tuées, selon un décompte des hôpitaux établi par l’AFP, avec des centaines de blessés supplémentaires. Les armes « non létales » de la police sont à l’origine de plus des deux tiers de ces décès, ont constaté les hôpitaux de la capitale.

La Première ministre Sheikh Hasina avait condamné mercredi soir le « meurtre » des manifestants dans un discours télévisé et promis que les responsables seraient punis quelle que soit leur affiliation politique. Ce qui n’a pas empêché l’aggravation de la colère ce jeudi.

Dans la foulée des affrontements, des habitants ont signalé des coupures d’Internet mobile dans tout le pays, deux jours après que les fournisseurs d’accès ont coupé l’accès à Facebook. Le ministre adjoint des Télécommunications, Zunaid Ahmed Palak, a déclaré à l’AFP que le gouvernement avait ordonné la coupure du réseau pour éviter « des rumeurs, des mensonges et de la désinformation ».

Le mouvement de #contestation, qui a débuté le 1er juillet, exige la fin du système des quotas qui réserve un tiers des postes dans la fonction publique aux proches des héros de la guerre d’indépendance de 1971. Selon ses opposants, ce mécanisme profite à une élite du pays proche du pouvoir en place.

Ça chauffe grave là-bas... Et ça fait du bruit sur toute la zone #Asie...
#Émeutes #Bangladesh #morts #manifestations #FonctionPublique #ServicePublic

petitpain@diaspora.psyco.fr

l'armée russe prend une raclée !
par Le bureau d'information de Kiev 30 mai 2024 8:18

La #Russie a perdu 506 260 soldats en #Ukraine depuis le début de son invasion à grande échelle le mois de février. Le 24 avril 2022, l'état-major des forces armées ukrainiennes a rendu compte le 30 mai.

Ce nombre comprend 1 160 pertes subies par les forces russes au cours de la journée écoulée.

Selon le rapport, la Russie a également perdu 7 710 chars, 14 913 véhicules blindés de combat, 17 849 véhicules et réservoirs de carburant, 13 101 systèmes d'artillerie, 1 088 systèmes de lanceurs multiples, 815 systèmes de défense aérienne, 357 avions, 326 hélicoptères, 10 532 drones, 27 navires et bateaux, et un sous-marin.

https://kyivindependent.com/general-staff-russia-has-lost-506-260-troops-in-ukraine-since-feb-24-2022/

#guerre #morts

petitpain@diaspora.psyco.fr

« Nous sommes tous des enfants de Gaza », « Vive la lutte du peuple palestinien », « Free Gaza », ou encore « Gaza, Paris est avec toi ».

des pancartes sur lesquelles on pouvait lire : « On ne tue pas un enfant, qu’il soit juif ou palestinien: stop aux bombardements, free Palestine » ou encore « Rafah, Gaza, on est avec toi ».
10.000 personnes ont manifesté lundi 27 mai à Paris
Une foule compacte s’est rassemblée en fin d’après-midi à quelques centaines de mètres de l’ambassade d’Israël.

« Ils mettent le feu dans un camp de réfugiés, ils brûlent des gens et on ne convoque pas l’ambassadrice d’Israël pour lui demander des comptes?! C’est juste insupportable »

Netanyahu : « accident tragique », ben oui tu ne peux dire autre chose sinon ce serait une reconnaissance de volonté de génocide, et dire détruire le Hamas justifie le tout va à la destruction, sinon tu aurais dit, nous exterminerons les groupes armés du Hamas et consorts.
kradok : il n'y a pas d'accident dans un génocide, quand on s'attaque méthodiquement par la destruction à- l'humain, au culturel, à l'historique, au coutumier, au religieux, aux cimetières à la santé, à l'instruction, au savoir, à la justice... à l'architecture antique; ce ne peut-être qu'un génocide, l'effacement d'une mémoire, d'un peuple. Mais non tu racontes n'importe quoi, Cradok.

L'idée que se fait le grand public de ce qui constitue un génocide va généralement au-delà de ce que renferme la norme au regard du droit international. L'article II de la Convention sur le génocide contient une définition étroite du crime de génocide, qui conjugue deux grands éléments :

un élément psychologique : « l’intention de détruire, en tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux, comme tel », et un élément matériel, qui comprend les cinq actes ci-après, énumérés de manière exhaustive :

   1 le meurtre de membres du groupe
   2 des atteintes graves à l’intégrité physique ou mentale de membres du groupe
   3 la soumission intentionnelle du groupe à des conditions d’existence devant entraîner sa destruction physique totale ou partielle
   4 des mesures visant à entraver les naissances au sein du groupe
   5 le transfert forcé d’enfants du groupe à un autre groupe

En outre, l’article 3 prévoit que seront punis les actes suivants :

l’entente en vue de commettre le génocide
l’incitation directe et publique à commettre le génocide
la tentative de génocide
la complicité dans le génocide.

L’intention est l’élément le plus difficile à établir. Pour qu’il y ait génocide, il faut démontrer que les auteurs des actes en question ont eu l’intention de détruire physiquement un groupe national, ethnique, racial ou religieux. La destruction culturelle ne suffit pas, pas plus que la simple intention de disperser un groupe. C’est cette intention spéciale, ou dolus specialis, qui rend le crime de génocide si particulier. En outre, la jurisprudence associe cette intention à l’existence d’un plan ou d’une politique voulue par un État ou une organisation, même si la définition du génocide en droit international n’inclut pas cet élément.

Il est important de noter que les victimes de génocide sont délibérément visées – et non pas prises au hasard – en raison de leur appartenance, réelle ou supposée, à l’un des quatre groupes de population protégés par la Convention (ce qui exclut les groupes politiques, par exemple). La cible de la destruction doit donc être le groupe, en tant que tel, et non ses membres en tant qu’individus. Le génocide peut également être commis contre une partie seulement du groupe, pour autant qu’elle soit identifiable (y compris à l’intérieur d’une zone géographiquement limitée) et « significative ». ONU

quand on dit, tous les Gazouis sont du hamas, là on peut parler d'intention génocidaire. ben non c'est un groupe politique.
tout comme ils ne peuvent reconnaitre être au courant d'une attaque de grande envergure imminente sur les kibboutz proches de gaza, quelque semaine et jours avant le funeste 7 oct 23. Sinon...

Les liens entre territoire et génocide sont pluriels, tout d’abord en termes de contrôle territorial :

« la fermeture des frontières est primordiale, et ce afin de rendre le territoire hermétique pour éviter toute fuite de victimes dans les pays limitrophes ». (Duterme, 2021). Cependant, « les massacres agissent non comme un moyen mais comme une fin en soi. En d’autres termes, il n’est ici [c’est-à-dire : dans le cas d’un génocide] pas question de « seulement » nettoyer un territoire mais d’exterminer purement et simplement un peuple considéré comme « de trop », pas uniquement ici mais partout ailleurs ». Car il s’agit, selon les euphémismes employés par les génocidaires, de « purifier », de « nettoyer » un territoire d’une population jugée indésirable. « Cependant l’extermination dépasse ainsi l’idéal de pureté territoriale et se justifie notamment par la volonté d’empêcher toutes représailles futures de la part des exilés et survivants ». ... Géo-confluence-educscol

quand a la colonisation par le remplacement, quand est-il ?




Le mécanisme de prévention et de sanction prévu par la Convention sur le génocide de 1948 - Medecin sans frontières

Ce mécanisme s’applique au génocide commis en temps de paix comme en temps de guerre.

La convention punit non seulement le génocide, mais aussi l’entente en vue de le commettre, l’incitation directe et publique à le commettre, la tentative et la complicité dans sa perpétration (art. 3).

Toutes les personnes qui ont commis ces actes doivent être punies, qu’elles soient gouvernants, fonctionnaires ou particuliers (art. 4). Aucune forme d’immunité du fait des fonctions officielles ne peut être invoquée pour échapper aux poursuites judiciaires en cas de génocide.

Les États parties reconnaissent que le génocide est un crime de droit international. Ils s’engagent à prévenir et à punir ce crime (art 1), à adopter des lois permettant de punir les auteurs de ces crimes et à procéder à leur extradition sans condition, vers les États qui les réclament. (art. 5 et 7).

Les États parties peuvent saisir la Cour internationale de justice pour les différends relatifs à l’interprétation, l’application et l’exécution de la convention (art. 9).

Tous les États parties peuvent saisir les organes compétents de l’ONU afin que ceux-ci prennent les mesures qu’ils jugent appropriées pour la prévention et la répression de ces actes (art. 8).

Les tribunaux compétents pour punir ce crime sont selon les termes de l’article 6 de la convention : ceux de l’État sur le territoire duquel le crime a été commis et la Cour pénale internationale, déjà en projet en 1948.
L’histoire a montré que les tribunaux des pays dans lesquels se commet un génocide ne sont souvent pas efficaces pour prévenir ni sanctionner, dans des délais raisonnables, un crime qui par nature implique la complicité des autorités nationales.
Le caractère inadapté de ce mécanisme de sanction et la difficulté pour des gouvernements de juger d’autres gouvernements expliquent pourquoi la convention n’a jamais pu être efficace depuis sa rédaction, ni au Cambodge en 1975 ni au Rwanda en 1994.
Il est intéressant de noter que le Rwanda n’avait pas respecté son obligation en vertu de l’article 1 de la Convention sur le génocide de 1948 qui dispose que chaque État partie doit intégrer le génocide comme crime punissable en droit national.
Ce n’est qu’après le génocide de 1994 que le Rwanda a adapté sa législation (Loi organique n° 08/96 du 30 août 1996 sur l’organisation des poursuites des infractions constitutives du crime de génocide ou de crimes contre l’humanité commises à partir du 1eroctobre 1990).

Concernant la Cour pénale internationale, il aura fallu attendre cinquante ans après l’adoption de la Convention de 1948 pour que les États parviennent à un accord sur sa création.
Les autres mécanismes de sanctions possibles ... Dictionnaire pratique du droit humanitaire - Medecin sans frontières

#manif #Paris #Gaza #morts #Droit-humanitaire #Droits-de-lhomme #Violation-du-droit #Genocide #ONU #MSF #Educsol #Palestine #israel

Entrer une description pour l'image ici

Il y a un an la Mosqué Al Aqsa envahi par les force israelienne et vandalisé :
Mosquée Al-Aqsa : analyse de Slimane Zeghidour - Fr24 https://invidious.fdn.fr/watch?v=CyDw3ylyDgQ //// https://www.youtube.com/watch?v=CyDw3ylyDgQ
les faits - Fr24 (pour rester french prop : https://invidious.fdn.fr/watch?v=j252xFngYy4

petitpain@diaspora.psyco.fr

Entrer une description pour l'image ici

#Amnesty-International alerte sur un tournant dans l’histoire du droit international, sur fond de violations flagrantes des règles par les gouvernements et les entreprises

-De puissants gouvernements projettent l’humanité dans un monde dénué de véritable état de droit international, et ce sont les civil·e·s touchés par les conflits qui en paient le prix fort.

-Rien n’est fait pour empêcher l’intelligence artificielle, qui se développe à vitesse grand V, de créer un terrain fertile pour le racisme, la discrimination et la division, en cette année électorale majeure.

-Face à ces atteintes aux droits humains, des gens du monde entier se sont mobilisés, plus nombreux que jamais, pour exiger la protection des droits humains et le respect de notre humanité commune.

https://www.amnesty.org/fr/latest/news/2024/04/amnesty-international-sounds-alarm-international-law-flagrant-rule-breaking-governments-corporate-actors/

#repression #oppression #apartheid #dictature #Palestine #israel #ONU #justice #morts #monde #actualite

magdoz@diaspora.psyco.fr

Grande famine irlandaise
https://fr.wikipedia.org/wiki/Grande_famine_irlandaise

La grande #famine irlandaise, ou localement la Grande Famine (en irlandais : An Gorta Mór ou An Drochshaol ; en anglais : The Blight, The Irish Potato Famine ou The Great Famine), est une famine très importante survenue en #Irlande entre #1845 et 1852.

1845 - #Crise de la pomme de terre en Irlande
https://www.citeco.fr/10000-ans-histoire-economie/revolutions-industrielles/crise-de-la-pomme-de-terre-en-irlande

La pomme de terre est, au 19e siècle, une nourriture essentielle. En 1845, un champignon parasite, le « #mildiou », se propage dans les cultures. Les pertes humaines dues à la famine sont très importantes : près d'un million de #morts en Irlande pendant toute une décennie.

#Documentaire Arte :
La grande famine en Irlande ARTE
https://piped.adminforge.de/watch?v=XfLEVlUQsrg ou https://yt.artemislena.eu/watch?v=XfLEVlUQsrg

#Europe #Économie #Paysan #Bourgeois #Riches #Pauvres #Génocide #Faim

magdoz@diaspora.psyco.fr

Tous les joueurs de #Foot espagnols hommes comme femmes, refusent de porter le maillot de l'équipe, tant que l'ensemble des membres de la #FIFA n'aura pas démissionné, vu les milliers de #morts pour concevoir les infrastructures de ce #spectacle affligeant, avilissant et abrutissant.

Ah nan, pardon, c'est pas pour ça...

Todos los #futbolistas españoles, hombres y mujeres, se niegan a vestir la camiseta de la selección hasta que todos los miembros de la #FIFA hayan dimitido, dados los miles de #muertes para diseñar la infraestructura de este penoso, denigrante y alucinante #espectáculo.
Oh no, lo siento, no es por eso...

https://www.amnesty.fr/actualites/deces-de-milliers-de-travailleurs-migrants-au-qatar

#Idiocracy #Médias #Media #MassMedia #Brutus #LuisRubiales #Rubiales #Football #España #Espagne

magdoz@diaspora.psyco.fr

Pertes humaines de la guerre russo-ukrainienne

https://fr.wikipedia.org/wiki/Pertes_humaines_de_la_guerre_russo-ukrainienne

Les pertes humaines de la guerre russo-ukrainienne comprennent six morts lors de l'annexion de la Crimée par la Russie (2014), 14 200 à 14 400 morts civils et militaires pendant la guerre du Donbass (2014-2022) et des dizaines de milliers de morts civils et militaires lors de l'invasion russe de l'Ukraine (depuis 2022).

T'entends les #médias rappeler le nombre de morts de cette guerre ?
C'est bizarre, car des conflits dans d'autres zones du monde, on a généralement cette info, lors d'un reportage ou d'un flash info...

#Ukraine #Russie #Morts

magdoz@diaspora.psyco.fr
tchicketchacke@pod.g3l.org

#HonteDeMonPays #Honte-de-mon-pays #HonteDeLaFrance #Honte-de-la-france #corruption #macron #politique #politiques #ministres #gouvernement #capitalisme #exploitation #soumission #macronistan #hypocrisie #escroquerie !

Il fallait le comprendre ! Les 100 jours dits d'apaisement n'étaient en réalité qu'un délai d'une banalité absolue pour un vulgaire retour au calme le plus sinistre !

Plus un bruit sur la #réforme-des-retraites ! Plus aucun vent de #mobilisations et de #manifestations ni de #grèves ! Que de #polémiques basses dont entre autres l'hypothétique #réélection du PéDéDémanuel macron (Président Destructeur des Démocraties) !

Toutes les #casseroles ont apparemment regagné leurs placards de #cuisine ! On peut dire du moins qu'il y a eu des #mutilés voire des #morts pour que puisse régner en incontestable #dieu cette fouine insupportable qui comme d'habitude aura eu raison de tout !

La situation aura bien fini par pourrir comme il le veut à chaque fois ! Pour un retour à l' #union-sacrée où tout le monde dit AMEN à toutes ses #arnaques !

Les français les plus chanceux l'année prochaine n'auront plus qu'à aller se ruer sur leurs tickets pour les #jo-2024 pendant que les autres pourront les admirer religieusement sur leur #télé comme des gros connards !

Vu que certains.nes recommencent à parler comme ci tout était déjà entériné, je propose ma nouvelle #version du chant des #gilets-jaunes revue et corrigée ! :

Personne n'est Làààààà ! Personne n'est Làààààà ! Puisque MACRON le veut pas personne n'est Làààààà ! Pour la honte des travailleurs, dirigés par des branleurs, puisque MACRON le veut pas personne n'est Làààààà !

bliter@diaspora-fr.org

AC n°10 #Mystères de l' #Egypte ! #Atoum le #créateur auto engendré - À l'Envol #Antique (chaîne de #MonsieurGilou)

top
https://www.youtube.com/watch?v=R38_y3PvAfo

Chronologie :

00:00 Extrait du #Livre des #Morts.
00:30 Introduction : Qu'est ce que la #Création?
03:05 Le #Nom du #dieu Atoum.
05:13 Le #Noun #Océan #Primordial et Impénétrable.
08:40 L' #Ordre et le #Chaos?
11:08 Entre Noun et Atoum... l' #Auto-Engendrement.
14:08 La #Clef de l' #Explication?

Mes réseaux :
Instagram : https://www.instagram.com/monsieurgilou/
Twitch : https://www.twitch.tv/monsieurgilou
Twitter : https://twitter.com/MonsieurGilou

#histoire

bliter@diaspora-fr.org

LES #STARS ONT MEILLEUR GOÛT #MORTES QUE #VIVANTES - #BLAST

top

C’est un #mythe qui n’a pas cessé de revenir. #Orphée aime #Eurydice. Eurydice aime Orphée. Le jour de leurs noces, Eurydice est mordue par un serpent et meurt. Inconsolable, Orphée descend la chercher aux #Enfers. Jamais un être #humain n’avait précédemment pénétré le #royaume des #morts. Mais Orphée, #poète, #musicien, ne #charme pas seulement les #hommes. Sa #musique affecte les #animaux, les #arbres et les #pierres. Et son #chant de douleur attendrit jusqu’aux #gardiens des #portes de l’autre #monde. Émus par le #chagrin du poète, les #monarques du monde des #morts accordent à Eurydice la possibilité de #vivre une seconde fois. Mais ils posent une #condition à cette #résurrection : Orphée ne doit pas la regarder jusqu’à la fin de leur #voyage de retour. Il faut toujours se méfier de ce que vous accordent les #dieux. Ils ne vous donnent que pour mieux reprendre. Alors qu’ils ne sont plus très loin de fouler la surface de la #Terre, Orphée, tremblant qu’Eurydice ait déjà disparue, ne peut s’empêcher de se retourner vers elle. Et Eurydice meurt une seconde fois.

C’est un mythe qui n’a pas cessé de revenir. Et il est revenu dans le monde du #cinéma à de nombreuses reprises. Est-ce parce que la #religion #orphique, dont le #rituel principal était le passage par une #caverne imitant la descente aux Enfers, se rejouait alors dans la #salle de cinéma ? Jamais #humain n’avait précédemment pénétré le royaume des #morts. Mais le #spectateur de cinéma, en payant sa place, pouvait désormais faire l’ #expérience d’une descente dans un monde #obscur où il s’imaginerait #sauver une Eurydice, la #star du #film, pour mieux la voir mourir une seconde fois. C’est à travers les #figures #semi-divines des #stars que #Hollywood a pu #officier comme une #religion.

https://www.youtube.com/watch?v=E02-n6EOnTM

tina@diaspora.psyco.fr

Refus d'obtempérer : un homme se jette dans le Cher et se noie.

Un refus d'obtempérer fait l'objet d'une peine d'emprisonnement pouvant atteindre jusqu'à un an, d'une amende pouvant grimper jusqu'à 7 500 €, et d'une perte de 6 points sur le permis de conduire.

Que vous ayez quelque chose à vous reprocher... ou pas. Ça peut être juste parce que...

...aujourd'hui la police fait peur.

#société #police #ordre #refus-d-obtempérer #morts #peur

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #guerres #victimes #cauchemar #humanité #Hommes #civilisations #paix #souffrance #morts #territoires #hégémonie
1999/2020
L’Afghanistan, la Georgie, l’Irak, l’Iran, la Libye, la Palestine,…aujourd’hui l’Ukraine, le défi écologiste, la crise financière, le racisme, la xénophobie. Le bruit et la fureur partout. Je reste dubitative devant un tel maelström de situations juxtaposées qui semblent s’enchaîner sans que véritablement l’homme au centre de ces phénomènes n'en maîtrise véritablement le déroulement. Là une « guerre contre le terrorisme » là des revendications de territoire, là les méfaits d’un libéralisme déjanté. Vaste débat qui laisse sans voix « l’homo vulgaris » que je suis. Comment en effet maîtriser un tel déchaînement  de faits, d’informations où ’homme est à la foi l’auteur principal, la marionnette et la victime. La guerre contre le terrorisme, certes, mais où est son efficacité,  face aux combattants de l’ombre ? Aux morts renvoyés dans leur famille ? Envers des populations malmenées, bombardées, dégâts collatéraux par destination ?  Rendre aux peuples leur souveraineté dans un état de droit ? Mais à quel peuple ? Quelle souveraineté ? Quel état de droit ? Faut-il faire entrer de force, toute velléité d’indépendance, dans le giron du modèle des nations  occidentales qui elles seules auraient la réponse adéquate ? La démocratie ? Laquelle ? Celle de l’économie de marché ? des subprimes, des smartphones ? De la course effrénée aux matières premières, à l’énergie ? De la rentabilité à tout prix ? La priorité serait sans nul doute l’éducation, mais là aussi laquelle ? Celle des télévisions, des câbles ? Celle laissée aux ayatollahs de toutes obédiences ? Les revendications de territoire « comme à la belle époque » semblent dérisoires à tous ceux qui n’ont jamais connu le problème. Mais la patrie tant acclamée et valorisée aux JO et dans le sport en général, c’est ça aussi : la défense du territoire. Quelle Histoire ? Qui a cédé aux provocations ? Qui a tiré le premier ? Au jeu du poker menteur, de la fanfaronnade, nous savons « les politiques » très forts. L’Histoire est toujours écrite par les vainqueurs.

Pauvre de nous, au milieu de ce capharnaüm sans plus savoir vers qui se tourner pour croire encore et encore à une vie tranquille dans un pays de cocagne où on élèverait ses enfants dans l’espoir d’une vie meilleure, sans les sacrifier régulièrement à d’improbables enjeux géopolitiques, ethniques, religieux, de suprématie nationale et internationale. Mais ce fût toujours un rêve, bien loin des  cruelles réalités. Je pleure, sur moi, sur ma participation à cette tragédie,  sur la course haletante vers ce bonheur mythique, toujours plus loin, toujours pour demain.

(Texte écrit en 1999). Mireille MOUTTE

mishal@diasp.org

La « cinquième vague », nouvel épisode d’un feuilleton qui a trop duré

Laurent Toubiana

Depuis quelques jours, la petite musique tant de fois entendue d’un nouvel épisode du feuilleton sanitaire en France se fait de nouveau entendre. Ce nouvel épisode s’appelle la « 5e vague ». Depuis plus d’un an et demi, la population française est soumise à un flot quasi continu de mauvaises nouvelles dont l’un des acteurs principaux est un virus du nom de #Sars-Cov-2. Nous voici donc entrés dans une nouvelle zone de turbulence

Fig. 1: Évolution du taux d’incidence hebdomadaire pour 100 000 habitants de malades du #Covid-19 et des décès liés au Covid-19
Source: Réseau Sentinelles, Santé Publique France, mise en forme #IRSAN (https://covid.irsan.eu)
Champ: France métropolitaine
Note de lecture: la courbe rouge montre l’évolution hebdomadaire pour 100 000 habitants de malades du Covid-19
selon le Réseau Sentinelles (échelle à droite en rouge de 0 à 120). En mars 2020, cette courbe montre un maximum avec 140 nouveaux malades en une semaine pour 100 000 habitants. Lors du 4ème «pic» de cette courbe (début août 2021), l’incidence est de 31 nouveaux malades en une semaine pour 100 000 habitants.
La courbe noire montre l’évolution du nombre hebdomadaire de décès testés positifs au Covid-19 pour 100 000 habitants source Santé Publique France (échelle à droite en noir de 0 à 10).
Le point maximum est au début de la courbe avec 9,7 décès en une semaine pour 100 000 habitants début avril 2020.

Le scénario est maintenant bien rodé. En amont, il commence par des avis de scientifiques qui, alors que tout est supposé « sous contrôle », annoncent la possibilité du retour d’une nouvelle vague épidémique. Ces oracles sont bientôt confirmés par des données venant de pays plus ou moins lointains ; tout va bien en France, mais ailleurs c’est très grave. Les hypothèses de nos scientifiques s’avèreraient donc exactes. Les articles de presse pleuvent sur la panique engendrée dans ces pays et les mesures très dures en passe d’être mises en œuvre. Ces mesures nous paraissent démesurées, mais une petite voix nous dit qu’il faut se préparer à ce que ce soit bientôt notre tour. Enfin, Santé Publique France donne l’estocade et annonce à son tour une élévation « inquiétante de l’incidence » sans vraiment expliquer ni de quoi il s’agit exactement, ni en quoi elle est inquiétante. Cette information est immédiatement relayée par de puissants organes médiatiques. Elle est ensuite reprise par les autorités qui remettent en place des mesures contraignantes (masque obligatoire dans toutes les écoles et dans la rue de départements de plus en plus nombreux). « En même temps », le porte-parole du gouvernement nous assure de ne pas nous inquiéter. Cela inquiète encore plus car, à chaque fois qu’il ne faut pas s’inquiéter, nous pouvons être sûrs du contraire ; cela est en général confirmé quelques jours plus tard.Le nombre d’articles publiés sur la prochaine vague augmente et prépare le terrain. «Quelques dissidents» sont invités à s’exprimer pour faire bonne mesure car nous sommes en démocratie, juste le temps de les décrédibiliser incompétents, naïfs, inconscients, irresponsables, dangereux, complotistes.

Depuis toujours, une #épidémie se caractérise essentiellement par le nombre de malades et de #morts qu’elle provoque. Ainsi,ce que l’on appelle normalement « incidence » est le nombre de nouveaux malades en une semaine rapporté à la population, lequel permet d’évaluer la dynamique d’une épidémie de maladie transmissible à évolution rapide. L’arrivée des tests et la massification de leur utilisation dévoyée à partir d’août 2020 a permis de redéfinir l’essence même de la définition classique de l’épidémie. Dans le cadre de l’épidémie de Covid-19, les estimations de l’incidence à destination du grand public ne se réfèrent plus aux nouveaux malades ou morts engendrés par le virus mais à des porteurs de virus qui, à plus de 80 %, ne sont pas malades et ne le seront jamais. De fait, le nombre de porteurs de virus est beaucoup plus important que le nombre de malades ou de morts. Il est donc fallacieux d’utiliser le même mot « incidence » pour représenter une réalité différente de la définition communément admise par les épidémiologistes, l’incidence d’une pathologie.
Pourtant, l’incidence d’une pathologie est un outil élémentaire utilisé pour le suivi de toutes les épidémies sous surveillance depuis des dizaines d’années (dont la plus emblématique est celle des syndromes grippaux). Pourquoi n’est-il pas appliqué pour l’événement épidémique du siècle ? Probablement parce que les incidences de la maladiecovid-19 (et non des tests positifs) sont tellement faibles qu’elles ne peuvent être décemment invoquées pour justifier les mesures de contrôle qui apparaîtraient à l’évidence disproportionnées : confinements généralisés de la population, port du masque obligatoire dans la rue, taux de couverture vaccinale aberrant, passe sanitaire. Si l’incidence « classique » était utilisée, les populations n’auraient plus peur et n’accepteraient pas ces mesures considérées dès lors comme extravagantes.

Justement, quelles sont les valeurs de l’incidence du Covid-19 ? En #France, sur les 90 semaines depuis le commencement de la crise du Covid-19, la plus forte incidence a été observée entre le 23 et le 29 mars 2020, au tout début de la crise (cf. fig. 1). Lors de cette semaine paroxysmique, 140 nouveaux malades pour 100 000 habitants ont été estimés par le Réseau Sentinelles (premier réseau de surveillance de maladies transmissibles en France) ; les autres sources de médecins généralistes de terrain, dits de premier recours, sont concordantes. Pour fixer les idées,100 000 habitants, c’est environ la population d’une préfecture importante (Caen, Nancy, Avignon...). À titre de comparaison, le même réseau de médecins estimait dans les mêmes conditions à plus de 600 malades de syndromes grippaux en une semaine pour 100 000 habitants en moyenne lors des pics épidémiques des années antérieures depuis 20 ans. Pourtant, connues depuis des siècles, les épidémies de grippe ont toujours été désignées comme des épidémies « banales » alors que le tableau clinique de la grippe est considéré comme touchant les individus plus durement que celui du Covid-19 dans la plupart des cas. Depuis mars 2020, aucune autre semaine n’a montré une incidence du Covid-19 supérieure. L’amplitude des pics saisonniers de l’incidence du Covid-19, fin octobre 2020, fin mars 2021 correspondant à ce qui a été improprement appelé « vagues » n’a cessé de décroître. Pour la dernière, dite 4ème vague, début août 2021, l’incidence du Covid-19 a atteint le chiffre dérisoire de 31 nouveaux malades en une semaine pour 100 000 habitants (cf. fig. 1).
Il en va de même pour les hospitalisations et les décès. 31 nouvelles personnes avaient été hospitalisées et 9 sont décédées pour 100 000 habitants au cours de la semaine la plus impactée en 1 an et demi de crise.

Ces chiffres sont à peine crédibles tellement ils sont faibles. Toutefois ils sont cohérents avec ceux qui ont été publiés par l’ATIH et qui indiquent que seulement 2 % de l’activité des hôpitaux ont été consacrés au Covid-19 en 2020. Par ailleurs, il a été établi que cette période de crise sanitaire prétendue « majeure » n’avait provoqué aucune surmortalité pour les personnes âgées de moins de 65 ans, soit 80 % de la population française, et une surmortalité de moins de 4 % pour les autres.
De nombreux articles scientifiques ont montré que, sans pouvoir limiter l’épidémie, les mesures prises ont eu de nombreux effets délétères directs et indirects sur les individus et les populations. Ceux-ci ne font que commencer, comme la dégradation de l’état psychique, notamment chez les jeunes, la baisse du niveau scolaire ainsi que les conséquences sur la santé de la dégradation économique du pays suite à la politique du «quoi qu’il en coûte» décidée pour mettre en place le premier #confinement et que les Français subissent du fait de l’augmentation de la facture énergétique. Quant au taux de couverture vaccinale aberrant avoisinant les 90 % de la population des plus de 12 ans, les autorités l’ont imposé aux populations en usant de méthodes d’intimidation ou de culpabilisation au motif de les protéger collectivement. Nous venons de montrer que l’impact réel en termes de morbidité et mortalité a été extrêmement faible. Mais cela ne suffit toujours pas: les populations, ayant déjà beaucoup souffert des mesures censées les protéger, doivent encore endurer un nouvel épisode de ce feuilleton insupportable.

Tous les chiffres cités sont disponibles pour le grand public, accessibles sur Internet. Ils crèvent les yeux mais décidément, ils semblent difficiles à voir.
#politique
#sanitaire