#permaculture

biosphere@diaspora-fr.org

Cyclanthère (Cyclanthera pedata)

Le Cyclanthère que l'on rencontre parfois sous le nom de concombre des Andes ou Achocha, est une cucurbitacée annuelle et grimpante, originaire d'Amérique Centrale et du Sud.

Comestible pour ses fruits et ses jeunes pousses, elle est aussi très décorative.

Les tiges sont de vraies lianes pouvant atteindre 5 m de long. Grâce aux nombreuses vrilles, elles s'accrochent à toutes sortes de supports.

C'est une plante peu connue dont le goût se situe entre le concombre et le cornichon.

La plante grimpante produit une abondance de fruits, de 6 à 15 cm de longueur, qui peuvent se consommer immatures crus ou confits au vinaigre. On peut également les cuire lorsqu’ils sont matures. Les tiges sont également comestibles.

La plante se cultive toute l'année, mais est sensible à la longueur du jour et nécessite des jours courts pour la mise à fruits.

La saison d'été n'est donc pas favorable à sa culture dans les régions de moyenne et haute altitude.

Assez tolérante au froid, elle préfère un climat tempéré (15 à 28 °C)

Le cyclanthère est monoïque. De juin/juillet à septembre, il porte de toutes petites fleurs blanc verdâtre ou jaunes : des fleurs mâles regroupées en panicules axillaires, et des fleurs femelles solitaires.

Discrètes, elles sont en revanche agréablement parfumées et très mellifères.

Une fois la fleur femelle fécondée, l'ovaire infère se transforme en une baie en forme de corne de 16 cm de long.

Jeune, sa peau est lisse et verte. Mais en mûrissant, la baie devient jaune et se couvre d'épines douces.

Arrivées à maturité, les baies s'ouvrent pour expulser, très loin, les petites graines noires.

Les graines peuvent être semées en avril, en godet et au chaud, ou en pleine terre en mai.

Température optimale de germination : 15 °C à 20 °C. Profondeur du semis : 2 cm.

La récolte s'étale entre juillet/aout et novembre. Les fruits sont récoltés avant maturité, environ 3 mois après le semis.

• Rusticité : -2 °C.     • Semis : oui     • Bouture : non

Lien externe :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Cyclanthera_pedata

https://www.fermedesaintemarthe.com/reussir-le-semis-de-cyclanthere-p-6603

#permaculture-et-foret_comestible
#permaculture
#biosphere

flaccide@friendica.me

Bonjour,
On est en plein hiver et depuis une semaine il fait aussi chaud dehors que dedans chez moi.
Je chauffe à 15°C, j'habite en Normandie...
J'ai cherché des annonces d'emploi ou stage en #permaculture pour me changer les idées et rêver que j'avais un avenir, mais les fermiers cherchent essentiellement des réparateurs de tracteurs ou des trayeurs de mamelles, apparemment.
Je mange un morceau de pain et je retourne au lit en attendant la fin de ce monde.

#MaVieDeDépressif

biosphere@diaspora-fr.org

Amélanchier du Canada (Amelanchier canadensis)

L'Amélanchier du Canada, est une espèce de plantes à fleurs de la famille des Rosaceae, originaire d’Amérique du Nord.

C'est un arbuste à feuilles caduques, vigoureux (jusqu'à 4-6 m de hauteur), épargné par la plupart des parasites et relativement rustique vis-à-vis des conditions culturales.

Il peut être planté de façon isolée ou bien en massifs ou haies libres.

En automne le feuillage se colore dans les tons rouges et orangés.

L'espèce est hermaphrodite (à la fois des organes mâles et femelles) et est pollinisée par les abeilles. La plante est auto-fertile et très productive.

Il a la particularité de commencer à produire fleurs et fruits très jeune. Ainsi des individus de 30 à 40 cm de haut peuvent commencer à se reproduire.

Il produit des fleurs décoratives durant le mois d'avril, celles-ci donnent naissance à des piridions qui ressemblent à des baies, de la taille d'un petit pois, de couleur pourpre noirâtre à maturité, légèrement sucrés et comestibles à partir de la mi-juillet. Ainsi les appelle-t-on couramment « petites poires ».

Le fruit comestible, contient quelques petites graines au centre, il a un goût sucré avec un soupçon de pomme.

Il peut être mangé crus ou cuits à la main, utilisé dans les tartes, les conserves, etc., ou séché et utilisé comme les raisins secs.

Il est rustique jusqu'à -30°, et est aussi très résistant à la sécheresse.

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Liens externes :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Am%C3%A9lanchier_du_Canada

https://www.tela-botanica.org/bdtfx-nn-76548-synthese

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#permaculture-et-foret_comestible
#permaculture
#biosphere

utopiarte@tupambae.org

@permaCulture


Keith D Johnson - 2024-01-28 00:18:55 GMT

Maps help us see where we are & how we relate to & interact with places or a place (as if there were edges! ALL maps lie, AND they can offer big pictures of reality.)
This video of maps features views of #permaculture teacher / designer Geoff Lawton's home in #Australia. Using maps provided by Ben Missimer, Geoff was able to improve his already outstanding watershed restabilisation plan after it stood the test of extreme heavy #rainfall & #flooding. https://www.dropbox.com/sh/qeb6nfvakmk81q1/AABw5yg-uSjwqHRWml8mOoG7a?dl=0&preview=Zaytuna+Farm+Animation+Sampler+Blowout.mp4

utopiarte@tupambae.org

@permaCulture


Keith D Johnson - 2024-01-27 23:17:03 GMT

A friend of mine, Ben Missimer, makes #maps (& animated maps) to help others design their land for ecological resilience; basic contour maps, #hydrology, #forest cover, #wetlands, drainage, erosion, slope, #solar aspect, satellite images, & more (also all in large hi-rez, some suitable for framing & hanging on your walls).
He's okayed sharing these exemplary files. #permaculture #design https://www.dropbox.com/sh/qeb6nfvakmk81q1/AABw5yg-uSjwqHRWml8mOoG7a?dl=0If you need reasonably priced mapwork for your projects Ben's website is https://www.pearlriverecodesign.com/
Watershed elevation map rendered in a rainbow spectrum of colors from blue (lowland, wetland, drainage stream pattern; valleys) to red (upland, ridges watershed dividing lines, overlayed with lines on 1 ft contour intervals (yes, he also can do metric).

biosphere@diaspora-fr.org

Tabac ( Nicotiana Tabacum) *APARTÉ

## Le Tabac est une plante herbacée du genre botanique Nicotiana de la famille des Solanacées, originaire des Amériques, qui est cultivée pour ses grandes feuilles dont on extrait le tabac à fumer, priser ou à chiquer.
## Lorsque Christophe Colomb arrive en Amérique en 1492, il constate que les Indiens utilisent le tabac pour ses propriétés magiques et médicamenteuses. André Thevet en rapporte des graines et la culture du tabac commence en Europe.

## Il est cultivé abondamment en Europe depuis le XVIe siècle, et notamment en France, où la dernière usine de première transformation du tabac en France ferma en 2019.
## Principalement cultivé pour être fumer, beaucoup d'autres espèces se cultivent facilement pour leur beauté et leur originalité.

## Pendant des siècles, les fermiers et les jardiniers ont cultive du tabac maison pour leur usage personnel et pour le vendre.

## Cultiver son tabac est donc la manière la plus saine qui existe pour fumer mieux, voir même fumer bio !

Le meilleur moyen qui est pour faire un véritable tabac, mais attention il sera fort, car le tabac naturel est très fort

## Le tabac récolté par ce procédé de production maison peut aussi bien être transformé en tabac a rouler, tabac a tuber ou même tabac à chiquer.
## Il faudra vous équiper d’une machine à couper et broyer les feuilles de tabac pour pouvoir le consommer.

## En conclusion, voyons le cas « idéal ». Il faudrait que le tabac ait sèche suspendu au moins un an afin d’être réellement agréable. Mais les goûts ne se discutent pas.
## Pour ceux qui ont la chance d’avoir un local dédié a la fabrication de leur tabac, le faire sécher accroche ou empile en cageots le plus longtemps possible tout en maintenant un taux d’humidité idéal serait parfait. Si vous vous posez la question de savoir quel est ce fameux taux d’humidité idéal, c’est celui que vous retrouvez dans votre paquet de tabac a rouler lorsque vous l’achetez. Mais il est très difficile d’arriver a un tel résultat car il y a des risques de moisissures dans les premières semaines lorsqu’il est frais et de dessèchement par la suite ce qui altérera son goût.
## Gardez comme ligne de conduite que vos feuilles de tabac doivent être sèches tout en restant souples.

## - Bien entendu aujourd'hui la culture n'est autorisé que pour un usage personnel.
## Texte de loi en vigueur en 2020 : Il est interdit à quiconque de faire profession de fabriquer pour autrui ou de fabriquer accidentellement en vue d’un profit, des cigarettes avec tabac sauf dans les conditions prévues par le décret mentionné aux 2 de l’article 565 (1) ou, lorsque cette fabrication est effectuée au domicile du consommateur dans la limite de ses besoins personnels, par lui-même, par les membres de sa famille par des gens à son service.

Liens externes :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Tabac

https://www.tela-botanica.org/bdtfx-nn-44086-synthese

https://fr.wikihow.com/faire-pousser-du-tabac

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#permaculture-et-foret_comestible
#permaculture
#biosphere

biosphere@diaspora-fr.org

Akébie à cinq feuilles (Akebia quinata)

L'Akebia quinata est une liane semi-persistante (le feuillage tombe à environ -8°) originaire des forêts tempérées d'Asie orientale.

C'est une liane volubile, vigoureuse elle peut atteindre 20m de longueur.

Il faut 2 plantes avec une génétique différente pour avoir des fruits.

Lorsque le fruit est ouvert c'est qu'il est mure.

On consomme la pulpe qui entoure les graines que l'on recrachera ou pas (elles sont amères si on les croque).

En plus des jeunes pousses, la chaire du fruit légèrement amer, est également comestible. Il suffit de la faire cuire, mais elle restera néanmoins croquante.

Hormis le fait d'être comestible, l'Akebia est une belle plante ornementale et odorante.

À cultiver mi-ombre.

Rustique jusqu'à -15°

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Lien externe:

https://fr.wikipedia.org/wiki/Akebia_quinata

https://www.tela-botanica.org/bdtfx-nn-2429-synthese

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#permaculture-et-foret_comestible
#permaculture
#biosphere

108madhuri@nerdpol.ch

Origins of Remote Viewing

Don't let the military element put you off from watching this amazing documentary about the possibilities of Human Consciousness.
Luckily they managed to interview Jim Cannon before his demise. Cosmic Stuff !
https://www.youtube.com/watch?v=cR_wVXA3K4g
#UnifiedConsciousness #Consciousness #Transformation #Permaculture #RemoteViewing #Dracos #Nagas #Optimism #PsychicAbitities #PsychicSpies #SecretProgram #Stargate #Unity #Spirituality #Connection #Paranormal #

biosphere@diaspora-fr.org

# Pistachier *Vera Kerman (Pistacia vera Kerman)

## D'origine asiatique ou méditerranéenne (à l'exception de Pistacia mexicana qui est une espèce américaine), les pistachiers sont des arbustes dioïques (fleurs mâles et femelles poussant sur des arbustes différents).

Le Pistacia vera est la variété de pistache la plus cultivée et la plus prisée pour ses fruits consommés frais ou séchés. Il doit être planté à côté de la Pistacia vera type Peters (mâle) pour favoriser la production de fruits.

Il préfère les sols sablo-limoneux, profonds et bien drainés. C'est une bonne alternative pour tirer profit des sols pauvres, grâce à sa rusticité et sa résistance car Il a besoin de peu d'eau, et devient résistant à la sécheresse

Le Pistachier Vera Kerman, Originaire d’Iran, de la province de Kerman sur un plateau à 1700 m d'altitude, se plante dans un sol pauvre, sec et très bien drainé.

Bien que rustique jusqu’à -15°C, il aime les expositions chaudes, ensoleillées et abritées.

Il ne fructifie correctement que dans les régions aux étés longs et chauds.

Il peut vivre en sol assez pauvre, et devient résistant à la sécheresse.

On peut mettre un plant mâle pour 5 plants femelles, ou mieux, mettre 2 plants mâles de variétés différentes pour étaler les possibilités de pollinisations.

Ces plants mâles seront plantés en deçà des arbres femelles par rapport au vent dominant.

Sa floraison apparaît en Avril. Elle est suivie de la formation des fruits enfermés dans une coque verte et rouge qui s’ouvre lorsque la pistache est prête à consommer. La cueillette se fait vers fin août, septembre, octobre.

Lien externe:

https://fr.wikipedia.org/wiki/Pistacia_vera
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#permaculture-et-foret_comestible
#permaculture
#biosphere

guillaume_f@diaspora.psyco.fr

La yourte de la discorde (vidéo 15 minutes)

Pétition : https://chng.it/jfCzX5qV
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Pour le droit des maraîchers BIO de vivre sur leur terre dans des habitats réversibles, respectueux de l’environnement
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La Barrouette Paysanne (Jean-Denis Lods et Mélodie Halter, 34 ans), maraîchage biologique, est née aux Pilles en 2020.
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Depuis nous mettons toutes nos forces à exploiter cette terre dans le plus strict respect de la nature : serres non chauffées, utilisation exclusive de traitements confectionnés à base de plantes, arrêt de l’utilisation du tracteur, plantation de haies… dans le but de recréer un sol vivant et de favoriser la biodiversité. Pour ce faire notre présence sur place en permanence est indispensable.
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C’est pourquoi, lorsque le propriétaire de notre logement a refusé de renouveler notre bail, nous avons décidé de construire un logement sur nos terres. Par respect pour la vocation agricole de nos parcelles, nous avons fait le choix d’une résidence démontable, une Héliyourte. Sur pilotis, indépendante du réseau (système phytosanitaire, toilette sèches, panneau solaire), éco-construite et démontable rapidement, son emprise au sol est de moins de 40m2.
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Quelques mois après notre installation, la mairie nous a sommé de démonter notre yourte, et nous a dénoncé au Procureur de la République qui a engagé des poursuites pénales contre nous.
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La Mairie s’oppose à notre installation en invoquant deux motifs :
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- Construction en zone inondable (crue centennale)
- Interdiction de construire sur une zone agricole

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Cependant, la loi prévoit qu’une zone ne peut être déclarée inondable qu’à la suite d’une étude de risques (conseil d’État, 10 août 2005, n°260685 ). Or dans notre cas, aucune étude n’est venue confirmer l’inondabilité de la zone. Notre terre nous a au contraire été vendue comme non-inondable.
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De même, la loi prévoie que les agriculteurs ont le droit de construire sur leurs terres tous les bâtiments nécessaires à l’exploitation agricole (Article L111-4 du code de l’urbanisme).
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La question qui se pose et donc celle-ci : l’exploitation d’une terre de façon biologique, et selon les procédés de la permaculture nécessite-t-elle notre présence sur les lieux. La réponse est oui.
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Pourquoi avons-nous besoin de vivre sur notre terre ?
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La permaculture, par sa nature, impose une plus grande présence et vigilance de l’homme sur la terre puisqu’il ne s’appuie pas sur les produits chimiques ni la mécanisation.
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Notre exploitation est entièrement manuelle sans utilisation d'électricité, ni de serres chauffées (électricité ou fioul), ni de tracteur pour éviter le tassement des sols.
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Avec la crise alimentaire actuelle les vols se multiplient sur les exploitations sans aucune possibilité de sécuriser les lieux, qui sont nécessairement ouverts et sur une zone totalement isolée, loin de toute habitation.
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Par exemple à l’été 2020 on nous a volé 150 kg de tomates en une nuit. Plusieurs vols de matériel agricole ont d’ailleurs eu lieu sur la zone des Tuilières.
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Notre sur présence a un impact radical sur l'action des nuisibles grâce à la présence de nos animaux, chiens et chats, qui ne peuvent bien sûr pas être laissés sur place sans nous.
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Notre présence est enfin rendue nécessaire par les réalités météorologiques.
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Durant toute la période automne-printemps-hiver, les planches de culture doivent être couvertes et découvertes par des voiles de forçage plusieurs fois par jour, en fonction de l'évolution du temps, soleil-vent-pluie.
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De même dès la fin de l’hiver notre présence est nécessaire à un contrôle précis des températures en serres. Les serres, dépourvues de tout système électrique, mécanisme, et d'approvisionnement au fioul, doivent être ouvertes et fermées plusieurs fois par jour, avec une vigilance importance sur les montées, ou les chutes de températures (les écartes de température pouvant être extrêmement rapides et violents 10 à 50 ° en moins de 15mn).
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Les chaleurs records vécues ces deux dernières années imposent d’autant plus une présence constante et vigilante aussi bien pour adapter l'arrosage chaque jour, plusieurs fois par jour, que pour surveiller les serres et les voiles de forçage.
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Les restrictions d'eau du fait de la sécheresse nous imposaient par exemple cette année de commencer l'arrosage à 5h du matin au plus tard, pour le terminer avant 9h du matin, la journée de travail se terminant en été vers 22h.
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La localisation de la ferme est soumise à des variations de type micro-climats, très localisées : des orages ou des pluies peuvent ainsi se déclencher sur l'exploitation, mais pas au village. Si nous sommes au village, nous pouvons ainsi ne pas savoir que le vent ou la pluie nécessitent la fermeture immédiate des serres.
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Il s'agit là d'expériences concrètes, vécues durant notre période d'habitation près du village pendant les deux premières années. De nombreux dégâts de culture ou de matériel auraient ainsi été évités si nous avions avaient été sur place, et notre présence actuelle a permis une meilleure exploitation de la terre.
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Notre activité n’est pas vivable sans habiter sur place. La pérennité de notre exploitation maraîchère est directement menacée par l’opposition actuelle de la mairie.
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Notre situation est loin d’être isolée, de nombreux maraîchers en permaculture se heurtent actuellement en France à cette interprétation – restrictive et déconnectée des réalités de la terre – de la notion de nécessité.
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L’absence d’impact durable d’une résidence démontable et éco-responsable sur l’environnement en fait l’habitat idéal pour réconcilier la nécessité de vivre sur notre terre, et la volonté de la protéger de toute artificialisation.
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Si nous ne faisons rien pour aider les maraîchers bio à s’installer et vivre dignement, notre capacité à mener la transition écologique ainsi que l’auto-suffisance alimentaire de la France (dans moins de 10 ans 50% des agriculteurs partent à la retraite sans repreneur) seront compromis et c’est l’ensemble du pays qui en sera affecté.
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En soutenant notre démarche, vous soutenez tous ceux qui comme nous et avec nous tentent de transformer l’agriculture et notre rapport à la terre.
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Si vous souhaitez rejoindre le collectif de soutien, envoyez un mail à l’adresse csmp26110@hotmail.com, ou retrouvez-le sur facebook Collectif de soutien aux maraîchers des pilles
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Merci d'avoir pris le temps de lire ce texte.
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Nous vous invitons à diffuser massivement.

#yourte #heliyourte #maraichage #maraichageBio #permaculture #HabitatLeger #decroissance #simpliciteVolontaire #petition #LaBarouettePaysanne

biosphere@diaspora-fr.org

Cédrèle de Chine (Toona sinensis)

Originaire de chine et d’Asie du Sud, il est aussi appelé acajou de Chine.

Il tient son nom de son bois et de son odeur qui rappellent le cèdre et la couleur de l'acajou. Sa variété 'Flamingo' est remarquable par ses couleurs changeantes au fil de l'année.

En Europe il peut atteindre 27m de hauteur.

Toona Sinensis est un « arbre salade », c'est une plante comestible.

Les jeunes feuilles sont très consommées comme légume en Asie, où l'arbre est cultivé comme plante alimentaire. On en consomme les jeunes feuilles crues ou légèrement cuites.

Les jeunes feuilles rouges sont considérées comme ayant un meilleur goût que les jeunes feuilles vertes.

Du fait de leur goût prononcé les pousses moins jeunes peuvent être utilisées comme des oignons. Elles agrémentent souvent le riz ou les nouilles de riz. Elles sont utilisées dans de nombreuses recettes traditionnelles.

Plus accessoirement, les feuilles matures sont parfois utilisées en infusion pour en faire une sorte de thé.

Pour les conserver, en Chine on fait revenir les feuilles dans de l’huile, et on les conserve ainsi dans l’huile, en bocaux.

Cet arbre produit un bois considéré comme précieux, rouge clair, odorant (odeur de cèdre), durable et facile à travailler. C'est l'un des meilleurs bois en Chine et au Japon, où il connait de nombreux usages.

Le bois est également utilisé en encens. Il dégage une agréable odeur de cèdre et d’acajou.

Il est rustique jusqu’à -20°C.

Liens externes:

https://fr.wikipedia.org/wiki/Toona_sinensis
https://laforetfeconde.fr/cedrele-de-chine-toona-sinensis/

#permaculture-et-foret_comestible
#permaculture
#biosphere

magdoz@diaspora.psyco.fr

Permaculture et #droite, #extrême-droite ??
Normalement, la #permaculture, c'est faire "avec", pas contre...
Et avec la #nature, cela veut dire avec tous les êtres vivants...
Euh.. comment expliquez-vous dès lors, que des gens qui en rejettent d'autres uniquement pour leur appartenance à une ethnie donnée, ou leurs faciès, soient par ailleurs branchés sur la ... permaculture ?

Bon.. le #racisme, vous m'direz, n'est pas une contradiction près... et d’ailleurs, je rappelle qu'à écouter les racistes, en France personne n'est raciste, non mais ohhh.. ^^
Pas de puant en France, ce bôôô pays des droits de l'hôôm... (pardon, là où ces droits ont été écrits : faites ce que je dis, pas ce que je fais...)

Y a pas un coin où on ne tombe pas sur du caca... :

#ER https://www.leravi.org/journal/dans-la-famille-chouard-le-fils/

Je suis allé à une réunion d’E&R. Et je n’ai croisé que des gars super intéressants.Qui font de la permaculture, qui prônent le retour à la terre. J’ai donc adhéré pour défendre un mouvement dissident crédible.

Eh mais les gars, retournez à la terre.. mais vraiment bordel... "dans" la terre.. à 6 pieds sous terre même. ^^
Et dire qu'il faut faire avec ça... Oh #France oh #pays oh ma demeure, c'est quand que tu nettoies "ça" au #Karcher steuplai ?

Source image modifiée

biosphere@diaspora-fr.org

Glycine Tubéreuse (Apios americana)

La Glycine tubéreuse, appelée aussi Haricot patate, est une plante grimpante vivace originaire d'Amérique du Nord, où elle était un ingrédient de base des Nord-Amérindiens)

Elle produit des gousses contenant des graines comestibles, ainsi qu'un chapelet de tubercules souterrains, également comestibles.

On peut aussi manger ses fleurs.

Parfaitement compatible avec un jardin forêt : elle grimpe sur les arbres en s’enroulant dans le sens inverse des aiguilles d’une montre et peut mesurer jusqu’à 5 m de long, ce qui permet d’optimiser l’utilisation de la lumière.

Il faut attendre 2 à 3 ans avant de commencer à récolter les tubercules.

La récolte s'effectue ensuite toute l'année, au fur et à mesure des besoins. Elle est relativement aisée car les tubercules de la Glycine tubéreuse se trouvent en surface.

Dans les régions chaudes, vous aurez la chance de pouvoir goûter aux fruits, des gousses contenant les haricots.

Les tubercules poussent facilement et en bonne quantité (parfois plus de 2 kg par plant) et sont disponibles tout au long de l'année, sans effort particulier puisqu'ils poussent proches de la surface du sol. Un peu plus petits que les topinambours, ils sont disposés à distances irrégulières le long de la racine.

Facile à cultiver car elle n'a pas besoin qu'on s'en occupe, et elle se propage facilement à l'aide de ses rhizomes.

Un incontournable pour les autonomistes, et les amoureux de forêts comestibles.

- Lien externe: https://fr.wikipedia.org/wiki/Apios_americana

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#permaculture-et-foret_comestible
#permaculture
#biosphere

magdoz@diaspora.psyco.fr

Qu'est-ce que tu veux faire plus tard ?
Les rêves des #enfants actuels : footballeur pro, enquêtrice sur scène de crime et j'en passe....
Aucune, aucun, ne veut faire une profession en lien avec la #Terre. #Paysan, #paysanne ? Non.

Les #métiers en lien avec la terre sont perçus (par les adultes) comme fatigants, éreintants, dégradants, abaissants...
Pourtant, je me souviens avoir déjà vu une vidéo d'un CSP+ sur la région #Alsace, qui expliquait que son jardin, au bout d'un temps de préparation donné, ne demandait plus d'autre travail que de planter, récolter....
Et même mieux, ce cadre sup allait volontiers au jardin pour se relaxer d'une dure journée de son #travail...
De plus, il disait y passer 1h30 tous les 2 jours, pas plus.

Les avancées en #sciences, #agroécologie, #permaculture, ont pourtant beaucoup aidé dans le domaine de l' #agriculture, par exemple pour comprendre qu'il est effectivement éreintant et contre-productif d'aller contre la #nature, qu'il est plus #rentable d'aller avec elle : d'observer longuement (une année, par exemple pour voir le défilement des saisons sur un terrain donné), toutes sortes d'arrangements sont possibles pour éviter de se massacrer le dos... etc etc...
Certes, c'est une vision idéalisée des métiers liés à la terre, car ils restent fatigants.... mais pas au point de ne pas attirer, ou de repousser autant.... Et comme le précise ce CSP+, si on compare vraiment, question fatigue...
Pour les "pauvres" des villes, il est un blocage lié à la #propriété, l'accès à la terre est devenu quasi impossible...
Il reste alors, à mon sens, un fond psychologique, de socio-psychologie même, qui dicte que t'es un gueux, si tu fais un de ces métiers, un "paysan".... au sens péjoratif du terme.... Alors qu'en réalité, "paysan" est le métier le plus noble qui existe : celui de nourrir tous les autres...
C'est un métier qu'il va falloir valoriser de plus en plus....
Chacun-e, dans vos régions, pouvez-vous indiquer des centres d'animations qui accueillent des enfants pour découvrir et faire découvrir l'agroécologie ?

Concevoir un jardin en permaculture - partie 1
https://yewtu.be/watch?v=Ei8uBCCajm8

Concevoir un jardin en permaculture - partie 2
https://yewtu.be/watch?v=LpW8sIFYbEU

Concevoir un jardin en permaculture - partie 3
https://yewtu.be/watch?v=YQ3JlDM5oRc

Petit bémol de ces vidéos (2014) que j'ai vues il y a longtemps : les problèmes liés à l' #eau, qui apparaissent de plus en plus depuis.... et qui ne sont donc pas autant pris en compte dans cette série.

biosphere@diaspora-fr.org

Yacon - Poire de terre (Smallanthus sonchifolius)

Le Yacón est une espèce de plantes vivaces tubéreuse de la famille des Astéracées, originaire d'Amérique du Sud, il était déjà consommé par les Incas, et cultivée pour ses tubercules comestibles croquants et au goût sucré.

Comme l’Oca du Pérou, le Yacon fut introduit en France en 1850. Il devait alors remplacer la pomme de terre qui était menacée à l’époque par le mildiou. Le succès ne fut pas au rendez‑vous et la "Poire de terre" tomba dans l’oubli.

C'est un super légume car il très facile à faire pousser, ne nécessite presque pas d’entretien, et est très productif.

Il a un gros rendement, chaque plant peut faire jusqu'à 8-10 kg !

Il est rustique jusqu'à -5°.

Lors de la première récolte, la racine peut avoir un goût un peu féculent, mais elle devient rapidement sucrée, croquante et juteuse et est délicieuse consommée crue ou cuite.

Il se conserve facilement dans un lieu frais et à l’abri de la lumière, dans une cave ou un garage idéalement et dans ces conditions peut être conservé jusqu’à 6 mois sans problème.

Sa saveur devient plus sucrée avec le temps. Au contraire des pommes de terre, le Yacon ne germe pas, ce qui facilite grandement sa conservation. Une fois blanchi ou cuisiné, il supporte aussi très bien la congélation.

Son goût légèrement sucré est entre la pomme de terre et le topinambour et sa texture ressemble à celle de la poire.

Outre la consommation de la chair, un sirop de couleur ambrée peut être extrait de la racine et utilisé comme édulcorant alléchant et peu calorique.

Lien externe: https://fr.wikipedia.org/wiki/Poire_de_terre

#permaculture-et-foret_comestible
#permaculture
#biosphere