#poutine

mishal@diasp.org

Laurence #Ferrari du côté obscur de la force:

« Les conneries c’est comme les impôts, à la fin on finit toujours par les payer »

13 Juillet 2023 , Rédigé par Patrick REYMOND

Un régime se parant de sa #démocratie, comme d'un cache sexe sans cesse réduit, pour faire oublier son autoritarisme oligarchique, et sa tolérance aux frasques d'un #Lumpen prolétariat qui l'arrange, finit toujours de la même manière, dans le ruisseau.

...ou Vladimir #Poutine, qui est en train de faire les poches à #Prigojine. Celui-ci avait le choix, accepter de se faire licencier, et continuer à jouir de son immense fortune, qu'on lui aurait laissé, ou passer à la table de jeu, où il vient de perdre gros.

Le mot, "avantages matériels tangibles", qui, jadis, concernait toute la population, ne concerne désormais en #France, que le noyau dur du #macronisme, soit, son électorat du premier tour, autour de 20 %.

#politique #sport

bliter@diaspora-fr.org

La mystérieuse #disparition du #groupe #Wagner... | #IdrissAberkane

top

"La #Russie est un rébus enveloppé de #mystère au sein d'une #énigme", #WinstonChurchill a dit ça, et rien de tel que sa Grande #Histoire pour comprendre l'incompréhensible Russie.

On a donc déjà fait un direct dans le feu de l'action pour analyser les événements liés au "coup d'état" (looolz) du groupe Wagner - renommé pour l'occasion "combattant de la liberté" par les #média de grand chemin (re-looolz). Une fois correctement admis que ce qui était annoncé par #CNN et #BFM était forcément une #foutaise sans nom (de l' #acabit de la #désinformation #massive par laquelle les mêmes avaient tenté de faire croire que le #Nordstream avait été saboté par les #russes), il restait à savoir si les #événements relevaient seulement d'une #grève #armée ou d'un #stratagème, et en particulier d'une #maskirovka #russe. Pour diversifier vos points de vue et une fois disqualifié le groupe #Altice, nous vous avions recommandé de suivre

Dans le cas de François #Asselineau la #thèse d'un stratagème politique (mais pas #stratégique) est très clairement développée, et nous la poursuivons ici. Pour le reste, la boussole éternelle pour s'orienter dans le fait politique Russe demeure la Grande Histoire. Or que nous dit l'Histoire? d'une part que JAMAIS les Russes ne lavent leur linge sale en public, d'autre part que depuis Alexandre Nevski en passant par Ivan le Terrible, le coup d'état des décembristes, la déposition de Khroutchev ou le coup d'état de Boris Eltsine, JAMAIS un #putchiste malheureux n'a été laissé vivre... dès lors si le destin de la personne morale "Wagner" semble déjà scellé, celui des personnes physiques #Prigogine et surtout #Outkine devrait nous #informer bien davantage dans les mois à venir...

https://www.youtube.com/watch?v=7B0k3vaB7iY
#géopolitique #wagner #poutine #politique #ukraine #brics

mishal@diasp.org

#Poutine montre au monde le traité de #paix qu'a signé #Kiev avant de se rétracter

«Tout est écrit. Jusqu'au nombre d’unités d'équipement militaire, au personnel des forces armées», a fait savoir le président russe.

«18 articles. Voici le document, il est paraphé par la délégation de Kiev.»

«Mais après que nous avons, comme convenu, retiré nos troupes de Kiev, les autorités ukrainiennes, comme le font habituellement leurs maîtres, ont jeté tout cela à la poubelle de l'histoire», a-t-il expliqué.

Devant une délégation africaine porteuse (https://t.me/kompromatmedia/3541) d'un plan de paix, Vladimir Poutine a ainsi montré la difficulté de la tâche face à une partie qui n'accorde que peu de crédit à ses engagements... et qui n'est pas le décideur final.

Négocié en Turquie début mars 2022, ce traité n'entrait pas dans les plans de Washington, qui a fait pression (https://t.me/kompromatmedia/3490) sur l'Ukraine pour qu'elle se rétracte.

Et le président russe de s'interroger: «Où est la garantie qu'ils ne continueront pas à revenir sur tout autre arrangement ?»

Conclusion? - Il nous faudra dénazifier jusqu'à Washington!

bliter@diaspora-fr.org

François #ASSELINEAU : l’homme du #Frexit, de la sortie de l’ #OTAN et de l’ #euro - #LivreNoir

top
https://www.youtube.com/watch?v=X5k-IhCMDgw

#FrançoisAsselineau, #souverainiste, #président de l' #UPR et ancien #candidat aux #élections #présidentielles de 2017 est l'invité de Livre Noir. L'occasion d'aborder, avec le ton habituel de monsieur Asselineau, sans langue de bois, les questions liées au Frexit, l' #Histoire, la sortie de l'Otan, la #guerre en #Ukraine, l' #immigration, la question des #alliances entre #souverainistes aux #élections à venir, ou encore #Zemmour et #LePen.
Chaîne YouTube de l'UPR (Asselineau) : https://www.youtube.com/@UprFr

Sommaire

00:00 - Annonce
01:20 - Introduction
01:55 - #Citation #DeGaulle
07:00 - Le #rapport d’Asselineau à l’Histoire
11:14 - Le #complotisme
23:28 - L’ #ingérence de la #France dans le #monde
29:52 - L’ #expérience en #politique face au #jeunisme
39:08 - Les #élites sont-elles #corrompues ou #incompétentes ?
53:10 - Les #dérives #dictatoriales et #autoritaires
01:06:13 - Retour d’ #expérience
01:18:33 - Les #élections #européennes
01:23:45 - Frexit
01:34:46 - #Macron et sa politique
01:51:25 - L’Ukraine
01:55:55 - #ElonMusk
02:05:00 - #Écologie
02:11:50 - #Immigration
02:28:56 - #Islam
02:33:40 - #Poutine, la #religion et l’Histoire
02:43:52 - #Philippot et les guerres souverainistes
02:56:54 - La #monarchie et le Comte de Paris
03:01:49 - L’ #avenir de l’UPR
03:06:18 - Immigration et Zemmour
03:19:45 - L’ #expatriation
03:19:45 - #Conseils de #lecture et perspectives d’ #avenir
03:36:43 - Conclusion

salinger3@diaspora-fr.org

La France poursuit sa bascule démocratique.

Devant les sénateurs, le min. de l'Intérieur Gérald #Darmanin a menacé à demi-mot de s'en prendre au financement publique de la Ligue des droits de l’Homme, organisation historique qui défend les libertés & les droits sociaux.

https://twitter.com/LDH_Fr/status/1643605009676787712

nos infos financières sont en ligne.
Subventions comme dons, nous avons plus que jamais besoin de soutien pour défendre les droits et libertés. Pour faire un don ⬇️
https://soutenir.ldh-france.org

la Ligue des droits de l’Homme, fondée en 1898 en défense de Dreyfus. L’organisation, qui promeut les droits des femmes, milite pour les droits sociaux et ceux des étrangers, a été dissoute jadis par.. Vichy. On est en France ou en Russie?

#ldh #violence #droits #homme #humanité #france #honte #bravm #saintesoline

Des manières dignes de #poutine et de #vichy

salinger3@diaspora-fr.org

Guerre en Ukraine : un Russe séparé de sa fille de 13 ans pour un dessin anti-guerre

https://www.lemonde.fr/international/article/2023/03/28/guerre-en-ukraine-un-russe-separe-de-sa-fille-de-13-ans-pour-un-dessin-anti-guerre-condamne-et-en-fuite_6167326_3210.html

L’affaire a débuté lorsque la fille de M. #Moskalev, Maria, une collégienne âgée de 13 ans, a fait un dessin en classe montrant des missiles se dirigeant vers une femme et un enfant avec un drapeau ukrainien.

Dans un contexte de chasse tous azimuts aux voix critiques de l’offensive en Ukraine, la directrice de l’école a immédiatement alerté la police. Lors de leur enquête sur le père, les autorités disent avoir trouvé des publications en ligne critiquant l’opération en Ukraine, ce qui lui a valu des poursuites pour avoir « discrédité l’armée » russe.

La cour avait reconnu M. Moskalev, 54 ans, coupable d’avoir « discrédité » les forces armées russes, le condamnant à deux ans d’emprisonnement, soit la peine requise la veille par le procureur. Il était placé en résidence surveillée depuis le 1er mars.

En conséquence, M. Moskalev a été assigné à résidence le 1er mars et sa fille placée dans un foyer et privée de tout contact avec son père.

L’avenir de la famille se jouera lors d’un autre procès, qui débute le 6 avril, et lors duquel M. Moskalev risque d’être définitivement privé de son autorité parentale. Son avocat a précisé mardi à l’AFP que Maria Moskalev avait été placée sous tutelle et qu’elle pourrait être « envoyée dans un orphelinat d’ici un mois ».

#poutine #russie #ukraine #dessin #guerre

legeneralmidi@diaspora.psyco.fr

« Je soutiens Poutine, ça fait de moi un monstre ? » : une journée dans une épicerie russe

#ColineRenault

Un an après le début de l’invasion en Ukraine, que se dit-on dans une épicerie russe à Paris ? On y croise une vendeuse certes avenante, mais particulièrement favorable au Kremlin, des Russes plutôt mal à l’aise, un éditorialiste d’extrême droite, et… deux Ukrainiennes. Reportage.

Elena* fond en larmes. « Je suis #russe, et alors ? » Nous sommes dans une minuscule épicerie russe de l’est parisien, devanture élégante, presque snob, intérieur soigné, mais pas aseptisé. Une avalanche de friandises multicolores scintillent sur les étals. Il y a les œufs russes et les samovars, et puis ce mannequin vêtu d’une tenue traditionnelle dans la vitrine, seule touche un peu kitsch qui donne à l’endroit quelque chose d’authentique… Bref : quelque chose de russe.

La vendeuse vient d’ouvrir ; elle refuse d’abord de parler. Des journalistes, elle en a vu défiler. En revanche, elle veut bien nous montrer ses produits : les truffes de #Moscou, du champagne de #Crimée, du vin géorgien, du riz ouzbek, du fromage de Riga, du tarama biélorusse… et des gâteaux de Kiev. Cette liste, finalement, la fait craquer, les larmes dévalent ses pommettes hautes et elle finit par avouer sans même qu’on l’ait interrogée : « Oui, je soutiens #Poutine, et alors ? Ça fait de moi un monstre ? » Elle, sans doute pas. Mais que dire du chef du Kremlin ?

En #Russie, un an après le début de l’invasion, trois quarts des habitants sont favorables à la politique de Vladimir Poutine. Difficile de savoir où se situent les quelque 50 000 membres de la diaspora établis en France. Il y a bien sûr les libéraux, qui ont fui le pays après le début du conflit en #Ukraine ; Des artistes, des intellectuels… Mais quid du reste de la communauté ? « C’est 50–50 », estime Elena, qui évacue le sujet. « Pas de politique dans cette boutique ! » Vraiment ? Un instant plus tard, trois jeunes hommes goguenards ouvrent la porte en lançant : « Slava Ukrainya ! » (« Gloire à l’Ukraine ! ») Ils s’esclaffent, très fiers de leur blague. Mais Elena fait les gros yeux. Depuis le début de la guerre, elle dit avoir été agressée au moins à trois reprises. « C’est vraiment pas facile », soupire-t-elle, fourrant dans les mains des poignées de chocolats, les meilleurs de Moscou.

Retour soviétique

Dans le creux de l’après-midi passent quelques clients, des riverains parisiens, très « citoyens du monde ». Elena offre son café, un, deux, des sablés, des chocolats, elle veut partager, faire goûter, une façon pour elle de défendre son pays natal. « Vous voyez ? La Russie, c’est tout ce qu’il y a dans ce magasin. C’est 163 peuples. Mes clients, je leur dis : « Nous sommes comme au temps de l’URSS : tous frères et sœurs ». Comme un certain nombre de Russes, Elena croit encore en l’ #Union Soviétique, à la Russie éternelle. Bien au-delà de la propagande, c’est une conviction profonde, viscérale. Elle semble de bonne foi quand elle raconte l’incroyable diversité et richesse de ses peuples ; elle-même est tatar, elle a grandi à Oufa dans une famille musulmane, mais ses sœurs sont converties à l’orthodoxie, ce qui n’a pas posé de problèmes aux aînés « tant qu’elles restaient des gens bien ».

La vendeuse a lu Zola, Rabelais, Balzac, cite Louis de Funès et Saint-Exupéry. Elle est venue en France en 2005 pensant que tous les hommes ressemblaient à Belmondo, s’est mariée avec un Français – qui ne ressemble pas vraiment à Belmondo. D’abord caissière à Auchan, elle a gravi les échelons pour devenir directrice adjointe du magasin, avant de démissionner pour ouvrir son épicerie : le projet d’une vie. L’inauguration est prévue en mars 2022, quelques jours après le début de l’invasion russe. Elle n’en dort pas la nuit, persuadée que les banquiers vont renoncer. La boutique prend alors un nouveau sens : défendre la culture russe au-delà des conflits.

Une jeune fille entre dans la boutique et remplit son tote-bag d’étudiante de salade olivier, de cornichons et de plombir, une glace à l’amande, à l’aise, comme chez elle. Née à Moscou, elle a grandi en France de parents russes, et lorsqu’elle évoque le conflit, quelque chose en elle semble résister, la peur de trahir, peut-être l’orgueil : « Je ne vais pas renier mes origines », répète-t-elle. Au début de la guerre, des camarades de classe l’ont traitée de terroriste. « La politique ça ne me concerne pas. La Russie, c’est mon sang, ma famille. »

Quant à cette grande femme élégante qui sort avec précipitation de la boutique, elle balaie les questions en secouant la tête comme pour chasser une mouche agaçante : « De toute façon, les Français, vous détestez Poutine », soupire-t-elle.

Fierté amère

N’y a-t-il pas quelqu’un, dans cette boutique, pour condamner la guerre ? Il y a bien Benoît, qui vient acheter des œufs de saumon pour sa compagne Olga. Il a rencontré cette ex-moscovite sur internet, une artiste, une libérale, opposante résolue à Poutine, mais qui refuse de parler du conflit, même avec son conjoint. Trop douloureux. Elle appelle sans cesse sa famille restée au pays, qui elle soutient la guerre menée par le Kremlin. « C’est très compliqué de manifester son soutien à l’Ukraine sans renier ses origines », analyse Benoît. Depuis l’invasion, le patriotisme a pris un goût amer et critiquer Poutine revient à renoncer à la grandeur d’un pays qu’on se refuse à désavouer.

Elena se met à ses commandes : les produits ne viennent pas directement de Russie, mais sont importés d’Allemagne, où une entreprise fabrique des produits slaves aux normes européennes. Puis elle se détache, mal à l’aise dans le silence de l’après-midi. « Les Ukrainiens avaient tout ce dont ils avaient besoin au temps de l’URSS. Tout le monde vivait bien. Pourquoi ils nous rejettent maintenant ? ». Ils avaient tout… sauf de la nourriture, pour qui connaît l’histoire des grandes famines qui ont meurtri l’Ukraine dans les années 30, faisant des millions de morts.

Elena poursuit en évoquant ce client, qui lui a un jour dit « La Russie, c’est la nostalgie ». « Comment ça la nostalgie ? », s’emporte-t-elle. « La Russie n’est pas terminée. La Russie est grande, la Russie c’est l’avenir. Poutine, le sait. Lui, au moins, il nous défend. » Elle s’interrompt pour saluer le nouvel arrivant, un voisin, éditorialiste pour des journaux « pas trop en désaccord avec la Russie » – comprenez, l’Incorrect et Boulevard Voltaire. Affable, il s’essaie à une analyse acrobatique du conflit : « Rien n’est noir ni blanc. La situation est complexe ». Un adjectif bien commode.

Le retour des Ukrainiens

Elena, elle, se lâche. La vendeuse accueillante qui nous a généreusement gavés tout un après-midi de friandises livre le fond de sa pensée ; mot pour mot, la propagande du Kremlin – il faut défendre le #Donbass, c’est atroce ce que l’armée ukrainienne fait là-bas, d’ailleurs le problème, « ce ne sont pas les Ukrainiens, ce sont les nazis », oui, les mêmes qui l’ont privée de ses grands-pères en 45, ils sont désormais légion en Ukraine, il existe même un proverbe ukrainien qui appelle à « pendre tous les Russes », et puis, elle a rencontré une femme, originaire d’Odessa , qui lui a assuré que ceux qui ne parlent pas ukrainien y sont désormais enlevés et torturés.

Le jour tombe. La tension monte. Elena veut nous convaincre. Deux femmes pénètrent dans la boutique, elles parlent russe. Elles sont ukrainiennes, et tombent dans les bras d’Elena qui les salue chaleureusement et assure la traduction : elles viennent acheter du Kvas, cette boisson si populaire en Ukraine, enfin en Russie, on ne sait plus trop, elles ont appris le russe à l’école, toute leur famille est en Russie, elles n’ont rien contre leurs voisins. Elena les embrasse et les raccompagne à la porte. « Pour des Ukrainiennes, elles n’ont pas l’air de vouloir vous pendre ! », lui fait-on observer. Un peu désarçonnée, l’épicière bafouille ; non, elle n’en veut pas aux Ukrainiens, seulement aux nazis, les Ukrainiens eux, ont tous deux bras deux jambes, (sauf les blessés, est-on tenté de rétorquer) il faut les sauver du nazisme. Et d’ajouter : « Je ne dis pas tout ça parce que je suis russe, vraiment. Mais on ne dit pas de mal de sa mère, même quand elle se comporte mal ».

#CharlieHebdo

alaincognito@diaspora-fr.org

Il faut aussi savoir que les trois chaînes d’infos continues les plus célèbres, LCI, CNews, et BFMTV, ont délibérément et quasiment cessé de faire de l’international. Elles couvrent l’Ukraine uniquement parce que cela angoisse, à juste titre, les Français dans leur quotidien, et c’est donc susceptible de faire de l’audience.

Alors que pour la guerre en Ukraine, il y a grossièrement un « gros méchant », Poutine, et un peuple qui résiste avec courage.
C’est le récit que les médias ont adopté pour attirer le lectorat et l’audience. Ils ont un besoin de manichéisme, même quand il est flagrant comme ici, pour accrocher l’attention.

https://basta.media/vendredi-debat-pourquoi-les-medias-s-interessent-ils-a-la-guerre-en-ukraine-mais-pas-aux-guerres-au-Yemen-et-en-Ethiopie

#guerre #medias #ukraine #russie #poutine #zelensky

alaincognito@diaspora-fr.org
salinger3@diaspora-fr.org

Ilia Iachine était le dernier leader de l’opposition encore en liberté. il vient d’être condamné à 8 ans et demi de prison pour avoir critiqué la **guerre **en Ukraine.

il était le dernier leader de l'opposition à ne pas avoir fui ou échoué derrière les barreaux. Ilia Iachine, 39 ans, purgera une peine de prison de huit ans et six mois pour avoir dénoncé les crimes de guerre en Ukraine et donc « discrédité » l'armée russe.

Comme Alexeï #Navalny, 46 ans, condamné à 9 ans de prison, ou Vladimir #Kara-Mourza, 41 ans, arrêté en avril à son retour en Russie et accusé de haute trahison, Iachine ne s'imaginait pas quitter le pays. « La police n'arrêtait pas de lui dire : c'est votre chance, on vous laisse partir, raconte Ilia Mishchenko, l'un des anciens membres de son équipe, mais il considérait qu'un exil lui ôterait l'autorité morale pour participer un jour à la reconstruction politique du pays. »

#ukraine #russie #poutine #information #prison #liberté