#déforestation

paco146@diaspora.psyco.fr

Brésil : empêchez l’électrocution des singes hurleurs !

#pétition #Brésil #déforestation #écocide
Les singes hurleurs sont menacés d’extinction dans le sud du Brésil en raison de la déforestation et de la fragmentation de leur habitat. Ils sont également victimes d’électrocution dans la région de Porto Alegre, car les opérateurs de réseau n'isolent ni ne sécurisent suffisamment les lignes et les poteaux électriques.

dudababel@diaspora-fr.org

Le bois sale d'IKEA

Depuis près d'une décennie, IKEA s'est lancé dans une frénésie d'achat de terrains, s'emparant de forêts ancestrales en Roumanie.

Le géant de l'ameublement est aujourd'hui le plus grand propriétaire foncier privé du pays. Cependant, de récents rapports alarmants ont révélé ses pratiques d'exploitation forestière destructrices dans quelques-unes des dernières forêts anciennes d'Europe.

Face à ces accusations, IKEA a réagi en lançant une campagne de communication visant à discréditer cette étude et à tromper le public. Mais nous ne les laisserons pas s'en tirer à si bon compte.

En unissant nos forces, nous pouvons riposter par notre propre campagne de communication pour que le public apprenne la vérité sur la provenance du bois d'IKEA, et que soit dénoncée la fausse image écologique que l'entreprise aime cultiver. Nous ciblerons ensuite son PDG avec de puissantes publicités jusqu'à ce que l'entreprise change ses pratiques.

IKEA se vante de son bilan environnemental, mais ses acquisitions massives de terres forestières révèlent une réalité bien différente. IKEA possède aujourd'hui 51 000 hectares de terres en Roumanie, où les deux tiers des forêts vierges du pays ont disparu depuis 2007.

L’entreprise est aujourd’hui dénoncée pour avoir coupé à blanc ces forêts sans permis ni études d'impact sur l'environnement. Ce bois se retrouve ensuite dans des meubles vendus en Allemagne, en France et au Royaume-Uni.

Cette situation dépasse largement les frontières de la Roumanie. IKEA est le plus grand consommateur de bois au monde, et cette tendance croît à une vitesse alarmante. Au cours de la dernière décennie, le géant de l'ameublement a DOUBLÉ sa consommation de bois !

Si nous ne forçons pas l'entreprise à rectifier ses pratiques, il sera bientôt trop tard. Toutefois, nous savons que la pression de l'opinion publique peut contraindre IKEA à revoir ses positions. En 2021, une enquête a révélé qu'IKEA utilisait du bois russe obtenu illégalement pour fabriquer ses meubles pour enfants. Après un tollé général, IKEA a promis de cesser de s'approvisionner auprès de ce fournisseur aux méthodes illicites.

Nous devons désormais redoubler d'efforts pour sauver les dernières forêts de Roumanie. Êtes-vous prêt à soutenir notre campagne de communication pour faire pression sur les dirigeants d'IKEA et les inciter à changer de cap avec des publicités percutantes ?

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Allison Johnson sur Eko (je n'arrive pas à vérifier son identité)


Documentation :

#foret #forêt #forets #forêts #roumanie #ikea #couperase #coupe_rase #écologie #ecologie #deforestation #déforestation

dunoir@diaspora-fr.org

Mine de Lithium au Portugal a Montalegre

#Capitalisme #Extractivisme #Mine de #Lithium #Écologie

Brochure pour lutter contre l’ouverture d’une mine de lithium à Echassières, Allier

Contre le capitalisme et l’extractivisme

Le monde lourdement, matériel et polluant de la tech, du virtuel et de l’IA, de l’électrification transitionnelle, de l’internet et du numérique commence par de nombreuses mines. Des millions de tonnes de roches sont extraites, broyées, traitées chimiquement avec des produits toxiques pour récupérer de très faibles pourcentages de #minerai utiles. Ce qui génère #pollutions de masse, gabegie d’ #énergies, #déforestation, #défiguration... (sans parler de tous les dégâts et gabegies commis par l’usage, les infrastructures et la fabrication des objets qui sont alimentés par ces #batteries au lithium, notamment les bagnoles électrifiées)

Et la « transition » ...du business capitaliste exige de plus en plus de mines, avec des taux de minerais utiles toujours plus faibles...

Exemple avec une mine de lithium à combattre, en projet en France dans l’Allier : (...)

magdoz@diaspora.psyco.fr
dandauge@fedi.thechangebook.org

Un nouvel Observatoire de l'UE sur la #déforestation et la dégradation des #forêts dans le monde est désormais disponible en ligne

Image/photo

Un nouvel Observatoire de l'UE sur la #déforestation et la dégradation des #forêts dans le monde est désormais disponible en ligne

Le Centre commun de recherche (JRC) met à la disposition du public l'Observatoire de l'UE sur la déforestation et la dégradation des forêts dans le monde. L'Observatoire présente des cartes et des données sur les changements de la surface des forêts dans le monde et les facteurs associés, tels que la déforestation, l'exploitation forestière, les incendies de forêt, les événements extrêmes, la défoliation par les insectes, ainsi qu'un aperçu de la répartition des espèces d'arbres. Il contient également des statistiques sur les flux commerciaux, des données sur les quantités produites et les superficies récoltées dans chaque pays producteur : https://forest-observatory.ec.europa.eu/

#Environnement #Biodiversité

part_of_you@diaspora.psyco.fr

Nicolas #Casaux
LE #VÉLO, UN PRODUIT INDUSTRIEL COMME UN AUTRE

S’il y a bien un produit associé à l’ #écologie, aujourd’hui, c’est le #vélo. Cyril #Dion fait du vélo. Bon Pote nous dit qu’aller au boulot en vélo sauvera le monde. Etc. Le vélo, c’est #écolo.

Et pourtant non. Le vélo est un pur produit de l’ère industrielle. Comme l’a noté le chercheur au CNRS Philippe Gaboriau : « Machine de loisir, moyen de transport, instrument de sport, le vélo, inventé au début du XIXe siècle, se présente comme un original objet historique, un témoin privilégié qui permet d'observer les transformations culturelles de la France au cours des deux derniers siècles. » Le vélocipède, « cheval mécanique et progressiste », « puise ses valeurs dans l'univers séparé de “la classe de loisir”. Il est lié aux consommations excédentaires d'argent et de temps (loisirs, sports, tourisme), au rêve d'âge d'or industriel de la bourgeoisie ». Initialement, son « prix très élevé le rend inaccessible pour les milieux populaires ».

La démocratisation du vélo, c’est-à-dire le début de sa production en masse, industrielle, commence à la fin du XIXe siècle. Mais c’est surtout au cours du XXe siècle que « la #bicyclette, produit industriel type, va devenir accessible à ceux qui la produisent ». En « 1818-1819, la France compte 500 (?) vélos ; de 5 à 6 000 en 1869 ; 50 000 en 1890 ; 300 000 en 1895 ; 980 000 en 1900 ; 2 240 000 en 1907 ; 3 000 000 en 1911 ; 3 550 000 en 1914 ; de 8 000 000 à 10 000 000 de 1928 à 1939 ; 9 200 000 en 1969 ; 15 000 000 en 1979 ; 17 000 000 en 1987 ».

« Produit industriel type » parce que la fabrication du vélo requiert de nombreux outils, de nombreuses machines-outils, de nombreux matériaux (acier, caoutchouc, aluminium, bronze, etc.), des usines, de nombreux savoir-faire, une importante division et une importante spécialisation du travail. Et les hiérarchies que ça implique.
Et grâce au vélo, on a fait des bagnoles :
« Avant même que le prix du latex ne soit rendu plus abordable, de nouveaux usages furent imaginés, d’abord pour les vélos, ouvrant la voie à ce qui sera le principal marché de l’histoire de la culture de l’ #automobile. En 1887, à Belfast, le vétérinaire irlandais John Boyd #Dunlop imagine un tube souple gonflé pour remplacer les #pneus pleins. Un après-midi d'hiver de 1887, il rentre chez lui à pied et entend un bruit de ferraille sur la route : c’est le tricycle de son fils. Dunlop y réfléchit pendant plusieurs semaines, puis il démonte le tricycle de son fils, en retire les roues arrière, arrache leur mince segment de caoutchouc et remplace l'étroite gorge qui le maintenait en place par une large jante en bois d'orme.
Puis il fixe sur cette jante, avec de la colle spéciale à caoutchouc, une “chambre” de caoutchouc souple qu'il enferme dans une enveloppe de toile de coton, et il gonfle cette chambre à l'aide d'une pompe de ballon de football. Les premiers essais ont lieu sur un chemin de campagne, la nuit du 28 février 1888. Le 23 juillet 1888, il dépose un brevet qui permettra d'utiliser le #caoutchouc pour la fabrication de #pneumatiques. Dès 1889, des pneus sont utilisés en compétition cycliste, avec 4 victoires consécutives de William Hume, remportées sur sa bicyclette équipée de pneumatiques Dunlop, lors des jeux sportifs de Queens College
.

Quatre ans après, en 1892, les frères #Michelin (André et Édouard Michelin) présentent les premiers pneus démontables pour vélos et autos. En 1895, la première voiture équipée de pneumatique démontable avec chambre à air est présentée au public. Jusqu'à cette date, les #pneus étaient pleins. L'alliance entre l'automobile et le pneumatique ne se démentit dès lors jamais, au point qu'au cours du XXe siècle, nombreuses furent les recherches ayant pour but de mettre au point des ersatz ou substituts synthétiques. »

Le développement du vélo a encouragé le #colonialisme et la #déforestation en Amazonie. La découverte de la vulcanisation et de la chambre à air dans les années 1850 engendre une « fièvre du caoutchouc » en #Amazonie, et donc dans des pays comme le Brésil, la Bolivie, le Pérou, la Colombie et l’Équateur. À la fin du XIXe siècle, le caoutchouc devient « l’or blanc » de l’ère industrielle. Une denrée prisée, « que récoltent des milliers d’indigènes d’Amazonie exploités par des hommes d’affaires sans scrupule ».
Et pas seulement en Amazonie. Les États coloniaux (Royaume-Uni, France, Belgique, etc.) vont aussi créer des plantations d’ #hévéa en Asie (Malaisie, Thaïlande, Indonésie, etc.) et en Afrique (Ghana, Congo, etc.).
« En Centrafrique, les colonisateurs français ont après les étapes de la pacification du territoire imposé un régime de colonie d’exploitation confié à des compagnies concessionnaires qui introduisent le portage et l’exploitation caoutchoutière, pour bénéficier de la hausse des cours, grâce à l'abondance des précipitations (de 1500 à 1800 millimètres par an en moyenne) et à une saison sèche courte et pas trop sévère, mais en faisant baisser les productions agricoles traditionnelles des populations oubanguiennes. »

Et puis il faudrait examiner les effets de la production en masse des vélos sur les extractions minières. D’où venaient — d’où viennent — les #métaux. Qu’impliquait — qu’implique — leur traitement. Et ainsi de suite. Quoi qu’il en soit, le vélo n’a jamais rien eu de véritablement écologique. Et la production des vélos modernes est encore plus complexe que celle des tout premiers vélos :
« En raison des coûts moins élevés des matières premières et de la main-d'œuvre, l'Asie est devenue le centre de la production mondiale de vélos. Tandis que les États-Unis ne produisent qu'un demi-million de vélos par an (0,5 % de la production mondiale), la Chine, l'Inde et Taïwan sont les trois premiers producteurs de vélos et de pièces détachées, ce qui témoigne d'une industrie complexe et fragmentée d'une portée véritablement mondiale. Un vélo construit à partir de pièces fabriquées à Taïwan peut être assemblé en Europe, puis expédié vers des destinations aussi éloignées que les États-Unis, l'Afrique du Sud ou le Brésil.
“C’est un monde très intégré”, explique Will Butler-Adams, directeur général de Brompton Bicycle, un fabricant britannique de vélos, situé à Brentford dans le Grand Londres. “Nous dépendons toujours d'une chaîne d'approvisionnement mondiale diversifiée : les jantes viennent de Belgique, le #titane de Chine, le métal de Taïwan, les engrenages de moyeu d'Amérique. Nous achetons des matières premières sur un marché et les revendons sur ce même marché.” » (BBC, « How is a #Bicycle made? », 2019)

En bref, à défaut d’écologie, le vélo est un bon symbole du #capitalisme industriel mondialisé.
Le choix du vélo comme symbole en dit long sur la nature de l’écologisme dominant — celui de Dion, de YAB, de Nicolas #Hulot, du gouvernement, des COP, de France Culture, etc.
Née avec l’essor du capitalisme industriel, la production de vélos disparaîtrait sans lui.
Nous sommes à ce point déconnectés du réel que nous n’avons aucune idée du genre de technologies que pourraient produire des sociétés réellement écologiques et réellement démocratiques.
En guise de symbole de l'écologie, c'est plutôt le panier en osier, ou quelque #technologie du même registre, qu'il aurait fallu choisir.

#histoire #dgr

bliter@diaspora-fr.org

[ #PDM #3] – Les #HORREURS du #CHOCOLAT #industriel. - #TroubleFait

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https://www.youtube.com/watch?v=irJ546CFcZU

Le chocolat fait partie de ces produits nobles qu’on aime offrir. Les boites respirent le luxe, la #tradition, la #gourmandise… la #déforestation, le #travail des #enfants, l’ #excès de #sucre et de #matières #grasses bas de gamme !
Aujourd’hui nous allons faire un tour d’horizon excessivement complet du #marché du chocolat en #Europe, tenu aujourd’hui par une poignée de #multinationales, qui vous vendent un prix et un #emballage et bien peu de #cacao.
Bien sûr le #goût est #subjectif, mais le #rapport #qualité #prix l’est beaucoup moins, surtout si on intègre des paramètres #écologiques et #sociales.

Après cette #vidéo, vous serez bien mieux équipé pour faire votre choix, en évitant les #pièges, les #arnaques et les #produits de #merde !
Bon appétit, bon courage et bonne chance !

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00:00 Intro.
01:15 L’h #istoire du chocolat.
07:00 [Partie #économie] - La #production des fèves de cacao.
21:26 Le cacao « #durable ».
30:36 [Partie #agricole] - La production des fèves de cacao.
38:10 Les #dingueries de la #fabrication du chocolat
51:36 Les #chocolatiers
01:06:46 Point #boutique

[Plus d’infos]

#Bibliographie :
François Ruf – #Boom et #crise du cacao
Amaryllis Ghislain – #Analyse économique du marché du chocolat
Samuel Igbatayo – La domination des sociétés multinationales dans la chaine de valeur du cacao
Denis Pompidou Folefack – Commercialisation du cacao en zone forestière du sud Cameroun
Léo Battino – Les méfaits du libéralisme sur les marchés agricoles
Jean-Baptiste Pany – Le cacao profite-t-il encore à la Côte d’Ivoire ?

tina@diaspora.psyco.fr

Huit pays de l’Amazonie s’engagent contre la déforestation.

La création d'une entité intitulée "Alliance amazonienne de combat contre la déforestation" est stipulée dans une déclaration commune signée par le Brésil, la Bolivie, la Colombie, l'Équateur, le Guyana, le Pérou, le Suriname et le Venezuela.
Il s'agit des huit pays membres de l'Organisation du traité de coopération amazonienne (OTCA), créée en 1995 dans le but de préserver cette vaste région qui abrite environ 10% de la biodiversité mondiale et qui ne s'était plus réunie depuis 2009.

La nouvelle alliance "a pour but de promouvoir la coopération régionale dans le combat contre la déforestation, pour éviter que l'Amazonie n'atteigne le point de non-retour" et qu'elle émette plus de carbone qu'elle n'en absorberait, ce qui aggraverait le réchauffement de la planète.

#Amazonie #forêt #biodiversité #déforestation #coopération #alliance