#actionnaires

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #cinéma #autre #monde #Lindon #Kiberlain #PDG #entreprises #économie #marché #actionnaires #scrupules #social

Un autre monde 
On ressort essorés d’ « Un autre monde » de Stéphane Brizé avec Vincent Lindon et Sandrine Kiberlain, tant la violence est omniprésente dans les propos et dans les situations. Un monde de brutes, de tueurs celui des grandes firmes internationales où les actionnaires et le marché font la loi. Philippe le PDG se débat entre les exigences des uns et la résistance des autres. Son couple bat de l’aile, son fils subit un burn-out. C’est beaucoup, même pour un PDG de tout premier ordre. Philippe et Anne ne se comprennent plus, ne comprennent plus le sens de leur vie. Un monde en équilibre instable qui bascule. Vincent LINDON est comme toujours très convaincant dans son rôle de PDG malmené, Sandrine Kiberlain, épouse éplorée à un rôle délicat, car elle subit tout du long les aléas de l’histoire sans aucune maîtrise sur l’issue.
Dans la vraie vie j’ai quelques doutes sur les atermoiements de ce PDG d’une grande entreprise internationale. Il n’est certainement pas là par hasard. Il a fait les grandes écoles qui ont dû le formater pour ça. Il sait et à assimilé dès le départ les exigences du marché et des actionnaires : des économies pour augmenter les dividendes. De l’électroménager, de l’automobile, des yaourts, des petits-pois… Peu importe, on est là pour faire fructifier l’argent des actionnaires pour donner confiance au Marché.
Il se peut que certains, à la longue, aient quelques scrupules à mettre en place un énième plan social…. Mais ils sont bien vites balayés, les hommes ou les scrupules. Le système est bien huilé et trouvera toujours des hommes «courageux » . C’est le terme employé dans le film, pour faire le job.
J’ai bien aimé ce film, Vincent et Sandrine sont toujours excellents. C’est une belle histoire où la conscience, le scrupule l’emportent sur l’intérêt égoïste, même si en y réfléchissant un peu, je trouve ce film un brin gentillet avec ses airs de grand chevalier blancmais bien sûr ce n’est que du cinéma.

legeneralmidi@diaspora.psyco.fr

A : Greenpeace
Re: Votre dose de détermination pour l’automne

Bonjour,

Je vous donne de l'argent mensuellement je crois, depuis des années, même quand j'étais au RSA et que des gens qui gagnaient mieux leur #vie que moi m'appelaient gentiment pour me demander de donner plus.

Ça ne sert à rien.

La vie sur terre telle qu'on l'a connue va radicalement changer dans les prochaines décennies.
Les #humains ainsi que la majorité des grands #vertébrés vont disparaître, entre autre parce que j'aurai pu lire vos infos et coups d'éclats sur mon super #smartphone via les #réseauxsociaux gigantesques, soutenus par une incroyable sophistication technologique.

Je veux cependant bien continuer à vous soutenir avec mes #allocations #chômage. Juste pour emmerder les grandes #entreprises, les #actionnaires, les #gouvernements anti-démocratiques.

Pas du tout parce-que je crois en un #avenir pour mes fils et moi.

L' #humanité a le sort qu'elle s'est choisi. Et elle entraîne avec elle des multitudes de formes de vie qui n'ont rien demandé.

Avec toute ma cordialité.

T. A.

magdoz@diaspora.psyco.fr

Rappel : #Médecine : Différence de résultat et de qualité entre les études #randomisées et les études #observationnelles ? AUCUNE

Voilà Raoult, en #commission devant les #députés (et donc, sur une sellette officielle, par sur yt !). Sur ce sujet des #essais #randomisés.
Extrait 1min https://www.dailymotion.com/video/x7w809a

Selon Didier #Raoult: "Il n'y a pas de différence entre les études randomisées et les études observationnelles.

Eux, ils ont analysé 150 méta-analyses, des analyses qui regroupaient plusieurs analyses, donc plus de 4000 analyses, pour regarder s'il y avait une différence de résultat et de qualité entre les études randomisées et les études observationnelles, et la conclusion, c'est qu'il n'y a pas de différence.

Des travaux faits par d'autres que Raoult ou l' #IHU, que cite ici Raoult.
Les études randomisées sont un outil, de math, au service de la médecine, oui, mais pas le seul outil. En médecine, on peut aussi observer les #malades, au lieu de rester planqué dans son bureau face à son écran pc pour faire sérieux, où des milliers de chiffres défilent. Merci les #statisticiens, ou les #mathématiciens, mais ils ne sont pas #médecins !
(Sans compter certains qui manipulent la #statistique et qui en plus, nous aident à avancer dans ce dédale d'infos et de #propagande...)

Les blâmes de Raoult n'engagent que ceux qui les font. Ce n'est pas sérieux. Car la #diffamation n'a jamais fait avancer la #science.
Et cette étude que cite Raoult se retrouve, suffit par exemple de revenir sur l'enregistrement complet de cette commission, qui se trouve sur le Net, pour retrouver les références de cette étude.

Petit rappel, donc, pour ceux qui ont la mémoire courte, ou sélective, qui continuent de blâmer un chef d'un service comme l'IHU, d'incompétence, de #méthodologie mauvaise, et j'en passe.

Et en plus, ce sont des #méta-analyses, plus de 4000 #analyses qui le confirment, et pas Raoult, qui ne fait que citer cette méta-analyse.

Certes, les études randomisées permettent d'éviter les #biais. Mais Raoult ne s'y oppose pas, il dit simplement qu'on peut progresser aussi, par des études observationnelles. Il ne nie pas les études randomisées, donc. C'est un outil.

Ceux qui n'aiment pas Raoult, c'est leur droit, pas de souci, et je m'en fous à vrai dire.

Ce qui compte, ce n'est pas le personnage, mais le travail, le sérieux. Ce qui compte, c'est le #ServicePublic ! Et le travail d'un #Fonctionnaire, dont le salaire ne changera pas, qu'il en fasse plus, ou pas !
Ceux qui continuent de blâmer Raoult, par exemple question #méthodologie, ont manifestement subi l' #endoctrinement des #médias, de #BigPharma, car il faut absolument faire passer le #vaccin comme seul #remède, pour garantir le #business des #actionnaires !
Et ils sont nombreux, #médecins en tout genre, à avoir décidé de jouer dans ce sens, une certaine Karine Lacombe par exemple :

N°4. La Pr Karine #Lacombe de Paris - Saint Antoine. 212.209 € [de Big #Pharma], dont 28.412 € de #Gilead.

En toute bonne foi, pour ceux qui sont honnêtes avec eux-mêmes, il n'y a rien à rajouter sur le sérieux du travail de Raoult.

Ce qui n'empêche pas les revirements #scientifiques, sur l' #HCQ par exemple.

Reste maintenant à savoir, si on pourra un jour mener à bien une étude sérieuse et qui aille jusqu'au bout, pour savoir si le traitement de l'IHU, est efficace ou non, ou si c'est juste un #placebo, car on sait déjà au moins une chose : au pire, l' #HCQ ne soigne pas.
Pour cela, en amont, faudra déjà faire sauter le verrou #politique qui bloque L' #hydroxychloroquine, pour pouvoir étudier l'impact du #traitement anti #Covid : hydroxychloroquine + #azithromycine, au début, dès les premiers #symptômes #Covid-19, pour éviter les cas graves !
Raoult indique qu'il a une #publication qui a été acceptée, qui stipule que l'on ne peut se prononcer actuellement sur l'HCQ, car aucune étude n'a été menée sérieusement et jusqu'au bout. La suite est encore à venir à propos de l'HCQ, tôt ou tard.

Quant à l' #ivermectine, ça se bouge déjà, du côté de l'institut #Pasteur : https://www.nouvelobs.com/societe/20210713.OBS46503/l-ivermectine-un-traitement-prometteur-contre-le-covid.html

Bref, le #Soin ! #Soigner les gens ! Voilà ce qui compte.
Merci à l'équipe de l'IHU.

magdoz@diaspora.psyco.fr

LE FABULEUX DESTIN DE BERNARD #ARNAULT - TRIBUNE (+ une note sur #BHL)
https://ytprivate.com/watch?v=a1Y-1z-eqjA ou https://youtu.be/a1Y-1z-eqjA

Les grands #actionnaires se sont construits leur #fortune, en exploitant #hommes et #nature, depuis des siècles par l' #esclavagisme, le #colonialisme et d'autres "belles valeurs"...
BHL en est un exemple parmi d'autres. Lui qui se dit empreint d' #humanisme, est en fait un #FilsÀPapa. En effet, son père a construit sa fortune en déforestant l'Afrique pour du #bois précieux et en exploitant les #autochtones pour faire le boulot de #déforestation. (Faut pas rêver, ce n'est pas avec ses frêles #mains, que BHL, s'est fait sa #fortune... )

Une petite #vérité bien pesée, pour tous ceux qui croient que c'est leur force d' #entreprendre qui les a rendus #riches ?
Ben voyons...

« Si la #richesse était le résultat inévitable du dur #travail et de l’ #entreprise de projets, chaque #femme en #Afrique serait #millionnaire » (Georges Monbiot) / Photo : Finbarr O’Reilly

Quant à l' #homme le plus #riche de #France, #BERNARDARNAULT ?
17min, pour remettre à sa place, ce petit fils à papa, pas du tout #SelfMadeMan...
À ne pas manquer, une vidéo qui ne manque pas d' #ironie :
#économie #politique #ploutocratie

LE FABULEUX DESTIN DE BERNARD ARNAULT - TRIBUNE
bastamedia@framasphere.org
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Avec près de 1,7 milliard d’euros, BlackRock est le premier bénéficiaire des dividendes du CAC40

Qui sont les premiers profiteurs des 51 milliards d’euros de dividendes versés en 2021 par les sociétés du #CAC40 malgré la crise et les nombreuses aides publiques reçues ?

Sans surprise il s'agit du gestionnaire d'actifs #BlackRock avec près de 1,7 milliard d’euros, connu notamment pour influencer des politiques publiques, comme la récente réforme des retraites.

1,7 milliard d'euros c'est l’équivalent de la rémunération de près de 35 000 personnels hospitaliers (soignants et non soignants) sur une année, ou de quoi payer l’hospitalisation en réanimation d’environ 33 000 personnes infectées par le Covid-19 et souffrant de symptômes graves. Cela correspond aussi à l’équivalent de la construction de 42 lycées ou 1200 kilomètres de lignes TER, ou à la mise en place d’une aide sociale de 1000 € par étudiant.e.

Dans ce podium des bénéficiaires des dividendes du CAC40 on retrouve également Bernard Arnault, Vincent Bolloré ou encore l’État. https://www.bastamag.net/Avec-pres-de-1-7-milliard-d-euros-touches-ce-printemps-BlackRock-est-le-premier?var_mode=calcul

La campagne #AlloBercy continue! Mobilisez-vous pour forcer le pouvoir exécutif et les entreprises à rendre des comptes
Index pointant vers la droite
https://kisskissbankbank.com/fr/projects/allo-bercy/

#Multinationales #Dividendes #Actionnaires #LVMH #Total #Sanofi #ReformeDesRetraites #Nestlé #LOreal #ArgentPublic #AidesPubliques #TaxTheRich #TaxonsLesRiches #Palmares #Podium #InteretGeneral

legeneralmidi@diaspora.psyco.fr

3 mn hebdomadaires pour comprendre l' #économie

J'adore #LaBulleéconomique de #MarieViennot

https://www.franceculture.fr/emissions/la-bulle-economique

Aides publiques aux entreprises : conditions peu claires, rares remboursements et demain ?
Réécouter Aides publiques aux entreprises : conditions peu claires, rares remboursements et demain ?

Quand une entreprise ferme ou licencie, se pose la question du remboursement des aides qu'elle a pu toucher au préalable. Un rapport parlementaire prône plus de clarté dans les contrats. Mais les pouvoirs publics peuvent-ils imposer leurs conditions aux entreprises ? Question de volonté politique.

Bridgestone a décidé de fermer son usine de Béthune après avoir touché des aides de l'Etat, la Région, l'agglomération. Seule l'agglo a lancé une procédure pour être remboursée, Bridgestone conteste, c'est entre les mains de la justice.

Nous sommes à Béthune, fin novembre, lors d’une journée d’action, devant l’usine qui fermera définitivement ses portes le 2 mai. Le délégué CGT qui accuse, n’est pas le seul à pointer les aides publiques dont a bénéficié la multinationale japonaise.

Même dans le camp des Républicains, un député de l'Aisne propose de durcir les lois pour que les aides nationales comme le Crédit Impot Recherche ou le Crédit Impot Compétitivité Emploi soit remboursable.

Aujourd’hui, ce n’est pas le cas. Un rapport parlementaire rendu la semaine dernière le dit ainsi.

Il est immoral que l’usine de Bridgestone ferme après avoir reçu un million 800 000 euros du #CICE, le Crédit Impot Compétitivité Emploi, et 620 000 euros d’aides régionales, mais aucune législation ne lui impose de rembourser ces aides. Rapport de la mission parlementaire sur la conditionnalité des aides publiques aux #entreprises.

#Bridgestone, et avant #Whirlpool, #Ford, #Goodyear, #Continental… toutes ces entreprises avaient bénéficié d’aides publiques avant d’être fermé. Immoral donc mais légal.

" En règle générale, les aides publiques ne sont ni conditionnées à l’interdiction de licencier, ni à l’obligation de rembourser des #aides en cas de licenciement explique la mission parlementaires sur la conditionnalité des aides publiques dans son rapport".

Quand la société a été liquidé, comme le fut il y a deux ans WN, le repreneur de Whirlpool, l'espoir de récupérer les fonds devient même nul.

Des aides non conditionnées à l'interdiction de licencier

L’un des rares cas où un remboursement d’aide publique est prévu dans la loi, c’est dans la loi Florange, depuis 2014, mais c’est limité à certaines aides et à deux ans. Et il y a deux conditions : que l’entreprise compte plus de 1000 salariés, et qu’elle n’ait pas accompli les efforts nécessaires pour trouver un repreneur.

Les députés de la mission qui a rendu ce rapport - essentiellement des députés En Marche proposent d’abaisser ce seuil à 500, mais cela n’empêcherait pas les contentieux juridiques autour de la notion d’effort nécessaire.

Pour Bridgestone, ni l’Etat, ni la Région n’ont demandé de remboursement, seule l’agglomération de #Béthune-Bruay poursuit ce combat.

On réclame le remboursement d’un million 250 000 euros. Aujourd’hui ils ont déposé un recours, c’est donc entre les mains de nos services juridiques. On va réclamer cette somme parce que c’est de l’argent public, le contrat n’a pas été respecté, on lachera pas l’affaire. Steve Bossard en charge du développement économique de l'agglomération de Béthune-Bruay rencontré lors du tournage d'un Grand Reportage de la rédaction sur Bridgestone.

" C'est entre les mains des juridictions administratives qui pourront statuer sur le bien fondé des prétentions des parties en présence " confirme Bridgestone.

Mais ces prétentions, ou conditions étaient-elles clairement définies ? Souvent non. La mission parlementaire propose que les contrats passés entre les pouvoirs publics, et les entreprises soient plus clairs. Bien, mais est-ce possible ?

Là encore #Béthune est un cas d'école. A quelques kilomètres de l'usine de Bridgestone, va ouvrir prochainement, à Douvrin, la première usine de batterie électrique de France. Un projet européen.

L’Etat met 690 millions d’euros, la Région 80 ; et l’agglomération de Béthune-Bruay 13 millions. Pourtant, elle n’a obtenu aucune garantie sur l' #emploi. Idem pour la Région, et l’Etat.

Quand on lit les documents de présentation de ce projet, on lit d'ailleurs : en 2023, 200 à 300 emplois, 2024, 350 à 500 #emplois, 2025, 600 à 1000 emplois, 2030, 1400 à 2000 emplois, puis à la ligne suivante " Il s'agit à ce stade d'estimations, le nombre d'employés dépendra de la #compétitivité réelle d'ACC et du niveau du marché automobile européen, impactant directement la demande en batterie et le volume de production ".

La seule condition, c'est de réaliser l' #investissement sur le territoire, " les emplois suivront forcément " m'a répondu Agnès #Pannier-Runacher lors d'une interview le 23 mars 2021, mais c'est une conséquence espérée, pas une condition préalable.

Si l'on exige des garantie rigides sur l'emploi, cela limite la capacité du chef d' #entreprise à licencier en cas de difficultés économiques et donc sa liberté d'entreprendre. Mais les obstacles à l'édiction de conditionnalités exigeantes pour les entreprises sont davantage politiques que juridiques. Anémone Cartier-Bresson, professeur de droit public auditionnée par la mission parlementaire

Collectivités locales, régions, Etats sont en concurrence pour attirer les investissements. Plus de conditionnalités, c'est clairement moins d'attractivité, trouver cet équilibre entre exigences et confiance est un choix politique.

Vers plus de conditions et de remboursements grâce à l'UE ?

A l’heure où la France, et l’Europe s’apprêtent à verser des milliards d’euros aux entreprises pour leur plan de relance, ces fonds seront-ils versés sans conditions ?

Non, rassure la juriste Anémone Cartier-Bresson, " car aucune #aidepublique n'est donnée sans condition. Il faut toujours énoncer un objectif". L'Union Européenne veille au grain, et si elle a accepté toutes les aides covid au nom de l'urgence économique, pour les plans de relance, elle ne déboursera l'argent (40 milliards d'euros pour la France) que si les projets financés respectent ses critères : dont la transition verte, numérique, et des créations d'emplois.

Les réformes et les investissements proposés s'attaquent à un ou plusieurs des défis décrits dans les recommandations par pays de l’État membre. 2)
Les réformes et investissements proposés contribuent aux transitions numériques ou vertes, aller au-delà des questions abordées dans les recommandations par pays. 3)
Les réformes et #investissements proposés contribuent à renforcer efficacement la potentiel de #croissance durable, création d'emplois et résilience économique et sociale, et atténuer l'impact économique et social de la crise tout en favorisant la cohésion et convergence.

Un contrôle sera mené a postériori, et si des irrégularités sont constatées, les Etats devront récupérer l'argent versé. S'ils ne le font pas, c'est la commission qui les poursuivra.

En théorie, c'est donc possible que le plan de relance européen oblige les Etats, dont la France, a améliorer leur suivi des milliards qu'ils distribuent aux entreprises.

En pratique, cela va nécessiter un couteux bataillon de fonctionnaires (ou consultants extérieurs) vérificateurs.

Nous donnerons nous les moyens de contrôler demain le bon usage des milliards versés aujourd'hui ? Excellente question à garder en tête, quand reviendra l'idée de réduire les #dépensespubliques, une fois la crise sanitaire passée.

#franceculture #france-culture #podcast #baladodiffusion #délocalisation #capitalisme #fondsdinvestissement #fondsdepension #bourse #actionnariat #crédit #dettepublique #investissement #banque #actionnaires #labulleeconomique #bulleéconomique #viennot

bastamedia@framasphere.org

Le CAC40 s’apprête à verser 51 milliards d’euros à ses actionnaires malgré la poursuite de la pandémie

Gros actionnaires et fonds d’investissement vont bénéficier d’un dividende record, en pleine pandémie : 51 milliards d'euros pour les actionnaires du CAC40 en 2021, soit une hausse de 22 % par rapport à 2020 alors que 100 % de ces grandes entreprises ont touché des aides publiques liées au Covid-19. Notre Observatoire des multinationales lance la campagne “Allô Bercy ?” pour que les aides publiques aux entreprises soient enfin soumises à condition. https://www.bastamag.net/CAC40-dividendes-51-milliards-actionnaires-AlloBercy-aides-publiques-aux-entreprises-privees-coronaprofiteur-campagne-financement-participatif

Découvrir le projet sur Kiss Kiss Bank Bank : https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/allo-bercy

#AlloBercy #CAC40 #Multinationales #AidesPubliques #Actionnaires #Entreprises #Dividendes #Crowdfunding #Covid19 #ArgentPublic #Finance #Economie #Bercy #Fiscalité #Social #Economie #Ecologie #Environnement #Democratie #Lobbying