Je signale à tous, que je suis médecin et que depuis le début de la Pantalonadémie, je traite TOUS LES PATIENTS qui le souhaitent avec le protocole Raoult en phase ambulatoire précoce. Les succès de ce traitement sont exemplaires !
J'ai averti l'Ordre des Médecins que leurs intimidations ne m'impressionnaient pas et que je prescrirais ce que ma conscience m'ordonnait de prescrire. En l'occurrence, l'hydroxychloroquine. Aujourd'hui, je prescris l'ivermectine en plus.
Aucun, vous m'entendez, aucun de mes patients n'a dû avoir recours à l'Oxygène ou n'a nécessité d'hospitalisation, malgré le fait que je n'aie traité que des patients à risque (103 à ce jour).
Il ne m'est rien arrivé : Pas de radiation...Pas de balle dans la tête, pas d'accident de moto (je n'en fais pas), pas la moindre menace...
J"avertis donc mes confrères, ceux qui n'ont pas prescrit, parce qu'il sont lâches, parce qu'ils ont peur, qu'ils n'auront aucune excuse le jour où la vérité sera faite et qu'il sera évident qu'ils ont des morts sur la conscience.
Voici l'extrait de la lettre que j'adressais à l''Ordre le 18 novembre 2020, en réponse au reproche qu'il me faisait de ne pas suivre les directive de l'infâme Sciensano. C'était il y a exactement un an. j'ai reçu pour seul réponse un rappel de mes responsabilités de Médecin. Je remercie au passage l'Ordre de me les rappeler après 41 ans de pratique.
Voici la réponse que j'ai adressée à l'Ordre du Hainaut :
"J'ai toujours traité mes patients en fonction des données les plus certaines et les plus sérieuses de la science, pas à la lueur de rêves politiques obscurs d'institutions aux multiples connexions politiques et financières !
Si votre reproche concerne l'hydroxychloroquine et l'azithromycine ? Ma réponse est OUI !
Oui, absolument oui ! Je prescris cette association en mon âme et conscience et conscient de mes responsabilités, malgré toutes les recommandations qui m'en dissuadent ! Je la prescris dans le plus grand respect de mon Art et je la prescrirai encore quand je l'estimerai nécessaire, sans me préoccuper du chant du coq !
Aucun des patients que j'ai traités n'a dû avoir recours à une assistance hospitalière. Aucun n'a évidemment fait de torsade de pointe. Et aucun n'a eu de trouble occulaires avec 5 jours à 400 mg de Plaquénil ! Je me moque des études que brandissent les vendus et qui démontrent la toxicité de cette association alors que certaines de ces études qui n’ont pas été écartées des méta-analyses, prescrivent 2,4 grammes d’hydroxychoroquine à des patients en phase terminale. Nous savons tous que la dose mortelle d’hydroxychloroquine est 25 mg/kg soit 1,5 grammes pour un individu de corpulence normale.
Nous savons en outre TOUS que le protocole Raoult la réservait strictement à la maladie débutante à des doses de 0,6 grammes pendant 10 jours maximum…. Car enfin dans les études dites sérieuses sur lesquelles se fondent l’OMS et tous ceux qui la suivent, non sans intérêt, figure celle où des médecins ont prescrit des doses MORTELLES d’ #HCQ !
De qui se foutent l' #OMS et Sciensano ? Quelle confiance dois-je accorder à l'OMS ou à Sciensano qui ont - aveuglément et de façon ridicule – interdit l’hydroxychloroquine en faisant confiance tête baissée à une métaanalyse bidon publiée dans le 'Lancet' par une prostituée et un auteur de science-fiction ?
Ma réponse, Monsieur le Président est NON ! L'OMS et #Sciensano ne font décidément pas partie de mes références.
Vous avez rappelé dans une lettre circulaire récente que j'ai reçue - que la liberté thérapeutique était un pilier de notre Art mais qu'en prescrivant des thérapeutiques non prouvées scientifiquement, nous le faisions sous notre responsabilité ! Je crois savoir de quoi il s'agit. Ce n'est pas à 67 ans que je vais apprendre ce qu'est ma responsabilité.
J'attire toutefois votre attention sur le fait que ceux qui ne prescrivent pas cette association prennent exactement la même responsabilité que moi et même peut-être une responsabilité bien plus grande. En effet ! L'avenir dira si #Raoult a tort ou s'il a raison ! S'il a tort, je n'aurai, moi, AUCUN mort sur la conscience et j'aurai sauvé des vies ! Mais s’il a raison, combien auront de morts sur la conscience, ceux qui ne l'auront pas prescrit ? Même si ce traitement ne réduit la mortalité que de 5 %, quel examen de conscience auront à faire ceux qui l'auront décrié ? Ils auront l'excuse, bien sûr, d'avoir suivi les insolents conseils de Sciensano... Mais que leur dira leur miroir quand ils le croiseront le matin ?"
Voici la teneur d'une lettre que nous aurions dû TOUS écrire !
Mes chers confrères... VOUS N'AVEZ AUCUNE EXCUSE !
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